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Tout ce qui a été posté par F. mas
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Hollande plus socialiste encore que Sarkozy
F. mas a répondu à un sujet de pankkake dans Politique, droit et questions de société
Il y a une solution plus éco-citoyenne : se mettre un sac en papier sur la tête et un t shirt "not in my name". -
Pour moi un poing américain ça laisse des traces. S'il l'a reçu en pleine poire, alors il devrait au moins avoir le pif ou une arcade bien bien amoché. Et ça plus sûrement qu'à mains nues.
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On peut faire du respect minimum des règles communes un bien commun qui si elles sont suffisamment protégées (par un minimum de morale commune donc) est au bénéfice de tout le monde. On peut même imaginer que le respect de certaines règles de morale ordinaire (courtoisie, politesse) facilite la coopération permet des économies notamment en matière de coercition. La citation que tu poses est intéressante, parce qu'elle est tout à fait symptomatique du problème non pas soulevé par la morale, mais par la corruption politique de la morale : gouverner suppose d'acheter et donc de corrompre les gouvernés plus que de les élever. C'est d'ailleurs un constat très classique du Public Choice : les bénéfices à court terme de la politique sont plus immédiatement visibles pour les électeurs que ceux à long terme du marché, donc les politiciens professionnels ont tout intérêt à privilégier l'outil politique quitte à détraquer le marché parce que ça leur rapporte en termes d'élection ou plus largement de légitimité populaire.
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"Parler de procès de marché axiologiquement neutre, c'est supposer que le marché est une force qui neutralise et arrange les choix des consommateurs selon un certain ordre global." Non non. Absolument pas. Regarde la vid que j'ai posté par ex. Rien à voir avec une "neutralisation des choix du consommateur". Ca c'est de la métaphysique par contre
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non : tu n'as pas besoin de connaître les préférences persos de ta boulangère qui n'a pas besoin de connaître ton background moral non plus, les fournisseurs n'ont pas savoir si ladite boulangère vote LePen ou Méluche, etc. Tout ceci est de l'ordre de la coordination de conduites et n'a rien de "métaphysique", quelque soit le sens que tu donnes à ce mot.
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Les préférences des consommateurs ne sont pas neutres, mais le procès de marché l'est plus ou moins, il coordonne des conduites et des plans qui n'ont pas besoin d'avoir une vision morale commune pour fonctionner (enfin je dirais une éthique commune minimum). Sur le sujet on peut écouter I Kirzner ( à 10' min environ) http://www.youtube.com/watch?v=GYW9Axk88Kw
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Les ritals, ces super-super français. -
Ask Jean Robin !^^
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Hum. Deux précisions : le marché et l'innovation est aussi à la source du raffinement dans la division du travail et la spécialisation des tâches. Sans cette liberté de commercer, c'est simple, il n'y a pas de civilisation, mais des organisations tribales où les individus sont essentiellement préoccupées de leur survie. Donc pas d'opéra, de Tintoret, de Medicis, de gothique flamboyant, etc. mais des racines et des individus qui pensent H24 aux moyens de ne pas crever de faim ou de froid. Deuxièmement, si le marché est économe en ressources morales (le marché suppose la seule obligation du respect des contrats et de la justice donc des règles de propriété, que celles-ci soient formalisées ou pas), il laisse la place à la vie morale (il ne la commande pas, et ne fait qu'un minimum de recommandation à son propos) : celle-ci est une entreprise individuelle qui ne peut être initiée qu'en situation de liberté de la volonté (c'est l'idée de l'autonomie de la volonté). En d'autres termes, la vie morale suppose la liberté des marchés, tandis que tout ce qui limite la liberté de choix individuelle est aussi une atteinte à la possibilité de construire une vie morale. S'il peut effectivement exister des incitations commerciales à certains vices moraux dans la généralisation des marchés (je pense aux objections de Sandel dans son dernier livre), il est plus facile de s'en préserver quand 1- aucun organe coercitif nous oblige à choisir une alternative morale plutôt qu'une autre (a plus forte raison quand les organes de choix collectifs sont eux-mêmes soumis aux groupes de pression du big business) 2 - quand on part du principe que le marché ne fait que refléter les préférences des individus et flatter leurs penchants, que ces penchants soient vertueux ou vicieux, parce que justement le marché est relativement neutre (je préfère dire : économe en ressources morales). Dire cela suggère de chercher ailleurs la cause de l'érosion morale de nos contemporains (notamment en s'intéressant avec plus de minutie au rôle de l'Etat comme l'ont fait Hoppe et de Jasay) dans le procès de décivilisation.
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Oh oui...c'est ce qu'on appelle une externalité négative : le faf innocent va lui donner l'occasion de parader sur tous les médias qui voudront bien l'accueillir. Ça va pas être triste.
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J'ajouterais : ça a toujours été comme ça. Quiconque a eu un jour maille à partir avec les bandes d'extrême gauche sait que l'agression vient presque systématiquement de ce côté-là car la garantie d'impunité incite au passage à l'acte.
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Quand dissout-on les groupes antifas ?
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Moi en plus chuis violent avec les étrangers. Je les frappe sans raison apparente (alors qu'en fait c'est parce que je suis Superfrançais). -
ça par contre c'est en partie une erreur. Il n'y a pas de grammaire commune, mais un lexique commun. Même peut être un peu plus que ça.
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Non non, c'est de la bêtise pure et simple : c'est partir de définitions arbitraires considérées comme ayant un fondement universel. "réaliste" par exemple ne renvoie à rien en dehors de ce qu'en dit celui qui emploie le mot. C'est aussi n'est ni rationnel, ni irrationnel, puisque ça tient du lexique moral.
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Des RAYURES bordel. Les chemises à carreaux, c'est ce que portent ordinairement les québécois. C'est pourtant bien connu (Nature, vol II, pp. 12-35). -
Euh, je parlais de la technique, pas de son nom français ou anglais.
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C'est pourtant très courant.
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Merci pour ces documents. Nous servons la science et c'est notre joie.
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
On avance, on avance. -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Et si tu pouvais ajouter des notes de bas de page, ça serait parfait. -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Une pause française, c'est avec vin et accordéon ??? -
Excellent ! Il n'y a plus qu'à formaliser dans le plus pur style universitaire et tu as ton sujet. J'ai moi-même soutenu (et été mon propre directeur de thèse, parce qu'après tout, en tant que premier doyen de la faculté de Branquologie de Lille 5, je fais ce que je veux, je mandarine comme je l'entends) une thèse sur "La pensée de C. T., synthèse hégéliano-nietzschéenne dans le courant NSBM de la grande banlieue lilloise".
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Là on sort un peu de la branquologie pour entrer dans une discipline inventée par un pote ex toto, le banalisme : l'étude et la description scientifique des banalités associées aux politiciens pros. Je vois effectivement beaucoup de matière. Trouver la problématique nécessiterait peut être d'un détail absurde concernant un groupe ou un individu qui à ses propres yeux le placerait en quelque sorte au dessus du commun des mortels. Il y a ama un gros potentiel autour de Soral et de ses affidés. Cette ext droite 2.0 regorge de "personnalités originales" ou branques qui pourraient être d'excellents sujets de recherches.
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Toutafé.
