Aller au contenu

Calembredaine

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    16 655
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    14

Tout ce qui a été posté par Calembredaine

  1. Bon, la retape pour des politocards à deux balles, ça va un moment, hein?
  2. J'ai créé un groupe Libertariens sur Waze. Tous les Wasers peuvent s'y inscrire
  3. Calembredaine

    Blog ou autre ?

    Le retour de Schnappi!
  4. Importance extrême.
  5. Dehors les stagiaires, zou! Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire, c'est le monde à l'envers, elles ne sont pas là pour apprendre peut-être?
  6. Retrouver? Ben si Apple n'a pas tes morceaux, il prend les tiens iTunes upload tes morceaux avec leur jaquette. Message aux idiots qui laisse entendre que iTunes Match est une grande lessiveuse permettant de blanchir des morceaux d'origine douteuse: d'une part, qu'un morceau illégal soit sur un disque A ou un disque B cela ne change rien à son origine douteuse et d'autre part, bien qu'Apple n'applique pas de DRM, le nom de l'abonné à iTunes Match est inscrit dans chaque morceau, y compris les siens Sinon, je suis en train de tester, ça fonctionne très bien. Je suis en outre très content de pouvoir retrouver toute ma discothèque sur l'AppleTV 2 sans avoir à laisser mon ordi allumé. Pas compris.
  7. Ce matin je me suis abonné à iTunes Match. La moitié de mes 20 go de musique n'était pas présente dans la base Apple C'est toujours en cours d'upload. Moi qui espérait récupérer des versions correctes de mes vinyle et K7 mal numérisé, j'en suis pour mes frais M'enfin bon, c'est quand même pas mal de disposer de toute sa discothèque partout.
  8. Calembredaine

    Immobilier

    Mais quel troll celui là! Quand allez-vous enfin nous dire quel est votre vrai pseudo? Je trouve que la plaisanterie a assez duré
  9. Calembredaine

    Immobilier

    Personne ne parle de la pauvreté des italiens, sauf les crétins. Ce qui est en cause c'est la gestion de l'Etat italien. Cela n'a donc rien à voir. Ce qui rassure le fisc italien mais certainement pas les investisseurs (ie le "marché")
  10. J'en ai acheté une paire quand j'étais étudiant et fauché. Elles ont tenu 3 mois. Je m'en souviens encore tellement j'étais dégouté. Plus jamais de la crotte.
  11. Calembredaine

    PC ou MAC ?

    Visiblement, il y a bien longtemps que tu as vu un mac. Pour info, la touche "pomme" n'existe plus. Le "magic trackpad" est génial. On devient incroyablement plus rapide, les "gestures" rendent le système très confortable. Mais je crois que le fait d'être habitué à l'iPhone m'a bien aidé à me passer de souris.
  12. Calembredaine

    PC ou MAC ?

    Certains s'imaginent être des "rebelles" qui résistent à la boboïsation dont le héraut le plus représentatif serait Apple. D'autres, touchés par la grâce, ont découvert la Voie: ils utilisent ce qui offre le meilleur rapport qualité/prix sans se préoccuper du "qu'en dira-t-on".
  13. Calembredaine

    PC ou MAC ?

    Sarkozy est libéral.
  14. Calembredaine

    PC ou MAC ?

