h16 Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 10:21, librekom a dit : je le sais pertinemment, faut juste que je parvienne à transformer mes intentions en actions. Je crois que je vais m'acheter un congélateur, pour stocker des légume, de la viande et du poisson surgelé. Parce que je mange peu de légumes à cause de ça je crois Il y a à mon avis deux causes possibles : - tu n'as pas assez supprimé le sucre, ou suffisamment longtemps et les petits microbes et ton système hormonal réclame ce sucre. - tu as encore faim et donc ton input n'est pas suffisant (manger plus "gras" ?)
pankkake Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Effectivement depuis quelques mois j'utilise beaucoup plus mon congélateur alors qu'il était vide avant.
Jesrad Posté 19 janvier 2013 Auteur Signaler Posté 19 janvier 2013 Mon congélateur est toujours blindé, j'envisage d'en acheter un second (un grand truc format coffre, s'ouvrant par le dessus). Pour faciliter le passage du sucré au gras, la graisse de coco est souveraine: 2 cuillères au moins chaque jour pendant la transition. Ou bien même faire des oeufs au plat avec des tranches de lard ou de poitrine de porc en guise de petit déjeuner, ça a très bien marché pour moi qui étais addict au sucre. Ça coupe la faim pour l'essentiel de la journée.
Invité Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 09:27, Jesrad a dit : Aujourd'hui je mange quand j'ai faim, ce qui se produit entre 11h30 et 14h en journée et vers 20h (mais parfois bien plus tard) le soir. Rarement le matin au réveil auquel cas je mange un fruit ou des fruits secs ou un café-crème. L'intensité varie énormément, des fois je saute le repas parce que pas assez faim, ou je mange juste un fruit ou je remplace par un café-crème. Et des fois j'engloutis un gros repas et j'aide Laurett à finir le sien. Ça dépend de si j'ai mangé plus ou moins gras la veille, en général, ou si j'ai eu plus d'activité, s'il a fait plus ou moins froid, etc. Merci pour ta réponse. Je vois que la faim suit tout de même un rythme circadien, c'est intéressant. Du coup, j'imagine que tes envies irrépressibles de manger sucré ont disparu. Par conséquent, la seule manière d'obtenir de l'énergie pour ton corps et de te le signaler par la faim.
Jesrad Posté 19 janvier 2013 Auteur Signaler Posté 19 janvier 2013 Les fringales de gourmandises tiennent plus à l'état maniaco-dépressif qu'elles finissent par induire en mettant en vrac le circuit de la dopamine, et non avec le besoin en énergie des cellules. C'est ce que j'essaie de dire plus haut. Il m'est arrivé, étant obèse et dépressif, de ne manger que du sucre pendant plusieurs jours, sautant tous les repas pour m'affamer sciemment mais grignotant des bonbons tout du long, parce que sinon j'étais en manque. J'avais faim tout le temps. Arrêter le sucre brutalement c'est rien de moins qu'un sevrage.
Poil à gratter Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 10:52, Jesrad a dit : Ou bien même faire des oeufs au plat avec des tranches de lard ou de poitrine de porc en guise de petit déjeuner, ça a très bien marché pour moi qui étais addict au sucre. Ça coupe la faim pour l'essentiel de la journée. C'est ce que je mange encore pour le moment: des tranches de lard nature (Speklap à la minute naturel), cuites avec de l'huile de coco, et je balance des feuilles d'épinards frais dessus, ou du choux chinois. C'est radical pour couper la faim sans trop bourrer l'estomac non plus (je fais du vélo juste après). Un truc qui cale bien aussi, mais un peu difficile des le matin (quoique ca passe sans problème pour moi), c'est du maquereau fume entier, ou une boite de saumon cuit au naturel, ou 2-3 nieuwe haring Par contre ca peut poser des problèmes d'haleine huhuhu
Rincevent Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 09:48, librekom a dit : Depuis que j'ai fais tous ces écarts, j'ai régulièrement des besoin massif de sucre, je craque et me jette sur du chocolat, des chips, un sandwich ou autre machin rempli d'hydrate de carbone, tout en ne diminuant pas la dose de gras à coté, c'est donc une catastrophe. A chaque foi que je pèse (ce que je fais de moins en moins) j’essaye de me remotiver, je me dis que je vais me reprendre, et puis j'échoue. La manière la plus simple de résister, c'est de ne plus acheter ce qu'il ne faut pas manger (ou, si tu habites avec quelqu'un, de mettre tout ce qu'il ne faut pas manger dans un coin précis de la baraque, mettons, une moitié d'une armoire a provisions). Comme ça, la discipline devient plus simple : ne plus aller voir à l'endroit indiqué, et, dans l'idéal, ne plus avoir à résister qu'une ou deux fois par semaine, quand tu fais tes courses. Ne te bat pas contre toi-même, mais avec toi-même ; c'est un peu la différence entre la "volonté" et la détermination.
