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Nouvelles du monde sans intérêt


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Euh ca à l'air d'être de la géométrie cet exo... Ils ont déjà abandonné les équation différentielle, maintenant c'est la géométrie.. C'est quoi leur niveau en fin d'année sérieusement? Et en L1?

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Ça a pas l'air si chaud, j'ai pris un stylo et grosso modo en 5 minutes j'ai trouvé la première réponse. Passé une demi heure à comprendre ça c'est un peu la dèche quand même.

Et pourtant j'ai pas fais beaucoup de math à l'université, un peu d'algèbre linéaire que j'ai lamentablement raté, mais ce n'était pas éliminatoire et j'ai donc pu le compenser.

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[Naïf]

C'est possible un triangle rectangle isocèle en 2d ?

[/Naïf]

Ben en combien de "d" tu veux qu'il soit ? Sivtu arrives à me dessiner un triangle en 3d je suis preneur. ..

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Je savais que j'allais me faire chambrer \o/

Bon en revanche j'ai toujours pleuré quand il fallait dessiner des trucs. J'suis pas foutu de tracer un segment déjà.

J'vous dit pas comment j'ai souffert le martyr en prépa bio.

Posté

Ben en combien de "d" tu veux qu'il soit ? Si tu arrives à me dessiner un triangle en 3d je suis preneur. ..

101021100551837431.png:jesaispo:

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Pourtant trois fichus triangles, là quand même au bout d'un moment ça doit rentrer dans le choux ces histoires. À se demander comment ils ont fait pour y arriver au bac.

C'est quoi le taux d'échec au lycée ? Pas au bac, au lycée, quel est le nombre d'étudiants qui giclent parce qu'ils n'ont pas le niveau/pas l'intérêt de rester ?

 

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Bah si t'as un triangle en 2D, t'en as aussi un en 3D. Genre le triangle ABC dans le tetraedre ABCD de l'exercice du bac.

 

C'est plutot en 1D que ca devient chaud...

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Au fait BNPP a peur d'être accusée de financer le terrorisme au Soudan.

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La transition écologique n'est pas quelque chose de totalitaire :

 

De la sobriété subie à la sobriété choisie 

 

Meike Fink chargée de mission climat et énergie au Réseau Action Climat (RAC) 

Des millions de ménages en France n’ont pas aujourd’hui les moyens de se chauffer correctement, de se déplacer, voire de manger convenablement. Ces ménages vivent dans une situation de sobriété énergétique subie. Même si une transition énergétique ambitieuse pourrait aider à baisser les dépenses énergétiques de ces ménages, grâce à la rénovation énergétique des bâtiments ou à la construction des infrastructures de transport collectif, la satisfaction des besoins fondamentaux demande une réaction immédiate. Le concept de la sobriété ne doit pas servir à punir ceux qui sont déjà en difficulté, mais bien se présenter comme un choix volontaire ; la sobriété choisie sera, contrairement à celle qui est subie, indispensable au succès de la transition énergétique. Pour gagner le défi de la transition énergétique vers un système de production énergétique basé à 100% sur des énergies renouvelables, il nous faut maîtriser notre consommation énergétique et la baisser d’au moins de 50% d’ici à 2050. Pour y parvenir, il nous faut déployer des solutions technologiques, mais elles seules ne suffiront pas. Malgré les avancées, et à cause de l’augmentation de leur taille, les écrans plats consomment jusqu’à 4 fois plus d’électricité qu’un téléviseur cathodique traditionnel. Sans parler de la tendance des ménages à acquérir plusieurs télés. Même l’augmentation de l’efficacité de l’isolation thermique se verra contrebalancée par l’augmentation des consommations énergétiques dues à l’augmentation des mètres carrés par ménage et à la multiplication des appareillages multimédia. Pour gagner le défi de la transition énergétique, nous devons donc, d’une manière volontaire et individuelle, changer nos modes de consommation. Le principe de la sobriété énergétique choisie est l’absence de l’obligation, c’est sa force mais aussi sa faiblesse. La sobriété énergétique choisie dérange, elle met en question notre société de consommation sans freins et sans autres limites que celle du portefeuille. Pourquoi abandonner ce chemin confortable entrepris par la majorité de la population des pays industriels ? Bien qu’il mène directement à l’épuisement des ressources de notre planète et à la catastrophe climatique, notre société nous pousse à le suivre. Alors, dans la situation actuelle, comment imaginer une plus grande sobriété ? Elle doit être volontaire et individuelle, mais elle ne peut pas être toujours à contre-courant. La sobriété ne va pas apparaître un jour si rien n’est fait pour l’aider à émerger. L’émergence de la sobriété choisie demande donc un accompagnement politique. Afin d’encourager la sobriété énergétique choisie, il sera crucial d’abandonner la promotion de l’inverse. Autrement dit, il faut limiter l’omniprésence de la publicité qui conditionne les choix de l’individu. Lutter contre l’obsolescence programmée permettra aussi un développement du partage et de la réutilisation grâce à une augmentation de la qualité, de la durée de vie et de la réparabilité des produits. Le plus important pour qu’émerge la sobriété est la création d’alternatives accessibles à tout le monde : le télétravail, l’utilisation d’une machine à laver commune au sous-sol, l’autopartage… Ces alternatives doivent être présentes dans le quotidien de tout le monde – si chaque individu doit les chercher, voire les créer, les obstacles resteront trop importants. Aussi, une augmentation progressive des prix d’énergie incitera à plus de sobriété en limitant les utilisations superflues. Il reste plus que nécessaire de donner un prix réel à l’énergie qui représente la totalité des impacts négatifs sur l’environnement. En l’absence d’une prise en compte de ces impacts par le marché, c’est notamment une fiscalité réorientée sur les principes écologiques qui remplit cette fonction. Ses recettes nous permettront aussi de protéger les besoins fondamentaux des ménages modestes pour éviter de cantonner une partie de la population à la sobriété subie.

