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Tout ce qui a été posté par F. mas
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désolé !
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Et c'est rien à côté de la cocaino-rap musique certifiée capitaliste du roi Heenok.
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C'est sans doute ce décalage "américano-centré" qui explique en grande partie l'insuccès de KS. Et peut-être aussi sa conversion à l'Islam. Pour la petite histoire sans intérêt (complètement branque mais vraie), j'ai croisé le spécimen entouré d'une demie douzaine de ses fanboys la veille de sa conversion dans un kebab du quartier latin, il y a quelques années de ça. Sinon, je me souviens d'avoir vu Malcolm X adolescent, et d'avoir préféré ça à "do the right thing".
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Quelle est la source d'inspiration de ces illettrés, sinon une fois encore l'Amérique ? Séba est un ancien de Nation of Islam, et prône comme ses glorieux prédécesseurs la séparation raciale. A noter que les années 60 furent prolixes en ce qui concerne les tentatives de rapprochements branquignolesques, notamment entre le nazi GL Rockwell et Nation of Islam. Mais bon, finalement, ça ne s'est pas fait (on se demande pourquoi, peut être parce que Malcolm X a menacé GLR de mort en cas de provocation contre le Dr King ?).
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Et chacun sait que quand le jazz est là, le jazz est là, la java s'en va, la java s'en va.
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Puisque ce fil est dédié au racisme, ceux qui suivent un peu la politique intérieure des Etats-Unis ont peut être repéré cette information qui vaut son pesant de cacahuètes post-modernes. L'un des deux candidats au Congrès pour New York est un suprémaciste noir qui a reçu le soutien du suprémaciste blanc -ancien grand magicien du KKK et ancien représentant républicain en Louisiane- David Duke. Les deux sont d'accord pour dénoncer dans leur adversaire un représentant du sionisme international, de la banque juive et tout et tout. http://www.commentarymagazine.com/2012/06/21/israel-haters-david-duke-endorses-charles-barro/
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Les collectifs interventionnistes
F. mas a répondu à un sujet de Cognac dans Politique, droit et questions de société
Le gouvernement, ça compte comme un collectif, non ? Sinon, dans le genre vieux truc en perte de vitesse, il y a attac et les amis du monde diplo. -
un peu comme tout le monde, quoi.
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ça se fait dans certains ministères. Enfin, ça se faisait sous Sarko. Je me souviens avoir postulé pour un truc un peu dans l'esprit au ministère des affaires étrangères.
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Actions violentes anti-fisc en Italie
F. mas a répondu à un sujet de Gio dans Europe et international
http://poucetchristian.sitego.fr/ -
Je n'arrive plus à mettre la main dessus. Plus long, tu peux essayer le documentaire arte de Pierre Péan (plus long, plus édulcoré pour éviter les éventuels procès, et qui se noie un peu dans les détails), si toutefois tu arrives à mettre de côté le ton gauchiste, onctueux et complotiste de la présentatrice. edit : je crois que je viens de les retrouver :
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Je crois que c'est le principal obstacle au scandale : c'est compliqué et toutes les implications ne peuvent pas être comprises en 5 min. Je me suis moi-même intéressé au truc totalement par hasard, en visionnant un documentaire de trois fois 30-40 minutes sur le sujet qu'un ami m'avait envoyé. Je n'ai pas été déçu du voyage
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hourrah, trois fois hourrah ! Tous les politiciens qui se présentent aux élections devraient être aussi morts et pertinents que l'ami Frédéric. http://www.youtube.com/watch?v=8LQfRXalvHQ
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L'affaire de Karachi est une vraie grosse affaire d'Etat avec des morts à tous les étages, et pas mal d'ingénieurs français dans le lot. La mollesse des réactions sur le sujet me sidère, à croire que la trop grande connivence entre politiques et journalistes relativise l'importance d'une affaire d'Etat qui rend pourtant toutes les précédentes (Urba, Péchiney, Boulin, Oustric, Stavisky, Panama, etc.) assez ridicules.
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Ne te rase pas.
