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Tout ce qui a été posté par Mégille
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Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
Ils sont une menace dans la mesure où ils sont un exemple pour nos dirigeants. Et ils le resteront même s'ils deviennent des ennemis, voire, ils le seront d'autant plus. C'est alors que le fascisme était l'ennemi que l'on a imité leur sécurité sociale, et alors que l'URSS était l'ennemi que les états occidentaux se sont livrés à un planisme keynésien++ et que nos idéologues ont expérimentés toute sorte de nuance de "marxisme occidental". Et l'autre problème est qu'ils ont une dose de capitalisme suffisante pour pouvoir tenir debout encore un moment. Et même sans ça, l'URSS a tenu quoi, quelque chose comme 70 ans ? -
Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
A ce sujet, les tensions entre l'Inde et la Chine ne datent pas d'hier : https://en.wikipedia.org/wiki/Sino-Indian_War Et qu'ils sont aussi déjà bien engagé dans une partie de jeu de Go dans l'océan indien : -
Ouai enfin, je souhaite bonne chance aux aigles pour crever les yeux de boeufs en pleine charge tête baissée. Même si ça reste très difficile, et variable selon son arme, sa quantité de munition et son talent, le chasseur reste le meilleur choix pour s'occuper des gros. Mais même lui ne peut pas gérer 50 aigles (je ne vois pas qui pourrait le faire, en fait).
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Si ils se comportaient normalement, oui, mais si toutes les bêtes se comportaient normalement, elles ne t'attaqueraient pas en groupe, s'attaqueraient / se fuieraient les unes les autres, etc. Et te défendraient encore moins. Je pars du principe qu'ils ont tous un stimoceiver de Delgado et qu'ils sont prêts à en découdre quoi qu'il en coûte.
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Si, j'avais bien posté un petit Et l'opposition de Mill au socialisme est assez claire et propre dans son bouquin "Socialisme", justement. Par contre, si tu tiens vraiment à lui chercher des impuretés, tu peux aussi remarquer que dans ses principes d'économie il distingue la production de la distribution de la richesse. Bon, ça, Say le fait avant lui, mais lui estime que la distribution échappe à la science économique et relève presque plus de la politique (il me semble qu'il dit quelque chose comme ça). Il se serait donc sans doute bien accommodé d'un système à la Scandinave, avec un état qui intervient très peu dans la production mais qui vient ensuite redistribuer assez massivement le produit. Mais en attendant, les petites redistributions qu'il propos sont assez négligeable. C'est du bon vieux libéralisme classique du XIX. Par contre oui, le "libéralisme politique" de Rawls n'a pas grand chose à voir avec ce qu'on appelle libéralisme ici. Pour essayer de lui chercher un petit fond de libéralisme, il faut noter que le principe de différence selon lequel on doit minimaxer la distribution des biens reste subordonné au "principe de liberté". La justice consiste pour lui en premier lieu à donner à tous une égale liberté "de base". Le problème est que parmi les libertés, il ne distingue pas a priori entre ce que Berlin appelle les "négatives" et "positive" (qu'on préférera nous qualifier de "droit-créance"). Par conséquent, il constate que les "libertés" telle qu'il les comprends sont en contradiction les unes avec les autres, et donc qu'il faut faire une petite cuisine pour choisir lesquelles on sacrifie au profit desquelles... Mais entre ça et l'arbitraire démocratique, il y a ce fameux deuxième principe qui entre en jeu. Et effectivement, pour lui, même la propriété privée des moyens de production est un principe qui est susceptible d'être discuté, accepté ou refusé au nom de la justice. Sa théorie de la justice dite "libérale" est donc en effet compatible avec du socialisme au sens propre du terme (même si elle n'y conduit pas nécessairement). S'il avait été vivant aujourd'hui, il aurait voté aux primaires dems soit pour Warren soit pour Sanders, ça ne fait aucun doute.