 

http://www.humanite.fr/comment-imaginer-une-plus-grande-sobriete-energetique-544683

Posté

La transition écologique n'est pas quelque chose de totalitaire :

 

De la sobriété subie à la sobriété choisie 

 

Meike Fink chargée de mission climat et énergie au Réseau Action Climat (RAC) 

Des millions de ménages en France n’ont pas aujourd’hui les moyens de se chauffer correctement, de se déplacer, voire de manger convenablement. Ces ménages vivent dans une situation de sobriété énergétique subie. Même si une transition énergétique ambitieuse pourrait aider à baisser les dépenses énergétiques de ces ménages, grâce à la rénovation énergétique des bâtiments ou à la construction des infrastructures de transport collectif, la satisfaction des besoins fondamentaux demande une réaction immédiate. Le concept de la sobriété ne doit pas servir à punir ceux qui sont déjà en difficulté, mais bien se présenter comme un choix volontaire ; la sobriété choisie sera, contrairement à celle qui est subie, indispensable au succès de la transition énergétique. Pour gagner le défi de la transition énergétique vers un système de production énergétique basé à 100% sur des énergies renouvelables, il nous faut maîtriser notre consommation énergétique et la baisser d’au moins de 50% d’ici à 2050. Pour y parvenir, il nous faut déployer des solutions technologiques, mais elles seules ne suffiront pas. Malgré les avancées, et à cause de l’augmentation de leur taille, les écrans plats consomment jusqu’à 4 fois plus d’électricité qu’un téléviseur cathodique traditionnel. Sans parler de la tendance des ménages à acquérir plusieurs télés. Même l’augmentation de l’efficacité de l’isolation thermique se verra contrebalancée par l’augmentation des consommations énergétiques dues à l’augmentation des mètres carrés par ménage et à la multiplication des appareillages multimédia. Pour gagner le défi de la transition énergétique, nous devons donc, d’une manière volontaire et individuelle, changer nos modes de consommation. Le principe de la sobriété énergétique choisie est l’absence de l’obligation, c’est sa force mais aussi sa faiblesse. La sobriété énergétique choisie dérange, elle met en question notre société de consommation sans freins et sans autres limites que celle du portefeuille. Pourquoi abandonner ce chemin confortable entrepris par la majorité de la population des pays industriels ? Bien qu’il mène directement à l’épuisement des ressources de notre planète et à la catastrophe climatique, notre société nous pousse à le suivre. Alors, dans la situation actuelle, comment imaginer une plus grande sobriété ? Elle doit être volontaire et individuelle, mais elle ne peut pas être toujours à contre-courant. La sobriété ne va pas apparaître un jour si rien n’est fait pour l’aider à émerger. L’émergence de la sobriété choisie demande donc un accompagnement politique. Afin d’encourager la sobriété énergétique choisie, il sera crucial d’abandonner la promotion de l’inverse. Autrement dit, il faut limiter l’omniprésence de la publicité qui conditionne les choix de l’individu. Lutter contre l’obsolescence programmée permettra aussi un développement du partage et de la réutilisation grâce à une augmentation de la qualité, de la durée de vie et de la réparabilité des produits. Le plus important pour qu’émerge la sobriété est la création d’alternatives accessibles à tout le monde : le télétravail, l’utilisation d’une machine à laver commune au sous-sol, l’autopartage… Ces alternatives doivent être présentes dans le quotidien de tout le monde – si chaque individu doit les chercher, voire les créer, les obstacles resteront trop importants. Aussi, une augmentation progressive des prix d’énergie incitera à plus de sobriété en limitant les utilisations superflues. Il reste plus que nécessaire de donner un prix réel à l’énergie qui représente la totalité des impacts négatifs sur l’environnement. En l’absence d’une prise en compte de ces impacts par le marché, c’est notamment une fiscalité réorientée sur les principes écologiques qui remplit cette fonction. Ses recettes nous permettront aussi de protéger les besoins fondamentaux des ménages modestes pour éviter de cantonner une partie de la population à la sobriété subie.

