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Tout ce qui a été posté par F. mas
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
ah oui, je confonds avec le rappeur. -
Pour modérer les tempéraments pessimistes (dont je suis), je conseille la lecture de The Rational Optimist de Matt Ridley, qui n'est pas pour autant un grand approuveur de tout ce qui arrive pour autant. http://www.youtube.com/watch?v=LEqyPbPuJf8
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Aha. Science says so. C'est mon ressenti. Pouce. -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Sidney rend les Français voleurs, Londres les rend travailleurs. Chacun tire les conclusions qu'il peut, mais je dis que le climat australien rend les Français un peu cinglé, et le porridge améliore considérablement leur performance. Je fais à mon petit niveau avancer les sciences sociales, j'en suis très fier. -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Ah ben tu vois, "french shopping", c'est un truc australien, ça. Visiblement, les touristes Français qui vous rendent visite sont plus voleurs que la moyenne (ça doit être le climat et le steak de kangourous qui les détraquent^^). J'ai lu ça récemment sur un site du genre rue89. Des amateurs je dis. Des amateurs. C'est d'ailleurs pour ça qu'on organise leur exfiltration à l'étranger, pour les pourrir de l'intérieur. Il y a d'ailleurs parmi les expats des infiltrés, mais chut. Je n'en dis pas plus. Ceux qui savent voir auront déjà repéré les SuperFrançais râleurs, individualistes, profiteurs, aigris, et pleutres qui sont planqués parmi eux (précision, parce qu'ils sont aussi -super- susceptibles ) -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Taxi le matin, serveur dans un café du quartier latin l'aprèm. Pendant les vacances, je m'occupe d'un hôtel sordide pour dépanner mon beauf et satisfaire mon besoin de persécuter les touristes étrangers gentils, accueillants et les zyeux pleins d'étoiles parce qu'ils sont au pays de l'amour, de Maurice Chevalier et des folies bergères. -
Voilà : encore une preuve de leur trahison. Tout se décide désormais sur la face cachée de la lune.
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Z'avez vraiment de drôles de fréquentations...Moi, en bon Français, je vole. Ou je m'arrange pour partir au moment où l'addition arrive sur la table (toujurs avec le cigare au bec d'ailleurs, pour faire chier le monde). -
Les aliens nous ont déjà envahi, seuls les gogos ne s'en rendent pas compte. http://www.youtube.com/watch?v=etOQlM8YjEU
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L'éloge de la fuite et de la désertion chez les libéraux français...so 1940.
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Pour parler de décadence, il faudrait déjà fixer un étalon ou une toise morale plus précise que l'Europe ou la civilisation européenne pour en juger. Il faudrait qu'à un moment T, la civilisation soit considérée à son summum en fonction de tels ou tels critères pour ensuite pouvoir juger de sa déliquescence. On peut prendre l'exemple du déclin en politique à la lecture d'Aristote (qui après tout considérait comme Platon que cycliquement, comme tout phénomène humain, les régimes étaient voués au déclin et à l'extinction) : un régime droit, c'est une classe de dirigeants intègres et compétents et des citoyens soumis, courageux, le tout respectueux des lois. On peut imaginer que l'évolution du régime vers la ploutocratie au sommet et l'anomie sociale à la base, tout ça avec le mépris des lois et des moeurs communes en toile de fond correspond à une forme de déclin politique. Toute ressemblance avec un modèle social politique contemporain serait purement fortuit. Les libéraux ont aussi leurs propres critères d'évaluation de la croissance et du déclin, qui me semblent applicables à l'Europe : s'ils valorisent la croissance, l'innovation, l'amélioration des conditions matérielles par une économie efficace -c'est-à-dire par les institutions qui ont permis l'émergence et le développement du capitalisme en Occident- alors toutes les structures qui se sont développées pour en limiter ou pour encadrer sa progression peuvent être comprises comme des instruments de déclin. En d'autres termes, le libéralisme en Europe s'est épanoui pendant 70 ans avant la première guerre mondiale, les deux guerres suivantes, la création des Etats sociaux et l'abandon de l'étalon or peuvent être considérés comme une décadence. Plus récemment, la perte de compétitivité des Européens -essentiellement pour des raisons démographiques- au profit de l'Asie et de l'Inde peuvent aussi être dans ce cas perçus comme des signes de déclin (puisqu'elle transfert les avant postes de l'innovation et de la compétitivité en dehors des frontières occidentales). Ce qui est devant nous, avec le vieillissement de la population et l'évasion des élites vers des cieux plus cléments, c'est la décroissance tant attendue par nos zamis de la gauche de la gauche. Et ça ne sera pas rigolo, et il ne me semble pas trop fort au regard de l'histoire de parler de déclin (mais je positive, il est devant nous ! ).
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Oh c'est pareil dans mon bled. Oh wait... -
On peut aussi imaginer que l'ère des guerres conventionnelles est derrière nous, et que donc ce genre de moyens de défense, s'il reste en théorie possible, n'est plus adéquat pour répondre aux risques de conflits contemporains.
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+1 On a pas idée.
