Tramp Posté 12 février 2015 Signaler Posté 12 février 2015 La CRDS existe encore et s'ajoute à la CSG. Chaque transaction avec mon boulanger est un contrat différent. Avec les sites internets, on a plus une relation d'abonné. Ce serait plutôt donc comme décider unilatéralement que les 6 derniers mois de ton abonnement, tu dois payer double. C'est pas que dégueulasse, c'est du vol. C'est le vendeur de journaux qui s'approprie mon argent et refuse de me donner les journaux qui m'appartiennent de droit. C'est très exactement ce que fait FB quand ils modifient leurs conditions d’utilisations unilatéralement.
Philiber Té Posté 12 février 2015 Signaler Posté 12 février 2015 Ca dépendrait du groupe, entre ceux qui demanderaient explicitement à leurs fans de ne pas enregistrer le concert (par exemple comme condition de vente du billet), jusqu'à ceux qui approuveraient. Résultat, la même logique pourrait s'appliquer à un écrivain qui considère que lorsque quelqu'un achète son livre, celui-ci s'engage à ne pas le reproduire ? Mais est-ce que l'on peut pousser encore plus loin et considérer que celui qui plagie, a divulgué l’œuvre (ou une partie) du créateur original sans son consentement ? Ce n'est pas très difficile d'argumenter sur la PI dans le domaine technologique car les abus et les absurdités sont légions. Par contre, dès qu'on s'attaque aux produits culturels, les gens sont beaucoup plus attachés à la valeur artistique, au travail du créateur, etc... à tel point qu'ils sont persuadés que sans cette propriété intellectuelle, tous les artistes se feront roulés dessus par les éditeurs, les majors, etc... en bref, les commerçants. D'ailleurs si vous avez des lectures ou même un sujet ici, j'éviterai de détourner d'avantage celui-ci. :-°
Lameador Posté 12 février 2015 Signaler Posté 12 février 2015 La CRDS existe encore et s'ajoute à la CSG. Chaque transaction avec mon boulanger est un contrat différent. Avec les sites internets, on a plus une relation d'abonné. Ce serait plutôt donc comme décider unilatéralement que les 6 derniers mois de ton abonnement, tu dois payer double. C'est pas que dégueulasse, c'est du vol. C'est le vendeur de journaux qui s'approprie mon argent et refuse de me donner les journaux qui m'appartiennent de droit. C'est très exactement ce que fait FB quand ils modifient leurs conditions d’utilisations unilatéralement. Je n'ai pas dit que FB n'était pas innocent. Un modèle qui se base sur "vendre à perte le temps de fidéliser des client en vue de constituer un monopole" est forcément suspect. Et ce même si les solutions que l'Etat peut y apporter son souvent pires que le problème initial. Ca ne change rien à la légitimité du copyright the Miley Cyrhus sur ses clips bandan sensuels
Tramp Posté 12 février 2015 Signaler Posté 12 février 2015 Résultat, la même logique pourrait s'appliquer à un écrivain qui considère que lorsque quelqu'un achète son livre, celui-ci s'engage à ne pas le reproduire ? Mais est-ce que l'on peut pousser encore plus loin et considérer que celui qui plagie, a divulgué l’œuvre (ou une partie) du créateur original sans son consentement ? Ce n'est pas très difficile d'argumenter sur la PI dans le domaine technologique car les abus et les absurdités sont légions. Par contre, dès qu'on s'attaque aux produits culturels, les gens sont beaucoup plus attachés à la valeur artistique, au travail du créateur, etc... à tel point qu'ils sont persuadés que sans cette propriété intellectuelle, tous les artistes se feront roulés dessus par les éditeurs, les majors, etc... en bref, les commerçants. D'ailleurs si vous avez des lectures ou même un sujet ici, j'éviterai de détourner d'avantage celui-ci. :-° Pour les gens, les artistes sont la seule classe de la population qui a le droit, non même plus, que DOIT avoir des millions. Sinon, Rembrandt échangeait ses tableaux à son boulanger pour s'acheter du pain.
Philiber Té Posté 12 février 2015 Signaler Posté 12 février 2015 Si c'est destiné à être public, mais là, c'est pas le cas. Si j'en ai les moyens, j'achète une toile de Pollock et je la passe au broyeur. Le monde se trouvera dépourvu d'une de ses toiles (pas un mal, au contraire) et Pollock n'a rien dire. Je me suis renseigné et il s'avère que tu as tort*. Il y a une différence entre propriété du support et la propriété de l’œuvre (art. L111-3 du code de la PI). Ainsi, le droit de détruire une œuvre ou non, tient au droit moral de l'auteur (imprescriptible et incessible, rien que ça). Pour reprendre ton exemple, si Pollock apprend ce que tu as fait de son tableau et qu'il peut le prouver, tu seras condamné ! *Ou alors j'ai mal compris. Moi et le droit...
