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F. mas

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Tout ce qui a été posté par F. mas

  1. Bon pour la communauté urbaine de Lille, Aubry l'a dans le cul, c'est historique. Je vais suivre ça attentivement.
  2. Bon, je reviens d'une petite excursion hors du pays, et je vois que le trolling tour continue et que...Roubaix est passé à droite ????!!!! Mais mais mais...qu'est-ce qui se passe ????
  3. C'est assez frustrant de travailler : on est obligé de s'interrompre sur liborg pour faire des choses IRL :/ Désolé pour la gêne occasionnée.
  4. Erreur (je répondrai plus tard)
  5. Tout à fait: le fédéralisme compétitif, il n'y a que ça de vrai. Je développerai un peu plus tard.
  6. Je suis en total désaccord sur ces deux points. Le pouvoir central n'a qu'une vocation, réduire son rôle, qui n'est pas celui d'arbitre indépendant comme il aime à se définir lui-même, ou même disparaître. La confiance dans l'administration publique me semble une erreur symétrique au développement des baronnies. Quels services publics verrais-tu rester de la compétence de l'Etat central ? Sinon, sur la multiplication des compétences, je crois que c'est surtout les contrôles administratifs (tu ne dis pas contraire je précise) qu'il faut réduire, et pas les contrôles législatifs ou judiciaires.
  7. Je suis d'accord avec la première partie (la compétence générale) par contre, je ne pense pas que les cas de corruption que tu décris proviennent d'un manque d'encadrement par le droit ou la justice. Je prends l'exemple des Balkany : il existe une cour régionale des comptes, des juridictions et un droit (et même pour les fonctionnaires une obligation) d'ester en justice en cas de manquement. Si le bonhomme peut se permettre tout ce qu'il veut, c'est justement parce qu'il est assuré de ne pas être dérangé par sa hiérarchie (puisque le maire a aussi un lien de dépendance hiérarchique vis à vis de la puissance publique). L'idée de la concurrence institutionnelle (et fiscale) est de responsabiliser les gens, et de réduire l'effet de la dispersion des coûts sur l'ensemble du territoire et des bénéfices concentrés vers un groupe d'intérêt. C'est un peu la même idée que la régionalisation des services publics.
  8. Couper l'aide de l'Etat aux collectivités territoriales se traduirait effectivement par une hausse phénoménale des impôts locaux pour tenter de compenser la perte de revenus. Il s'agirait d'une bonne incitation faite aux gouvernés pour choisir leurs gouvernants avec plus de discernement, et une incitation envers les gouvernants à se comporter plus raisonnablement en vue d'être réélu ou de ne pas perdre des électeurs (et des imposés). En somme, je suis du même avis que PA Berryer. G Koenig n'est pas un libéral un peu spécial, c'est un néolibéral (sans que ce terme n'ai une connotation négative, ou positive), qui pense que l'Etat a un rôle d'impulsion à jouer pour organiser le marché par des institutions bien réglées. Reste à savoir si les arguments classiques de la tradition sceptique et évolutionniste du libéralisme politique (Hayek) concernant la diversité de répartition de l'information dans la société donne toutes les cartes aux dirigeants pour réorganiser correctement l'ensemble institutionnel sans en détruire les fondements.
  9. Je préfère les intégristes fascisants.
  10. La dernière victime en date de ce genre de procédé, c'était méluche la cruche dans la 17e circonscription du Pas de Calais (en gros Hénin Beaumont). Succès garanti.
  11. J'ai fait la liste de ce que j'ai goûté mais je ne suis pas chez moi. Il va falloir attendre un peu pour avoir les noms (et les appréciations qui vont avec). Misslib se souvient peut être des ouisquis qu'on a goûté ?
  12. Et bien sans surprise, le nikka était bien supérieur à tous les écossais et irlandais goûtés. Donc j'ai acheté un blended, un nouveau dans la collec' de cette année. http://www.whisky.fr/nikka-blended-whisky.html
  13. Enfin pour certains c'est plus emo.
  14. On est un peu les goths de la politique en quelque sorte.
  15. Sinon je ne vois pas bien ce que signifierait la dédiabolisation pour les libéraux. C'est un peu ce qu'ils font tous les jours via CP par exemple, nope ?
  16. Première étape dans la dédiabolisation : lucilio lâche les chats ! Ils ont été créés pour me détendre.
  17. Ah oui ce n' était pas pour critiquer hein !
  18. Petite histoire : au lycée, j'étais à la JEC soit l'équivalent étudiant de la JOC. Tous nos aînés et nos encadrants étaient soit cocos ou verts, et le chant officiel était "accroche à ton cœur un chiffon rouge...gnagnagna".
  19. Je pense que pour comprendre le rapport de la gauche (et la droite) à l'immigration, il faut essayer de se les représenter dans le temps : le PS a la fin des années 70 se présente comme réformiste et porteuse des idéaux de la nouvelle société et son alliance avec le PC lui garde un pied dans le mouvement ouvrier, qui n'est pas la même culture. Le pc qui détruit les foyer sonacotra à la fin des années 70 n'est pas celui de la liste lolifiante "bouge l'europe" de Robert Hue de la fin des années 80. Les stratégies ont bougé en fonction de l'évolution éco et démographique des années 1970 jusqu'à maintenant : le pc et les ouvriers ont disparu, la frange "sociétaliste" du PS a pris de plus en plus de place dans l'appareil depuis les années 1980 pour une raison assez simple : les solutions socdem classiques ne marchent plus, et le socialisme municipale qui s'est installé depuis ces 10 dernières années est avant tout une gestion de clientèles et la tentative de création de nouvelles clientèles pour remplacer celles anciennes destinées à se réduire mécaniquement (retraités, fonctionnaires, ouvriers). Je développerai plus tard si ça t'intéresse, là, je suis un peu pressé par le temps IRL^^
  20. Je parie pour un retour à gauche aux discours sur la nécessité d'abolir le sénat. (pari pas super risqué)
  21. Le ps dès la fin des années 1970 se pose comme le parti des classes montantes tout en ménageant sa base populaire, jusqu'à ce que cette dernière diparaisse à la fin des années 1990 à vue de nez. Je n'ai pas dit que les socialistes s'y prenaient correctement, ni qu'ils avaient réussi à convaincre les populations immigrées à voter pour eux. Mais c'est une constante (même si l'usage de l'immigration dans le discours socialiste a parfois été extrêmement ambigu comme sous Mitterrand).
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