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Johnathan R. Razorback

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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback

  1. Inexact. Lorsque le FN se rappelle qu'il a un programme économique, il milite pour la hausse du smic (cf: http://www.frontnational.com/2012/06/hausse-derisoire-du-smic-une-nouvelle-deconvenue-pour-les-travailleurs-francais/).
  2. Tu n'es pas dans le bon fil, Rocou. Pour dire tout le bien que tu penses de Sarkozy, c'est là: http://www.liberaux.org/index.php/topic/51934-sarkozy-la-vengeance-du-ravioli-francais/page-53#entry1214013
  3. J'en suis arrivé à la même conclusion. Sans doute pour ça que je suis là.
  4. Sans compter qu'ils essaient d'expulser Montesquieu et Tocqueville de la tradition libérale sans avoir le début d'un argument pour ça (des auteurs importants ne peuvent quand même pas être "libéraux", enfin !). Ce passage est particulièrement dénué de sens: "Qu’un éditorialiste social-démocrate nobelisé et qu’une revue militante se retrouvent sur l’obsolescence du néolibéralisme témoigne assez de son échec en termes d’efficacité sociale."
  5. Je connais sais d'où vient cette théorie: http://www.amazon.fr/Punishing-Poor-Neoliberal-Government-Insecurity/dp/082234422X
  6. Rien à voir avec la démocratie. Plutôt avec le mauvais goût ou la recherche de l'audience au moyen du scandale.
  7. Tu vas encore me traiter de platonicien, mais je ne peux pas être réellement satisfait de cette définition.
  8. Le problème en l'occurrence est plutôt que la catégorie de "gauche" est passablement floue. Historiquement, la gauche française se constitue par l'opposition d'une partie des parlementaires au veto royal durant la Révolution française. La gauche désigne alors les partisans de la souveraineté nationale. Mais de nos jours ? On n'est pas beaucoup avancé une fois qu'on classe "à gauche" tout ceux qui ne sont pas monarchistes... L'athéisme, l'opposition au conservatisme ou la critique des élites en place ne sont pas davantage de bons critères, on peut les retrouver tout aussi bien "à droite".
  9. Polylogisme racial et masculinisme de bas étage. Méfies-toi, tu commences à t'exprimer comme le soralien moyen. On dit toujours qu'il n'y a pas pire fanatique qu'un converti, je me flatte d'être une exception à la règle Par ailleurs je remarque que Bastiat et Gobetti se sont fait étiqueter dans les libéraux de gauche, donc bon...
  10. Non, ça ne doit pas être ça non plus... "Disons-le tout de suite: les hommes peuvent et ont le droit de changer. Mais le fait que beaucoup de fascistes soient devenus des démocrates pointilleux, des libéraux acharnés, voire des philosémites déclarés ne suffit ni à changer la signification du fascisme, ni celle de leurs idées. Par-dessus tout, la "mémoire", la leur, celle de leurs disciplines, chapelles et coteries, ne peut remplacer l'histoire. Leurs convictions d'après guerre ne peuvent rien changer à la place qui fut jadis la leur dans la lutte contre la démocratie libérale, contre les principes contre [R1] lesquels ils se sont érigés, un peu trop tard, en gardiens les plus zélés. Pour terminer, il faut revenir quand même à Carl Schmitt. Alors que les disciples idéologiques de Jouvenel et Fabre-Luce, en poursuivant l'œuvre idéologique de leurs maîtres, s'emploient à leur fabriquer un passé, Schmitt n'est jamais revenu sur ses positions. Son disciple français le plus proche, Julien Freund, campe la question de l'autojustification avec une grande clarté. Il refuse d'entreprendre "une justification comme d'autres l'ont fait à propos des philosophes et écrivains qui se sont également compromis avec le nazisme". Schmitt, écrit-il, "désapprouverait une telle procédure comme frauduleuse". Finalement : "une justification ne saurait supprimer les faits ni les écrits ; au contraire, elle n'est qu'un montage, sinon un truquage, qui altère la vérité de l'évènement et qui ne peut que provoquer une polémique stérile. Un argument n'efface pas ce qui a été." Cette vérité simple reste, malheureusement, trop souvent méconnue." (p.777-778) [Remarque 1]: J'imagine qu'à cet endroit il faut lire "pour" et non pas contre. Par ailleurs, Sternhell s'étonne que Jouvenel lui intente un procès, et pas à François Furet dont le compte-rendu dans la presse de l'autobiographie de Jouvenel aurait été, au dire de Sternhell, bien plus sévère que ce que lui-même a pu dire. J'avoue que ça devient difficile à vérifier.
