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Santé & nutrition, que manger ?


Jesrad

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Ha bon, tu crois ? Pas pour l'agneau, en tous cas, mais ça peut être une raison, en effet

Si. La cervelle de mouton a disparu l'année de la vache folle.
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Tu l'as lu cet article, Jesrad ?

 

Ils disent avoir repéré chez des souris que la TMAO augmente le risque cardiaque. (soit, je n'ai pas vérifié, hein.)

Ils disent ensuite avoir repéré que ce taux de TMAO est supérieur chez les mangeurs de viande que chez les végétaliens, et ce, après un repas.

 

Que cette TMAO est introduite par des bactéries de la flore intestinale, bactéries absentes de la flore de végétaliens.

 

Je ne vois pas bien où est le biais d'ahérence ici.

 

Et ils précisent bien qu'ils doivent vérifier ce lien entre TMAO et problème cardiaque chez l'homme.

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J'ai dit exactement la même chose. Ce sont les journalistes qui rapportent tout ça qui extrapolent. Pour moi, il n'y a toujours pas de lien de causalité entre la viande rouge et les maladies cardiaques.

 

En parlant de viande rouge, il apparaît que http://news.nationalgeographic.com/news/2010/03/100305-first-proof-gorillas-eat-monkeys-mammals-feces-dna/'>même les gorilles, ces icônes du végétarisme, en mangent.

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quelle surprise. Un sujet complexe maltraite par les chercheurs et massacre par un journaliste, il va pleuvoir des boulettes de viande.

Posté

...

 

En parlant de viande rouge, il apparaît que même les gorilles, ces icônes du végétarisme, en mangent.

 

En fait on a cette surprise sur bien des espèces de singes. J'en suis arrivé à me demander si le comprtement génocidaire observé par Jane Goodall chez ses chimpanzés n'avait pas été causé, d'une façon ou d'une autre, par le fait qu'elle les forçait à un régime végétarien, par exemple en faisant fuir leurs proies par sa présence.

Posté

quelle surprise. Un sujet complexe maltraite par les chercheurs et massacre par un journaliste, il va pleuvoir des boulettes de viande.

C'est aussi l'avis de Mark Sisson sur le même sujet :D

En passant il signale le fait que, parallèlement, le poisson est plein de TMA que le foie convertit en TMAO, alors que le poisson est statistiquement associé à une meilleure santé carsiovasculaire, ce qui suggère très fortement qu'il n'y a pas de causalité TMAO->CVD chez les humains.

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Comme il est toujours utile de consulter les avis de personnes opposées à nos idées, voici un texte que j'ai découvert ce matin :

 

 

Manger comme nos ancêtres : une croyance à réviser
FRANCE, le 5 mars 2010

Notre alimentation a été bouleversée au cours des 10 000 dernières années alors que nos gènes ont peu évolué. L'épigénétique nous apprend que le fonctionnement de notre génome peut être modifié par notre alimentation, ce qui permet une adaptation cellulaire rapide, profonde et héréditaire.

Les régimes "miracles" pour la jeunesse éclosent régulièrement. Ils sont souvent plus basés sur des croyances que sur des réalités scientifiques. Il n'était pas possible de retracer dans ce dossier l'ensemble des régimes qui ont déjà démontré leur peu d'utilité comme l'instinctothérapie ou ceux construit sur un simple raisonnement intellectuel et des hypothèses souvent fausses comme le régime des groupes sanguins. Le cas du régime paléolithique des chasseurs cueilleurs en est un bon exemple. Le docteur Jeffrey Bland en annonce la mort dans un article intitulé : Épigénétique : la mort de l'homme paléolithique.

En 1985, Boyd Eaton et Melvin Konner, professeurs à l'Emory Medical College d'Atlanta ont écrit un article, Nutrition paléolithique : examen de sa nature et de ses implications actuelles. Leur postulat était que bien que notre génétique ait peu ou pas changé depuis l'époque paléolithique, notre régime alimentaire avait été complètement bouleversé. Ils émettaient l'idée que les changements secondaires à l'évolution de l'industrie agroalimentaire, tant en matière d'élevage que d'agriculture intensive, que de préparation et de conservation des aliments, débouchaient sur une diététique totalement inadaptée à notre patrimoine génétique traditionnel. Ceci expliquant les maladies du monde occidental.

Cette théorie a été reprise par plusieurs médecins et scientifiques jusqu'à ces dernières années. On le retrouve d'une certaine manière dans un best-seller des médecines alternatives françaises, l'alimentation ou la troisième médecine du professeur Seignalet. La conclusion étant identique, à savoir que l'alimentation moderne n'est pas faite pour nous. Ces articles développent un raisonnement très cohérent sur l'alimentation des humains les plus civilisés. Celle-ci est principalement composée de graines de céréales, d'aliments transformés, de protéines provenant d'animaux suralimentés et de lait de vache. Ceci est incompatible avec notre héritage génétique paléolithique.

