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Santé & nutrition, que manger ?


Jesrad

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Posté

Tu veux dire payé avec de l'argent que tu aurai pu avoir dans ton salaire.

Probablement.

 

Mais ca doit être un peu plus complique que ca - comme en France - a cause des taxes et cotisations sociales. J'imagine que si mon employeur voulait nous verser l'équivalent de la somme en salaire, ca lui couterait en fait beaucoup plus cher.

Posté

J'exige un plateau de fromages au boulot. Ah, grignoter un peu de comté ou de scamorza en pondant une requête...

Posté

Mon expérience personnelle, c'est que j'avais "deux" faims: une envie de manger pour me remplir la panse, et une envie de manger certaines choses en particulier (principalement des choses très sucrées - pendant mes études il m'arrivait de descendre des sacs de bonbons format familial), plutôt soudaine et irrégulière.

J'aurais tendance à dire qu'aucune de ces deux faims n'en étaient une, puisqu'aucune des 2 n'aboutit à la satiété.

Posté

j'ai suivi le régime low carb depuis le 1er juin en faisant très peu d'écart entre le 1er juin et le 5 octobre, j' ai perdu 13 Kg (je suis passé de 131 à 118 Kg)

 

Puis j'ai eu mon anniversaire, suivi de la période de noël et ça fait donc depuis le 5 octobre que je fais écart sur écart, je ne parviens plus à me discipliner ou en tout cas pas plus d'un jour. Et ce matin je pesait 127 Kg.

 

Je hais jouer au yo-yo, je suis terriblement frustré par cette échec cuisant et j'ai du mal à me remotiver plus de 24 heures. 

 

J'ai même failli passer à un régime classique et je me dis que je vais faire pareil. 

 

Depuis que j'ai fais tous ces écarts, j'ai régulièrement des besoin massif de sucre, je craque et me jette sur du chocolat, des chips, un sandwich ou autre machin rempli d'hydrate de carbone,  tout en ne diminuant pas la dose de gras à coté, c'est donc une catastrophe.

 

A chaque foi que je pèse (ce que je fais de moins en moins) j’essaye de me remotiver, je me dis que je vais me reprendre, et puis j'échoue. :(

 

Ce que tu décris me fait penser que le poids est essentiellement un problème psychologique et comportemental, une forme d'addiction en quelque sorte où la relation avec la nourriture a perdu sa spontanéité et oscille entre des comportements de compulsion frénétique, boulimie, avec culpabilité sous-jacente, et des comportements de privation prolongée avec frustration.

L'essentiel ici serait de parvenir à une relation différente avec le fait de manger, avec la nourriture, une relation qui ne passerait plus par ces formes de désir et de rejet, mais par une harmonie avec ses besoins naturels.

Comment y parvenir ? C'est une autre question.

Posté

manger plus souvent mais moins ( petit dej - snack - dej - snack de 3h - snack de 5h - repas du soir ) et boire beaucoup de bulles

Posté

J'aurais tendance à dire qu'aucune de ces deux faims n'en étaient une, puisqu'aucune des 2 n'aboutit à la satiété.

Bien sûr que si: la première.

Ce que tu décris me fait penser que le poids est essentiellement un problème psychologique et comportemental, une forme d'addiction en quelque sorte où la relation avec la nourriture a perdu sa spontanéité et oscille entre des comportements de compulsion frénétique, boulimie, avec culpabilité sous-jacente, et des comportements de privation prolongée avec frustration.

Mais bien sûr. Et tu comptes aussi soigner le diabète et les cancers par la psychanalyse, pendant qu'on y est ?

L'un des plus grands maux du siècle dernier aura bien été d'attribuer à la psychiatrie ce qui tient de la neurologie. Dépression, autisme, schizophrénie, peut-être même aussi troubles de l'identité sexuelle... beaucoup de malades ont été maltraités par le monde médical à cause de ça. Tu t'en fais le complice, là.

