Aller au contenu

Messages recommandés

Posté
Il y a 3 heures, Tramp a dit :

Si vos enfants vont se chercher leurs modèles à la TV ou sur TikTok, vous avez déjà loupé votre éducation. 
Les clés de l’éducation : une famille fonctionnelle, ne pas être un cassos, éviter de fréquenter des cassos et lorsque c’est le cas, en faire une occasion d’apprendre. 


Tu sais, quand tu es pas un scout de la banlieue ouest aux parents petes de thunes, c’est dur d’éviter les cassos _o_

  • Yea 1
Posté
il y a 40 minutes, Bézoukhov a dit :


Tu sais, quand tu es pas un scout de la banlieue ouest aux parents petes de thunes, c’est dur d’éviter les cassos _o_


S’ils sont bloqués avec eux la journée a l’école, alors ils ne les voient ni le soir, ni le week-end, ni les vacances. Si ta famille a fonctionné correctement depuis quelques générations, tu as suffisamment d’endroit où les envoyer pendant les vacances, sans compter les vacances en famille nucléaire jusqu’à 18 ans. Le soir et le week-end : activités sportives, cathé, famille… À chaque changement de classe, les options qui vont bien. Au pire, déménagement ou privé. 

Ils peuvent avoir un ou deux cassos dans leur groupe, tant qu’ils sont archi minoritaires. Ça donne une chance au cassos en question de sortir de sa condition et c’est une occasion d’apprendre pour les autres. 
La reproduction sociale fonctionne, pour le meilleur et pour le pire. 

  • Yea 1
Posté
Il y a 4 heures, Tramp a dit :

éviter de fréquenter des cassos

Vive le homeschooling ! ;) 

  • Yea 2
Posté
il y a 37 minutes, Tramp a dit :

Si ta famille a fonctionné correctement depuis quelques générations, tu as suffisamment d’endroit où les envoyer pendant les vacances,

Tu as des attentes relativement élevées, par rapport à l'essentiel de ce que l'Occident a produit depuis la dernière guerre.

  • Yea 1
Posté




S’ils sont bloqués avec eux la journée a l’école, alors ils ne les voient ni le soir, ni le week-end, ni les vacances. Si ta famille a fonctionné correctement depuis quelques générations, tu as suffisamment d’endroit où les envoyer pendant les vacances, sans compter les vacances en famille nucléaire jusqu’à 18 ans. Le soir et le week-end : activités sportives, cathé, famille… À chaque changement de classe, les options qui vont bien. Au pire, déménagement ou privé. 
Ils peuvent avoir un ou deux cassos dans leur groupe, tant qu’ils sont archi minoritaires. Ça donne une chance au cassos en question de sortir de sa condition et c’est une occasion d’apprendre pour les autres. 
La reproduction sociale fonctionne, pour le meilleur et pour le pire. 


Et après on dit que ce sont les socialistes qui ont une vision romancée de la vie.. Tu te rends bien compte que ce que tu proposes est inapplicable pour une majorité de la population ? Même avec un environnement familial très stable et une volonté des parents de bien faire, tout repose sur les parents et les contraintes matérielles, locales et temporelles se font vite ressentir. Évidemment que tous (tous ? Non, certains résistent encore et toujours...) les parents font du mieux qu'ils peuvent pour éduquer leurs enfants, mais le sujet est plus compliqué qu'une simple recette proférée en 50 mots. On en reparle quand tu as des enfants (et qui ont dépassé le stade de la petite enfance) ?
  • Love 1
Posté

C’est vrai que la vie c’est compliqué. Il faut faire des sacrifices. 
 

il y a 7 minutes, Liber Pater a dit :

Évidemment que tous les parents font ce qu’ils peuvent

 

Évidemment que non. Ou alors de façon tautologique où ce qu’ils font est identique à ce qu’ils peuvent. C’est ça la vision romancée de la vie : les gens font toujours les meilleurs choix possibles. 
Une grosse partie de ceux qui échouent avec leurs gosses ont déjà fait le pire choix possible pour ceux-ci : les concevoir avec la mauvaise personne. Combien renouvellent l’expérience deux ou trois fois ?

  • Yea 2
Posté

J'ai dit qu'ils faisaient ce qu'ils pouvaient, pas ce qui était le mieux. Sinon on ne verrait aucun parent au resto, aucun besoin de baby-sitter, de centre aéré, de crèche pleines à craquer, on ne verrait pas d'ados trainer dans les rues, etc..
Bref, reparlons-en lorsque tu auras une expérience du sujet si tu veux.

Et globalement, que ce soit la conception de l'enfant ou son entourage, c'est effectivement une grande lotterie. Avec les meilleures intentions du monde tu ne peux pas gérer toute la vie de ton enfant. D'un côté heureusement, je n'aurais pas aimé être tributaire de ce que mes parents uniquement m'ont inculqué, ce serait assez triste. La vie est heureusement faite de rencontres, de chance et de malchance, d'envies différentes. Rien que dans ton exemple cité plus haut, certains enfants s'accorderont à merveille d'aller dans un établissement catho et d'aller aux scouts, pour d'autre ce serait l'enfer et l'assurance d'une instruction ratée. Tout le monde n'est pas fait pour la même chose

  • Yea 2
Posté
Il y a 1 heure, Liber Pater a dit :

J'ai dit qu'ils faisaient ce qu'ils pouvaient,


C’est tautologique. Celui qui se barre sans s’occuper de ses gosses, il fait ce qu’il peut. Il aurait aussi pu ne pas se barrer ou ne pas en faire tout court. 
 

Il y a 1 heure, Liber Pater a dit :

Et globalement, que ce soit la conception de l'enfant ou son entourage, c'est effectivement une grande lotterie.


La lotterie n’est pas si grande : la reproduction sociale existe. 

  • Yea 2
  • 3 weeks later...
  • 3 months later...
Posté

Le gouvernement espagnol veut faire de la violence vicariante contre les femmes un délit à part, une première

 

Citation

définit la violence vicariante comme « exercée envers une femme par son partenaire ou ex-partenaire à travers une personne intermédiaire », la plupart du temps les enfants, mais aussi d’autres membres proches de la famille ou le partenaire actuel de la victime, a-t-elle expliqué.

La modification proposée du code pénal inclurait la violence vicariante en tant que délit à part avec une circonstance aggravante de genre et impliquerait, en principe, une peine allant de six mois à trois ans de prison. Elle introduit une nouvelle peine pour interdire à l’agresseur de publier des informations ou documents susceptibles de causer davantage de douleur à la victime

Cette nouvelle disposition permettrait d’empêcher la publication de livres comme le controversé El odio  (« La haine »), qui analysait un double infanticide commis par un père pour se venger de son ex-partenaire au début de la décennie passée, en Andalousie, et qui avait bouleversé l’Espagne parce qu’il incluait le témoignage du meurtrier.

La tentative de publication, finalement écartée par l’éditeur, avait suscité une vive polémique en début d’année après que la mère des enfants a demandé son interdiction. « Heureusement, la société a soutenu la victime. La société, à ce moment-là, a même devancé la loi », a souligné Ana Redondo.

La violence vicariante peut être extrême, comme dans le cas de l’infanticide, mais elle peut également prendre des formes plus quotidiennes, comme ne pas donner à un enfant le traitement médical prescrit, ne pas l’emmener aux activités sportives qu’il apprécie, ou le rendre à sa mère avec des vêtements sales.

 

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...