Nous sommes donc devant une hypothèse raisonnable facile à accepter. Mais, est-il exact de dire qu'aucune adaptation significative de notre génétique face à notre nourriture altérée n'est possible en une période aussi courte comme l'affirment G Jacks and JS Torgerson dans leurs articles ? Il n'est pas question de discuter le fait que de mauvaises habitudes alimentaires contribuent à la montée en puissance des maladies chroniques. L'excès de glucides lents ou rapides absorbés chaque jour est responsable du nombre important de diabétes. Même en Chine, on voit apparaître de façon exponentielle les maladies chroniques occidentales. La question qui reste posée est : "le régime paléolithique est-il oui ou non celui qui est le mieux adapté pour nos gènes ?"

La révolution épigénétique

Il est possible que l'expression de notre patrimoine génétique puisse changer beaucoup plus rapidement que ce qui est suggéré par le modèle de sélection naturelle, selon les théories de Charles Darwin. Les mécanismes épigénétiques pourraient expliquer notre capacité à nous adapter à un environnement nutritionnel rapidement changeant. Le domaine de l'épigénétique est apparu pour combler la brèche entre l'inné et l'acquis. Sommes-nous le fruit de notre confrontation à notre environnement ou sommes-nous programmés à partir de séquences chimiques inscrites dans nos gènes ?

Au XXIe siècle, la définition la plus courante de l'épigénétique est " l'étude des changements héréditaires dans la fonction des gènes, ayant lieu sans altération de la séquence ADN ". Il s'agit de modifications des fonctions cellulaires qui influent sur le comportement cellulaire sans changement des molécules de l'ADN ou patrimoine génétique. Ceci est possible en n modifiant l'architecture des brins d'ADN en faisant intervenir des protéines fixées aux brins d'ADN. Ces changements rendent silencieux certains gènes. Même si nos gènes ne changent pas rapidement, leur expression peut être rapidement modifiée. Comme ses protéines et leur mode de fixation dépendent de notre alimentation, celle-ci joue un rôle dans l'expression de nos gènes. Ce concept est le début d'une révolution de notre mode de pensée il est appelé "la médecine épigénétique".

Le régime paléolithique est-il oui ou non celui qui est le mieux adapté pour nos gènes ?

Durant les 100 dernières années, la médecine s'est basée sur les connaissances génétiques de Darwin. Mais récemment, une médecine néo-Lamarckienne basée sur des principes épigénétiques modifie le dogme de la sélection naturelle. Jean-Baptise Lamarck (1744-1829) est connu pour ces théories sur l'évolution survenant par l'héritage de caractéristiques acquises, on appelle cela le "lamarckianisme".
John Miller, de l'institut national du cancer, indique que le concept d'épigénétique complique la possibilité de la définition d'un régime idéal. Il suggère que de nombreux composants alimentaires peuvent interagir avec les réactions biologiques de plusieurs façons, ce qui modifie l'expression des gènes sans faire intervenir les effets de la sélection génétique liées aux mutations génétiques aléatoires. Nous commençons à comprendre que les facteurs épigénétiques sont construits dans les processus biologiques afin de permettre des modifications rapides de la génétique en réponse à un environnement rapidement modifié.

Une personne moderne, dont le patrimoine génétique est issu de parents vivant dans un pays industrialisé, possède-t-elle encore des caractéristiques génétiques paléolithiques ou son expression génétique a-t-elle été épigénétiquement modifiée pour s'accommoder du nouvel environnement nutritionnel ? D'une certaine façon, ce concept pose une question importante : " Sommes-nous encore des paléolithiques ou sommes-nous devenus des consommateurs adaptés aux produits de l'industrie agroalimentaire et de l'élevage moderne ?

Certains micronutriments jouent un rôle important dans l'émergence des modifications épigénétiques. Par exemple, les vitamines PP, B9, B12 et le zinc sont connus pour modifier l'expression génétique. Les régimes végétariens stricts sans viande, poissons et œufs sont connus pour être pauvres en vitamine B12, ce qui influence les fonctions de méthylation dans notre corps. Des études ont déjà été menées pour évaluer les répercussions de ce régime sur notre fonctionnement génétique. Les études chez l'animal ont montré que les facteurs de méthylation influencent l'expression épigénétique et à terme le phénotype. Ceci a été montré chez des souris génétiquement obèses. Un régime riche en facteurs de méthylation (Vit B9, Vit B12, choline et bétaine) pendant la gestation, modifie positivement l'expression des éléments épigénétiques de leur progéniture.

