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F. mas

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Tout ce qui a été posté par F. mas

  1. F. mas

    Droâdezanimos ?

    On peut se demander si certains animaux ne sont pas plus développer sur le plan de la cognition que certains nourrissons de quelques mois : dans ce cas, pourquoi choisir le nourrisson plutôt que la bestiole ? Pourquoi juger qu'un nourrisson est sujet de droit parce qu'il y a de forte probabilité pour qu'il comprenne ses droits dans 20 ans là où certains animaux seront déjà dotés de facultés cognitives supérieures ? Tout cela à l'air d'un troll, mais c'est une position tenue par certains, notamment Peter Singer déjà évoqué plus haut.
  2. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Hoho...le je peux comprendre putativement le concept de droit, c'est un brin métaphysique, là. Le jour où on mettra des implants neuronaux aux chatons, ils pourront aussi comprendre le droit, donc, il faut les traiter en sujets de droits. Avec des si, on mettrait Paris en bouteille.
  3. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Donc les enfants ne sont pas sujets de droit ? (bon ok, j'arrête de remettre une pièce dans le bastringue)^^ Edit : ni les malades mentaux ?
  4. Tu dis ça parce que tu défends la science officielle.
  5. L'ADM ? Artisans du Monde ? Non non, je ne vends pas de bonnets péruviens équitables. Je vérifie bien qu'ils ont été façonné par des enfants dans des conditions de travail déplorables.
  6. Oh-oh, parle pour toi, giscardien pervers.
  7. Ah ben dans la famille gros dégueulasse, voilà le petit frère. Bravo les mecs, vous venez de gagner un point de pénalité Gilles Langoureau. https://www.youtube.com/watch?v=pMlHQja5R9k
  8. Et tu manges ça comment ?
  9. C'est un chinois, gros dégueulasse^^.
  10. Je préfère la chaîne d'Alien Theory, je n'aime pas la désinformation.
  11. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Ce qui me fait demander, c'est que l'un des rôles du juge est justement d'examiner les mobiles pour établir de la licéité d'un acte. ce sont donc les réponses aux dernières interrogations ouvertes sur ce fil. Maintenant, que l'utilitarisme moral de Singer aboutisse à des situations absurdes, qui en doute ?
  12. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Toute vos réponse ici (ne me remerciez pas) http://www.amazon.fr/animaux-aussi-ont-droits/dp/2021101916/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1410277911&sr=1-1&keywords=singer+peter
  13. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Rassure-moi, tu n'es pas juriste ?
  14. F. mas

    Droâdezanimos ?

    1 - On peut estimer qu'étant omnivore, on puisse être dans l'obligation de tuer des animaux. Mais pas d'obligation de les faire souffrir inutilement. Ce sont deux choses différentes. Et il n'est pas absurde de condamner la seconde attitude sans condamner la première. 2 - oui, tout à fait. Tout à un coût. 3 - Bref, moralisme contre conformisme bourgeois, quoi. On progresse
  15. F. mas

    Droâdezanimos ?

    La lapin a le droit d'être savoureux à la moutarde ou en papillotes.
  16. F. mas

    Droâdezanimos ?

    @Bisounours
  17. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Je dois surtout terminer le putain de livre qui traine sur mon ordi !
  18. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Nope.
  19. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Je prends dans ma bibliothèque le Blackwell Companion to Bioethics dirigé par H. Kuhse et Peter Singer (!), et l'ouvre au chapitre 39 sur le statut moral des animaux. L'auteur du chapitre (BE Rollins) soutient la thèse suivante, qui pour l'instant éthique, dans la veine utilitariste : les raisons visant à exclure les animaux du cercle de la morale et des critères d'évaluation de la conduite humaine ne sont pas pertinents. Si par exemple l'usage de la parole ou de la raison marque la différence entre l'homme et l'animal, il n'est pas une différence pertinente sur le plan moral (ou éthique) pour justifier le mal infligé aux animaux là ou il est condamné pour les êtres humains. Ici, on introduit la grammaire utilitariste de la douleur et du plaisir pour évaluer la moralité des conduites (pour remplacer la raison). Un animal avec un système nerveux suffisamment développé ne devrait pas avoir à souffrir inutilement, qu'il soit humain ou non (cette précision permet de mettre de côté les pseudos arguments concernant les êtres unicellulaires et autres bestioles). Maintenant, de ce statut moral minimal de l'animal, on peut passer à sa protection juridique possible en s'inspirant par exemple de la législation française. Si on admet qu'il est moralement inadmissible de faire souffrir une bête, on peut éventuellement condamner toute personne se rendant coupable de tels traitements. Il y aurait obligation pour les individus de ne pas faire endurer de souffrances inutiles aux bestioles, et donc droit aux animaux, par exemple comme le droit français protège la dignité humaine : http://www.internationalpenalandpenitentiaryfoundation.org/Site/documents/Stavern/06_Stavern_Contribution%20Aksoy.pdf Ce genre de position ne peut être compris qu'en adoptant le point de vue de l'utilitarisme moral. Par définition, le droit naturel moderne est un rationalisme, qui juge, évalue et intègre les individus en fonction de leur capacité à raisonner, ce qui est le propre de l'homme. Donc dialogue de sourds, incommensurabilité (relative) des théories, toussa
  20. Il a visiblement du mal à porter la cravate.
  21. C'est plus qu'une bistouille qu'elle met dans son café...
  22. Elle est en train de se transformer en pékinois ?
  23. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Non non. Pas une impression. Mais le débat sur le droit des animaux n'en fait pas parti. En tout cas moins que la moyenne.
  24. F. mas

    Droâdezanimos ?

    Il fait ce qu'il veut à ses heures perdues, le Blaise.
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