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Hank Rearden

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Tout ce qui a été posté par Hank Rearden

  1. -baisser ses apports de sucres rapides, d'alcool et de graisses afin de baisser ses apports caloriques, -garder de bons apports protéiques pour éviter la perte de masse maigre et sucres lents pour continuer à faire tourner la machine, -charger en fibres (fruits et legumes), ça fait du bol alimentaire relativement pauvres en calories et ça évite d'avoir faim (rien ne coupe mieux la faim qu'une grosse pomme et c'est 60 Cal, peanuts donc et en plus c'est bourré de pectines anticholestérol), -augmenter son activité physique (activité de fond pour la dépense calorique et muscu ou activité plus fractionnée pour éviter la perte de masse maigre) pour augmenter ses dépenses. Le top c'est la natation, en décharge, ça évite de foutre en l'air ses articulations quand on a un surpoids assez important (sauf à ne pas vouloir se montrer en public sinon marche à pied puis course quand on a déjà perdu du gras) et cela sollicite la quasi totalité des muscles, -le tout sans interdit strict et dans des proportions raisonnables pour ne pas se dégoûter, -et en essayant de changer durablement ses habitudes alimentaires et activités physiques pour éviter le yoyo. Biensur, ça, tout le monde le sait et c'est plus facile à écrire qu'à faire.
  2. On peut, a priori, conclure que la relation entre la perte de poids et la restriction calorique n'est pas une relation linéaire et proportionnelle et que ceci est particulièrement vrai pour une restriction calorique faible (5% du bol alimentaire à volonté). Cependant on peut emettre quelques critiques: -que se passe-t-il après 4 semaines de ce régime ? Cette prise de poids est -elle temporaire? Est-ce un mécanisme tampon protégeant le corps d'une restriction calorique ? L'article l'évoque (réponse au stress de la baisse d'apport) -une différence fondamentale n'a pas été annulée et est un biais significatif: la différence de comportement alimentaire induite entre les deux groupes par la restriction (groupe à volonté ingestion plus régulière sur 24h au contraire du groupe mild CR). Quel est donc l'effet prédominant à la prise de poids: le réduction de 5% des calories apportées ou ce changement de comportement alimentaire ? L'étude ne répond pas. On peut aussi remarquer que les auteurs eux-mêmes commencent leur article en relevant que pour des restrictions alimentaires supérieures (30 à 60%), l'effet est celui d'une perte de masse. Au total, ça me parait assez peu contributif en terme de régime alimentaire (sur des besoins basiques de 2500 Cal/jour pour un homme, une restrictition de 5% correspond à 125 Cal, soit un quart de Big MAc ou une bière ou un apéro ou le tiers d'un mars, etc..c'est pas un régime ça!!). Par contre, c'est surement utile dans la compréhension des métabolismes et pour moi, cela ressemble fort à la mise en évidence d'un effet tampon contribuant à la conservation corporelle temporaire malgré la restriction, un stockage métabolique avant la disette qui s'annonce.
  3. Pour perdre du poids, il n'y a pas 36 solutions: soit augmenter les sorties, soit réduire les entrées.
  4. Poney a raison. Un bilan nutritif c'est comme un bilan comptable; les colonnes "entrées" et "sorties" doivent être égales. Par contre, le métabolisme de chacun n'est pas le même. Un métabolisme élévé est compatible avec une alimentation riche, une absence d'activité sportive et une absence de prix de poids.
  5. Et une corde au cou…
  6. L'Allemagne augmente ses salaires (métallurgie, chimie) à un taux supérieur à l'inflation dans une période ou ses clients et partenaires européens vont très mal… Pour un pays qui craint l'inflation, c'est pas un peu bizarre? Quand on pense que ça va tourner à l'inflation, c'est ce qu'il faut faire: permettre à sa population d'être la première à consommer avant les autres, avant que le pouvoir de la monnaie ne se dilue.
