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Le Modèle Républicain D'intégration


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Sans même avoir de relations étrangères, il suffit de se connecter à news.google.com pour avoir une idée de ce que les américains, anglais, etc… pensent de la situation. Et effectivement, ils dramatisent beaucoup.

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Harald, une question: les "jeunes" qui justifient les émeutes et les exactions des émeutiers en affirmant avoir été les témoins directs d'incidents racistes impliquant des policiers te semblent-ils crédibles ? (vu hier au journal de France 2)

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Harald, une question: les "jeunes" qui justifient les émeutes et les exactions des émeutiers en affirmant avoir été les témoins directs d'incidents racistes impliquant des policiers te semblent-ils crédibles ? (vu hier au journal de France 2)

Médiatiquement sans aucun doute car tout un chacun sait que nous ne loupons jamais une occasion de ratonner.

Plus sérieusement, les agents qui sont envoyés au contact des points les plus chauds sont des hommes dont c'est le métier. Ce sont des professionnels de l'affrontement urbain. Il est clair qu'une interpellation dans le cadre d'une émeute ne peut être que musclée. Si le racisme tient dans la neutralisation d'un émeutier incendiaire, souvent armé, par deux voire trois collègues, alors sans aucun doute la police est raciste. Il faut être clair. Environ 90% des excités qui foutent le boxon depuis 10 jours sont des français d'origine étrangère. Si c'est raciste que de s'opposer à eux pour rétablir l'ordre, alors retirons la police des rues, laissons les tout cramer.

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Médiatiquement sans aucun doute car tout un chacun sait que nous ne loupons jamais une occasion de ratonner.

Plus sérieusement, les agents qui sont envoyés au contact des points les plus chauds sont des hommes dont c'est le métier. Ce sont des professionnels de l'affrontement urbain. Il est clair qu'une interpellation dans le cadre d'une émeute ne peut être que musclée. Si le racisme tient dans la neutralisation d'un émeutier incendiaire, souvent armé, par deux voire trois collègues, alors sans aucun doute la police est raciste. Il faut être clair. Environ 90% des excités qui foutent le boxon depuis 10 jours sont des français d'origine étrangère. Si c'est raciste que de s'opposer à eux pour rétablir l'ordre, alors retirons la police des rues, laissons les tout cramer.

Spécifiquement, il s'agissait de témoins oculaires (prétendus ?) d'interpellations au cours desquelles les agents auraient traités les suspects de "sale nègre" et de "sale arabe".

Qu'ils le pensent, soit, mais ça m'étonne qu'ils le disent.

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bon un panel de l'opinion sur les émeutes en france

FRANCE-BANLIEUE-VIOLENCE-PRESSE - 07/11/2005 13h11 - AFP

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Origine : France

"Paris brûle", la presse internationale s'inquiète d'une possible contagion (SYNTHESE)

PARIS, 7 nov 2005 (AFP) - "Paris brûle" et la France vit sa plus grave crise depuis mai 68, conséquence directe des ratés de sa politique d'intégration, estimait lundi la presse internationale, s'inquiétant d'une possible extension en Europe de la "révolte" des banlieues françaises.

De la Pologne à l'Afrique du Sud, la Chine et les Etats-Unis, la presse accorde une large place, souvent en Une, aux émeutes qui secouent la France depuis plus de dix jours.

"Paris brûle", écrit le quotidien italien La Stampa. "Ce sont des gangs criminels comme dans le ghetto de Los Angeles en 1992, c'est le black out anarchique, une Nouvelle-Orléans sur Seine", renchérit le Corriere della Sera.

Les groupes islamistes "n'y sont pour rien et peu de casseurs en appellent à l'islam pour justifier leurs attaques", assure le Wall Street Journal, qui estime toutefois que des groupes extrémistes pourraient vouloir récupérer le mouvement.

Le quotidien allemand Tagesspiegel (centre-gauche) paraît très isolé lorsqu'il souligne qu'"il faut garder son calme: Paris n'est pas Bagdad".

Plusieurs journaux comparent la situation à la révolution étudiante de mai 1968. Il s'agit des "bouleversements les plus graves depuis mai 1968. Leurs effets peuvent être très graves et toucher toute l'Europe occidentale", juge le quotidien polonais Rzeczpospolita (droite).

