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Tout ce qui a été posté par Lancelot
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Ben c'est quand même assez con de dire ça. Si un gars fait une crise d'appendicite tu diras "la chirurgie n'a aucune valeur thérapeutique, ici on essaie de soigner des gens" ? Ça ne l'est pas mais tu ne présentes pas une version très charitable de la psychiatrie non plus donc je remets l'église au milieu du village. C'est la partie en gras que je conteste. Ce n'est pas plus ou moins important que le reste, en vérité c'est plutôt moins important que l'aspect physiologique selon le danger qu'il représente. Si tu as un bras nécrosé on commence par amputer et on s'occupe des séquelles (mentales et otherwise) plus tard. Peut-être qu'on découvrira des raisons profondes à ce qui est arrivé à ton bras parce que tu as négligé une étape du stade anal ou que sais-je, mais... plus tard. (encore une fois désolé si je suis d'humeur un peu trollesque aujourd'hui, mais c'est bien entendu pertinent de s'intéresser au fonctionnement mental d'un patient et quels sont les compromis internes qui font qu'il se retrouve à un moment donné dans un équilibre où il dépend de l'alcool ou de la scarification ou autre pour continuer à vivre)
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Et quand le pourquoi est physiologique... Tu comprends bien que je te taquine un peu parce que le discours que tu tiens est un grand classique des psy qui, en partant d'une critique valable de la tendance à médicaliser/médicamenter à outrance (par exemple quand des gamins se font diagnostiquer hyperactifs et gaver à la ritaline), se retrouvent dans l'excès inverse à faire de grandes phrases sur l'anti-psychiatrie et il faut traiter les causes et pas les symptômes et les mystères de la psychée et gnagnagna. Je me demande juste si on ne pourrait pas avoir une perspective similaire à n'importe quelle autre type de maladie où on a des aspects physiologiques à traiter (que ce soit un bras cassé, du diabète, un syndrome neurodégénératif...) et aussi des aspects plus mentaux (rééducation, prévention, remédiation, travail sur soi... psychanalyse si ça te fait plaisir). Différence de degré peut-être.
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Pitié...
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Ok donc je note, les sdf on s'en fout ils sont trop pauvres pour un psy Ce n'est pas très différent de n'importe quelle autre action au final, donc. Je ne vois pas ce qui t'empêche de faire les deux. Si tu as n'importe quelle maladie chronique tu peux aussi t'amuser à dire que tu es dépendant de tes médicaments (d'ailleurs je me souviens de l'angoisse d'un ami à l'idée que désormais il serait obligé de prendre tel médicament régulièrement pour survivre) mais ça n'avance pas à grand chose. À côté de ça tu peux aussi avoir des thérapies pour apprendre à mieux vivre avec la maladie ou en limiter les effets et c'est très bien.
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C'est parce que tu ne vois pas le vrai objectif, qui n'est pas de ne pas se faire attraper mais de ne pas susciter de soupçon sur le fait qu'il y a eu assassinat. Au contraire un gars qui meurt et on n'attrape aucun responsable c'est très suspicieux.
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Je pense que tu vas rapidement trouver une limite à ce modèle de fonctionnement si tu parles des mêmes sdf que plus haut. Pourquoi pas ? Après on peut s'interroger sur ce qui fait qu'il trouve ça chouette de se taillader (ou du moins préférable à ne pas se taillader). Tant que tu t'occupes de la chimie qui déconne à un moment donné...
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Dans mon hypothèse c'est un assassin pro donc Et l'intérêt du coup de couteau lors d'une altercation c'est que c'est une histoire plus facile à vendre qu'un tir de sniper dans la tête.
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Peut-être que je regarde trop Breaking Bad mais ça ressemble à un hitjob (surtout si on prend en compte la précédente tentative d'homicide).
