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Greg42

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Tout ce qui a été posté par Greg42

  1. Je ne sais pas, on est dans le luxe et dans le divertissement. C'est ca le besoin. Pour ce qui est de l'utilisation, pour ma part, j'utilise plus mon iPad que mon ordinateur portable (hors cadre du travail). Idem pour ma femme qui y trouve des usages qu'elle n'avait pas avec un ordinateur. Par exemple, l'emmener dans la cuisine pour suivre une recette, l'emmener dans la salle de bain pour y mettre de la musique pendant le bain, etc… Et Ayant accès à beaucoup d'Android et de l'iOS à mon travail, je trouve l'écosystème apple plus sympa. Le hardware c'est kif-kif, mais les app sont plus propres sur iOS (à noter que ca ne me dérange pas de payer qqe euros pour éviter d'avoir à perdre du temps et de l'énergie pour trouver un équivalent gratuit sur Android, et surtout je n'aime pas la pub). Mais après je suis un technophile :-)
  2. Je crois que c'est ici que certains avaient parlé de l'imprimante 3D. En voici un usage très prometteur : D'ailleurs, je suis persuadé que les prochains grand bonds en avant seront sur la médecine, notamment régénérative. Et dans le même style: http://www.bitrebels…rks-infographic Edit: PS: Je n'arrive pas à faire marcher les liens, j'ai un peu honte. @Nicolas : Je ne sais pas ; Il m'ajoute de nouvelles balises à chaque appuie sur prévisualiser. C'est assez bizarre. Je préférerais pouvoir écrire mon post en html direct ;-)
  3. Greg42

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    Oui mais cette PI est privée, et changeable en fonction de l'offre et de la demande. Par exemple, un artiste qui ne demande pas cette close sera peut-être plus apprécié.
  4. Greg42

    Contrefaçon

    Tu peux inclure un droit de regard/véto dans le contrat.
  5. Greg42

    Contrefaçon

    Le NDA que tu signes avant de donner le bouquin Pareil, ça ce gère via le contrat entre l'artiste et l'éditeur. Edit: Dans les contrats, il y a souvent des clauses pour les droits de suite, pour les dérivés, droit de pub, etc.. Il y a pleins de situation ou un éditeur peut enfumer un artiste. Les ventes en bundles, les frais marketing déduits, ne pas fournir les chiffres de vente et les diminuer, etc… Pour ton anecdote, certains musiciens ou artiste sonores se payent en royalties aussi lorsqu'ils croient au projet. Ils prennent alors une partie du risque avec le développeur. Je sais pas si c'est si gênant. Je veux dire par la que si les gens achètent, c'est que ça ne les gênent pas tant que ça. Autrement, le mécanisme de concurrence fera apparaître d'autres mode de fonctionnement (crowfunding, distribution restreinte [salle d'arcade], etc). Oui mais c'est à la charge du lésé (distributeur, éditeur, developpeur) de prouver qu'il y a eu infraction. Le serveur privé n'est pas une infraction, celui qui viole la licence l'est. Bon courage pour poursuivre tout le monde.
  6. Lorsque l'on connait la formule d'une molécule, le processus de fabrication est-il toujours trivial, ou ce processus peut aussi faire partie de la protection ?
  7. Greg42

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    Si tu achètes en connaissance de cause, ou est le mal? Tournes-toi vers la concurrence, les jeux copyleft, open-source ou autre. Limiter l'utilisation à long terme n'est qu'une externalité négative de la méthode de protection par le secret industriel. Vu que la protection par contrat utilisateur n'est pas respectée. (Et ça montre bien que le produit est avant tout un business (vente de service de divertissement) et non des artiste oeuvrant pour la culture ;-) ) C'est fou que la législation intervienne sur ce genre de chose. Je ne vois pas pourquoi ce n'est pas indiqué dans le contrat de base. Certains contrats qui autoriseraient la revente, d'autres non. Le protectionnisme va dans les deux sens… C'est un peu comme la limitation de la durée du contrat pour un copyright. Les lois ne devraient pas fixer de limite.
  8. Greg42