L'insurrection risque de "se propager au reste de l'Europe", s'inquiète le journal portugais Correio da Manha, invitant "à réfléchir à l'exemple français". Le quotidien sud-africain The Star compare la situation en France et en Afrique du Sud et invite Johannesbourg à en tirer des leçons.

"Les autres pays craignent un phénomène de domino", constate le quotidien grec Elefthérotypia (centre-gauche). Car "la France est traditionnellement le point de référence, le baromètre de ce qui se passe ensuite dans les sociétés voisines", selon la radio espagnole Cadena Ser, la plus écoutée du pays.

Pour L'Echo, quotidien économique belge, les émeutes en France traduisent "le désarroi par rapport à une situation économique difficile et le rejet d'une Europe de moins en moins proche des citoyens".

La presse autrichienne conclut à l'échec du "modèle français" d'intégration des immigrés.

Dans cette France qui prône depuis les années 1960 "assimilation puis intégration", l'égalité des chances dans les banlieues est "une chimère pour la majorité des enfants", "taxés d'office du triple délit de faciès, d'adresse et de nom", estime le journal marocain des milieux d'affaires, l'Economiste.

"La France s'est fait piéger par ses contradictions", juge La Tribune en Algérie.

Le quotidien tchèque Pravo (gauche) se demande ce que peut faire le gouvernement français, "à part envoyer l'armée contre les jeunes émeutiers".

Face à la crise, certains journaux comme la Libre Belgique s'étonnent de "l'impuissance" du gouvernement.

Pour le quotidien grec Elefthéros Typos (centre-droit), le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy est "dans l'oeil du cyclone" mais d'autres journaux s'en prennent au président Jacques Chirac.

Le quotidien allemand Frankfurter Rundschau (gauche) le compare à Louis XVI: "Qu'est-ce qu'attend le chef d'Etat? Commet-il une faute historique comme jadis Louis XVI qui, commentant les nouvelles inquiétantes émanant du peuple, posa d'une manière sceptique à ses conseillers la question: +Alors il s'agit d'une révolte?+ pour qu'on lui réponde: +Non votre Altesse, d'une révolution!".

Deux quotidiens espagnols estiment toutefois que le président français a pris "le commandement de la crise" (ABC, droite) en fixant "la restauration de l'ordre" comme priorité (El Pais, centre-gauche).

ak/phv/alc

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http://fr.news.yahoo.com/07112005/202/fran…-nombre-de.html

France 3 décide de ne plus annoncer le nombre de voitures incendiées

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PARIS (AFP) - La chaîne France 3 a décidé de ne plus annoncer dans ses journaux nationaux le nombre de voitures incendiées lors des violences urbaines, a déclaré lundi le directeur général adjoint chargé de l'information de France 3, Paul Nahon, lundi sur Europe 1.

Interrogé sur l'effet d'entraînement des images des violences à la télévision, M. Nahon a indiqué que France 3 adaptait (sa) "façon de rendre l'actualité tous les soirs, que ce soit en région ou sur le national de façon très pragmatique".

"Ce rôle de l'image est présent dans notre esprit depuis le début (…) Chaque jour, notre tactique évolue. Par exemple, la question qu'on s'est posée aujourd'hui très concrètement, c'est de savoir si on continue à donner le nombre de voitures qui brûlent", a expliqué M. Nahon.

M. Nahon a estimé qu'il était encore possible pour un journaliste de couvrir les violences urbaines "à condition de le faire avec discernement, avec responsabilité, ce que (France 3) essaie de faire chaque soir en banlieue".

"On se pose des questions tous les jours", et ceci "depuis le début, depuis 11 jours exactement", a-t-il dit. "De quelle façon on couvre? Qu'est-ce qu'on doit montrer, rapporter? Est-ce qu'on a le droit de faire de l'auto-censure, de la censure? Est-ce qu'on doit tout montrer, tout expliquer? Voilà à quoi on est confronté depuis 11 jours", a précisé M. Nahon.

Questionné sur l'analyse de l'association SOS Racisme qui a reproché dimanche à certains médias de présenter les violences urbaines "comme une guerre civile" et les habitants des banlieues comme "des sauvages", M. Nahon a affirmé que, "pour France 3 et France 2, c'est faux".

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Pour L'Echo, quotidien économique belge, les émeutes en France traduisent "le désarroi par rapport à une situation économique difficile et le rejet d'une Europe de moins en moins proche des citoyens".

