Tramp Posté 25 avril 2018 Signaler Posté 25 avril 2018 Un petit peu de propagande égalitariste au passage Le Monde - Paris truqués : le tennis a un « grave problème » Une enquête dans le système de paris sur le tennis, dévoilée mercredi, évoque un « tsunami » de matchs arrangés aux niveaux inférieurs. Un fléau notamment dû aux inégalités salariales dans le sport. http://www.lemonde.fr/roland-garros/article/2018/04/25/paris-truques-le-tennis-a-un-grave-probleme_5290579_1616946.html 1
RaHaN Posté 25 avril 2018 Signaler Posté 25 avril 2018 Sauf qu'à aucun moment, il ne reparle d'inégalité dans le texte.
Tramp Posté 25 avril 2018 Signaler Posté 25 avril 2018 il y a 1 minute, Restless a dit : Sauf qu'à aucun moment, il ne reparle d'inégalité dans le texte. Oui c'est ça qui est génial. 1
NoName Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 Il y a 20 heures, Johnathan R. Razorback a dit : @NoName pointait les urbanistes mais les géographes aussi sont forts niveau neutralité: « Pour mettre fin aux inégalités les plus criantes et aussi pour éviter des explosions sociales incontrôlables résultant d’une opposition de classes parfois caricaturales entre une oligarchie foncière réduite en nombre et des masses paysannes misérables, l’idée de « réforme agraire » a souvent été évoquée depuis le XVIIIe siècle. Le but de l’opération n’est pas seulement de lutter contre les injustices. Il est aussi économique lorsqu’il s’agit de mettre en culture les terres inexploitées de grandes propriétés de plusieurs milliers d’hectares ayant une faille efficacité économique (latifundia). Le processus peut prendre deux voies radicalement différentes : -soit une abolition de la quasi-totalité des propriétés privées et la collectivisation générales des terres. -soit une limitation de la grande propriété. Au-delà d’un certain seuil, les terres sont expropriées par l’Etat, avec dédommagement des anciens propriétaires et redistribuées aux paysans sans terre ou insuffisamment dotés. » -Jean-Paul Diry, Les espaces ruraux, Paris, Armand Colin, 2006 (1999 pour la première édition), 192 pages, p.30-31. Ho bah t'inquiètes, cherche géographie avec mon pseudo sur le forum
Johnathan R. Razorback Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 il y a 29 minutes, NoName a dit : Ho bah t'inquiètes, cherche géographie avec mon pseudo sur le forum Oui, tu m'avais dit en janvier que "la géographie humaine c'est des putains de nostalgiques de l'URSS" et tu t'en plaignais déjà en 2013 Histoire de faire mon petit garde rouge libéral je note que tous mes profs de géo / urbanisme sont grévistes et plusieurs fer-de-lance du mouvement. Parait-il qu'on va mettre le capitalisme à genoux en mettant des notes politiques aux gens... 1
poney Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 je pense qu'ils sont plus atteints encore que les sociologues, c'est vous dire. 1
Tramp Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 Si je comprends bien : les sociologues ont des pseudos compétences en économie et les géographes des pseudos compétences en économie et en sociologie, c'est ça ?
poney Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 edit : le fait que ça ne soit pas une vraie discipline mais un bordel touche à tout, n'y est pas étranger. Pas de discipline, pas de discipline, c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres. Les sociologues sont obligés de faire avec des tables de mobilités, des entretiens, des données statistiques. Les géographistes peuvent partir en roue libre. à l’instant, Tramp a dit : Si je comprends bien : les sociologues ont des pseudos compétences en économie et les géographes des pseudos compétences en économie et en sociologie, c'est ça ? Je dirais que les sociologues sont des pseudo compétents dès qu'on sort de leur registre et que les géographes sont des pseudo compétents.
Johnathan R. Razorback Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 il y a 18 minutes, poney a dit : le fait que ça ne soit pas une vraie discipline mais un bordel touche à tout, n'y est pas étranger. Ah oui, j'ai lu je ne sais plus où un auteur qui parlait du "sentiment d'illégitimité épistémologique" du géographe.
poney Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 à l’instant, Johnathan R. Razorback a dit : Ah oui, j'ai lu je ne sais plus où un auteur qui parlait du "sentiment d'illégitimité épistémologique" du géographe. C'est pas un sentiment, la néo-géographie c'est les "studies" avant l'heure, on touche à tout, on maitrise rien, on a pas d'épistémologie, on grappille des trucs à gauche et à droite qu'on essaie maladroitement de faire tenir ensemble.