    C'est quoi l'intérêt? Ya des blaireaux pour penser que Linux est supérieur à BSD?
  15. Mais tu n'as pas compris, c'est l'industrie qui compte, L'INDUSTRIE! Le reste c'est du caca, on s'en fout de tes ingénieurs SAP ou de tes maçons.
  16. Je ne sais pas qui se cache derrière le pseudo de Roger mais très honnêtement, ça n'est plus drôle du tout.
  17. Tout ceci comment à être vieux mais je ne résiste pas. Cela dit, il me semble impératif d'établir une parité; si quelqu'un possède la même chose concernant les clowns dits de droite, je prends. Le 22 février 1992, l'ancien maire PS d'Angoulême, Jean-Michel Boucheron, est poursuivi pour corruption, complicité d'abus de biens sociaux et ingérence. Il a été condamné le 1er juillet 1997 à quatre ans de prison dont deux ans ferme et cinq ans d'inéligibilité. Il a également été condamné le 9 novembre 1999 à trois de prison dont deux ans ferme, pour recel d'abus de biens sociaux et complicité de faux. En 1993, l'ancienne première adjointe au maire apparenté PS de Trébeurden, Marie-Françoise André, est poursuivie pour trafic d'influence, faux en écritures et abus de biens sociaux. Elle a été condamnée à un an de prison avec sursis et cinq ans de privation des droits civiques, civils et de famille. Le 1er juin 1993, le maire PS de Saint-Barthélémy-de-Bussière, Bernard Bioulac, est mis en examen pour ingérence dans le dossier concernant une subvention du conseil général de 535 000 francs à la Fédération Léo-Lagrange de Bergerac. Il a été condamné le 10 octobre 1995 à dix-huit mois de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité. En janvier 1994, l'ancien adjoint PS au maire de Saint-Denis-de-la-Réunion, Jules Raux, est mis en examen pour corruption passive. Il a été condamné le 4 décembre 1997 à trois ans de prison dont un an ferme, 200 000 francs d'amende et cinq ans de privation de ses droits civiques. Le 19 janvier 1994, l'ancienne député PS des Bouches-du-Rhône, Jeannine Ecochard, est mise en examen dans le cadre de l'instruction du dossier des fausses factures relatif à la construction du tunnel Prado-Carénage à Marseille. Elle a été condamnée le 5 juin 1997 à un an de prison avec sursis. Le 23 février 1994, l'ancien adjoint au maire PS de Saint-Paul, Gabriel Armoudom, est mis en examen pour corruption. Il est condamné le 10 décembre 1996 à deux ans de prison dans quatre mois ferme, 200 000 francs d'amende et cinq ans d'inéligibilité. Le 23 février 1994, l'adjoint au maire PS de Sainte-Denis-de-la-Réunion, Michel Chane-Liat, est mis en examen dans le cadre d'une enquête sur le blanchiment d'argent de la corruption par l'intermédiaire de diverses sociétés. Il a été condamné le 4 décembre 1997 à vingt-quatre mois de prison dont quatre mois ferme, 200 000 francs d'amende et cinq ans d'inéligibilité. Le 30 mars 1994, l'ancien député PS de la Réunion, Gilbert Annette, est mis en examen pour corruption et recel d'abus de biens sociaux. Il a été condamné le 4 décembre 1997 à trois de prison dans un an ferme, 200 000 francs d'amende et cinq ans de privation de droits civiques. Le 28 septembre 1994, l'ancien sénateur PS, Claude Pradille, est mis en examen pour abus de confiance, corruption, complicité de faux en écritures privées, atteinte aux règles garantissant la liberté d'accès et d'égalité des candidats aux marchés publics et subornation de témoin. Il a été condamné le 22 janvier 1997 à quatre ans de prison avec sursis, 1 million de francs d'amende et cinq ans d'inéligibilité. En 1995, l'ancien maire PS de Creil, Jean Anciant, est mis en examen pour abus de biens sociaux et prise illégale d'intérêts dans la gestion de l'office HLM Oise Habitat. Il a été condamné le 17 février 2000 à huit mois de prison avec sursis. Après avoir été relaxé de tous les chefs de mises en examen qui ont été requalifiés en détournement de fonds publics, il a été condamné le 13 avril à une amende de 30 000 francs. Le 5 janvier 1995, le conseiller général PS des Pyrénées-Atlantiques, Jean-Pierre Destrade, est mis en examen pour escroquerie, recel d'abus de biens sociaux, faux en écriture privée et usage, dénonciation de délit imaginaire et trafic d'influence. En juin 1995, l'ancien conseiller général PS du Gard, Pierre Bassoul, est mis en examen pour ingérence dans le cadre de l'enquête sur les marchés