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Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Lancelot a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Je dirais que la Belgariade est plus accessible (mais les deux sont très bien pour débuter, de la fantasy bien ficelée, simple et efficace, pas trop edgy ou bizarre). Et effectivement l'univers de Feist est plus vaste avec pas uniquement la trilogie de l'empire (qui est ma partie préférée mais pas la meilleurs porte d'entrée) mais littéralement des dizaines de bouquins qui s'étendent sur plusieurs générations. Mais l'histoire de la guerre de la faille se suffit à elle-même donc pas de soucis. -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Lancelot a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Mon avis d'adolescent : le premier tome est exceptionnel, la fin est médiocre. -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Lancelot a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Ça dépend de sa tolérance aux gros bouquins. Si on évacue l'habituel Harry Potter je dirais la Belgariade de David Eddings ou la guerre de la faille de Raymond E Feist pour des trucs "entry level". -
(je me permets de répondre pour préciser parce que ce n'est pas une discussion sur l'avortement en soi) L'idée est de s'interroger sur la limite de ce qu'est la naissance. Est-ce que l'accouchement est considéré comme terminé quand on coupe le cordon ? Quand l'enfant est complètement sorti (dans ce cas on peut s'arranger en rapprochant le mixer) ? Quand l'enfant a commencé à sortir ?
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Une femme qui décide d'accoucher accroupie au dessus d'un mixeur. Pour prendre au mot "avortement jusqu'à la naissance".
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Guerre civile culture, IDW, SJW & co
Lancelot a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Alors les futur sportifs pro par exemple je pense qu'ils sont plutôt en sport-étude dans un lycée bien cossu que dans le lycée autonome. Pareil pour les futurs artistes qui sont au conservatoire ou équivalent. Les artisans gagneront des années à partir directement en apprentissage (où de la discipline il y en aura plein) à la place, comme indiqué par @Bézoukhov. Si ton point est que ça peut être préférable pour certains élèves dans certaines situations oui sans doute. Est-ce que ce serait préférable qu'ils ne se fassent pas aussi laver le cerveau au passage, oui sans doute. -
Il y a très peu de gens à mon avis qui supportent le fait de n'avoir aucune restriction à l'avortement. Je peux inventer un exemple nanardesque en cas de besoin.
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Législatives 2022
Lancelot a répondu à un sujet de Freezbee dans Politique, droit et questions de société
Oui ce n'est pas plus la peine de s'amuser à se faire peur avec l'extrême gauche qu'avec l'extrême droite. Le covid nous a démontré que si la merde doit arriver elle arrivera de toute manière, même et surtout par le centre. -
Les 10/15 meilleurs essais non politiques
Lancelot a répondu à un sujet de Punu dans Lectures et culture
Blague à part j'aime l'élitisme de ce thread qui part du principe que tout le monde a lu assez d'essais non politiques pour en avoir 10/15 préférés, comme ça, à brûle pourpoint. C'est vraiment du liborg old school. -
Guerre civile culture, IDW, SJW & co
Lancelot a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
D'ailleurs c'est con que ça soit devenu connoté à cause de ces conneries parce que c'est bien pratique le "they" dans le sens "la personne dont je parle est anonyme et je ne connais pas/ne peux pas divulguer ses informations personnelles". Je ne sais pas à quel point la situation arrive dans la vie courante mais dans mon boulot c'est fréquent. -
À quelques lettres près ce thread s'appellerait "shower thots" et le contenu serait bien différent.
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What do you mean, "yes"? I mean "yes".
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Pour moi ça fait un peu partie de la blague d'imaginer la gueule du groupe à chaque fois que leur morceau anti-trump est utilisé complètement à contresens
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École & éducation : Le temps des secrets
Lancelot a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Politique, droit et questions de société
Je ferais la même remarque que je fais à chaque fois : on part toujours perdant quand on veut appliquer le même modèle à tous les gamins. Et ce n'est même pas qu'une question d'environnement social ou de parents derrière, il y a juste des différences de caractères et de capacités (les meilleurs trouveront toujours le moyen de s'en sortir quelque soit le système parce qu'il sont assez bons pour encaisser la médiocrité et aller au delà). -
Notez que dans le cadre de la conversation je parlais uniquement du rôle des philosophes lorsqu'ils travaillent avec des scientifiques.
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Les philosophes quand ils font leur boulot correctement permettent justement de recentrer la discussion vers des questions fondamentales et productives : ok tu essaies de prouver que X et pas Y, mais qu'est-ce que X et Y signifient exactement ? Qu'est-ce qu'ils impliquent (par exemple par rapport à ce qui est communément accepté dans le domaine) ? Qu'est-ce qu'impliqueraient non-X et non-Y ? Quel est le degré de recouvrement de non-X et Y, de X et non-Y ? Est-ce qu'il existe une autre solution possible Z, sinon est-ce qu'on peut en imaginer une ? Bien sûr il y a aussi l'option casse-couille "Kant a un jour écrit un truc qui peut être interprété comme allant contre X comme j'interprète X donc X n'est pas possible merci bisou".