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Les sept taureaux piétines les rats easy. Ils ne les tuent pas tous, mais ils leurs passent par dessus sans s'arrêter. Défensivement, ils sont nuls, les rats. Si on a les aigles et pas les rats, chaque aigles doit tuer 200 rats. (avec une petite marge d'erreur possible, si il en reste quelques uns à la fin, ce n'est pas bien grâce). Les deux questions sont : combien un aigle peut tuer de rats par minutes ? Et combien de temps avant que les rats ne t'atteignent ? En plus, je crois que ce sont des aigles d'Australie, un machin bien monstrueux, s'ils se contentent de donner des coups de serres et de becs pour incapaciter les rats, ils peuvent en avoir beaucoup plus que 20 chacun. Selon la distance de départ, je pense que le 200 chacun est jouable.
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Les aigles sont sans doute les seuls à pouvoir gérer les rats, donc il faut au moins choisir l'un de ces deux là. J'aurais tendance à choisir les aigles, même s'ils ne seront pas les plus utiles contre tout le reste (à part peut-être contre le chasseur, ex aequo avec les rats), ils seront sans doute beaucoup plus difficile à gérer que le reste, donc je les prends de mon bord. Ensuite le chasseur. Même s'il aura du mal à tuer les 44 bêtes restantes, il n'aura aucune difficulté à me tuer moi quel que soient mes gardiens. J'espère qu'il a assez d'amo, qu'il est très bon tireur, et que toutes les bêtes ne sont pas trop proche en même temps.
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Kanye West : rappeur puis candidat
Mégille a répondu à un sujet de Tramp dans Europe et international
Ca dépend un % où... pique quelques pourcent à qui tu veux en Californie, tu ne changes rien. Je ne m'attends pas à ce qu'il ait le moindre impact. Ce sera un peu comme Harambe en 2016.- 9 réponses
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Guerre civile culture, IDW, SJW & co
Mégille a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Vous exagérez un peu, quand même... La majorité ne considère pas la "race noire" comme supérieure, mais considère qu'ils sont spécifiquement lésé par le système actuel (et avec des chiffres à l'appuis, à un certain niveau d'analyse) et exigent donc des réparations pour cette raison. On est assez loin du suprémacisme racial ou de la mythologie nazi de l'aryen. Et si tout ceux qui ont pu tweeter un "#BLM" foutaient le feu à des commerces, le bordel aux USA serait autrement plus conséquent. Je ne connais pas l'organisation BLM en elle-même, mais leurs sympathisants sont tout de même bien moins méchant que ça... -
Ontologie, épistémologie, esthétique
Mégille a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
Je trouve l'argument plutôt intéressant, et je comprends que l'on puisse être méfiant envers la notion de "nature humaine" qu'on a pu utiliser de toute sorte de façon. Mais ça me semble un peu trop méta pour avoir une vraie implication politique ou éthique. Je ne sais pas où tu cherchais à en venir, mais je serais surpris que tu n'aurais pas pu faire la même chose en t'appuyant sur ses bases à lui ! Que l'on ait tendance à croire que certaines propriétés vont nécessairement de paire puisqu'on les voit empiriquement (mais non-nécessairement) toujours ensemble, et prétendre déduire une démonstration a priori de la chose, est effectivement une erreur que l'on fait de temps