    Contrefaçon

    Mouais, enfin les serveur privé c'est rarement aussi bien (ceux de WOW plusieurs années après sont toujours aussi naze je crois). Ce genre de pratique, c'est clairement le futur du jeu vidéo, c'est une protection par secret industriel, seule protection efficace.
  9. Ca fait tout drôle de lire ca sur un forum libéral. (C'est amha comme dire, je suis favorable aux producteurs de blé, mais je n'aime pas ceux qui stockent, acheminent, distribuent, et vendent!) Les intermédiaires servent bel et bien, même dans le cas de la musique ou des livres! Alors, biensûr l'ère d'internet va changer la donne, et les distributeurs (un *des* maillon de la chaine) devront s'adapter. Mais les éditeurs (universal et cie) auront toujours un intérêt pour l'auteur, celui de créér sa marque, de générer du profit sur ses oeuvres, ou encore de faire office de banque (avancer de l'argent à l'auteur le temps qu'il produise son oeuvre). L'auteur n'est PAS obligé de signer avec un éditeur. Si la demande n'est pas remplie (quelle demande est-ce au juste?) la concurrence fera son oeuvre et la demande finira par être satisfaite. La vraie question est de déterminer si le droit d'auteur est un protectionisme ou non. Dans le cas ou le copyright n'est pas un protectionisme, le modèle actuel continuera de vivre et se modifiera dans le temps au grès du progrès. La copie est dans ce cas un délit. Celui qui pirate et qui ne se fait pas prendre, tant mieux pour lui, l'autre devra affronter la justice. Exactement comme le vol dans un supermarché ou comme n'importe quel délit.
  10. Oui et non. Ce sont effectivement deux protectionnismes, qui donc desservent la société dans son ensemble. Mais la version Française est bien pire et plus inefficace . L'organisme chargé de distribuer les aides est le CNC (pour la majeure partie des aides, je ne considère pas ici le Credit Impot Recherche et les Jeunes Entreprises Innovantes). Pour se faire aider, il faut soumettre un dossier, et seul une petite partie des dossiers reçu par cet organisme est financée. Tous les studios n'ont donc pas les memes avantages, et le CNC favorise les dossier selon une valeur artistique plutôt que sur le potentiel financier (du coup peu de ces projets financés sont rentables). Il y a bien sur ensuite toutes sortes de barrières. Par exemple, les projets doivent êtres des projets de + de 150k€ donc exit les productions mobile ou les petits indy qui pourraient vraiment innover, puisque prendre un risque est pour eux le meilleur moyen de se faire une place. Il me semble, sans être sur, que ce genre de protectionnisme est mal vu par les autres membre européens, et que pour contourner les lois, il faut que l'aide soit pour de la "culture", ce qui dans le cas du JV se traduit par des projets qui doivent très scénarisés. La french touch, (le coté beau, scénarisé et insipide à la Cryo) est donc toujours d'actualité, mais ce n'est plus ce que demande le public alors que c'est en gros ce que finance le CNC! Il faut voir que les acteurs majeurs actuels sont encore hyper aidés, et nos fleurons (comme ils s'appellent eux même) ne sont de toute façons pas vraiment rentable sur leurs gros projets. Au canada, il me semble par contre que c'est vraiment un crédit d'impôt, qui je crois est accessible à tous les acteurs du JV sans distinction. L'état se pose alors comme investisseur en supprimant pour ainsi dire toutes les charges sociale et récupère sa mise sur leur equivalent de l'IS. Ceci dit ce serait une erreur de dire que le credit d'impôt est le seule responsable de la mort du JV en France. Nous ne sommes simplement pas compétitifs car les salaires sont trop élevés (dans leur cout total pour l'entreprise).
  11. Je prête du bois à un menuisier afin qu'il me confectionne une chaise. N'est-il pas propriétaire, tant que je ne l'ai pas payé d'un bien immatériel qu'est le service de transformation de bois en chaise?
  12. Tiens j'avais un peu parlé des logiciels libre qui perdent tout sens sans la notion de licence / copyright. J'aimerais aussi voir ce que tu penses de BitCoin, qui est une monnaie virtuelle. Si je copie ton wallet.dat, ai-je commis une infraction? Et si j'utilise les informations de ton wallet.dat, est-ce que je commet un délit? Ou est-ce que les possesseurs de wallet.dat n'ont qu'à protéger leur biens (virtuel) par le simple secret? Et dans ce cas la si je trouve une faille quelconque, je n'aurais de toute façon fait de mal à personne! (NB: Je suis conscient du fait que l'on s'éloigne un poil du sujet!)