Mathieu_D Posté 26 avril 2018 Auteur Signaler Posté 26 avril 2018 Ben les mecs en ce moment je suis dans le géomarketing, faire des cartes sympa et en déduire quel est le meilleur endroit pour foutre un magasin ça nécessite quand même du skillz. (heureusement que j'apprend vite) 'fin vous allez me dire que ça n'a rien à voir avec la géographie?
Flashy Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 Il y a un historien, sur le forum? Peut-il nous partager sa douleur de voir sa matière assimilée à la géographie?
poney Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 il y a 14 minutes, Mathieu_D a dit : Ben les mecs en ce moment je suis dans le géomarketing, faire des cartes sympa et en déduire quel est le meilleur endroit pour foutre un magasin ça nécessite quand même du skillz. (heureusement que j'apprend vite) 'fin vous allez me dire que ça n'a rien à voir avec la géographie? c'est plus du marketing que de la géographie, oui
Johnathan R. Razorback Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 Il y a 2 heures, Flashy a dit : Il y a un historien, sur le forum? Peut-il nous partager sa douleur de voir sa matière assimilée à la géographie? Moi je suis en formation mais j'ai déjà très envie de partager ma douleur... Je pense d'ailleurs ne pas être le seul à trouver cet accouplement contre-nature...La division du travail n'est pas faite pour les chiens... « L’histoire-géographie est un couple typiquement français […] Le duo est fondamentalement asymétrique puisque 80 à 90% des enseignants se considèrent comme des historiens et que l’histoire jouit d’un bien plus grand prestige, notamment auprès du grand public (il n’est que de comparer les multiples revues d’histoire grand public aux rares revues traitant de géographie). Il y a donc un sens où ça passe mieux, quoi qu’on en dise : la géographie est plus appréciée en histoire que ne l’est l’histoire en géographie, sans doute parce que les historiens ne se sentent pas tellement menacés par les géographes (et ils ne le sont pas de fait) alors que la réciproque n’est pas vraie. » (Thomas Merle, Réussir le CAPES (et/ou l’agrégation) d’Histoire-Géographie, Atlande, coll. Clefs concours Histoire-Géographie, 2016, 505 pages, p.353.)
Tramp Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 C'est magique : Un autre type de pratique s’avère particulièrement néfaste : celle du don sauvage de livres, par des structures associatives quand ce ne sont pas de simples individus qui, à l’occasion de voyages, apportent des valises d’ouvrages. Parallèlement au développement de son catalogue, l’éditrice mène de nombreuses actions de promotion du livre et de la lecture, tout en orientant les associations françaises désireuses d’aider vers la vente de livres collectés, dont l’argent servira à acheter des livres produits localement plutôt qu’à l’expédition de livres venus de France, lesquels transportent avec eux une culture et une vision du monde différentes de ce que proposent les livres africains. On voit bien quand même les intérêts corporatistes. Les plus opposés au don de livre étant les éditeurs qui en plus demandent du pognon de l'Etat. Le Monde - Attention, donner des livres à l’Afrique nuit gravement à sa santé éditoriale Considéré comme un acte philanthropique, l’envoi aux pays du Sud d’ouvrages édités au Nord pose de nombreuses questions économiques et éthiques. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2018/04/26/attention-donner-des-livres-a-l-afrique-nuit-gravement-a-sa-sante-editoriale_5291099_3212.html 1 1
Wayto Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 Il y a 5 heures, Flashy a dit : Il y a un historien, sur le forum? Peut-il nous partager sa douleur de voir sa matière assimilée à la géographie? Partiel de fin de semestre en géographie en L3 (sachant que ma majeure était histoire) : marcher dans Saint-Denis et en faire un compte-rendu. Les bidonvilles étaient presque folklo, mais voir 60 étudiants et 2 profs se faire escorter hors d'une cité c'était priceless. La seule chose que j'ai retenu de ce cours c'était des fous-rires et un Erasmus argentin qui n'arrêtait pas d'intervenir alors même que le prof ne le comprenait pas à cause de son accent.