publics du conseil général. Il a été condamné le 25 juin 1999 à dix-huit mois de prison avec sursis, 100 000 francs d'amende et cinq ans d'inéligibilité pour prise illégale d'intérêts et favoritisme. En juin 1995, le maire PS de Clichy, Gilles Catoire, est mis en examen pour faux en écriture privée. Il a été condamné le 28 juin 2000 à huit mois de prison avec sursis et 20 000 francs d'amende. En septembre 1995, le député PS de l'Essonne, Jacques Guyard, est mis en examen pour corruption et trafic d'influence dans le cadre de l'enquête sur la Sare. Il a été condamné le 9 mai 2000 à un an de prison avec sursis et 100 000 francs d'amende. Le 30 octobre 1995, l'ancien maire apparenté PS de Trébeurden est condamné à deux ans de prison dont huit mois ferme et cinq ans de privation de ses droits civiques, civils et de famille pour trafic d'influence, faux en écritures et abus de biens sociaux. Le 8 novembre 1995, le maire PS de Néris-les-Bains, Henri Yermia, est mis en examen pour corruption active et passive, ingérence et faux en écritures publiques. Il a été condamné le 13 juin 2001 à six mois de prison ferme, 500 000 francs d'amende et cinq ans de privation de ses droits civiques, civils et de famille. Le 20 décembre 1995, l'ancien maire PS de Vitrolles, Jean-Jacques Anglade, est mis en examen pour trafic d'influence, faux et usage de faux dans le cadre de l'enquête sur des fausses factures municipales. Il a été condamné le 2 mai 2000 à un an de prison avec sursis, à 200 000 francs d'amende et deux ans d'inéligibilité. Le 16 février 1996, l'ancien deuxième adjoint au maire PS de Strasbourg, Jean Oehler, est condamné à un an de prison avec sursis, 50 000 francs d'amende et trois ans de privation de ses droits civiques dans le cadre de travaux réalisés dans sa résidence secondaire par une filiale du groupe Bouygues. Le 13 mars 1996, la cour d'appel de Rennes condamne Henri Emmanuelli, trésorier du PS à dix-huit mois de prison avec sursis, 30.000 francs d'amende et deux ans de privation des droits civiques Le 17 mars 1997, le député PS de Haute-Garonne, Jean-Louis Idiart est mis en examen pour complicité d'abus de confiance dans le cadre de l'enquête sur l'attribution de fonds départementaux à diverses associations. Le 9 mai 1997, l'ancien premier adjoint PS au maire de Strasbourg, Roland Ries, est condamné à 20 000 francs d'amende pour prise illégale d'intérêts dans le dossier Sofex. Le 10 juin 1997, l'ancien maire PS d'Istres, Jacques Siffre, est mis en examen pour ingérence. Il a été condamné le 25 octobre 2000 à dix mois de prison avec sursis pour abus de confiance. Le 19 juin 1997, l'ancien premier secrétaire de la fédération PS des Bouches-du-Rhône, François Bernardini, est mis examen pour abus de confiance, abus de biens sociaux, détournements de fonds publics. Il a été condamné le 27 juin 2001 à dix-huit mois de prison avec sursis, 400 000 francs d'amende et cinq ans d'inéligibilité. Le 1er octobre 1997, le maire PS de Romorantin, Jeanny Lorgeoux, est mis en examen pour faux et usage de faux en écriture publique et escroquerie. Le 17 octobre 1997, le député PS de Loire-Atlantique, Jean-Marc Ayrault est mis en examen pour délit de favoritisme dans le cadre de l'attribution des marchés de la communication de la ville. Il a été condamné le 19 décembre 1997 à six mois de prison avec sursis et à 30 000 francs d'amende. Le 28 novembre 1997, le député PS du Var, Guy Menut, est condamné à trois mois de prison avec sursis et 20 000 francs d'amende pour avoir enfreint la liberté d'accès et l'égalité des candidats dans l'attribution d'un marché public. Le 14 janvier 1998, l'ancien directeur de cabinet du maire PS de Grenoble, Guy Névache, est condamné à 500 000 francs d'amende pour ingérence et prise illégale d'intérêts. Le 5 février 1998, l'ancien maire de PS Chasse-sur-Rhône, Paul Vittoz, est condamné à quinze mois de prison avec sursis, 60 000 francs d'amende et cinq ans de privation de ses droits civiques, civils et de famille pour prise illégale d'intérêts et concussion dans le cadre de la location d'un hangar. Le 5 mars 1998, l'ancien directeur de cabinet du maire PS de Grenoble, Guy Névache, est condamné à deux ans de prison dont un an ferme, 700 000 francs d'amende et cinq ans d'inéligibilité pour recel d'abus de bien sociaux et trafic