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Je suis tout prêt à croire que l'ambiance bon enfant est plus répandue dans les fêtes plus traditionnelles et plus spontanées, que ce soit les fêtes de Bayonne ou le carnaval de Binche (protégez vos carreaux!). Il y a un côté nihiliste dans la fête de la musique qui m'est particulièrement désagréable, un peu comme quand on prend le dernier métro à Paris un samedi soir : on voit erré une multitude de jeunes gens la mine déconfite et la bouteille à la main, qui se sentent obliger d'être con, vulgaire et totalement décompo pour faire dans le coup. Et un gamin avec une bouteille de vodka qui rit comme un phoque pris de hoquet au milieu des détritus, c'est pas plus beau qu'un punk à chien avec un litron de rouge qui comate dans l'égout.
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Tu ne crois pas si bien dire : je ne sais pas si tu as suivi, mais dans un autre post, j'avais parlé d'une soirée d'ingés (très sympas au demeurant) qui n'arrêtaient pas de parler de geekeries dans le genre. Eh bien ils ont créé une chorale sur ce thème pour la fête de la musique.
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Ça dépend vraiment, je me souviens avoir entendu de bons groupes il y a quelques années quand je m'étais aventuré dans le quartier latin pour l'occasion (à l'invitation d'amis je précise : je suis naturellement plutôt agoraphobe, il me faut donc de sérieuses motivations pour affronter ce genre de foules). Mais le tout est noyé dans la masse, et un connard avec un djembé sera mis sur le même plan qu'un groupe pop amateur mais jouant aux standards pro. Et Ça sur des kilomètres, entrecoupé de vendeurs de merguez et entouré d'une foule compacte.
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Disons qu'il faut non seulement aimer la promiscuité avec la multitude et les rues dégueulasses comme dans un certain nombre de fêtes susmentionnées, mais qu'en plus, on est obligé de faire l'expérience de la dissonance permanente. La juxtaposition de groupes aux talents et styles assez inégaux entre eux donne un bruit assourdissant qu'il est impossible de ne pas entendre. Philippe Muray parlait du caractère totalitaire de ce genre de fête à la con qu'il résumait en reprenant un des slogans d'une de ces manifestations festives que le monde entier nous envie : "si tu viens pas à la fête, la fête viendra à toi". Oui, la braderie de Lille, encore une occasion pour moi de ne pas sortir (quand je suis dans le coin). Et tu ne me verras jamais au carnaval de Dunkerque non plus.
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oui et ?
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Il y a ça, le brouhaha permanent, le mélange des genres pas très heureux, et la meute de gens bourrés dès 8h du soir. Il faut aimer les rues dégueulasses, le bruit permanent, les cons déchirés partout, et l'ambiance débilitante de kermesse.
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Me suis interrompu ce week end dans la lecture de Perelman pour lire "L'élite au pouvoir" de CW Mills et "Ethics: Inventing right and Wrong" de J. Mackie. Le premier ouvrage a été écrit par un figure de l'extrême gauche universitaire américaine des années 60, et cherche à rendre compte sociologiquement de ce qu'est l'élite politique (et accessoirement financière) en règle général tout en partant de l'exemple particulier des Etats-Unis. Je lis ça comme un bon complément à "la révolte des élites" de C. Lasch et à "After Liberalism, Mass democracy in Managerial State", de P. Gottfried. Et aussi un moyen de compléter les trous contenus dans les livres d'Yvan Blot sur la question. Comme l'auteur est américain, il prend soin de distinguer crony capitalism et capitalisme de petits propriétaires, et critique les thèses de la "révolution managériale" en politique et de "l'équilibre démocratique des groupes d'intérêts" très en vogue dans les années 60 (les décisions du sommet étant désormais impulsé par des groupes d'intérêts concurrents, leur compétition empêcherait que la constitution d'un monopole du pouvoir par une seule clique). Le deuxième ouvrage plaira aux relativistes, aux sceptiques et autres freaks car il s'agit d'une critique subjectiviste et sceptique de l'idée d'objectivité en morale, d'un point de vue qui s'alimente des positions de Protagoras, Hobbes et Hume. C'est un ouvrage assez classique en philo morale anglo-américaine (bien que l'auteur soit australien). http://www.contretemps.eu/fr/lectures/bonnes-feuilles-l%C3%A9lite-pouvoir-charles-wright-mills-2 http://www.amazon.com/Ethics-Inventing-J-L-Mackie/dp/0140135588