En 2006, une étude sur des souris obèses du même type a montré qu'en les nourrissant avec un régime enrichi en génisteine (à des doses comparables à celles d'humains mangeant beaucoup de soja), leur progéniture était moins obèse que les témoins. Cet effet positif s'explique par des modifications épigénétiques. Ceci suggère que l'expression génétique peut être modifiée par certaines vitamines mais aussi par des molécules provenant de plantes.

On commence à comprendre le rôle de l'alimentation sur les modifications épigénétiques, ce qui peut laisser penser que nous ne partageons plus les caractéristiques métaboliques de nos ancêtres du paléolithique. D'une certaine manière, nous nous sommes adaptés à notre nouvelle alimentation et nous ne sommes plus faits pour une alimentation de chasseur cueilleur. Il devient alors difficile d'accepter sans réserve l'idée que nous devrions suivre un régime paléolithique pour être en bonne santé. En fait, il est hautement probable que les hommes du paléolithique ne pourraient pas s'habituer facilement à une alimentation du XXIe siècle.
L'homme du paléolithique a disparu, l'homme du XXIe siècle a le potentiel de s'adapter à son environnement nutritionnel. Tout au moins, s'il n'est pas carencé en vitamines et minéraux ou molécules permettant à l'épigénétique de jouer son rôle bénéfique. Malheureusement, ces carences sont souvent rencontrées à notre époque. L'intérêt de la supplémentation en vitamine B9 des jeunes femmes, avant qu'elles ne mettent en route une grossesse, a déjà été démontré pour prévenir des anomalies neurologiques. Mais doit-on se limiter à cette supplémentation ?

Ceci ne remet tout de même pas en question le fait que de nombreux facteurs perturbant nos apports alimentaires, comme la disparition de certains nutriments au cours du parcours industriel des aliments et l'introduction de nombreux produits chimiques, favorisent certaines maladies du monde moderne. Il est certain que des changements survenus pendant les 60 dernières années ont grandement modifié les propriétés des aliments et les effets qu'ils ont sur l'expression génétique et le développement de maladies chroniques. Il serait plus utile d'inciter nos patients à manger des produits peu raffinés ou appauvris par l'industrie agroalimentaire plutôt que de calquer leur alimentation sur celle de nos ancêtres.

Pour de plus amples informations, consulter "L'alimentation à l'origine de l'humanité et ses évolutions". (Par le Dr Philippe Tournesac, d'après l'article "Epigenetics : The death of the human ?". Jeffrey Bland, PhD, chairman, Institute for Functional Medicine. Integrative Medicine, Vol. 5,10 No. 4, Aug/Sept 2006. - SANTE INTEGRATIVE n°13 - Janvier/Février 2010)

Source : SANTE INTEGRATIVE

http://www.spondylarthrite-ankylosante.info/alimentationancetres.html

 

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Comme il est toujours utile de consulter les avis de personnes opposées à nos idées, voici un texte que j'ai découvert ce matin :

 

Oui enfin il dit quand même qu'il faut limiter les aliments raffinés... Et puis, sérieusement, je me sens bien mieux depuis que je mange low-carb... et j'ai fondu alors ils peuvent dire ce qu'ils veulent mais moi je reste à mon low-carb...

Posté

Et il n'est pas le seul à fonctionner. Point final final.

 

Tu manges comment?

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Je mange de tout. Je veille à ne pas manger trop de glucides mais je mange quand même du blé quasiment tous les jours.

Posté

Je mange de tout. Je veille à ne pas manger trop de glucides

 

Pareil. Je crois que le point fondamental reste d'abolir les aliments délétères : soda, bonbon, patisserie, graisses hydrogénées, plats industriels...

Posté

Je mange de tout. Je veille à ne pas manger trop de glucides mais je mange quand même du blé quasiment tous les jours.

 

Ok ben tu fois dans mon cas je me suis découvert intolérant au gluten... Franchement, j'avais en permanence mal au ventre et maintenant terminé... Je ne dis pas que je ne mange pas temps en temps des pommes de terre, des pâtes ou bien des féculents mais c'est extrêmement rare.

 

Ma silouhette s'est grandement affinée sans forcément faire beaucoup de sport. Je n'ai plus faim comme j'ai pu l'avoir quand je mangeai selon les principes de ma diététienne (des féculents (200 g maxi par repas) des légumes à volonté de la viande et un produit laitier).

 

Je mourrais peut-être tôt d'une crise cardiaque, je n'en sais foutre rien mais quand je vois comment les tenants du régime low-carb ont raison sur ma capacité à maintenir mon poids, affiner ma silouhette et à refaire fonctionner la régulation de mon appétit/satiété, je me dis que ces mécanismes à plus long terme doivent être bénéfiques. Mais seul l'avenir nous dira qui a tort ou raison...