Librekom Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 15:44, Rincevent a dit : La manière la plus simple de résister, c'est de ne plus acheter ce qu'il ne faut pas manger (ou, si tu habites avec quelqu'un, de mettre tout ce qu'il ne faut pas manger dans un coin précis de la baraque, mettons, une moitié d'une armoire a provisions). Comme ça, la discipline devient plus simple : ne plus aller voir à l'endroit indiqué, et, dans l'idéal, ne plus avoir à résister qu'une ou deux fois par semaine, quand tu fais tes courses. Ne te bat pas contre toi-même, mais avec toi-même ; c'est un peu la différence entre la "volonté" et la détermination. Je t'explique le problème à ce niveau là: il se fait qu'aux pays-bas les gens sont étrangement honnêtes, ou peut être juste suffisamment riches pour ne pas voler des pacotilles. Du coup au boulot, il y a une boite remplie de barres chocolatées de toutes sortes, de chips et cacahuètes , grande ouverte, où tout le monde peut se servir, à coté il y a une tirelires où on est invité à payer ce qu'on mange. Et ça à l'air con, mais le fais de ne pas avoir de vitre entre moi et ces saloperies, le fait aussi que si je n'ai pas de sous sur moi, je peux payer le lendemain, le fait de passer devant 19 fois par jour en moyenne, ça ne facilite pas les choses. Mais j'y ai pourtant résisté pendant pas mal de temps sans problème.
Rincevent Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Et pourquoi pas un distributeur d'héroïne au boulot, tant qu'on y est ?
Azref Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 09:48, librekom a dit : Depuis que j'ai fais tous ces écarts, j'ai régulièrement des besoin massif de sucre, je craque et me jette sur du chocolat, des chips, un sandwich ou autre machin rempli d'hydrate de carbone, tout en ne diminuant pas la dose de gras à coté, c'est donc une catastrophe. A chaque foi que je pèse (ce que je fais de moins en moins) j’essaye de me remotiver, je me dis que je vais me reprendre, et puis j'échoue. Personnellement ce qui m'aide à ne pas craquer ce sont les boissons light, et les gâteaux à base de farine de coco + poudre d'amande. Pour ces derniers, il y a une bonne communauté sur le net, avec pas mal de recettes différentes pour varier les plaisirs Ça et le fait que quand je suis au restaurant par exemple, je me lâche très peu sur le pain/féculents (et j'en ressent de moins en moins l'envie), mais je prends le dessert que je souhaite. Les états d'envie absolue de sucres ont tendance à disparaitre avec le temps, pour moi en tout cas: par contre la discipline doit être tenue, car je connais bien les fameuses occasions de se lâcher sur plusieurs jours ("on verra demain pour revenir à la normale") qui finissent en abandon totale du nouveau régime alimentaire. Par exemple les fêtes de fin d'année, un voyage, etc... Citation Je t'explique le problème à ce niveau là: il se fait qu'aux pays-bas les gens sont étrangement honnêtes, ou peut être juste suffisamment riches pour ne pas voler des pacotilles. Du coup au boulot, il y a une boite remplie de barres chocolatées de toutes sortes, de chips et cacahuètes , grande ouverte, où tout le monde peut se servir, à coté il y a une tirelires où on est invité à payer ce qu'on mange. Comme j'aimerai trouver une telle honnêteté en France
Poil à gratter Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 19:03, librekom a dit : Je t'explique le problème à ce niveau là: il se fait qu'aux pays-bas les gens sont étrangement honnêtes, ou peut être juste suffisamment riches pour ne pas voler des pacotilles. Du coup au boulot, il y a une boite remplie de barres chocolatées de toutes sortes, de chips et cacahuètes , grande ouverte, où tout le monde peut se servir, à coté il y a une tirelires où on est invité à payer ce qu'on mange. Et ça à l'air con, mais le fais de ne pas avoir de vitre entre moi et ces saloperies, le fait aussi que si je n'ai pas de sous sur moi, je peux payer le lendemain, le fait de passer devant 19 fois par jour