J'ai décrit plus haut le mécanisme qui crée le comportement addictif: dérèglement au niveau des neurotransmetteurs, entraînant derrière un dérèglement hormonal. A cela s'ajoute l'effet amplificateur d'appétit de la gliadine glia-alpha-9 entre autres effets nocifs, présent dans les variétés modernes de blé. Nulle psychologie dedans, et la preuve la plus flagrante c'est la disparition à moyen terme de ces comportements que tu qualifies de psychologiques, lorsqu'on élimine le blé et l'excès de glucides raffinés dans l'alimentation, sans thérapie psy.

Posté

Bien sûr que si: la première.Mais bien sûr. Et tu comptes aussi soigner le diabète et les cancers par la psychanalyse, pendant qu'on y est ?

L'un des plus grands maux du siècle dernier aura bien été d'attribuer à la psychiatrie ce qui tient de la neurologie. Dépression, autisme, schizophrénie, peut-être même aussi troubles de l'identité sexuelle... beaucoup de malades ont été maltraités par le monde médical à cause de ça. Tu t'en fais le complice, là.

J'ai décrit plus haut le mécanisme qui crée le comportement addictif: dérèglement au niveau des neurotransmetteurs, entraînant derrière un dérèglement hormonal. A cela s'ajoute l'effet amplificateur d'appétit de la gliadine glia-alpha-9 entre autres effets nocifs, présent dans les variétés modernes de blé. Nulle psychologie dedans, et la preuve la plus flagrante c'est la disparition à moyen terme de ces comportements que tu qualifies de psychologiques, lorsqu'on élimine le blé et l'excès de glucides raffinés dans l'alimentation, sans thérapie psy.

 

N'importe quoi. Tu mélanges psychologie et psychiatrie.

N'importe quelle décision, action impliquant un être humain fait intervenir la psychologie. Tous les individus ne fonctionnent pas comme toi en matière de psychologie, il ne suffit pas de leur dire : voici ce qu'il y a à faire, les gens ne sont pas des machines biologiques à une seule dimension, et la médecine ne se résume pas à une perturbation enzymatique qu'il faudrait identifier et corriger.

 

PS : Et la satiété ne correspond pas à la sensation d'un estomac rempli, au moins parce que l'estomac est extensible et donc plus on mange, plus il est gros, et plus il est difficile de le remplir.

Posté

c'est impossible de dissocier les deux.La presence de gras fucke avec tes hormones et change ton comportement.Il y a plein de trucs psychologiques pour venir a bout d'un regime.

Et le fait defaire quelque chose a aussi un impact psychologique ( c'est pour ca qu'il est bon de remplir sa journee de petits repas et autres structures).

Si vous commencez un debat psycho/phisio dans ce thread vous etes des gros nuls.

Posté

L'un des plus grands maux du siècle dernier aura bien été d'attribuer à la psychiatrie psychologie ce qui tient de la neurologie.

 

Là, +1000

Posté

C'est impossible de dissocier les deux.

:chine:

Et peu importe qu'on parle de psychologie, de psychiatrie ou de neuropsychologie. Bon, pour la psychanalyse faut pas déconner quand même.

Posté

Des pas préliminaires de recherche sur la kétose comme traitement de cancers métastasés terminaux.

 

http://www.medscape.com/viewarticle/749855

 

La question qui vient naturellement est : pourquoi attendre le stade métastasé ? 

 

La question sur la question est : pourquoi cette piste n'est même pas suggérée dans les conclusions de l'étude ? 

Posté

La question qui vient naturellement est : pourquoi attendre le stade métastasé ? 

 

La question sur la question est : pourquoi cette piste n'est même pas suggérée dans les conclusions de l'étude ? 

 

Peut-être parce que pour l'instant lorsque'on a une bonne chance de rémission ça me parait un peu hardcore à proposer ?

En chimio on subit tout un tas de contrainte comme les vomissements etc... Donc l'alimentation c'est surtout, dès que tu te sens mieux tu bouffes tout ce qui peut passer.

 

Après moi j'étais tout piti et même si j'ai toujours bien aimé les légumes, c'était pas aussi facile à avaler que du riz ou des pâtes.