  7. Vivement la deuxième étape, qu'on se marre un peu.
  8. L'exigence de résultat en médecine ne tend à exister pour l'instant que dans un seul domaine: la chirurgie et médecine esthétique où il me parait assez légitime. Passer pour les autres domaines de la médecine de l'exigence de moyen à l'exigence de résultat, c'est un chemin dangereux qui risque de mener aux dérives que j'évoquais plus haut d'autant plus qu'il vient s'appliquer à un domaine déjà particulièrement "légalisé" qu'est l'obstétrique. Les gynéco (avec les anesthésistes) sont parmi les spécialités qui paient déjà les plus lourdes primes d'assurance en responsabilité professionnelle. A un médecin qui pratique une IVG, on peut demander uniquement à ce que la mise en oeuvre des moyens soit suffisante et non pas l'exigence d'une absence de complication (c'est ça l'exigence de résultat) même si le cas dont nous discutons est inhabituel puisque la complication n'en est pas une et que l'enfant qui est né est normal.
  9. Les boulettes, les emmerds et les complications, ça peut arriver et ça arrive même quand tout a été bien fait, nickel chrome. Qu'est ce qui a été sanctionné ici: -l'absence de moyen post-op ? S'il s'agit de cela, on ne peut pas condamner un médecin pour n'avoir pas mis en oeuvre les moyens de détection systématique d'une complication exceptionnelle (d'ailleurs dans le cas présent, il ne s'agit même pas d'une complication au sens médical mais d'un état physiologique particulier de la femme). De plus, quel est l'interet de l'écho de contrôle systématique (en dehors de manifestations cliniques faisant présager une complication, saignement abondant, fièvre, pertes etc) après une IVG chirurgicale (manuelle par aspiration) et non médicamenteuse dont les suites sont normales? il est très faible…. d'ailleurs l'aspect echo de la cavité utérine après une IVG chirurgicale est peu didactique (beaucoup de faux positifs d'image de rétention de matériel) -ou l'absence de résultat? Si tel est le cas, ce qui semble vraisemblable, c'est faire de la médecine, au bout du compte, soit un truc inabordable en terme de prix, soit un truc strictement étatisé (ce dernier cas est assez bien représentatif de la dérive française actuelle où certains médecins se délestent d'interventions à risque médico-légal important vers les CHU non pas parce qu'ils ne sont pas capables de faire l'acte mais parce que le risque personnel médico-légal encouru est trop important alors qu'il est bien moins important dans les structures publiques). Si j'étais gynéco et que j'exerçais en Espagne, pour moi ce serait: "les iVG c'est terminé, je n'en fais plus" (sans tenir compte de l'aspect ethique de l'ivg, mais simplement du problème technique et médico-légal). C'est sur, ce type de condamnation crétine, ça fait avancer les choses, ça responsabilise les médecins et surtout, au bout du compte, cela restreint l'accés aux soins. Il y a ce qu'on voit…etc.
  10. + 1, voilà, le médecin refuse ce dont il ne peut accepter de prendre la responsabilté. Si une personne demande de se faire amputer du bras sans raison médicale, pourquoi le médecin devrait accepter d'en prendre la responsabilité ?
  11. Les techniques d'avortement par aspiration sont succeptibles d'échec dans moins de 1 % des cas cependant, il peut arriver ce type d'échec rarissime même si la technique a été bien conduite. On peut bien sur penser que le médecin devrait avoir une obligation de résultat comme cela a été manifestement jugé pour ce cas en Espagne. Mais le jour où ce type de jurisprudence, d'obligation au résultat sera générale, il n'y aura simplement plus de médecin pour prendre la responsabilité d'un acte sauf à des prix clairement prohibitifs permettant de couvrir un risque légal devenu majeur et excessif (ou alors ils devront être fonctionnaires couverts par la responsabilité d'un état qui assurera l'indemnisation des demandeurs).
  12. Et oui, il y a toujours, selon l'époque, des racismes dont on s'accomode mieux que d'autres. C'est assez fascinant, d'ailleurs, de trouver chez ceux qui prétendent se défendre de toute discrimination au nom de l'humanisme ("l'humain d'abord"…), un racisme de classe particulièrement enchassé dans leurs esprits.