en moyenne, ça ne facilite pas les choses. Mais j'y ai pourtant résisté pendant pas mal de temps sans problème. Essaye de demander une corbeille de fruits...au pire en utilisant l'argument mangi-bougisme (c'est pour la bonne cause, ahem). Ou alors tu "contre-attaques": tu achètes des trucs a grignoter pour ton bureau. Amandes, chocolat noir >75%, fruits secs. Et tu en manges a chaque fois que tu as faim. Moi j'ai du beurre d'amandes et de noisettes, du chocolat, et 2-3 fruits de saison sur mon bureau ou a portée de main. Le 19/01/2013 à 19:58, Rincevent a dit : Et pourquoi pas un distributeur d'héroïne au boulot, tant qu'on y est ? C'est pareil a mon travail (Pays-Bas aussi): on a un bol plein de barres chocolatées genre mars, des barres de céréales, et une bonbonne de bonbons (réglisses, oursons en gelée, etc.). Et en plus c'est gratuit...et rempoté tous les jours.
pankkake Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 23:34, Poil à gratter a dit : Et en plus c'est gratuit...et rempoté tous les jours.Tu veux dire payé avec de l'argent que tu aurai pu avoir dans ton salaire.
Poil à gratter Posté 19 janvier 2013 Signaler Posté 19 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 23:35, pankkake a dit : Tu veux dire payé avec de l'argent que tu aurai pu avoir dans ton salaire. Probablement. Mais ca doit être un peu plus complique que ca - comme en France - a cause des taxes et cotisations sociales. J'imagine que si mon employeur voulait nous verser l'équivalent de la somme en salaire, ca lui couterait en fait beaucoup plus cher.
Rincevent Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 J'exige un plateau de fromages au boulot. Ah, grignoter un peu de comté ou de scamorza en pondant une requête...
POE Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 09:27, Jesrad a dit : Mon expérience personnelle, c'est que j'avais "deux" faims: une envie de manger pour me remplir la panse, et une envie de manger certaines choses en particulier (principalement des choses très sucrées - pendant mes études il m'arrivait de descendre des sacs de bonbons format familial), plutôt soudaine et irrégulière. J'aurais tendance à dire qu'aucune de ces deux faims n'en étaient une, puisqu'aucune des 2 n'aboutit à la satiété.
POE Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 19/01/2013 à 09:48, librekom a dit : j'ai suivi le régime low carb depuis le 1er juin en faisant très peu d'écart entre le 1er juin et le 5 octobre, j' ai perdu 13 Kg (je suis passé de 131 à 118 Kg) Puis j'ai eu mon anniversaire, suivi de la période de noël et ça fait donc depuis le 5 octobre que je fais écart sur écart, je ne parviens plus à me discipliner ou en tout cas pas plus d'un jour. Et ce matin je pesait 127 Kg. Je hais jouer au yo-yo, je suis terriblement frustré par cette échec cuisant et j'ai du mal à me remotiver plus de 24 heures. J'ai même failli passer à un régime classique et je me dis que je vais faire pareil. Depuis que j'ai fais tous ces écarts, j'ai régulièrement des besoin massif de sucre, je craque et me jette sur du chocolat, des chips, un sandwich ou autre machin rempli d'hydrate de carbone, tout en ne diminuant pas la dose de gras à coté, c'est donc une catastrophe. A chaque foi que je pèse (ce que je fais de moins en moins) j’essaye de me remotiver, je me dis que je vais me reprendre, et puis j'échoue. Ce que tu décris me fait penser que le poids est essentiellement un problème psychologique et comportemental, une forme d'addiction en quelque sorte où la relation avec la nourriture a perdu sa spontanéité et oscille entre des comportements de compulsion frénétique, boulimie, avec culpabilité sous-jacente, et des comportements de privation prolongée avec frustration. L'essentiel ici serait de parvenir à une relation différente avec le fait de manger, avec la nourriture, une relation qui ne passerait plus par ces formes de désir et de rejet, mais par une harmonie avec ses besoins naturels. Comment y parvenir ? C'est une autre question.