 

http://www.humanite.fr/comment-imaginer-une-plus-grande-sobriete-energetique-544683

 

Il faut aussi abolir la méchanceté.

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Bah si t'as un triangle en 2D, t'en as aussi un en 3D. Genre le triangle ABC dans le tetraedre ABCD de l'exercice du bac.

C'est plutot en 1D que ca devient chaud...

Euh. Mes maths sont rouillées, mais il me semble qu'il existe forcément un plan euclidien contenant A, B et C, donc le triangle abc est en 2d, même si le tétraèdre est bien en 3d....

...

....

Non ?

Posté

Euh. Mes maths sont rouillées, mais il me semble qu'il existe forcément un plan euclidien contenant A, B et C, donc le triangle abc est en 2d, même si le tétraèdre est bien en 3d....

...

....

Non ?

 

C'est ce que je dis, donc si ton triangle s'inscrit dans un plan en 2D, il s'inscrira dans un plan en nD, n > 2.

 

Et le triangle plat ?

 

 

Mmmmmmmouayyy... Ok, alors explique-moi comment tu mesures les angles dans un espace a une dimension.

 

Posté

Un quart de cube en fait, sinon la caractéristique d'Euler du cube serait fausse.

Hmmm même pas non plus, en fait:

TetrahedronCube_1000.gif

moins d'un quart du cube, et au milieu un tétrahèdre régulier.

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Les commentaires...

 

 

 

Bravo l'égalité... Notre république en prend encore un coup 100 patrons qui mette le bordel et retard un TGV = aucune interpellation , des ouvriers qui font grève = gazage par les CRS... 

Oui oui c'est l'équité...

 

 

 

Je regrette de ne pas avoir été là...Je me faisais 120 patrons à la batte de base ball et à la manivelle...Quelle malchance...

 

 

 

.... vis à vis de la racaille de trous du culs de patrons foireux, je trouve la méthode justifiée !
Posté

C'est ce que je dis, donc si ton triangle s'inscrit dans un plan en 2D, il s'inscrira dans un plan en nD, n > 2.

Mmmmmmmouayyy... Ok, alors explique-moi comment tu mesures les angles dans un espace a une dimension.

Le triangle plat existe par convention je pense.

Pour ton histoire d'hyperplan je ne comprends pas... tout ce que tu dis c'est qu'un hyperplan d'un espace à n dimensions est forcément inscrit dans cet espace, ce qui est une tautologie.

Ça ne change rien au fait que ton hyperplan est en dimension n-1.

(Donc dans notre espace à 3 dimension du tetraedre de tout à l'heure, le plan contenant ABC est bien en 3-1= 2 dimensions...

Posté

http://www.leparisien.fr/societe/bac-s-les-lyceens-denoncent-un-carnage-apres-l-epreuve-de-maths-20-06-2014-3939133.php

 

Pour ceux qui sont assez balaises en maths (comme y-a de l'ingé en info et quelques gars dans la finance), vous le trouvez vraiment dur ce sujet (pour des élèves de terminale bien sûr) ?

C'est complètement normal comme épreuve: le premier exercice c'est 5 points donnés. Le second c'est de la bête application de formule (et savoir lire un énoncé), en plus les 2 parties sont indépendantes. Exercice 3, encore de la bête régurgitation de connaissances, du bachotage. En plus de nos jours les barèmes sont très généreux et même si le calcul est faux il doivent quand même choper des points.

 

Et le fameux exercice 4, bah oui c'est le plus "dur" parce que ce n'est pas de la régurgitation bête, mais comme souvent dans ce genre d'épreuve il y a plein de réponses dans l'énoncé. Et si effectivement arrivés en terminale S il ne savent pas dessiner un tétraèdre...bah faut changer d'orientation :)

Posté

Bon je comprends rien mais (et c'est certainement faux mais j'aimerais qu'on m'explique pourquoi) le patron d'un triangle rectangle isocèle en A ça donne pas un machin comme ça des fois ?

 

666235poilozboub.png

 

Avec la dernière face qu'apparait pas là mais qui se dessinerait spontanément en repliant les deux points B (qui sont en fait un seul point B.)  ?

Invité
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