  13. Je ne sais pas. Je pense que le mot propriété est trompeur. J'aime bien la définition de propriété de Bastiat (décidément!) : "J'entends par propriété le droit qu'a le travailleur sur la valeur qu'il crée par son travail" étant d'accord avec cette définition, je ne peux que considérer la propriété intellectuelle comme étant une extension de la propriété au sens économique. Pour ce qui est de la différence entre idée et oeuvre, je me la définie ainsi: L'oeuvre est délimitée dans sa forme (de part justement ce support). Elle ne peut plus changer contrairement aux idées. Ce n'est pas quelque chose d'abstrait, car une oeuvre a une empreinte sur la réalité. Tu ne considères pas qu'il puisse y avoir des experts dans un domaine? Expert non pas par intellect supérieur, mais simplement de part l'étude de ces différents problèmes complexes? Des experts il peut y en avoir dans tout les domaines, pourquoi pas en droit ou en philosophie?
  14. Non, je ne veux pas prolonger l'existant. Si demain les gens ne cherchent plus à se divertir par la musique, par le cinéma ou autre, tout cela disparaîtra et je n'aurait rien à y redire. Si demain une nouvelle technique qui permet de produire un film à moindre coût arrive, les films coûterons moins cher, et certains métiers du cinéma disparaîtrons, et je n'aurait rien à y redire. La valeur de ses productions résident dans le service de divertissement qu'elles offrent entre autre, mais aussi d'autres services sous-jacents. La distribution digitale fait disparaître une partie de la valeur, celle du service d’entrepôt et de présentation sur l'étalage (distributeur). Le prix doit baisser en conséquence. La valeur de divertissement existe toujours elle. Les moines copistes on fait baisser le prix du duplicat, tout comme l'imprimerie, tout comme internet aujourd'hui. En gros, sur la chaîne de production, le presseur disparaît. Le service offert par les autres membres de la chaîne existe toujours. Et c'est tant mieux. C'est un moyen de se faire connaître, et c'est un business modèle (le mécénat), tout comme la publicité l'est. Et si le mécénat doit devenir la norme, tant mieux. Ça ne changera pas que c'est à l'artiste de décider de son business modèle (mécénat, publicité, vente directe), et que c'est a ceux qui souhaitent profiter de ce service de décider ce qu'ils sont prêt à débourser. Si les artistes qui font de la vente directe disparaissent au profits de ceux qui vivent par mécénat, tant mieux. Mais si un artiste souhaite vendre son service, c'est à la communauté de respecter son choix, et à la justice de faire appliquer ce droit. Attention à ne pas confondre copyright et brevets, ou copyright et contrefaÇon.
  15. Mon argument était que 1c n'aura qu'une faible dégradation émotionnelle chez le lésé. Et oui il s'agit bien d'un délit, même si la réponse émotionnelle est faible. Déjà, dans ce débat il n'y a pas que la musique. Tu semble oublier souvent les autres médias : Livres. La représentation est assez faible dans le cas du livre. AudioVisuel. On peut effectivement parler de représentation au cinéma. Ceci dit il y a des films qui voient le jours directement en DVD par exemple. Jeux vidéo. Aucune représentation ici. ça n'a aucun sens. Et pour la musique, tu es libre de préférer les représentations irl (qui sont un service, car rien de matériel ne t'es vendu!), et dans ce cas libre de ne pas acheter ce service dans une représentation différente (CD / DVD / Autre). Si demain j'invente un programme qui permet de générer un conte, on se retrouvera dans ce cas précis. Dans le cas présent, si les écrivains cessent toute activité, il y aura une demande qui ne sera plus satisfaite. Alors après peut-être les blogs et cie pourront palier un peu à ce problème, mais il faut voir qu'un livre demande entre qqe mois et qqe années d'écritures. Et ensuite pourquoi les blogs ne pourraient pas mettre des copyright sur leur texte? Mouais, si on chasse et tue tous les roux, la société continuera d'exister… (J'ai pas le temps de faire mieux, peut-être une âme charitable pourra te montrer comme tu as tort :-p )
