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Je la trouve jolie moi. Je me ferais résistant rien que pour son sourire.

C'est exactement ce que fait Finn...
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Tu dis ça parce qu'il est noir /troll

et que Rey le regarde avec des yeux qu'on aimerait beaucoup que les jolies filles nous dévorent du regard comme ça.

  • Yea 1
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Ca doit être parce qu'il est noir que j'ai l'impression de voir le fils de Roger Murtaugh.

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OuI j'hésitais à poster cet article... (en parlant du lien que fryer a posté).

Y'en a vraiment qui fument.

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J'ai parfois vu Odieux Connard se planter sur certains films. Mais là il tombe juste.

En même temps c'était simple comme toucher un éléphant dans un couloir à 2 mètres au fusil à pompe. Fixés sur un trépied. Le fusil à pompe et l'éléphant.

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je n'ai pas du tout aimé ce film.

Le scénario est lourd, le rythme est péniblement lent et la fin est pourrie.

A coté de ça le réalisme de l'intrigue est loufoque, surtout le dénouement.

Ce qui relève le niveau: la photographie, le suspense, le jeu des acteurs.

 

 

Je rejoins librekom. C'est dommage car l'idée de base était vraiment top et il y avait moyen de faire un film psychologique plus pertinent et surtout plus onirique. Une grosse sensation de gâchis, notamment quand on voit l'énorme prestation de Rosamund Pike.

 

Neil Patrick Harris sera catalogué à vie comme Barney Stinson, impossible pour lui d'en réchapper (surtout en jouant ce genre de rôle).

 

Je viens de regarder Gone Girl.

 

Il est énorme.

 

Ce film tire à boulets rouges sur les SJW. Il démontre très bien ce qu'est la société américaine actuelle. Une société qui n'est plus que l'ombre d'elle-même vivant à travers des talk show où les présentateurs prêchent la bonne parole comme de bon vieux télévangélistes (ils auraient du mettre "Jesus he knows me" de Genesis en BO d'ailleurs).

 

Plus besoins de religions ou d'églises dans une société qui devient de plus en plus athée ou agnostique. Elle est gagnée par les jolies croyances populaires, nourries par les bons petits clichés de la société. Mieux, ils démontent encore plus le truc en démontrant qu'à la fin, le mec ne peut pas s'en sortir. Pourquoi ? Il n'aura jamais la garde de son enfant.

 

On joue avec la ligne fine qui sépare les tendances du moment aux US :

- Une société SJW qui considère que tout ce qui a pu être oppressé un jour est forcément victime (femme, noir...)

- Une obsession vis à vis des OCD et des ADHD qui fait que finalement, on ne fait plus attentions aux vrais problèmes mentaux (hello pervers narcissique, la jolie mode en France - Hello les jolis tics et tocs que l'héroïne a...)

- Une vision où le mâle cis hétéro je sais pas quoi est forcément le méchant, le mauvais. Jusqu'à ce qu'il admette que oui il a été méchant mais qu'il est juste victime de son statut de méchant conditionné par le fait qu'il soit un mâle, middle class, blanc, tout ça.

 

Le principe de "Innocent avant d'être prouvé coupable" est mis en exergue par deux personnages : la flic et l'avocat. On n'entend cette phrase qu'une fois vaguement dans le film et en plus la phrase est coupée. Pourquoi ? Parce qu'il est coupable pour la société. La flic ne fait pas de witchhunt, pas besoin, le reste du monde le fait pour elle. Et on n'a beaucoup plus évolué depuis. On a juste changé de monstres. De bûchers pour les femmes trop proches des chats noirs, on en fait un pour le mec qui a un chat roux (ou un chien robot).

 

 

Ce film est juste génial pour ce qu'on peut en tirer.

J'espère juste que jeunes générations qui le visionneront auront conscience de l'énorme satire qu'est ce film. 

 

Y'a tellement de choses à dire sur ce film que c'en est dingue. 

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Bon, j'ai vu Star Wars VII et je suis plutôt déçu. Voilà. J'avais un mauvais pressentiment avec JJ Abrams, qui n'a fait que des navets. Et puis un mec qui va chercher l'inspiration aux Deux Magots, merci quoi.

 

Voilà. Je suis triste parce que :

 

 

- Les méchants sont tous pourris et n'ont pas de charisme

- On voit déjà comment ça va se terminer

- Toute la prélogie a été jetée à la poubelle ; on oublie tout le côté politique des vieux épisodes

- Pourquoi inventer une planète toute pourrie qui est comme Tatooine mais qui n'est pas Tatooine ? Quand on veut faire du cyclique, on assume un peu.

 

Les trucs bien :

 

 

- Les effets spéciaux rendent bien ; la copie est propre

- Il n'y a pas d'êtres extra-dimensionnels

- C'est mieux que le Hobbit 2 et 3

Posté

Je viens de regarder Gone Girl.

 

Il est énorme.

 

[...]

 

Y'a tellement de choses à dire sur ce film que c'en est dingue.

Je ne pense pas que le film vise particulièrement les SJW (ou je n'ai pas remarqué plus que ça), mais je suis d'accord sur tout le reste, notamment le rôle des médias. Vraiment génial comme film :)

Posté

Je ne pense pas que le film vise particulièrement les SJW (ou je n'ai pas remarqué plus que ça), mais je suis d'accord sur tout le reste, notamment le rôle des médias. Vraiment génial comme film :)

 

Je ne sais pas si ça les vise en instance 1 mais c'est ce que ça donne à la sortie quand on connait un peu le milieu SJW justement.