d'influence. Le 8 mars 1999, le sénateur PS du Gard, Simon Sutour, est mis en examen pour abus de confiance dans le cadre des emplois fictifs du conseil général. Il a été condamné le 22 mars 2001 à 40 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux. Le 24 juin 1998, le maire PS de Luz-Saint-Sauveur, Claude Massoure, est mis en examen pour délit de favoritisme, infraction à la législation sur les marchés publics et détournement de fonds publics dans le cadre d'une enquête sur la gestion du SDE. En décembre 1998, le député PS du Var, Robert Gaïa, est mis en examen pour complicité de délit d'avantage dans le cadre de la passation du marché des cantines scolaires par la ville. Le 17 décembre 1998, l'ancien maire PS d'Hem, Jean-Claude Provo, est condamné à dix-huit mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour abus de confiance dans le cadre de salaires fictifs. Le 4 janvier 1999, le député PS du Pas-de-Calais, Jean-Pierre Kucheida, est mis en examen pour prise illégale d'intérêts et complicité d'abus de confiance dans le cadre d'une instruction sur la gestion du patrimoine immobilier des houillères du Nord-Pas-de-Calais. Le 9 septembre 1999, l'ancien adjoint PS à l'urbanisme du maire de Rennes, Jean-Yves Chapuis, est condamné à trois mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour prise illégale d'intérêts. Le 12 octobre 1999, l'ancien maire PS d'Evry, Pierre-Jean Banuls, est condamné à huit mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux. Le 16 novembre 1999, la secrétaire de Strauss-Kahn est mise en examen pour recel d'abus de biens sociaux. Elle a reconnu avoir bénéficié, en 1993, de rémunérations pour un emploi fictif dans une filiale d'Elf. Le 24 novembre, le président de la fédération socialiste de Paris démissionne. Le 28 janvier 2000, Strauss-kahn est mis en examen pour complicité par instruction donnée et recel d'abus de biens sociaux. Le 2 décembre 1999, le député PS de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, est mis en examen pour recel d'abus de biens sociaux. Il a été condamné le 28 janvier 2000 à cinq mois de prison avec sursis et à 100 000 francs d'amende. Le 17 décembre 1998, le député PS Harlem Désir est condamné à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux. En janvier 2000, le conseiller général PS, Guy Durand, est mis en examen pour escroquerie, abus de confiance, recel et complicité dans le cadre d'un dossier portant sur une opération immobilière dans la commune de Millau. Le 9 juin 2000, le maire PS de Saint-Dié-des-Vosges, Robert Bernard, est mis en examen pour détournement de fonds publics. Le 19 juin 2000, le maire PS de Lesparre-Médoc, Bernard Prévot, est condamné à 30 000 francs d'amende pour délit de favoritisme. En septembre 2000, l'ancien député PS de l'Indre, Michel Sapin, est poursuivi pour distribution de dividendes fictifs. En octobre 2000, le député PS du Nord, Jean-Pierre Balduyck est mis en examen pour favoritisme dans le cadre d'une enquête sur la passation d'un marché public de la commune concernant la gestion d'un équipement culturel. En octobre 2000, le maire PS de Ronchin, Michel Laignel, est mis en examen pour faux en écritures publiques, usage de faux en écritures publiques, prise illégale d'intérêts et favoritisme. En décembre 2000, le premier vice-président PS du conseil général du Gard, Françis Cavalier-Bénézet, est mis en examen pour favoritisme, prise illégale d'intérêts et participation à une entente prohibée dans le cadre d'une information judiciaire sur l'attribution des marchés publics relatifs à des travaux routiers dans les Cévennes. En décembre 2000, le conseiller général PS du Gard, Jean-Claude Roustant, est mis en examen pour favoritisme, prise illégale d'intérêts et participation à une entente prohibée dans le cadre d'une information judiciaire sur l'attribution des marchés publics relatifs à des travaux routiers dans les Cévennes. Le 19 décembre 2000, l'ancien député PS des Pyrénées-Atlantiques, André Labarrère, est mis en examen pour prise illégale d'intérêts dans le cadre de l'enquête sur les activités de l'association Les Abeilles. Le 21 décembre 2000, l'ancien premier adjoint du maire apparenté PS de Beuvrages, Pierre Bal, est condamné à 150 jours-amendes de 100 francs pour avoir bénéficié de la fourniture et