Sloonz

SAO ?

RewriteEngine on RewriteCond %{QUERY_STRING} ^\??page=([^&]+)$ RewriteRule wiki/index\.php wiki/%1 [R=301,QSD,L] (dé mémoire & non testé, j’ai plus d’apache sous la main)

1er avril non ?

Je ne comprend pas cet engouement pour le beurre (non clarifié). Son point de fumée très bas (130° selon wikipedia) ne vous pose pas de problèmes ?

De la charcuterie.

Perdu, c’est milliard http://www.space.com/32337-first-supernova-shock-wave-imaged-by-kepler.html

Le livret A est à moins de 1% maintenant…

Houla, t’emballe pas aussi vite, c’était juste par curiosité sur quel genre d’exercice pouvait être fait en 30m le matin Merci pour les liens.

Un petit lien ?

Merci mais non merci (et je suis loin d’être un expert du sujet, j’ai juste eu à faire la même chose il y a pas longtemps, sur une échelle moindre (3 applications, pas 15, et il y avait déjà une base d’utilisateurs AD derrière))

Grosso-modo SAML a gagné bataille du SSO. L’implémentation que tu choisis derrière, ça dépend surtout de ton environnement. Si tu veux faire fournisseur d’identité en te calant sur une base AD, le mieux ça reste ADFS. Si tu es dans un environnement majoritairement LAMP, simplesamlphp est assez complet. Si tu es dans un environnement plutôt Java, j’irai plutôt effectivement voir du côté de Shibboleth.

Dans la théorie de la valeur de Bastiat par exemple, un terrain complètement en friche (= sans travail « incorporé ») devrait s’échanger pour rien.

https://en.wikipedia.org/wiki/Eric_S._Raymond

C’est un peu le principe de la contumace.

Ma bibliothèque préférée n’est pas dans les choix du test :

Le problème de la théorie Newtonienne de la gravitation, c’est que c’est une action instantanée à distance. Or l’équation d’onde relie spécifiquement la variation temporelle de l’onde, sa variation spatiale, et… sa vitesse. Mais l’interaction gravitationnelle n’a pas de vitesse dans la théorie de Newton (ou bien une vitesse instantanée, mais ça marche tout aussi mal dans les équations).

Bon, me semble qu’il y en a quelques uns qui touchent un peu dans tout ce qui est web dans le coin. C’est quelque chose qui me manque, je commence à m’y mettre, mais il y a une question qui me semble hyper-basique mais à laquelle je n’arrive pas à trouver de réponse qui me satisfasse. Prenons une appli en trois colonnes. Exemple typique, un client mail (colonne de gauche : dossiers ; milieu : liste mails ; droite : lecture du mail). Ça c’est la version desktop. La version mobile ce serait trois écrans avec une navigation entre eux. La question qui me taraude donc c’est : il y a moyen de faire proprement une telle appli avec le même code pour mobile et desktop ? Les quelques réponses que je vois, c’est du genre « faut que tu fasses 2 sets de templates, une version mobile, une version pour chaque, et 2 sets de route ». Me semblait pourtant que tout le buzz autour du « responsive », c’était justement d’avoir des frameworks JS/CSS qui font le gros de ce boulot à ma place, non ?

Tu viens de résoudre le mystère de la cravate de Dilbert !

Tiens oui d’ailleurs, quelqu’un sait ce qui s’est passé ces dernières semaines en fait ? J’ai rien vu qui fasse les gros titres sur Google News, mais la plupart des OPCVM de ma banque ont pris cher (oblig comme actions). Faut voir le bon côté des choses : ça fait un bon point d’entrée

Pur artéfact graphique du fait que l’auteur ait décidé que la courbe devait passer par tous les points.

Le FBI n’est pas supposé être une police secrète.

Pour ceux que ça intéresse, il y a un cours de microéconomie (néoclassique) assez accessible en ce moment sur EdX.

L’expérience de pensée de la chambre chinoise a pour objectif de critiquer le point de vue que le test de Turing serait un test pertinent pour décider de la conscience ou non d’une entité. L’argument c’est qu’un dictionnaire de questions-réponses passerait le test de turing, tout en étant « intuitivement » trivialement non-conscient. L’argument de la chambre chinoise n’aborde jamais la question du mécanisme exact du dictionnaire. Et c’est intéressant que tu en parles, parce que c’est précisément là qu’est le talon d’achille de cette expérience de pensée. L’idée de base de la chambre chinoise, c’est que le dictionnaire n’est qu’un ensemble de couples (question, réponse). Il suffit de réfléchir 5 secondes pour voir que ce design ne passera jamais le test de turing : prend 5 potes avec toi, qui seront les interlocuteurs A1, A2... A5 ; tu es B. B pose une question à A1 (sans que A2-A5 ne soient au courant de l’échange), A1 lui répond, B lui compose une réponse mais l’envoie à A2 (qui a connaissance juste de la réponse de B, pas du reste de l’échange), ce qui donne un échange de type B-A1-B-A2-B-A3-B-A4-B-A5-B-A1-B-A2. Si on regarde ça comme un test de turing entre B et A, il y a peu de chances que A passe le test. Le dictionnaire se complexifie pas mal ; il ne doit pas seulement faire une association question-réponse, il doit encoder des conversations complètes. Si tu ne places pas de limite sur la longueur d’une conversation, ton dictionnaire aura un nombre infini indénombrable d’entrées. Mettons que tu souhaites limiter chaque conversation à 50 échanges ; qu’une phrase fasse en moyenne 100 caractères dans un alphabet à 10 symboles ; ça veut dire que ton dictionnaire contiendra (à la très grosse louche) 10⁵⁰⁰⁰ entrées. Pour info, on estime à environ 10⁸⁰ le nombre d’atomes dans l’univers. Donc au final, pour que la chambre chinoise puisse fonctionner, cela signifie que le système derrière doit être assez « intelligent » et sophistiqué pour pouvoir trouver la localisation précise d’une phrase dans une bibliothèque (beaucoup beaucoup) beaucoup plus grande que l’univers observable, et chercher la réponse pour la donner à l’utilisateur. Postuler gratuitement la possibilité d’existence d’un système capable de répondre à ces exigences tout en étant dénué intelligent, ça me semble pour le moins hardi.