Tramp Posté 12 février 2015 Signaler Posté 12 février 2015 Non c'est ça. Dans un monde parfait, le droit d'auteur se limiterait à faire reconnaître la paternité de l'oeuvre. Si tu crèves un gros plug en plastique, tu rembourses le prix de l'oeuvre ou de la facture à l'industriel qui a fait le boulot ?
Asthenik Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Une vision rigidement transactionnelle des licences d'utilisation est contredite par le fait que nous acceptions tous d'innombrables règles tacites qui nous conduisent à restreindre nos possibilités à des contraintes "productives" connues et intégrées par tous. L'existence-même des pubs est la manifestation de la volonté de l'auteur d'un site de proposer son contenu avec cette contrepartie. C'est donc évidemment une violation de licence d'utilisation. Même si on n'a signé nulle part, c'est une évidence quasi tautologique. Par contre, inutile de pousser des cris d’orfraie : un type qui installe un plugin antipub ne rapportera jamais grand chose même si on l'oblige à les afficher. Personnellement, je préfère un utilisateur qui ne me rapporte rien (et qui ne me coûte presque rien marginalement), qu'un utilisateur qui ne vient pas du tout. Par ailleurs, il faut aussi que les gens comprennent que plus on est collectivement hostile à la pub plus elle devient sournoise... Mais j'admets aussi en tant qu'utilisateur, il y a beaucoup d'abus chez mes confrères. Il y a un phénomène de fuite en avant qui pousse même les sites raisonnables en termes d'intensité publicitaire, à élever leur niveau d'intensité d'exposition pour compenser la baisse du rapport de la pub, qui baisse alors d'autant plus par simple effet de l'offre et de la demande. Difficile de ne pas finir par tuer la poule aux œufs d'or dans cette logique. Mais c'est un marronnier qui refait surface tous les 5-6 ans. Une remarque, la réplicatibilité de l’information n'est pas équivalente à l'absence de sa rareté. C'est juste son coût marginal qui est très différent d'un bien physique. L'information comme fin d'un processus de gestation - l’œuvre si on veut retomber sur un vieux débat de Liborg - demeure rare.
Tramp Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Il n'y a pas de contrat tacite. Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s'obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. L'information comme fin d'un processus de gestation - l’œuvre si on veut retomber sur un vieux débat de Liborg - demeure rare Ttttt. À toi de monétiser ton processus de gestation. C'est ce que font la plupart des scientifiques en étant embauchés par des entreprises plutôt qu'en étant payé à la découverte.
Asthenik Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Il n'y a pas de contrat tacite. Ce ne sont pas des contrats (je ne pense pas d'ailleurs avoir employé ce mot) mais il y a évidemment des règles tacites. Tu vas finir avec des histoires de canapés explosifs toi Ttttt. À toi de monétiser ton processus de gestation. C'est ce que font la plupart des scientifiques en étant embauchés par des entreprises plutôt qu'en étant payé à la découverte. On peut légitimement monétiser le processus de création d'une information par une licence. En quoi serait-ce illégitime ?
Tramp Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Ce ne sont pas des contrats (je ne pense pas d'ailleurs avoir employé ce mot) mais il y a évidemment des règles tacites. Tu vas finir avec des histoires de canapés explosifs toi Je ne vois pas quelles règles tacites sont sources d'obligations, comme ne pas installer adblock sur mon navigateur privé. On peut légitimement monétiser le processus de création d'une information par une licence. En quoi serait-ce illégitime ? Ah oui. Mais tu ne peux pas empêcher un copieur (ou un autre inventeur) de vendre le même produit s'il n'a pas acheté ta licence.
Asthenik Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Je ne vois pas quelles règles tacites sont sources d'obligations, comme ne pas installer adblock sur mon navigateur privé. L'existence d'une publicité signe implicitement une condition d'accès à un contenu. Ah oui. Mais tu ne peux pas empêcher un copieur (ou un autre inventeur) de vendre le même produit s'il n'a pas acheté ta licence. Je ne suis pas du tout favorable à la propriété des idées. Je pense toutefois que sont illégitimes toutes copies indiscernables d'une œuvre dont l'auteur a toujours conditionné l'accès à la renonciation en sa capacité à en faire une copie soi-même (au bénéfice d'un tiers souvent mais pas seulement, aussi pour l'altérer).