  16. Haha si je fais un ver (au sens informatique) qui prends 1c sur chaque transaction bancaire ce ne sera pas un délit donc! Ensuite, tu sais, si tout le monde pirate (sans exception), je suis presque sûr que même Lorie (cette sale riche qui mérite qu'on la spoile) aura une réaction émotionnelle ;-), et je ne parle pas des petits artistes qui se font aussi pirater quoiqu'on en dise. Oui et les écrivains n'ont cas redevenir des conteurs. C'est parce que je considère qu'ils commettent le même délit, celui de piller la propriété d'autrui. 1. Mon exemple n'a pour but que de montrer qu'un délit commis par fut-ce 100 Millions de personnes reste un délit. 2. Je parle du café en terrasse car ce que l'on paye principalement lorsque l'on prends un café en terrasse c'est le prix du service. Voler même du service (de l'intangible donc) est pour moi du vol. EDIT
  17. Je ne suis pas vraiment d'accord. La rareté ne peux définir la propriété. Dans le cas du champs, c'est le service de l'agriculteur que l'on paye, celui d'avoir moissonné, planté, arrosé. Bref le temps nécessaire à l'agriculture. Dans le cas de l'or, métal rare, ce que l'on paye c'est le service de recherche d'or (qui peut prendre un temps considérable) ainsi celui d'extraction (qui nécessite une prise de risque, et des moyens matériels considérables).La difficulté de la tache définie la rareté. On peut dans ce cas reprendre l'exemple des voitures brûlées, ou du vol à la tire. Bref, tu n'as pas répondu, à partir de combien ce n'est plus un délit? Il y a t'il une limite? Oui je suis entièrement d'accord. On ne doit pas les laisser instrumentaliser l'état, mais l'état doit faire respecter la justice.
  18. Vraiment, si des millions de personnes viennent à ne plus payer leur café en terrasse, c'est la loi qui doit changer ? Et à partir de combien de personnes exactement le délit n'est plus? Ces intermédiaires quoiqu'on en disent fournissent un service (qu'ils font payer). Si ce service n'est plus d'actualité à l'ère du numérique, il disparaîtra tout seul. Les artistes peuvent ne pas signer avec eux. En ce qui concerne les éditeurs (qui soit font office de banque soit créent la marque), leur service est bien pratique, et même si traditionnellement la force de l'éditeur était ses contacts avec la distribution (mise en rayon à la fnac), la création de marque est un savoir faire que l'artiste peux avoir envie d'utiliser. Viennent ensuite les acteurs de la distribution (fnac, itunes, spotify). C'est probablement à ce niveau que les changements sont à venir seront les plus importants, c'est ici que les prix vont tirer vers le bas. (Plus besoin d’entrepôt de stockage, de personnel qui range les étagères, etc…). Mais je maintiens que ce changement de business modèle se fera tout seul (et à déjà commencé : appstore, spotify, etc..). Par contre si tu parles de la SACEM, oui c'est un parasite qui doit disparaître. Et je suis presque sûr que les prix on déjà commencé à baisser! (Livre moins cher dans le digital, voire gratuit parfois, musique illimité en location de gratuit (avec pub) à 5 €/mois, idem pour la video avec netflix!)
  19. Ce n'est pas mon rôle mais bien celui de la justice. Prouves moi que MU à été fermé à cause de MégaBox ;-) Et pour info, il existe dors et déjà moulte façon de consommer de la musique pour peu de sous (spotify / deezer), moulte façon pour les artiste de se passer des boites de prod habituelles (kisskissbankbank et consors). Si les artistes décident de signer avec des majors, c'est leur problème. Si les artistes décident de demander rémunération et d'attacher une licence à leurs produits, c'est leurs droit. Car vous êtes libre de ne pas acheter et donc de ne pas consommer. Donc si la majorité décide qu'il faut un impôt pour respirer, tu te plieras sans rien dire? Moi pas. Pour en revenir à la licence globale, je peux me passer de divertissement, mais pas d'internet ;-)