poney Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 Il y a 2 heures, Tramp a dit : C'est magique : On voit bien quand même les intérêts corporatistes. Les plus opposés au don de livre étant les éditeurs qui en plus demandent du pognon de l'Etat. Le Monde - Attention, donner des livres à l’Afrique nuit gravement à sa santé éditoriale Considéré comme un acte philanthropique, l’envoi aux pays du Sud d’ouvrages édités au Nord pose de nombreuses questions économiques et éthiques. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2018/04/26/attention-donner-des-livres-a-l-afrique-nuit-gravement-a-sa-sante-editoriale_5291099_3212.html j'ai envie de buter ces gens, sérieusement 1
NoName Posté 26 avril 2018 Signaler Posté 26 avril 2018 Il y a 7 heures, Flashy a dit : Il y a un historien, sur le forum? Peut-il nous partager sa douleur de voir sa matière assimilée à la géographie? On a passé tout notre Master à bully les géographes qui étaient peut être dix toutes promos confondus, les pauvres. Il y a 8 heures, poney a dit : edit : le fait que ça ne soit pas une vraie discipline mais un bordel touche à tout, n'y est pas étranger. Pas de discipline, pas de discipline, c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres. Les sociologues sont obligés de faire avec des tables de mobilités, des entretiens, des données statistiques. Les géographistes peuvent partir en roue libre. Je dirais que les sociologues sont des pseudo compétents dès qu'on sort de leur registre et que les géographes sont des pseudo compétents. C'est d'autant plus triste que quand tu fais de la géographie bien, de manière rigoureuse en utilisant des concepts opérationnels utiles c'est vraiment super intéressant. Même la Geo humaine. Des concepts comme les espaces vécus, l'oikoumene, le fait d'évaluer les distances en utilisant des données qui ne sont pas de la distance pour expliquer les dynamiques humaines au sein d'une ville, franchement c'est super cool. Il y a 7 heures, Mathieu_D a dit : Ben les mecs en ce moment je suis dans le géomarketing, faire des cartes sympa et en déduire quel est le meilleur endroit pour foutre un magasin ça nécessite quand même du skillz. (heureusement que j'apprend vite) 'fin vous allez me dire que ça n'a rien à voir avec la géographie? Ça dépend mais la ça m' a l'air d'être un peu de Geo et des trucs de stats avec du marketing en plus non. Genre calculer des sortes de barycentres et tout, tu dois avoir la partir Geo pour le choix des donnés utiles.
Waren Posté 27 avril 2018 Signaler Posté 27 avril 2018 John Milbank : "Le libéralisme est une erreur anthropologique". Curieux, Jean-Paul II disait exactement la même chose du ..... socialisme.
Johnathan R. Razorback Posté 27 avril 2018 Signaler Posté 27 avril 2018 il y a 28 minutes, Waren a dit : John Milbank : "Le libéralisme est une erreur anthropologique". Source ? Faudrait arrêter d'utiliser anthropologique pour tout et n'importe quoi aussi, c'est inutilement grandiloquent. Surtout qu'il veut probablement dire que le libéralisme est une erreur morale et/ou politique.
Waren Posté 27 avril 2018 Signaler Posté 27 avril 2018 Il y a 4 heures, Johnathan R. Razorback a dit : Source ? Faudrait arrêter d'utiliser anthropologique pour tout et n'importe quoi aussi, c'est inutilement grandiloquent. Surtout qu'il veut probablement dire que le libéralisme est une erreur morale et/ou politique. http://lmgtfy.com/?q=Le+libéralisme+est+une+erreur+anthropologique
Rincevent Posté 27 avril 2018 Signaler Posté 27 avril 2018 Il y a 4 heures, Johnathan R. Razorback a dit : Faudrait arrêter d'utiliser anthropologique pour tout et n'importe quoi aussi, c'est inutilement grandiloquent. Surtout qu'il veut probablement dire que le libéralisme est une erreur morale et/ou politique. Justement, à leurs yeux c'est impossible parce que la morale c'est fachiss', et qu'en politique il n'y a pas de débat. Du coup, on passe à "anthropologique" parce que.