Ah bah voilà. Ca doit être ça ! Le traité de constitution n'était pas assez lisible ! Je comprends les casseurs : j'ai ressenti une frustration sourde à sa lecture, eux, ils sont passés à l'action. Logique. En plus, ils ne manquent plus de papier pour débuter leurs incendies…

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Pour L'Echo, quotidien économique belge, les émeutes en France traduisent "le désarroi par rapport à une situation économique difficile et le rejet d'une Europe de moins en moins proche des citoyens".

Ah bah voilà. Ca doit être ça ! Le traité de constitution n'était pas assez lisible ! Je comprends les casseurs : j'ai ressenti une frustration sourde à sa lecture, eux, ils sont passés à l'action. Logique. En plus, ils ne manquent plus de papier pour débuter leurs incendies…

En effet, c'est n'importe quoi. Toujours dans la même logique déresponsabilisante : c'est pas de ta faute, c'est celle de la société/de ton patron/du racisme, etc.

A mon sens, tout ce qui arrive aujourd'hui est principalement le produit de la politique immobilière planiste de l'état français (ce qui n'excuse en rien les actes, qui sont infâmes - je pense toujours à tous ces pauvres gens qui bossent et qui se font détruire un bien important (une voiture coûte cher et sert entre autres pour le boulot)). A Bruxelles et dans sa périphérie, il n'y a pas de grands immeubles "sociaux" isolés du reste du monde : les immigrés se sont installés dans des maisons particulières, des appartements, qui fort heureusement ne sont pas uniquement entre les mains de l'état.

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En tout cas, il semblerait que dans les banlieues même, 56% des sondés approuvent les propos de Sarko (ce qui n'étonnera personne j'espère…)

C'est la gauche parlementaire qui ne voit dans ces émeutes qu'un moyen d'embarrasser le gouvernement français. Ces gens sont vraiment de sombres crapules.

Une éventuelle démission de Sarko serait en tout cas une erreur grave.

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Tout à fait…

On dirait que les médias commencent tout juste à se poser la question de leur  possible responsabilité dans l'extension du phénomène….

C'est un jeu pour beaucoup, "Inter-cités" avec des flics à la place des vachettes! A qui cramera le plus de bagnoles!

Et en survet blanc , histoire de bien être visible sur les vidéos.

A part dans la neige avec les chasseurs Alpins, il ya mieux comme camouflage , si on veut vraiment jouer la guérilla.

C'est sans doute vrai, mais bon, c'est quoi l'alternative ?

La censure ?

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A Bruxelles et dans sa périphérie, il n'y a pas de grands immeubles "sociaux" isolés du reste du monde : les immigrés se sont installés dans des maisons particulières, des appartements, qui fort heureusement ne sont pas uniquement entre les mains de l'état.

Il y en a peu, mais il y en a.

Le Parc Peterbos à Anderlecht, la Cité Modèle à Laeken et il y a quelques quartiers d'habitations sociales bien sinistres à Bruxelles-ville et à Molenbeek notamment.

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Malgré tout, ce n'est pas comme en France, loin des autres habitations. Par exemple, les grandes colonnes d'immeubles sociaux entre la rue Haute et la rue Blaes près de la place du Jeu de Balle sont totalement imbriquées dans un quartier "privé". Il leur suffit de traverser la rue pour être face à d'autres habitants. Par contre, dans certaines cités en France c'est vraiment l'isolement complet, des immeubles gigantesques jetés près d'une nationale avec rien ni personne à plusieurs kilomètres.

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Spécifiquement, il s'agissait de témoins oculaires (prétendus ?) d'interpellations au cours desquelles les agents auraient traités les suspects de "sale nègre" et de "sale arabe".

Qu'ils le pensent, soit, mais ça m'étonne qu'ils le disent.

Surtout que l'on a autre chose à foutre qu'à perdre du temps à ces conneries sachant de surcroît que tout ce qui existe comme journaleux bat le pavé à la recherche d'incidents croustillants propres à émouvoir le chaland.

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Malgré tout, ce n'est pas comme en France, loin des autres habitations. Par exemple, les grandes colonnes d'immeubles sociaux entre la rue Haute et la rue Blaes près de la place du Jeu de Balle sont totalement imbriquées dans un quartier "privé". Il leur suffit de traverser la rue pour être face à d'autres habitants. Par contre, dans certaines cités en France c'est vraiment l'isolement complet, des immeubles gigantesques jetés près d'une nationale avec rien ni personne à plusieurs kilomètres.