en temps. Par exemple, chez Descartes avec la matière comme équivalente à l'étendue spatiale, ou chez Kant avec la géométrie comme nécessairement euclidienne. Mais il s'agit toujours d'une erreur a priori et pas seulement d'une erreur empirique (en tout cas, dire non seulement "ça vient ensemble" mais "ça vient nécessairement ensemble" transforme un pari empirique audacieux en un probable pseudo-théorème fallacieux). Et qu'il y ait cette erreur en amont implique que l'on puisse ne pas la faire. Si le bonhomme de l'exemple n'a jamais vu des choses rouges qui ne sont pas tablesques et des choses tablesques qui ne sont pas rouges, alors il a peu de chance de s'en apercevoir, mais à moins de vivre dans un monde composé uniquement de sa conscience face à une table rouge, il aura la notion de choses non-tablesques et de choses non-rouges, et il sera probablement capable de concevoir des choses tablesques non-rouges. Même si, la première fois qu'il voit, ou seulement conçoit, une table verte, il juge bon d'y donner un autre nom, comme "vable", il reste qu'il y a une certaine propriété commune à la table et à la vable, qu'il la voit clairement ou non. Il y a une structure commune, pieds X 4 + plateau, une certaine fonction, etc. Il aurait donc raison de donner un nom à la catégorie de chose que forme les tables et les vables, "xables", par exemple. Maintenant, en ce qui concerne l'homme, si on parle de l'humain comme homo sapiens, comme espèce, j'ai une vision assez minimale de la chose. L'essence d'une espèce, ce n'est pas une ou plusieurs propriétés d'arité =1, c'est une relation à plusieurs termes, en l'occurrence, une relation de parenté, ou alors une relation d'interfécondité à quelques étapes près. Et c'est tout. On peut tout à fait concevoir (même si c'est très peu plausible) un individu avec un phénotype tout à fait étrange - des branchies, trop ou trop peu de pattes, etc, mais qui serait tout de même parent des autres humains et interfécond avec eux. Il faudra alors dire que ce bonhomme/bestiole est un homo sapiens. Maintenant, si tu parles de "l'Homme" comme sujet connaissant ou comme agent moral, ce n'est pas tout à fait la même chose, et même si ça ne me plaît pas (surtout pour la deuxième partie de ce qui suit), il faut envisager que des non-homo sapiens puissent être de tels "Hommes", et que des homo sapiens puissent ne pas en être. Je parle seulement de possibilité logique, hein, je ne dis pas que c'est le cas. -
Egaliser la richesse dans la société en général, je ne suis pas d'accord, mais je vois l'idée. Mais égaliser les salaires au sein de l'entreprise, pourquoi ? Ce n'est pas une polis, personne ne propose d'y faire planer un voile d'ignorance rawlsien pour y instaurer une justice comme équité, etc... Il s'agit juste d'une forme d'organisation volontaire au sein d'un cadre légal plus large. Et contrairement à ce que tu sembles croire, les grands perdants de cette affaire, ce ne seront pas les grands méchants patrons (qui se contenteront de moins embaucher en préférant -artificiellement- un surplus de qualité à un surplus de quantité, ou alors qui embaucherons à l'étranger, peut-être indirectement en important). Ce seront les non-salariés, que ce soit ceux qui aimeraient bien avoir un boulot salarié mais qui n'en trouveront pas à cause de ça, ou ceux qui aimeraient bien embaucher, les petits commerçants, mais qui ne le pourront pas.