Johnathan R. Razorback Posté 27 avril 2018 Signaler Posté 27 avril 2018 http://www.lefigaro.fr/vox/culture/2018/04/27/31006-20180427ARTFIG00168-john-milbank-le-liberalisme-est-une-erreur-anthropologique.php Alors, dans l'ordre: -Hobbes n'est pas libéral. -Tous les libéraux ne sont pas contractualistes. Certains se sont donnés la peine de rejeter explicitement cette fable. Les libéraux non-contractualistes sont d'ailleurs certainement les plus nombreux. -D'habitude on reproche au libéralisme son "optimisme", là il lui reproche son "pessimisme anthropologique radical". Le seul argument est que le libéralisme reposerait sur l'idée que l'individu est "intrinsèquement égoïste". Ce qui peut être vrai ou non selon les auteurs, et par-dessus le marché il faudrait préciser ce que veut dire égoïste car le terme a au moins 3 sens dans le dictionnaire philosophique de Lalande. Bon. -Incapacité à distinguer libéralisme et contractualisme (déjà vu pour Hobbes, maintenant il parle de l' " anthropologie libérale est celle de Rousseau"). -Tocqueville est décrit comme tenant d'un "conservatisme" rival du libéralisme, ce qui est faux (mais c'est pas la première fois que je vois des gens de droite refuser que Tocqueville soit libéral). -Ensuite un couplet sur le libéralisme qui même au transgenrisme et autres folklores apparemment terrifiants pour le lecteur droiteux moyen ; ça vaut bien le coup d'écrire des bouquins de 500 pages si c'est pour effrayer Madame Michu avec une rhétorique au niveau des soraliens. -Ensuite on a droit au faux constat servant à légitimer le collectivisme ("l'argent est devenu le seul critère de respectabilité sociale". Oui camarade, Marx s'en plaignait dans le Manifeste. Encore un effort pour assumer ton anticapitalisme). -Approbation de Michéa dont la vacuité et la paresse intellectuelle ont été démontrées par A + B par Aristide Renou. Il y aurait presque de quoi faire une réponse pour CP... Entre le socialisme "bleu" de Milbank et le torysme rouge de Philippe Blond, je ne suis pas très optimiste sur l'évolution de l'Angleterre. Vous noterez au passage que Le Figaro n'hésite pas à leur offrir des tribunes: http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/10/21/31002-20161021ARTFIG00061-philippe-blond-trop-longtemps-le-conservatisme-a-ete-l-otage-du-liberalisme.php 1
Johnathan R. Razorback Posté 28 avril 2018 Signaler Posté 28 avril 2018 Ellul c'est nul (je radote mais ce type a colporté les poncifs antilibéraux les plus bêtes): « Lorsqu'on fait de l'individu la valeur principale, on finit par aboutir à une société désintégrée. [...] Dans la théorie individualiste, l'individu a une valeur éminente, l'homme est en lui-même le maître de sa vie, alors que dans l'individualisme pratique, on doit admettre que l'individu est soumis à d'innombrables puissances et influences, qu'il n'est en rien maître de sa vie. » -Jacques Ellul, Propagandes, Albin Michel, 1962, p. 106.
Mégille Posté 29 avril 2018 Signaler Posté 29 avril 2018 Qu'est-ce qu'il faut pas lire... https://www.alternatives-economiques.fr/loi-de-wagner/00068040 Citation les libéraux se réjouissent plutôt de ce que la dépense publique tende à se réduire en proportion du PIB. Mais force est de constater que cette réduction s’accompagne d’inégalités accrues et de formes variées d’exclusion au détriment des populations les plus vulnérables. C'est pas genre, tout comme la réalité, mais l'inverse ?
Adrian Posté 29 avril 2018 Signaler Posté 29 avril 2018 Citation La filière viticole ne pouvait rêver d’un meilleur ambassadeur : un président de la République qui aime le vin. Mais surtout, un président qui ne craint pas de le faire savoir. Même s’il boit avec beaucoup de modération. Une position inédite dans la Ve République, révélée dès la campagne présidentielle et qui ne s’est jamais démentie depuis. Un pari risqué, aussi : pour beaucoup d’électeurs, le vin est d’abord un produit nocif pour la santé. http://www.lemonde.fr/vins/article/2018/04/28/le-vin-sous-l-ere-macron_5292011_3527806.html Le journaliste ...
Waren Posté 29 avril 2018 Signaler Posté 29 avril 2018 Il y a 8 heures, Mégille a dit : Qu'est-ce qu'il faut pas lire... https://www.alternatives-economiques.fr/loi-de-wagner/00068040 C'est pas genre, tout comme la réalité, mais l'inverse ? J'ai arrêté à "seul l’Etat peut impulser et financer". Quand je pense que AE est systématiquement utilisé dans tous les manuels économiques dès le lycée ... 1
Johnathan R. Razorback Posté 30 avril 2018 Signaler Posté 30 avril 2018 dieux mais c'est pas possible de lire ça... https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-1999-3-page-65.htm « Philosopher, c’est aimer et désirer la vérité ; l’avoir, c’est cesser de la désirer. Poser une vérité philosophique, c’est toujours en finir avec la philosophie, et entrer dans la religion. C’est croire en soi, en ses idées, en son système ; croire qu’il a été démontré. Mais comme on ne peut jamais démontrer la véracité des démonstrations, c’est-à-dire la divinité de la pensée, on ne peut que croire que l’on démontre, ce qui est croire, et non démontrer. « Il faut savoir qu’on croit, disait Lequier, et non croire qu’on sait ». C’est toute la différence entre le sceptique et le dogmatique, entre le philosophe et le métaphysicien. » -Vincent Citot, « La tentation métaphysique et l'exigence philosophique », Le Philosophoire, 1999/3 (n° 9), p. 65-72.
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