  20. Il n'y a rien de mal pour un tiers. Dans le cas de Mégaupload il y a un véritable conflit d’intérêt à d'un coté promouvoir le piratage et de l'autre coté avoir une boite de production légale. Dans un état ou privilège sont accordés aux uns, privilège sera accordé aux autres. Le seul moyen de combattre ça dans la situation actuelle est de faire comprendre combien serait inique cette mesure! ça tombe bien, nous avons l'exemple de la redevance TV pour cela. En droit d'auteur français plus ou moins, pour le copyright non, tu te trompes! Je ne suis pas d'accord. Ce n'est pour moi ni gauchiste et ni socialiste, car ce n'est pas imposé par l'état (pas de solidarité "logicielle" obligatoire)! C'est un acte de fraternité, et la fraternité c'est bien même au niveau libéral. Pour moi, la punition doit être proportionnelle au préjudice. Dans ce cas précis, le matériel fait que le préjudice est considérable. Sinon +1 avec ton dernier commentaire! Cette taxe sur le stockage est insupportable et inacceptable.
  21. Eh bien sur des contrats à plusieurs milliards, concernant des milliers de personnes, c'est finalement un risque très faible pour le fautif, du coup je suis sceptique quant au bon fonctionnement de l'investissement capital dans une société comme la tienne! Tiens petite appartée, je viens de voir que tu aimais pas mal de logiciels sous licence gpl, j'imagine donc que dans ta vision des choses, tu ne vois donc AUCUN inconvénients à ce que des sociétés violent ces licences n'est-ce pas?
  22. Ce procédé de la part de mégaupload me laisse perplexe. Je le résume ainsi: Si vous signez un contrat de distribution chez nous, vous ne serez plus piraté. Sinon tant pis pour vous. C'est opportuniste de leur pars du fait de leur positionnement et de la dynamique actuelle du marché. C'est aussi le cas probablement des supermarchés, nous ne devrions donc plus intervenir sur le vol qui doit être "une vaste blague" ;-) Le copyright ne crée pas de monopole. Les musiciens peuvent s'ils le souhaitent mettre leurs musique open-source dans le but de se faire connaître. C'est une opération marketing. Au mieux un business modèle parmi d'autres. Ce ne doit pas une norme imposée! Oh oui, licence globale et consorts ne seront que des formes d’impôts qui créeront des monopoles parasites type sacem. Et ce sont des impôts iniques qui forcent les non consommateurs à payer. La redevance TV qqn? Il en va de même pour le mécénat global qui est (de ce que j'ai lu) obligatoire. Tout ceux qui vont sur internet ne le font pas dans le but de consommer du divertissement! Le libre-commerce du service de divertissement fonctionne très bien. La valeur n'est pas d'information mais de service (de divertissement). Il y a notion de rareté, de valeur, de cession (le marché d'occasion doit pouvoir exister si la licence l'y autorise) et les prix ne sont pas fixés par une quelconque autorité. La ou tu parles d'art, je parles de divertissement. Donc selon toi le secret industriel n'a pas lieu d'être? (Puisqu'il revêt souvent la forme d'un contrat qui interdit une communication de certains sujets justement).
  23. ça dépends si on considère que la propriété intellectuelle est une forme de propriété. Il y a des libéraux qui considèrent que c'est le cas (Bastiat par exemple). Et sinon, le principe même de l'état (s'il doit y avoir un état) est pour moi de faire respecter la justice. Donc j'aurais tendance à penser que le jeu en vaut la chandelle.
  24. Je pense que je ne suis toujours pas clair, aussi vais-je tenter d'utiliser mon interprétation de Bastiat: "Ainsi, de deux côtés, par deux routes différentes, nous arrivons à cette conclusion que la valeur doit avoir trait aux efforts que font les hommes pour donner satisfaction à leurs besoins." Le besoin est le divertissement. L'effort est le service rendu par l'auteur du divertissement. La valeur n'est donc pas seulement l’électrique. C'est comme ça que je le comprends.
  25. Je ne sais pas. Quand je prends un café en terrasse, la valeur du café n'est pas seulement la valeur cumulée du grain, de l'eau, du transport, stockage, etc.. Mais aussi celle du service qui l'entoure. Si au moment de payer je ne paye que la valeur matérielle, je n'aurais pas payé la valeur attribuée au café. N'étant probablement pas clair puisque ces notions me dépassent un peu à vrai dire, je vais donner un autre exemple: Je m' "invite" à une quelconque représentation (concert) en passant la sécurité, je n'ai spolié aucune valeur aux organisateurs dudit concert?
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