Tramp Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 L'existence d'une publicité signe implicitement une condition d'accès à un contenu. Non. Je pense toutefois que sont illégitimes toutes copies indiscernables d'une œuvre dont l'auteur a toujours conditionné l'accès à la renonciation en sa capacité à en faire une copie soi-même (au bénéfice d'un tiers souvent mais pas seulement, aussi pour l'altérer). Ainsi donc, une personne s'oblige à ne pas faire quelque chose et du coup, il oblige avec lui l'ensemble de l'humanité présente et future ?
Asthenik Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Ainsi donc, une personne s'oblige à ne pas faire quelque chose et du coup, il oblige avec lui l'ensemble de l'humanité présente et future ?Tu peux nier autant que tu veux l'évidence sur les conditions d'utilisation implicites d'un site qui affiche de la pub... Je ne peux rien contre ça.Sur ta dernière remarque, c'est bien le cas par exemple avec le recel. L'interdiction légal de sciemment profiter d'un délit oblige tout tiers...
Tramp Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Tu peux nier autant que tu veux l'évidence sur les conditions d'utilisation implicites d'un site qui affiche de la pub... Je ne peux rien contre ça. Je ne peux pas nier quelque chose qui n'existe pas. Le problème des conditions implicites c'est que personne ne sait ce qu'il y a dedans. Il pourrait aussi dire qu'implicitement, tu devais aussi cliquer sur la pub pour rapporter un peu plus d'argent. Ou des choses encore plus ubuesques. TF1 pourrait très bien affirmer qu'il ne faut pas aller aux toilettes pendant ses pubs. Sur ta dernière remarque, c'est bien le cas par exemple avec le recel. L'interdiction légal de sciemment profiter d'un délit oblige tout tiers... Délit, c'est le mot qui compte. Après si effectivement, il est délictueux de faire quelque chose parce que quelqu'un qui l'a fait avant ne veut plus que personne ne le refasse, on n'a pas fini. Il y a bien des gens qui s'obligent à ne pas ouvrir le dimanche.
Hayek's plosive Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Je ne suis pas du tout favorable à la propriété des idées. Je pense toutefois que sont illégitimes toutes copies indiscernables d'une œuvre dont l'auteur a toujours conditionné l'accès à la renonciation en sa capacité à en faire une copie soi-même (au bénéfice d'un tiers souvent mais pas seulement, aussi pour l'altérer). Et ca se fait par contrat, pas par condition implicite, condition implicite ne veut rien dire. Quand j'achète un CD a la Fnac, le caissier pourrait me faire signer un contrat m'interdisant de le copier. Il ne le fait pas parce que c'est plus facile pour les majors de faire voter une loi-bidouille protégeant leurs rentes. Parce que le coup de ca pique des sous à l'artiste, c'est total nawak. Dans le meme style, si je prends un journal gratuit, selon Voy et toi je ne peux pas déchirer la moitié des pages du milieu bourrées de pub. C'est completement absurde.
h16 Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 L'existence d'une publicité signe implicitement une condition d'accès à un contenuD'où sort cette nouveauté ? Si l'idée c'est "y'a un contrat implicite quand j'achète ma baguette DONC il y a un contrat implicite quand j'ouvre une page de mon navigateur", c'est évidemment complètement faux.
Hayek's plosive Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Y'a un contrat implicite quand tu achètes ta baguette? T'as pas le droit de faire quoi avec? Il est chelou ton boulanger.
sans Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Tu peux nier autant que tu veux l'évidence sur les conditions d'utilisation implicites d'un site qui affiche de la pub... Je ne peux rien contre ça Les sites sont en mesure d'interdire l'accès aux utilisateurs d'Adblock. Certains le font. Ceux qui considèrent que la consultation du site doit être subordonnée à l'affichage de la pub peuvent imposer leurs règles, à eux.
NoName Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Les sites sont en mesure d'interdire l'accès aux utilisateurs d'Adblock. Certains le font. Ceux qui considèrent que la consultation du site doit être subordonnée à l'affichage de la pub peuvent imposer leurs règles, à eux. voilà. et la plupart des sites intelligents, notamment ceux basés sur du communautaire, le font.