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Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
Attention, cringe : -
École & éducation : Le temps des secrets
Mégille a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Politique, droit et questions de société
Comme pour nous tous, ami franco-allemand de Waren, comme pour nous tous... -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Mégille a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Pour la matière noire, il me semble que l'on a déjà quelques pistes, et puis, elle a une certaine distribution bien précise dans les galaxies, donc on pourrait bien finir par trouver quelque chose. Après, je ne suispas très renseigné sur la "modified newtonian dynamics". L'énergie noire, ça a complètement l'air magique, mais faute de mieux, en attendant... Après, si ça se trouve, il y a juste une 5ieme, une 6ieme, et je ne sais pas combien d'autres interactions fondamentales, irréductibles aux autres, mais qui ne s'observent qu'à une échelle encore plus grande que la gravitation... Tu rigoles, mais j'ai au moins une fois déjà vu l'occurrence de "matière transparente", je ne sais pas si c'est pour ça. -
École & éducation : Le temps des secrets
Mégille a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Politique, droit et questions de société
Tiens, je ne connaissais pas cette façon de lire l'avenir des gens. -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Mégille a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
En me demandant s'il pouvait y avoir des structures cosmiques de taille supérieure à l'univers observable, et si ça peut avoir un sens d'en parler, j'ai pensée à un truc saugrenu (trop saugrenu pour avoir sa place dans le "café des sciences"). Le volume de Hubble est sans doute ce que l'on a qui se rapproche le plus d'une boîte entièrement hermétique, dont aucune information n'entre ni ne sort, comme celle du chat de Schrödinger. Mais du coup, si on est Everettien... on peut dire que tous l'univers extérieur, hors de l'univers observable, est dans une superposition d'états pour nous (tout comme notre propre bulle est dans une superposition d'état du point de vue de chaque état cosmique déterminé de chaque autre bulle). Et du coup, ça peut répondre à l'énigme du surplus de matière par rapport à l'anti-matière. Il suffit qu'il y ait une probabilité non-nulle, quoi qu'infime, pour qu'il y ait un peu plus de matière que d'anti-matière dans un volume de Hubble entier pour qu'un univers déterminé comme le nôtre existe comme état quantique de notre univers observable. Et donc, tout l'univers extérieur serait dans une superposition de matière et d'antimatière. Et de vide, surtout de vide. J'imagine que les états dans lesquels l'univers extérieur n'est pas vide (qu'on y retrouve un peu de matière ou un peu d'anti-matière) sont des cas extrêmes, virtuellement impossibles. Le cosmos s'arrête donc à la sphère des fixes. Edit : même pour d'autres interprétations hétérodoxes que celle d'Everett, d'ailleurs. Il me semble que pour la mécanique bohmienne, le fait que la particule soit toujours dans un état déterminé est du au fait qu'elle soit intriqué avec tout le reste de l'univers. Mais si elle ne peut pas l'être avec l'univers extérieur, alors, il faut que l'univers extérieur soit dans une superposition d'état, et pas l'univers observable. C'est encore plus bizarre. Et pour la théorie de l'effondrement objectif GRW, on peut concevoir qu'il y ait, dans l'univers observables, d'autre poche de détermination comme la notre, et d'autres indéterminés, bien que celles-ci soient sans doute très rares. -
Sur ce sujet là, les théories de l'absence de complot sont les plus ridicules.
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Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
A l'époque de l'annexion de facto du Tibet (lors de la révolution culturelle, donc), la Chine n'était pas vraiment allié des USA. C'était Taïwan qui avait le siège à l'ONU, et la CIA s'en mêlait un peu. L'élan de solidarité pro-Tibet relevait en partie d'un effort de propagande. Ce n'est qu'à partir de Deng qu'on a décidé d'être copain avec la Chine et d'oublier certains dossiers. A propos de la persécution des musulmans plutôt que d'autre religion - on peut mettre ça en parallèle avec la persécution des rohingyas au Myanmar, il me semble que ça avait suscité beaucoup d'indignation il y a un an ou deux (même si je ne sais pas si ça a abouti à grand chose concrètement). A coté, la persécution des néo-taoïstes bizarres du fanlun gong par la Chine, et les nombreuses persécutions de chrétiens un peu partout, attirent beaucoup moins de sympathie. -
Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