  13. C'est très intéressant de voir qu'on peut juger qu'il y aurait un préjudice à naître même si on nait tout à fait sain et normal. Jusqu'ici et en France (cocorico) on avait jugé qu'il pouvait y avoir un préjudice à naître en cas de pathologie grave (arrêt Perruche) mais là, c'est le pompom, on peut naître sain et attaquer le médecin sous prétexte qu'on est né!!! Sinon, le stérilet est bien une méthode abortive qui empêche la nidation de l'oeuf dans l'utérus sans empêcher la fécondation.
  14. C'est justement cette image que je cherchais mais sans pouvoir la trouver, j'ai posté l'image d'une bitte toute simple
  15. 1929, la crise (suspension de la convertibilité dollar-or en 1933 après la crise de 1929 et dévaluation du dollar) et en 1971, fin de la convertibilité du dollar en or (accords de brettonwoods)
  16. ou bien un physique à coucher et un nom quelconque
  17. Quand une banque (centrale ou non) crée un ligne de crédit de 100 euros, c'est seulement 100 euros qui sont "détruits" avec le remboursement de ce crédit, pas 101. C'est tout.
  18. Petit rappel L'exposition des pays européens à la dette de leurs voisins.
  19. C'est faux. La masse monétaire finale (après remboursement des prêts particulier-banque et banque-banque centrale) est exactement la même que l'initiale (sinon le bilan comptable de la banque centrale n'est pas équilibré, les sorties ne sont pas égales aux entrées). La banque centrale n'a aucune raison de détruire l'euro qu'elle a gagné et qui ne fait pas partie de la ligne de crédit de 100 euros créée initialement. Dans le remboursement d'un crédit, seule la ligne de crédit initialement créée est détruite avec le remboursement de celui-ci. Si votre raisonnement était cohérent, la question que je poserais est: "pourquoi, à l'instar de la banque centrale, la banque X ne détruit pas elle aussi les 3 euros qu'elle a gagnés?" ou "pourquoi la banque centrale détruit l'euro qu'elle a gagné alors que les autres banques privées ne le font pas ?" Seule la répartition des 4 euros d'intêrets a été modifiée, de la poche du débiteur vers celles de ses deux créanciers direct (la banque privée) et indirect (la banque centrale). Si le système de banque centrale entraine l'endettement privé ou étatique, et de nombreuses bulles, c'est justement en créant trop de monnaie par une politique inflationniste qui, initialement, est conduite et voulue comme un booster de croissance mais qui fait de la croissance un peu trop artificielle parfois. C'est ce qui a conduit aux "subprimes" suite à la politique inflationniste par des taux bas ( argent peu cher) de Greenspan. Et puis, si les banques centrales avaient une politique déflationniste par destruction de la monnaie comme vous le dites, ça se saurait.
  20. Je pense que le jeunisme actuel du PS et du président n'ont rien à voir, pour une fois, avec une quelconque propagande mais que tout cela est bien plus pragmatique. 1-l'état est très endetté. 2-une des possibilités de désendettement est la mobilisation de l'épargne des français et leur expropriation par l'impôt ou l'inflation. 3-l'épargne des français est détenue majoritairement par les seniors, qui votent majoritairement à droite d'ailleurs. 4- d'où le discours jeuniste qui dit "il faut faire plus pour la jeunesse" là où il faut entendre : c'est les vieux qui vont morfler" et au final, un discours qui fait de la justice (sociale bien entendu) et de la jeunesse, les deux mamelles du programme présidentiel.
  21. Ouais, comme dit Rocou, faudrait un peu developper et argumenter parce que ce type de raisonnement mène tout droit à la nécessité d'un état fort, coercitif et autoritaire pour certaines peuplades comme les français (dont on peut d'ailleurs s'étonner qu'ils puissent former un groupe homogène au comportement prévisible) qui seraient violents et belliqueux par opposition aux suisses, pacifistes et non-violents.
  22. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre. Dans un monde libéral, si on décide de vivre dans une minarchie où l'autorité étatique, aussi minimale soit-elle, est désignée de façon démocratique, il faut accepter les règles démocratiques de dictature de la majorité. Si on n'est pas d'accord, on rejoint au plus vite les territoires anarco-capitalistes ou le système minarchiste de son choix. Comment le groupe est arrivé à cette taille ?
  23. Ministère du redressement productif, c'est un truc érectile, le nom d'un sextoy socialiste ?
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