Jesrad Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Une vision rigidement transactionnelle des licences d'utilisation est contredite par le fait que nous acceptions tous d'innombrables règles tacites qui nous conduisent à restreindre nos possibilités à des contraintes "productives" connues et intégrées par tous. Jusqu'à ce qu'on ne les acepte plus. Par exemple en se mettant massivement à pirater ou à installer AdBlock
Mathieu_D Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Y'a un contrat implicite quand tu achètes ta baguette? Implicitement, le boulanger n'a pas à préciser que la baguette n'est pas empoisonnée. (sauf en Timurie)
Greg42 Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Lorsque tu t'assieds à la terrasse d'un bistro, et que tu commandes, il y a évidemment des règles tacites qui s'appliquent et qui créent des obligations. Ces règles sont définis par les us et coutumes, ou par d’éventuels affichages. Et d'ailleurs, je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas un contrat. Le contrat papier est le procès verbal dudit contrat. Mais une poignée de main suffit pour créer une relation contractuelle.
sans Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 En matière de propriété intellectuelle, la coutume est et a toujours été que tout le monde s'en fout, ce n'est que très récemment que les gouvernements ont commencé à imposer ce droit de la société, à partir de rien du tout, de façon absolument constructiviste.
Marlenus Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Implicitement, le boulanger n'a pas à préciser que la baguette n'est pas empoisonnée. (sauf en Timurie) Sans aller jusqu'à empoisonnée, une fois on m'en a vendue une non salée. C'est absolument dégueulasse. Je suis retourné la changer. Le pire c'est qu'ils l'avaient fait en connaissance cause. Donc oui, ta baguette, tu attends à ce qu'elle soit faites avec les ingrédients normaux de la baguette sans avoir besoin d'avoir un emballage avec tous les ingrédients.
Hayek's plosive Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Et si ils te l'avaient pas changé, tu aurais changé de fournisseur. A ta charge de trouver une solution qui te convienne. De même si les éditeurs de contenu n'arrivent pas a générer suffisamment de clics à cause d'AdBlock, à eux de trouver une solution avec des pubs plus discrètes ou plus intégrées au contenu, plutot que des bandeaux tout laids qui flashouillent.
Marlenus Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Et si ils te l'avaient pas changé, tu aurais changé de fournisseur. A ta charge de trouver une solution qui te convienne. Vu la valeur, je ne me serais en effet pas fendu d'un procès. Mais cela aurait eu une vraie valeur, je serais allé en justice.
Jean Karl Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Et si ils te l'avaient pas changé, tu aurais changé de fournisseur. A ta charge de trouver une solution qui te convienne. De même si les éditeurs de contenu n'arrivent pas a générer suffisamment de clics à cause d'AdBlock, à eux de trouver une solution avec des pubs plus discrètes ou plus intégrées au contenu, plutot que des bandeaux tout laids qui flashouillent. Surtout que Adblock a à mon avis fait une grosse erreur commerciale avec ses listes blanches. Autant l'idée de laisser les pubs non invasives dans la liste blanche pourquoi pas mais demander du fric aux sociétés de pub en échange, il y a de grande chances que les gens se tournent vers d'autres bloqueurs de contenu. Sinon, l'argument consistant à dire : modifier le contenu des pages qu'on visite c'est contre le copyright ; c'est vraiment l'argument utilisé par les publicitaires ? Genre c'est un argument juridique ? Si oui, ils vont aussi interdire tous les plugins qui modifient les polices ou les couleurs des sites ?
Philiber Té Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Donc oui, ta baguette, tu attends à ce qu'elle soit faites avec les ingrédients normaux de la baguette sans avoir besoin d'avoir un emballage avec tous les ingrédients. Ça commence comme ça et on finit avec une loi sur la ratatouille !
Tramp Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 D'où sort cette nouveauté ? Si l'idée c'est "y'a un contrat implicite quand j'achète ma baguette DONC il y a un contrat implicite quand j'ouvre une page de mon navigateur", c'est évidemment complètement faux. Il n'y a PAS de contrat implicite, meme quand on achète une baguette.
Tramp Posté 13 février 2015 Signaler Posté 13 février 2015 Lorsque tu t'assieds à la terrasse d'un bistro, et que tu commandes, il y a évidemment des règles tacites qui s'appliquent et qui créent des obligations. Ces règles sont définis par les us et coutumes, ou par d’éventuels affichages. Et d'ailleurs, je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas un contrat. Le contrat papier est le procès verbal dudit contrat. Mais une poignée de main suffit pour créer une relation contractuelle. Il n'y a rien d'implicite. Il y a l'expression de deux volonté. Tu crois que dès que tu t'assois dans un bar, un serveur peut t'ammener quelque chose au hasard et te faire payer ? Non, tu commandes quelque chose précisément.Et bien sur, un contrat n'a pas besoin d'être écrit. Il suffit dd'une offre et d'une acceptation.
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