  11. Mon cerveau a fourché *.* Cependant, si ma question pouvait ne pas s'évanouir dans le néant, j'apprécierais.
  12. Dans les commentaires de l'article, Keynes et Rawls sont considérés comme en-dehors de la famille libérale. Ne faudrait-il alors pas les retirer de la catégorie des libéraux de gauche sur Wikiliberal (cf: http://www.wikiberal.org/wiki/Libéral_de_gauche) ?
  13. Ça confirme surtout qu'Onfray n'est pas meilleur sur la forme que sur le fond. Un phrasé laborieux, aucune pique mordante élégamment tournée...Il est incapable de rabattre son caquet à Valls, tout comme il a été incapable de faire une critique judicieuse de Mélenchon.
  14. Je viens de finir un second ouvrage de Zeev Sternhell, Ni droite ni gauche. L'idéologie fasciste en France (Quatrième édition augmentée, 2012, 1075 pages). Encore une fois très dense, quelques passages qui se répètent, mais ça reste excellent. Il montre comment le fascisme se forme de la synthèse d’une gauche socialiste « idéaliste » et antimarxiste et d’une droite révolutionnaire antilibérale et passe en revue l’Action française, les chemises vertes, les Croix-de-Feu, le personnalisme, les syndicalistes révolutionnaires, les planistes et néo-socialistes, jusqu’aux collaborateurs de la période de Vichy. Plusieurs éléments (dont un chapitre supplémentaire en annexe) concerne le procès que Bertrand de Jouvenel attente à Sternhell à la première parution de Ni droite ni gauche en 1983. Indirectement, cela concerne aussi Raymond Aron : "Quelles étaient les raisons qui pouvaient amener Aron à manifester une telle mansuétude envers un nazi déclaré [Carl Schmitt] jusqu'à se refuser à un jugement de valeur sur ses idées ou son comportement ? Au contraire, n'était-il pas alors, comme aujourd'hui, plus urgent et plus utile de s'attaquer à la question de savoir pourquoi des grands intellectuels ont pu accueillir avec allégresse et favoriser la montée d'abord du fascisme puis du nazisme ? Peut-on tout ramener au sentiment que "la politique est tragique" ? Le comportement d'Aron s'explique par sa conviction que les contemporains ne peuvent écrire leur propre histoire: leur faire écrire l'histoire de leur génération signifierait nécessairement leur permettre de s'ériger en justiciers. Il y a une complexité évidente, voire une ambivalence, dans la position d'Aron : il ne refuse aucunement que les sphères politiques, administratives, militaires ou universitaires en Allemagne et ailleurs en Europe soient nettoyés de l'influence de l'idéologie nazie. Alors d'où vient l'horreur qu'il éprouva en France face aux épurations ? Très tôt, son souci devint d'abord celui d'éviter un affaiblissement du camp anticommuniste par des confrontions internes. Aussi, pour combler le fossé et guérir les cicatrices causées par le fascisme et le nazisme, il lui apparaissait qu'il valait mieux oublier ce passé tout proche. Cette règle joue évidemment avant tout en ce qui concerne les intellectuels. Il ressort aussi de ces textes que, pour Aron, les intellectuels ne portent pas de responsabilités autre que pénale, ni plus ni moins que d'autres citoyens. Il n'existe pas pour lui de responsabilité spécifique de l'intellectuel. De plus, Aron pense que les grands intellectuels ont droit à un traitement spécial ou, en d'autres termes, à l'amnistie totale. Finalement, la situation était extraordinaire, les règles morales normales ne pouvaient s'appliquer à des conditions hors du commun. Plus généralement, comme Aron voit dans l'oubli une grande vertu politique, "l'illustre juriste" devrait pouvoir reprendre la place qui lui revenait au sein de la société allemande. Pour Aron, le fascisme et le nazisme appartiennent au passé, le communisme constituait pour lui le grand défi du présent, le gouffre dans lequel la civilisation occidentale, après avoir échappé à la barbarie nazie, risquait de sombrer à nouveau. Dès lors, le passé ne comptait que dans la mesure où il pouvait rendre service au présent. On a ici l'explication de ses rapports avec Jouvenel et Fabre-Luce." (p.690-691) "Seule une lecture attentive du Journal de la France de 1940-1944 et de l'Anthologie de la nouvelle Europe de 1942 permet de comprendre sur quoi exactement Aron veut jeter le voile de l'oubli. Il en est de même en ce qui concerne la production intellectuelle des années trente et quarante de Jouvenel. Après la défaite de Jouvenel date de 1941, et, en 1943, les deux auteurs [Jouvenel et Fabre-Luce] publient à Bruxelles, aux éditions de la Toison d'or, maison de propagande fondée par les nazis pour les besoins de la collaboration intellectuelle. Tous deux considèrent la défaite de 1940 comme une preuve de la supériorité morale de l'Allemagne et du régime qu'elle s'est donné en 1933. Tous deux furent pendant la guerre traduit en allemand par les soins des services de propagande nazis en France et jouirent d'une attention spéciale de la part du vainqueur. Tous deux avaient milité dans les années trente dans les rangs du PPF. Que Raymond Aron ait tout fait pour essayer de réduire à néant ce passé au nom d'un présent, qui était aussi le sien, constitue un aspect non moins significatif d'une question importante pour l'intelligence du XXème siècle français. [...] Pour lui, il ne fallait pas que le libéralisme français soit sali par les antécédents des hommes qu'il considérait être des figures majeures du XXème siècle français. Ou en d'autres termes : si quelqu'un était devenu libéral dans les années cinquante, il ne pouvait avoir été fasciste vint ans plus tôt. Une telle démarche, en dépit du fait qu'elle mutilait le passé, importait à Aron beaucoup plus qu'un effort rationnel pour comprendre la nature du mécanisme par lequel un intellectuel passait du fascisme au libéralisme." (p.694-695-696) "La Lutte des jeunes préconise une révolution anticapitaliste, antidémocratique, antilibérale et antimarxiste qui séduisait les jeunes nazis. Jouvenel et ses principaux associés, Drieu, Roditi, Andreu, clament leur volonté d'ériger à la place de la démocratie libérale, un système politique autoritaire d'où seraient éliminés partis politiques et groupes de pression, parlement et responsabilité de l'exécutif devant le législatif. [...] Dans son évolution progressive vers le fascisme, Jouvenel franchit une étape décisive en réalisant, en février 1936, sa célèbre interview avec Hitler et en rejoignant le PPF fondé les 27 et 28 juin de la même année. Auparavant, il aura été candidat néo-socialiste -parti socialiste de France- dans la 5ème circonscription de Bordeaux, c'est-à-dire un homme de Déat et de Marquet. [...] Les prises de position de Jouvenel au temps du PPF ne constituent qu'une suite logique de celles que véhiculait La Lutte des jeunes ainsi que son livre sur L'économie dirigée. [...] Élu au Comité central, il se spécialise dans la presse doriotiste dans de virulentes attaques contre la SFIO et ses militants, attaques qui contiennent aussi les classiques allusions antisémites. [...] Un an plus tard, Drieu publie dans L'Émancipation nationale, le journal de Jouvenel, un violent article antisémite, "A propos du racisme", dans le plus pur style nazi: jamais, en aucune façon, Jouvenel ne réagit. [...] Après la guerre, il n'a pas exprimé de regret sur ses activités de cette époque, il a seulement essayé de les camoufler ou tout simplement de les faire oublier. [...] Sur le plan de son évolution intellectuelle, tout comme chez Fabre-Luce, on ne distingue chez le libéral en herbe aucune sorte de transition. Du pouvoir suit Après la défaite comme si de rien n'était, son engagement au sein de la société du Mont-Pèlerin vient après les conférences au service du PPF sans aucune explication. Les années trente ainsi que les années de guerre qui font corps avec elles se sont simplement évanouies. La synthèse fasciste du national et du social doublée de la haine du marxisme et du libéralisme, qui faisait le fond du doriotisme, est remplacée en un tour de main par l'adhésion au libéralisme le plus intransigeant." (p.725, 727, 728, 729, 731, 732, 759). "Il est difficile à l'heure actuelle d'imaginer un Aron affirmant que l'interview de Hitler n'était pas un panégyrique du nazisme, que Jouvenel, comme la quasi-totalité des Français ignorait qui était Hitler et, en outre, proclamer encore que la synthèse de nationalisme et de socialisme se trouvait disséminée dans tous les milieux. A en croire Aron, Jouvenel aurait été simplement une autre malheureuse victime d'un détestable climat intellectuel général. Personne ne songea à demander à Aron comment il se faisait que le grand journaliste, excellent connaisseur de l'Allemagne, conquis par le sourire et la bonhomie de Hitler, n'ait jamais entendu parler, en allant voir en février 1936 le sinistre dictateur, du camp de Dachau ouvert en mars 1933, de la "Nuit des longs couteaux" (29 juin - 2 juillet 1934) et des lois de Nuremberg de septembre 1935." (p.829) "Des points d'interrogation comparables s'accumulent quand on s'arrête sur le mouvement Combat. Jouvenel se décrit, note Olivier Dard, comme ayant appartenu au mouvement d'Henri Frenay et comme membre de l'armée secrète. Comment se fait-il alors qu'on y ait pas entendu parler de lui ? Comment se fait-il qu'aucun résistant ne se soit porté garant de son passé ? Pourquoi Jouvenel n'entreprit-il jamais de suivre la filière naturelle pour tout résistant qui souhaitait faire reconnaître les services rendus à son pays ? Une procédure de validation d'appartenance à un mouvement de résistance intérieure existait et était en fait une démarche de routine [...] Un membre de Combat n'aurait éprouvé aucune difficulté à obtenir une attestation de la part du liquidateur." (p.853)
  15. Ils ont déjà commencés. Que les militants anarcho-verts aient usé de projectiles incendiaires contre les forces de l’ordre à Sivens en dit long sur la valeur qu’ils accordent à la vie humaine comparée à la « défense des arbres ». Par ailleurs le national-socialisme incluait une dimension "écologiste" tout à fait réelle: "We recognize that separating humanity from nature, from the whole of life, leads to humankind’s own destruction and to the death of nations. Only through a re-integration of humanity into the whole of nature can our people be made stronger. That is the fundamental point of the biological tasks of our age. Humankind alone is no longer the focus of thought, but rather life as a whole . . . This striving toward connectedness with the totality of life, with nature itself, a nature into which we are born, this is the deepest meaning and the true essence of National Socialist thought." -Ernst Lehmann, Biologischer Wille. Wege und Ziele biologischer Arbeit im neuen Reich, München, 1934, pp. 10-11. Lehmann was a professor of botany who characterized National Socialism as "politically applied biology."