Brock Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 manger plus souvent mais moins ( petit dej - snack - dej - snack de 3h - snack de 5h - repas du soir ) et boire beaucoup de bulles
Jesrad Posté 20 janvier 2013 Auteur Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 08:30, POE a dit : J'aurais tendance à dire qu'aucune de ces deux faims n'en étaient une, puisqu'aucune des 2 n'aboutit à la satiété.Bien sûr que si: la première. Le 20/01/2013 à 08:36, POE a dit : Ce que tu décris me fait penser que le poids est essentiellement un problème psychologique et comportemental, une forme d'addiction en quelque sorte où la relation avec la nourriture a perdu sa spontanéité et oscille entre des comportements de compulsion frénétique, boulimie, avec culpabilité sous-jacente, et des comportements de privation prolongée avec frustration.Mais bien sûr. Et tu comptes aussi soigner le diabète et les cancers par la psychanalyse, pendant qu'on y est ? L'un des plus grands maux du siècle dernier aura bien été d'attribuer à la psychiatrie ce qui tient de la neurologie. Dépression, autisme, schizophrénie, peut-être même aussi troubles de l'identité sexuelle... beaucoup de malades ont été maltraités par le monde médical à cause de ça. Tu t'en fais le complice, là. J'ai décrit plus haut le mécanisme qui crée le comportement addictif: dérèglement au niveau des neurotransmetteurs, entraînant derrière un dérèglement hormonal. A cela s'ajoute l'effet amplificateur d'appétit de la gliadine glia-alpha-9 entre autres effets nocifs, présent dans les variétés modernes de blé. Nulle psychologie dedans, et la preuve la plus flagrante c'est la disparition à moyen terme de ces comportements que tu qualifies de psychologiques, lorsqu'on élimine le blé et l'excès de glucides raffinés dans l'alimentation, sans thérapie psy.
POE Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 13:16, Jesrad a dit : Bien sûr que si: la première.Mais bien sûr. Et tu comptes aussi soigner le diabète et les cancers par la psychanalyse, pendant qu'on y est ? L'un des plus grands maux du siècle dernier aura bien été d'attribuer à la psychiatrie ce qui tient de la neurologie. Dépression, autisme, schizophrénie, peut-être même aussi troubles de l'identité sexuelle... beaucoup de malades ont été maltraités par le monde médical à cause de ça. Tu t'en fais le complice, là. J'ai décrit plus haut le mécanisme qui crée le comportement addictif: dérèglement au niveau des neurotransmetteurs, entraînant derrière un dérèglement hormonal. A cela s'ajoute l'effet amplificateur d'appétit de la gliadine glia-alpha-9 entre autres effets nocifs, présent dans les variétés modernes de blé. Nulle psychologie dedans, et la preuve la plus flagrante c'est la disparition à moyen terme de ces comportements que tu qualifies de psychologiques, lorsqu'on élimine le blé et l'excès de glucides raffinés dans l'alimentation, sans thérapie psy. N'importe quoi. Tu mélanges psychologie et psychiatrie. N'importe quelle décision, action impliquant un être humain fait intervenir la psychologie. Tous les individus ne fonctionnent pas comme toi en matière de psychologie, il ne suffit pas de leur dire : voici ce qu'il y a à faire, les gens ne sont pas des machines biologiques à une seule dimension, et la médecine ne se résume pas à une perturbation enzymatique qu'il faudrait identifier et corriger. PS : Et la satiété ne correspond pas à la sensation d'un estomac rempli, au moins parce que l'estomac est extensible et donc plus on mange, plus il est gros, et plus il est difficile de le remplir.