de la pose d'une grille en fer forgé à son domicile, avoir participé à une entente concernant la passation des marchés publics, avoir participé à une entente concernant la passation des marchés publics de la commune et fait voter une subvention à une association dans laquelle son épouse était trésorière et dont lui-même était le dirigeant de fait. Il a été également condamné à 150 jours-amendes de 100 francs pour violation des règles garantissant la liberté d'accès et l'égalité des candidats à un marché public de la commune. Le 21 décembre 2000, l'ancien maire apparenté PS de Beuvrages, Arthur Lompret, est condamné à 150 jours-amendes de 100 francs pour avoir bénéficié de la fourniture et de la pose d'une grille en fer forgé à son domicile, de notes de restaurant personnelles aux frais de la ville, avoir procuré un emploi fictif au fils de sa seconde épouse et avoir participé à une entente concernant la passation des marchés publics de la commune. Le 22 mars 2001, le conseiller général PS du Gard, Jean Carreyron, est condamné à huit mois de prison avec sursis dans le cadre d'une affaire d'emplois fictifs. Le 22 mars 2001, la conseillère générale PS du Gard, Françoise Laurent-Perrigot, est condamnée à dix mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende dans le cadre de l'enquête sur les emplois fictifs du conseil général du Gard. En mai 2001, le conseiller général PS de Lorraine, Dominique Gros, est mis en examen pour recel d'abus de confiance. En juillet 2001, l'ancien député PS de la Dordogne, Roland Dumas, est mis en examen pour complicité d'abus de confiance dans le cadre d'une enquête concernant la succession du sculpteur Giacometti. En juillet 2001, l'ancien député PS des Pyrénées-Atlantiques, André Labarrère, est mis en examen pour prise illégale d'intérêts dans le cadre de l'enquête sur la location d'un chapiteaux, prise en charge au départ par la commune, destiné à abriter le mariage du directeur de la communication de la ville de Pau. En septembre 2001, l'ancien vice-président PS du conseil général de l'Aude, André Bauret, comparaît devant le tribunal correctionnel de Carcassonne, dans le cadre de l'enquête sur l'Association de placement et d'aide aux jeunes handicapés. Il a été condamné à 50 000 francs d'amende pour escroquerie. Le 13 septembre 2001, le conseiller général PS de l'Hérault, Claude Barral, est mis en examen pour recel d'abus de confiance dans le cadre d'une enquête sur un rapport rédigé par lui-même sur la démoustication du littoral méditerranéen. Le 8 octobre 2001, le sénateur PS de la Guadeloupe, Dominique Larifla, est mis en examen pour conservation illégale d'intérêts suite à une modification du plan d'occupation des sols qui a rendu constructible un terrain appartenant à un de ses cousins. Le 30 septembre 2003, le député PS du Pas-de-Calais à été condamné à un mois de prison avec sursis, 300 euros d'amende et six mois de suspension de permis pour conduite en état d'ivresse. le 07 juillet 2004 - L'ancien secrétaire d'Etat aux Handicapés, Michel Gillibert, a été condamné mercredi à trois ans d'emprisonnement avec sursis et 20.000 euros d'amende par la Cour de justice de la République (CJR), qui l'a reconnu coupable d'escroquerie au détriment de l'Etat. La Cour l'a condamné en outre à une peine de cinq ans d'interdiction des droits de vote et d'éligibilité. Agé de 59 ans, Michel Gillibert secrétaire d'Etat sous la présidence de François Mitterrand de 1988 à 1993, était accusé d'avoir créé cinq associations fictives destinatrices de 1,3 million d'euros de subventions publiques à seule fin de payer des membres de son cabinet et certaines dépenses personnelles."
  18. Réponse limpide et extraordinaire de justesse.
  19. Mais quelle mauvaise foi!
  20. +1. Cette novlangue est insupportable. Typique d'une société totalitaire.
  21. En l'occurrence, oui.
  22. Bien sûr, mais ce n'est pas ce que promeuvent les défenseurs de la solution maison close.
  23. Moi pas. Une "maison close", c'est une étable, un zoo. Promouvoir cette "solution" c'est considérer les prostituées comme du bétail. Pourquoi vouloir les cantonner dans des lieux spécialisés? Pour mieux les contrôler? Pourquoi ne pas promouvoir la liberté?
  24. Voilà! D'où mon intervention: tu généralises à partir de ton petit exemple.
×
×
  • Créer...