Bonne analyse.

En gros, chaque fois que l'état à mis ses petits doigts boudinés dans un dossier, a légiféré, et a pris des parts ou des positions, à chaque fois cela a merdé, merde ou merdera.

L'aspect répétitif de ces ratés monumentaux n'empêche cependant en rien les gens de réclamer, dans un chorus bien rythmé, encore et toujours, plus d'état…

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Invité khano-et-khayek
bon un panel de l'opinion sur les émeutes en france

"Paris brûle", la presse internationale s'inquiète d'une possible contagion (SYNTHESE)

PARIS, 7 nov 2005 (AFP)

Khayek: Vue de la péninsule ibérique, il est vrai que la France parait dans une situation quasi-révolutionnaire… mais je ne sais si ça consolera ceux qui sont restés, contrairement à nous qui essayons tant bien que mal de couper le cordon avec Big Mama, mais l'Espagne est aussi au bord de la guerre civile…

Khano:

La France paye aujourd'hui son arrogance. Aux yeux du monde, son fameux modèle d'intégration est en train de partir à vau-l'eau. Cette crise traduit «son incapacité à intégrer ses immigrants», écrit le New York Times. La vengeance est un plat qui se mange froid. Les Américains n'oublieront jamais les propos peu flatteurs tenus sur leur pays et leur société au moment de la guerre en Irak et du passage du cyclone sur la Louisiane. Le Figaro, 07/11

Enfin, quand je vois les images de ces jeunes cons et quand j'entends la vieille connerie socialiste, je commence à aimer l'UMP !

Khayek:

Ainsi le premier ministre a-t-il reçu, samedi, Dalil Boubaker comme si le recteur de la Mosquée de Paris était le chef d'un syndicat des banlieues. L'islam est-il au coeur des violences actuelles ? Pas qu'on sache. Idem

Khano: Ok, calmé, c'était oublier tous les amalgames sarkozistes, le nationalisme économique de Villepin, etc.

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Bon, en même temps, la France, ce n'est pas Paris, ni même Aulnay ou Clichy.

Ce midi, j'ai pu aller manger sans problème. Je vais travailler à pied le matin, je rentre le soir idem, et je n'ai pas croisé de jeune sauvageon armé de Molotov, le Coran entre les dents, criant Allah-Akbar (avec le Coran entre les dents, belle performance).

Les médias, je crois, ont une petite (toute petite) tendance à légèrement surévaluer ces épiphénomènes pathétiques qui montrent surtout la totale incurie de nos politiques.

D'ailleurs, Harald me reprendra si je dis une bêtise, mais il me semble que si Sarko & consors voulaient vraiment faire revenir le calme dans certains points chauds, ils auraient déjà agi. A moins de les considérer stupides et/ou très mal conseillés, ils doivent savoir que des équipes entraînées à ce genre de situation existent au sein de la police nationale…

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Invité jabial
100% d'accord avec ce que j'ai mis en gras. Pour le reste, ne pensez-vous pas qu'il faudrait permettre aux gens de se défendre armes au poing contre les voyous qui s'attaquent à leurs biens ?

Tout à fait d'accord mais ça ne suffit pas. Individuellement ils seront débordés. Il faut leur permettre de s'organiser pour leur défense, au moyen d'organisations armées, lucratives ou non.

Un de mes associés sort avec une roumaine et a encore de nombreux "contacts" en russie  :icon_up:

Les conflits en banlieue sont présentés là bas comme une guerre civile.

Egalement le cas dans certains médias américains (US et Canada).

En tout cas, il semblerait que dans les banlieues même, 56% des sondés approuvent les propos de Sarko (ce qui n'étonnera personne j'espère…)

Surtout dans les banlieues.

On oublie souvent que les "immigrés de banlieue" représentent 90% des victimes des agressions et des voitures brûlées.

Une éventuelle démission de Sarko serait en tout cas une erreur grave.

Politiquement, pas forcément, dans la mesure où ça ne sert à rien de rester en place s'il a les mains liées.

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Pour l'heure la nécessité c'est de ramener l'ordre. Il faut donc mettre en avant les unités habituées à l'affrontement urbain: CRS, CDI, UMS,gardes mobiles, BAC…

Créer des petits groupes de 15 à 20 agents chargés au sein des dispositifs de repérer les meneurs et de foncer en bloc pour les exfiltrer.