  16. Interview du national-bolchevik Dugin, ami personnel d’Alain de Benoist : http://www.voxnr.com/cc/d_douguine/EuEVEEkVZZRehtFQOH.shtml Sinon, pour te répondre Gio : « En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur famille, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. La cote d’alerte est atteinte. C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration. Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois des heurts entre immigrés de différents pays. Cela rend difficiles leurs relations avec les Français. Quand la concentration devient très importante, la crise du logement s’aggrave ; les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y accéder. Les charges d’aide sociale nécessaires pour les familles immigrées plongées dans la misère deviennent insupportables pour les budgets des communes. » -Georges Marchais, Secrétaire général du PCF, discours de Montigny-lès-Corneilles, 20 février 1981. Cité par Alain Soral dans Comprendre l’Empire. Notons que l’idée (qui repose sur le sophisme de la masse de travail fixe) était déjà chez Jaurès : "Nous protestons contre l’invasion des ouvriers étrangers qui viennent travailler au rabais. Et ici, il ne faut pas qu’il y ait de méprise : Nous n’entendons nullement, nous qui sommes internationalistes… » [Rumeurs et interruptions sur divers bancs] « Vous entendez bien que ce n’est pas nous qui voulons éveiller entre les travailleurs manuels des différents pays les animosités d’un chauvinisme jaloux ; non, mais ce que nous ne voulons pas, , c’est que le capital international aille chercher la main d’oeuvre sur les marchés où elle est le plus avilie, humiliée, dépréciée, pour la jetter sans contrôle et sans règlementation sur le marché français, et pour amener partout dans le monde les salaires au niveau des pays où ils sont les plus bas. » [Applaudissements] « C’est en ce sens, et en ce sens seulement, que nous voulons protéger la main d’oeuvre française contre la main d’oeuvre étrangère, non pas, je le répète, par un exclusivisme d’esprit chauvin, mais pour substituer l’internationale du bien être à l’internationale de la misère. » [Applaudissements à l’extrême gauche. Mouvements divers]." -Extrait de la motion défendue par le député de Carmaux Jean Jaurès, lors de séance parlementaire du 8 mars 1887.
  17. => http://fr.wikipedia.org/wiki/Logoth%C3%A9rapie
  18. C'est marrant, on a l'impression que l'interlocuteur de Gio proteste contre le but de l'Humanité (creuser des trous) mais que le fait qu'il commette un anthropomorphisme grossier en considérant l'Humanité comme un individu lui échappe totalement.
  19. C'est vrai que j'ai toujours pensé que c'est à ce moment-là qu'il a perdu. Mais il y a avait une atmosphère de fin de règne dans les derniers mois. Sarko faisait fatigué dans ses interviews. Le fait même qu'il est laissé entendre qu'il cesserait la politique en cas de défaite trahissait un certain découragement. Son bilan étant la catastrophe que l'on connaît, il ne pouvait pas gagner face à un candidat PS. Mais je suis certain que son ego surdimensionné le poussait pourtant à croire qu'il allait écraser ce personnage folklorique en qui il voyait un petit élu de Corrèze sans charisme.
  20. La "sincérité" (d'aucun dirait l'authenticité) repose donc sur le rejet de la logique, le refus de la Raison, l'ignorance des faits, le déni de la réalité et l'abandon de l'intelligence. Splendide. Du romantisme de bazar.
  21. Ce paragraphe me plaisait bien, à l'exception de la dernière phrase qui me plonge dans un abîme de perplexité
  22. Non, il va te répondre qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans ta relation avec ton Père
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