Posté

Peut-être parce que pour l'instant lorsque'on a une bonne chance de rémission ça me parait un peu hardcore à proposer ?

 

Pour un traitement contre le cancer, c'est au contraire hyper soft à coté des alternatives.

Posté

La question qui vient naturellement est : pourquoi attendre le stade métastasé ? 

 

La question sur la question est : pourquoi cette piste n'est même pas suggérée dans les conclusions de l'étude ? 

 

Les critères d'inclusion de cette étude sont plutôt restrictifs. Seuls les patients avec un cancer métastatique et qui ne bénéficient plus d'aucun autre traitement (ni chimio, ni radiothérapie) sont inclus.

 

Difficile de proposer à quelqu'un qui présente un cancer non métastatique (donc en pratique possiblement ou plus facilement curable), seulement un régime alimentaire pauvre en glucides alors qu'il existe d'autres solutions connues (chirurgie, radio ou chimiothérapie). C'est pourtant ce qui serait le plus significatif

 

Proposer un régime associé à un traitement habituel (chimio, radio ou chirurgie) et faire un suivi pour n'importe quel type de cancer, à n'importe quel stade mènerait vraisemblablement à des résultats non significatifs statistiquement étant donné que le pronostic d'un cancer change du tout au tout selon son type et son stade.

 

Ce qu'il faudrait faire pour y voir clair c'est:

-même type de cancer

-même stade

-traitement habituel vs traitement habituel + régime

Posté

Pour un traitement contre le cancer, c'est au contraire hyper soft à coté des alternatives.

 

Je veux dire en sachant par quoi passe un type sous chimio, le gars a fondu de 30 kilos, à peine il sent des choux de Bruxelles il vomit, mais faut pas qu'il mange de pâte quand il a la dalle?

Posté

La kétose ça marche aussi très bien en prévention des cancers et tumeurs, à voir l'inexistence de ces maladies chez les peuples mangeurs quasi-exclusifs de viande/poisson.

Posté

Servan-Schreiber donnait déjà ce lien entre omega-3 et dépression dans son livre "Guérir".

Posté

Une petite lecture assez instructive sur le lien entre nutrition et dépression

 

 

For all of human history – until the last couple of decades – people ate beef from cows (or buffalo or bison) which grazed on grass. The cows were usually strong and healthy. Their meat was lean, with very little saturated fat, as the critters ate well and got outdoor exercise. Their meat was high in good Omega 3 fats. See
and
, and
(
).

 

Today, on the other hand, beef is laden with saturated fat and almost entirely lacking healthy fats like Omega 3s, because the cows are force-fed food which makes them sick. Specifically, instead of their natural menu – grass – they are force-fed corn, which makes them sick. Because their diet makes them ill, they are given massive amounts of antibiotics.  Even with the antibiotics, the diet and living conditions would kill them pretty quickly if they aren’t slaughtered.

 

Ce passage a l'air de sous entendre que les graisses saturées sont mauvaises :online2long:

 

 

 

Sans déconner ? :rolleyes:

Posté

Ce passage a l'air de sous entendre que les graisses saturées sont mauvaises :online2long:

C'est des conneries. Les animaux étaient moins gras certes, mais on mangeait toutes les parties bien grasses (moelle, cervelle, etc.) et pas juste les muscles.

Posté

Servan-Schreiber donnait déjà ce lien entre omega-3 et dépression dans son livre "Guérir".

Servan-Schreiber, le type qui donne toutes les recettes pour ne pas mourir du cancer, et qui est lui-même mort du cancer ?
Posté

On peut aussi dire qu'il s'y est mis trop tard et qu'en tous cas il n'avait de raison de tromper (pour vendre ou se faire un nom) vu son état. 

Posté

Servan-Schreiber, le type qui donne toutes les recettes pour ne pas mourir du cancer, et qui est lui-même mort du cancer ?

 

C'est justement parce qu'il était cancéreux qu'il s'est intéressé au sujet.

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