Brock Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 c'est impossible de dissocier les deux.La presence de gras fucke avec tes hormones et change ton comportement.Il y a plein de trucs psychologiques pour venir a bout d'un regime. Et le fait defaire quelque chose a aussi un impact psychologique ( c'est pour ca qu'il est bon de remplir sa journee de petits repas et autres structures). Si vous commencez un debat psycho/phisio dans ce thread vous etes des gros nuls.
sans Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 13:16, Jesrad a dit : L'un des plus grands maux du siècle dernier aura bien été d'attribuer à la psychiatrie psychologie ce qui tient de la neurologie. Là, +1000
Lancelot Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 14:02, JIM16 a dit : C'est impossible de dissocier les deux. Et peu importe qu'on parle de psychologie, de psychiatrie ou de neuropsychologie. Bon, pour la psychanalyse faut pas déconner quand même.
Nick de Cusa Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Des pas préliminaires de recherche sur la kétose comme traitement de cancers métastasés terminaux. http://www.medscape.com/viewarticle/749855
0100011 Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 16:12, Nick de Cusa a dit : Des pas préliminaires de recherche sur la kétose comme traitement de cancers métastasés terminaux. http://www.medscape.com/viewarticle/749855 La question qui vient naturellement est : pourquoi attendre le stade métastasé ? La question sur la question est : pourquoi cette piste n'est même pas suggérée dans les conclusions de l'étude ?
Noob Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 16:53, Kassad a dit : La question qui vient naturellement est : pourquoi attendre le stade métastasé ? La question sur la question est : pourquoi cette piste n'est même pas suggérée dans les conclusions de l'étude ? Peut-être parce que pour l'instant lorsque'on a une bonne chance de rémission ça me parait un peu hardcore à proposer ? En chimio on subit tout un tas de contrainte comme les vomissements etc... Donc l'alimentation c'est surtout, dès que tu te sens mieux tu bouffes tout ce qui peut passer. Après moi j'étais tout piti et même si j'ai toujours bien aimé les légumes, c'était pas aussi facile à avaler que du riz ou des pâtes.
neuneu2k Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 17:26, noob a dit : Peut-être parce que pour l'instant lorsque'on a une bonne chance de rémission ça me parait un peu hardcore à proposer ? Pour un traitement contre le cancer, c'est au contraire hyper soft à coté des alternatives.
Hank Rearden Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 16:53, Kassad a dit : La question qui vient naturellement est : pourquoi attendre le stade métastasé ? La question sur la question est : pourquoi cette piste n'est même pas suggérée dans les conclusions de l'étude ? Les critères d'inclusion de cette étude sont plutôt restrictifs. Seuls les patients avec un cancer métastatique et qui ne bénéficient plus d'aucun autre traitement (ni chimio, ni radiothérapie) sont inclus. Difficile de proposer à quelqu'un qui présente un cancer non métastatique (donc en pratique possiblement ou plus facilement curable), seulement un régime alimentaire pauvre en glucides alors qu'il existe d'autres solutions connues (chirurgie, radio ou chimiothérapie). C'est pourtant ce qui serait le plus significatif Proposer un régime associé à un traitement habituel (chimio, radio ou chirurgie) et faire un suivi pour n'importe quel type de cancer, à n'importe quel stade mènerait vraisemblablement à des résultats non significatifs statistiquement étant donné que le pronostic d'un cancer change du tout au tout selon son type et son stade. Ce qu'il faudrait faire pour y voir clair c'est: -même type de cancer -même stade -traitement habituel vs traitement habituel + régime
Noob Posté 20 janvier 2013 Signaler Posté 20 janvier 2013 Le 20/01/2013 à 17:38, neuneu2k a dit : Pour un traitement contre le cancer, c'est au contraire hyper soft à coté des alternatives. Je veux dire en sachant par quoi passe un type sous chimio, le gars a fondu de 30 kilos, à peine il sent des choux de Bruxelles il vomit, mais faut pas qu'il mange de pâte quand il a la dalle?
Jesrad Posté 20 janvier 2013 Auteur Signaler Posté 20 janvier 2013 La kétose ça marche aussi très bien en prévention des cancers et tumeurs, à voir l'inexistence de ces maladies chez les peuples mangeurs quasi-exclusifs de viande/poisson.
Malky Posté 21 janvier 2013 Signaler Posté 21 janvier 2013 Une petite lecture assez instructive sur le lien entre nutrition et dépression
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