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Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Et dire qu'à l'origine ils étaient censés représenter les Britanniques. -
Popper se situe justement dans le sillage de Reid. Seulement les arguments qu'il pose dans la connaissance objective me semblent de l'ordre de la foi et de l'appel au "bon sens" contre les objections épistémologiques soulevées par l'idéalisme.En tout cas, ce qu'il dit ne me semble pas concluant (ce qui ne signifie pas que le réalisme est sans fondement). Oakeshott est effectivement connu pour un texte mineur "on being conservative" qui a un peu tendance à eclipser l'oeuvre de toute une vie. Son premier essai, qui date de 33, est un ouvrage de philosophie idéaliste intitulé "Experience and its Modes". Il présente sa propre théorie "holiste" de la connaissance et critique entre autre le pragmatisme comme l'empirisme naïf.
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Les villes flottantes : la dernière utopie des marxistes de droite
F. mas a répondu à un sujet de Lexington dans Politique, droit et questions de société
Je ne serais pas aussi catégorique. Je suis très sceptique concernant l'idée, mais c'est aussi le principe d'un laboratoire d'idées : on fait une kyrielle d'essais dont beaucoup n'aboutissent pas mais on peut imaginer que par la suite les libertariens qui se sont investis vont capitaliser de l'expérience, c'est à dire retenir et distinguer entre ce qui marche et ce qui ne marche pas. Il y a de la fraîcheur chez ces gens là qui est appréciable, même si j'ai tendance à penser que c'est voué à l'échec; -
Les villes flottantes : la dernière utopie des marxistes de droite
F. mas a répondu à un sujet de Lexington dans Politique, droit et questions de société
C'est aussi pour ça que je précisais seulement certains libertariens, car je me doute bien que tous ne font pas les mêmes erreurs. Je me doute aussi qui si des types comme Thiel mises un paquet de fric sur ces expériences, il a de fortes chances pour que les objections que je soulève aient été explorées. Jesrad : parmi les choix technologiques censés améliorer le sort de l'humanité, tu penses aussi à certains types de villes flottantes, ou alors de tout à fait autre chose ? -
La plupart du temps, ce genre d'étiquette vise essentiellement à créditer ou discréditer une thèse sans avoir à en discuter le contenu. Il occupe le même rôle dans la phrase que certains termes du lexique moral synonymes de "bon" ou de "mauvais" en fonction des intentions affichés du locuteur. Par exemple : "Je pense que réalisme est synonyme de Bien, X est bien, donc X est réaliste, contrairement à X qui est mal, et qui est donc synonyme d'idéalisme." On peut substituer aux termes réalisme et idéalisme ceux d'objectif et de subjectif par exemple, qui peut prendre un sens de rhétorique morale assez facilement pour le même but (qualifier moralement une assertion factuel en utilisant un lexique pseudo scientifique ou philosophique). En un sens plus philosophique, l'idéalisme se sépare du réalisme essentiellement en fonction du statut de la conscience de soi. Si pour le réaliste il existe un monde objectif en dehors de la conscience, l'idéaliste ne marque pas de différence et va jusqu'à remettre en cause la possibilité même d'évaluer un monde objectif en dehors de notre conscience (qui devient expérience chez les hégéliens), ce qui revient aussi à remettre en cause la catégorie objectivité/subjectivité. C'est Thomas Reid v. Berkeley en quelque sorte. Hegel, qui est quand le grand philosophe de l'idéalisme, ne fait de la conscience de soi qu'un moment dialectique vers la connaissance universel (le moment où se trouvera dépassé toutes les oppositions, particulière la conscience en soi et pour soi). A titre personnel, je m'intéresse beaucoup à l'idéalisme philosophique anglais (Braldley, Oakeshott, Collingwood), courant philosophique qui a mélangé le platonisme et l'hégélianisme sans reconduire nécessairement le scientisme de l'hégélianisme originel. Il s'agit du courant philosophique qui dominait les universités anglaises avant d'être chassé par la philosophie analytique (ses critiques les plus aigus demeurent les Moore et Russell des débuts).
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Les villes flottantes : la dernière utopie des marxistes de droite
F. mas a répondu à un sujet de Lexington dans Politique, droit et questions de société
Les problèmes soulevés par (v) me semblent les bons : il y a parfois de la naïveté chez certains défenseurs libertariens des villes flottantes. Ils imaginent qu'en expurgeant les mauvais éléments constitutifs des Etats et en les reconstruisant avec les bonnes personnes, ils élimineront les problèmes rencontrés dans les Etats traditionnels. En imaginant même que les projets contemporains "marchent" (c'est-à-dire retiennent des habitants productifs coordonnant leurs actions sans interférer arbitrairement dans la vie des uns et des autres), comment se conduira les générations suivantes ? Les concepteurs de tels projets se sont-ils par exemple cognés aux problèmes de rent seeking (de transformation d'opportunités de carrières et de postes en rente de situation, etc) ? -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
M'en parle pas ! c'est à cause de cette putain de mentalité que je dois organiser mes combats de clodos à la cave. -
Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
F. mas a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
un article passionnant sur la révolution industrielle du moyen âge et le rôle du monachisme http://lewrockwell.com/goodwin/goodwin36.1.html -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
tss -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Je crois que ma bière favorite -mais j'ai déjà dû le dire- c'est l'angélus (en plus ça vient de mon coin). http://www.langelus.fr/ -
Les Français, Ces Gros Brâleurs
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Politique, droit et questions de société
Moi j'adore la 33 export en tonneau (mais avec une paille)