 

édit : en plus, je trouve que les livres de Taubes donnent une explication plausible des mécanismes entraînant l'obésité et j'y vois une logique d'une démarche scientifique... En plus j'ai un terrain famillial propice aux cancers intestinaux et je vais avoir la joie d'aller faire une colloscopie pour mes 40 ans (c'est dans six ans), je verrai bien si les propriétés d'un régime n'impliquant une faible production d'insuline me 'protégera' d'un cancer...

Posté

Et il n'est pas le seul à fonctionner. Point final final.

 

Tu manges comment?

 

Personnellement je ne me prive de rien, je ne me restreins en rien. Je compense juste par une activité sportive 3 fois par semaine, ce qui me permet de garder la forme et être athlétique. Ca vaut tous les régimes bidons.

Posté

Enfin si on peut éviter ce genre de 'repas' :

 

Oui, enfin quand je dis que je ne me prive de rien, c'est aussi dans la limite de mes goûts personnels et en général ça ne passe pas par ce genre de repas. :-)

Posté

Personnellement je ne me prive de rien, je ne me restreins en rien. Je compense juste par une activité sportive 3 fois par semaine, ce qui me permet de garder la forme et être athlétique. Ca vaut tous les régimes bidons.

 

:icon_rolleyes:

 

Ok ben tu fois dans mon cas je me suis découvert intolérant au gluten... Franchement, j'avais en permanence mal au ventre et maintenant terminé... Je ne dis pas que je ne mange pas temps en temps des pommes de terre, des pâtes ou bien des féculents mais c'est extrêmement rare.

 

Il n'y a pas de gluten dans les pommes de terres.

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Personnellement je ne me prive de rien, je ne me restreins en rien. Je compense juste par une activité sportive 3 fois par semaine, ce qui me permet de garder la forme et être athlétique. Ca vaut tous les régimes bidons.

 

N arrête jamais le sport alors... tous les amis irl sportifs qui ont arrêté ont eu de l'embonpoint.

 

et ce n'est pas bidon comme régime...

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Comme il est toujours utile de consulter les avis de personnes opposées à nos idées, voici un texte que j'ai découvert ce matin :

J'ai posté, quelques pages plus haut, un message expliquant que les mères dodues avaient tendance à faire des enfants dodus, parce que l'insulino-résistance des premières déréglait leur glycémie, et donc la glycémie de leur foetus, qui naissaient bien avancés sur le chemin de l'insulino-résistance.

Si ce n'est pas de l'épigénétique, ça...

Posté

J'ai posté, quelques pages plus haut, un message expliquant que les mères dodues avaient tendance à faire des enfants dodus, parce que l'insulino-résistance des premières déréglait leur glycémie, et donc la glycémie de leur foetus, qui naissaient bien avancés sur le chemin de l'insulino-résistance.

Si ce n'est pas de l'épigénétique, ça...

 

+1

 

Autrement, ce site me fait bien rire. Et bon appétit.

Posté

Iceman Had Bad Teeth

http://science.slashdot.org/story/13/04/11/1931257/iceman-had-bad-teeth

Europe's best-known mummy wasn't just a medical mess; he also had terrible teeth, according to a new study. Ötzi, a Stone Age man who died atop a glacier about 5300 years ago, suffered from severe gum disease and cavities. When Ötzi was discovered atop a glacier on the Austro-Italian border, his frozen corpse was intensively studied. But no one took a close look at his teeth until now. Using 3D computer tomography (a CAT scan), the hunter's mouth could be examined for clues as to the life he led. A fall or other accident killed one of his front teeth, still discolored millennia later. And he may have had a small stone, gone unnoticed in his whole-grain bread or gruel, to thank for a broken molar. That gruel may be the culprit behind Ötzi's cavities and gum disease, too. The uptick in starches, the researchers suggest, could explain the increasing frequency of cavities in teeth from the time—a problem that's been with us ever since.

Posté

N arrête jamais le sport alors...

Ce n'est pas dans mon intention.

tous les amis irl sportifs qui ont arrêté ont eu de l'embonpoint.

C'est uniquement parce qu'ils n'ont pas su adapter leur régime alimentaire en fonction des calories qu'ils brulaient. Evidemment quand tu arrêtes le sport il ne faut plus manger de la même manière que lorsque tu en faisais régulièrement pendant des années.

Je me permets de ne pas me priver uniquement parce que je sais que le sport que je fais peut éliminer. Je serai sans doute très malheureux le jour où je devrai arrêter le sport et devoir surveiller ce que je mange pour ne pas prendre 10kg en 1 mois.

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