Il y a une petite décennie, la droite sarkozyste admirait la Chine pour l'ardeur au travail de ses petites gens. Les temps changent. Mais j'ai bien entendu des gauchistes de temps en temps citer la Chine comme preuve du fait que la planification marche bien -mais sans prétendre défendre la Chine en général, et en étant prêt à accuser le capitalisme de tout ce qui n'y marche pas. J'ai aussi eu un prof, de gauche humaniste tendance bisounours, fan de l'école de Francfort et de l'éthique du care, qui a laissé entendre que la Chine était un exemple en matière d'écologie. Je ne sais s'il faisait allusion au fait qu'il s'agisse du plus gros émetteur de CO2 (un bon tiers des émissions annuelles totales), du principal responsable du plastique dans les océans (plus de la moitié pour seulement deux de ses fleuves), ou de l'air irrespirable chargé de particules fines des villes... Je ne sais pas si on peut attendre grand chose du boycott... Et encore moins de la guerre commerciale à laquelle veut jouer Trump. Ce qui peut être fait par contre, c'est de faciliter le libre-échange avec les concurrents potentiels de la Chine en Asie du sud-est, ne surtout pas se priver d'entretenir des relations diplomatiques avec qui que ce soit pour leurs beaux yeux, collaborer le moins possible en Afrique, et si on peut construire un pipeline pour acheter du gaz turkmène histoire de leur faire monter les prix, ce serait le top. -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Mégille a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Indépendamment de Polanyi, on peut aussi avancer l'explication suivante : l'état est un parasite, un destructeur net de richesse, et il faut donc préalablement une société suffisamment productrice pour qu'il puisse s'y développer. C'est la seule façon que je vois d'expliquer un apparent paradoxe : historiquement, les sociétés les plus riches (les USA actuels, l'Europe moderne, la Chine médiévale, Rome, etc) sont souvent les plus lourdement étatisées de leur époque, alors qu'à chaque instant, les sociétés les plus étatisées s'enrichissent moins vite que les autres. D'où aussi l'échec de l'instauration de solides états en Afrique malgré les velléités socialistes de la plupart de leurs fondateurs. D'où un petit cycle : lorsque les structures coercitives traditionnelles ne sont plus assez fortes pour contenir la libre création, et que l'état n'est pas encore assez gros pour le faire, une société s'enrichit. Au fur et à mesure, l'état grossit en absorbant une part toujours plus grosse de la richesse créée. D'abord une part plus petite que le nouvel enrichissement, rendant le coût de l'état invisible, et permettant même à l'état de se présenter comme cause de la richesse ; puis inévitablement, la bête finit par grossir tellement qu'elle fait s'appauvrir sa société, c'est le moment où elle doit chercher des ennemis et des persécuteurs imaginaires pour justifier son existence de plus en plus misérable. Et c'est alors au tour des sociétés à sa marge de prendre le relais. Il me semble que ce cycle précis a eu d'innombrables claires occurrences. Bien sûr, il peut aller plus ou moins vite, et même être interrompu, mais c'est la tendance générale. -
Images pas cool, justice sociale & steaks saignants
Mégille a répondu à un sujet de Lancelot dans La Taverne
Il fait allusion au cas Stephen Wood/Karen White. -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Mégille a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
J'ai un frère nouvellement architecte, qui est plutôt étatiste et écolo (quoi que pas égalitariste), qui est en pleine lecture de Orwell et qui commence à trouver qu'on manque de plus en plus de liberté. Je pense lui offrir Fountainhead, bonne idée ? -
Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
Au niveau individuel, je ne sais pas... identifier des choses dont aucun maillon de la chaîne de production ne passe par la Chine ne doit pas être facile. Diplomatiquement, je serais pour que l'on reconnaisse Taïwan et le Tibet, pour les emmerder. Et qu'ils nous boycott eux-mêmes en représailles, ça créera des débouchés pour l'Asie du sud et du sud-est. -
Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
L'indignation aurait sans doute été beaucoup moins douce si le régime chinois, tout en faisant exactement la même chose, s'était revendiqué du nazisme au lieu du communisme. Alors que le "socialisme avec caractéristiques chinoises" n'est rien d'autre qu'un national-socialisme en Chine. -
Yep, c'est notoire. Valls et Collomb aussi, au GODF aussi. Ils jouent les arch-ennemis en public, et trinquent ensemble lors des agapes dans les loges. D'ailleurs il paraît qu'il y a beaucoup de bordel en ce moment au GODF (limite une tentative de putch interne, et un conflit entre les parisiens et les provinciaux), mais je ne suis pas très bien informé.