Mais c'est du pain béni contre ça. 

De toutes façons, c'est simple, si 10% de la population qui a vu le film avait pu voir aussi clairement que c'était satirique envers les SJW, le film n'aurait pas eu ce succès. Mais ça me semble quand même gros pour ne pas être un peu voulu.

Posté

Gone Girl est un excellent film. Une vraie pépite.

JJ Abrams, qui n'a fait que des navets

Scrmblllbllbl

Je suis plutôt d'accord avec toi à part ça.

Star Trek Into Darkness >> Star Wars 7 (et de loin)

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John Boyega était extrêmement bon dans Attack The Block. Là, il a dû jouer sur le côté comique de son personnage mais je pense qu'il n'aura aucun mal à faire évoluer son personnage.

Il a une tête qui va bien (ou alors les maquilleurs sont extra) pour faire rire et jouer les anti-héros sympas, je trouve. Les bonnes joues, ça compte.
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Je viens de regarder Gone Girl.

 

Il est énorme.

 

Ce film tire à boulets rouges sur les SJW. Il démontre très bien ce qu'est la société américaine actuelle. Une société qui n'est plus que l'ombre d'elle-même vivant à travers des talk show où les présentateurs prêchent la bonne parole comme de bon vieux télévangélistes (ils auraient du mettre "Jesus he knows me" de Genesis en BO d'ailleurs).

 

Plus besoins de religions ou d'églises dans une société qui devient de plus en plus athée ou agnostique. Elle est gagnée par les jolies croyances populaires, nourries par les bons petits clichés de la société. Mieux, ils démontent encore plus le truc en démontrant qu'à la fin, le mec ne peut pas s'en sortir. Pourquoi ? Il n'aura jamais la garde de son enfant.

 

On joue avec la ligne fine qui sépare les tendances du moment aux US :

- Une société SJW qui considère que tout ce qui a pu être oppressé un jour est forcément victime (femme, noir...)

- Une obsession vis à vis des OCD et des ADHD qui fait que finalement, on ne fait plus attentions aux vrais problèmes mentaux (hello pervers narcissique, la jolie mode en France - Hello les jolis tics et tocs que l'héroïne a...)

- Une vision où le mâle cis hétéro je sais pas quoi est forcément le méchant, le mauvais. Jusqu'à ce qu'il admette que oui il a été méchant mais qu'il est juste victime de son statut de méchant conditionné par le fait qu'il soit un mâle, middle class, blanc, tout ça.

 

Le principe de "Innocent avant d'être prouvé coupable" est mis en exergue par deux personnages : la flic et l'avocat. On n'entend cette phrase qu'une fois vaguement dans le film et en plus la phrase est coupée. Pourquoi ? Parce qu'il est coupable pour la société. La flic ne fait pas de witchhunt, pas besoin, le reste du monde le fait pour elle. Et on n'a beaucoup plus évolué depuis. On a juste changé de monstres. De bûchers pour les femmes trop proches des chats noirs, on en fait un pour le mec qui a un chat roux (ou un chien robot).

 

 

Ce film est juste génial pour ce qu'on peut en tirer.

J'espère juste que jeunes générations qui le visionneront auront conscience de l'énorme satire qu'est ce film. 

 

Y'a tellement de choses à dire sur ce film que c'en est dingue.

Un article pour CP, vite ! :)
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Bon et the big short, qui l'a vu?

moi, romantoche comme je suis, j'ai adoré! :wub:

bon, pour le français moyen, c'est un peu limite, pas sur qu'il puisse comprendre  que les méchants, ce sont  les politiciens véreux,  les banquiers pourris  de connivences étatiques et le crony capitalisme..

 

Vu.

Oui, il n'y a pas trop d'explication sur la législation en arrière-plan et sur l'aléa moral étatique.

Du coup tout le monde ressortira convaincu avec sa propre explication.

Posté

Le film le plus libéral (et conservateur) que j'ai vu récemment s'appelle Les Invasions Barbares.

Quelle critique fantastique du socialisme Québécois, et quelle leçon du fils capitaliste à son père intello socialiste !

Posté

Un article pour CP, vite ! :)

 

Le plus embêtant c'est que les critiques de film serait certainement ce que je pourrais faire de mieux pour CP (en dehors des trads) mais j'ai l'angoisse de la page blanche et de l'analyse de bas étage (étant donné que je ne lis pas les critiques de films des autres magazines).

Posté

Lance-toi, Citronne. C'est en essayant qu'on apprend le métier.

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Le plus embêtant c'est que les critiques de film serait certainement ce que je pourrais faire de mieux pour CP (en dehors des trads) mais j'ai l'angoisse de la page blanche et de l'analyse de bas étage (étant donné que je ne lis pas les critiques de films des autres magazines).

 

 Bah Génréation Libre ! publie des articles sur Contrepoints, donc c'est un journal très hétérogène question "niveau"  :icon_mdr:

  • Yea 2
Posté

Lance-toi, Citronne. C'est en essayant qu'on apprend le métier.

Célèbre phrase de proxénète d'ailleurs.
  • Yea 1
Posté

Le plus embêtant c'est que les critiques de film serait certainement ce que je pourrais faire de mieux pour CP (en dehors des trads) mais j'ai l'angoisse de la page blanche et de l'analyse de bas étage (étant donné que je ne lis pas les critiques de films des autres magazines).

Pour éviter ça, le plus simple est de commencer la critique par un résumé de l'intrigue du film. Une fois ça posé, le reste vient tout seul.

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