Là où il y a eu tirs à balles réelles faire intervenir les groupes spécialisés tels que le RAID et le GIGN.

Les rues, les cités, doivent être quadrillées, le terrain n'appartient pas à la voyoucratie.

Des opérations de nettoyage des cités de toutes les armes illégales doivent être montées.

Ce qui n'empêche pas qu'il y a un malaise et que les solutions à long terme, c'est que ces jeunes puissent s'imaginer un avenir dans notre société. Qu'ils aient aussi des valeurs. Donc de l'espoir plus des traditions et/ou des croyances.

Pour ma part je n'étais absolument pas d'accord avec Sarkosy sur sa façon populiste de parler de ces jeunes. Mais je pense qu'il a plus été un révélateur d'un malaise réel, et non pas le créateur. Ceci-dit s'il pouvait se prendre une baffe ça lui ferait du bien.

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En fait, Sarko répondait à une dame qui avait commencé, elle, à parler de racaille. Ceci dit, là n'est pas la question…

Sur 10, 20 ou 30 types par cité qui fichent le bazar, il y a des centaines qui rentrent chez eux, une soupe et au dodo. Sachant que ces derniers vivent dans les mêmes conditions que les premiers, ont les mêmes origines sociales et ethniques, probablement la même religion, j'ai du mal à comprendre en quoi les problèmes des premiers ne soient pas similaires aux problèmes des seconds.

Dans ce cas, pourquoi diable ces 10 ou 20 gugusses ont-ils choisi de tout brûler, quitte à le faire sur la propriété des autres, et mettre les autres & eux-mêmes dans le même panier ?

Plus ça va, et moins j'arrive à trouver d'excuse, même vague, pour leurs agissements. Toute explication "ils ont des conditions difficiles, ça explique leur ras-le-bol" revient à filer un camouflet à tous les autres qui, vivant les mêmes problèmes dans les mêmes conditions, respectent la loi.

C'est une des raisons pour laquelle je n'attends qu'une chose : que des mesures coercitives efficaces soient prises à leur encontre. L'autre raison, c'est que nous payons tous suffisamment cher pour la police, pour un état obèse, qu'il serait temps que notre argent corresponde à un vrai service rendu. Pour le moment, c'est un service qui consiste à chauffer à ciel ouvert des lieux publics, avec force pollution atmosphérique, sonore et visuelle.

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Sur 10, 20 ou 30 types par cité qui fichent le bazar, il y a des centaines qui rentrent chez eux, une soupe et au dodo. Sachant que ces derniers vivent dans les mêmes conditions que les premiers, ont les mêmes origines sociales et ethniques, probablement la même religion, j'ai du mal à comprendre en quoi les problèmes des premiers ne soient pas similaires aux problèmes des seconds.

C'est beaucoup plus que 30 types. Des jeunes d'une banlieue prêts à casser une cabine téléphonique, brûler une poubelle, casser des vitres autos (d'autres suivront par le cocktail), la liste est très longue … il y a plusieurs dizaines de dizaines.

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Sarkozy avait, pour une fois, parfaitement raison.

Si "on" le lui fait payer par une démission, ça prouvera à la racaille qu'elle peut avoir la peau de n'importe qui avec l'aide des médias et de l'intelligentsia gauchiste.

Au risque de me répéter, ce ne sont pas les bourgeois des quarties chics qui sont les victimes de ces crapules - il n'y a pas de raison d'ailleurs - ce sont les habitants des ghettos de HLM qui voient partir en flammes leur bagnole, leur poste de travail, leurs lieux de détente et l'école de leurs moutards. Voilà les vraies victimes du discours iréniste et démago-racailliste de la gauche bien-pensante, qui ne songe qu'à une chose, instrumentaliser leurs problèmes pour faire tomber le gouvernement.

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C'est beaucoup plus que 30 types. Des jeunes d'une banlieue prêts à casser une cabine téléphonique, brûler une poubelle, casser des vitres autos (d'autres suivront par le cocktail), la liste est très longue … il y a plusieurs dizaines de dizaines.

Admettons qu'il y en ait 500 dans une cité de taille moyenne. Ca fait 500 types sur combien d'habitants ?

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C'est beaucoup plus que 30 types. Des jeunes d'une banlieue prêts à casser une cabine téléphonique, brûler une poubelle, casser des vitres autos (d'autres suivront par le cocktail), la liste est très longue … il y a plusieurs dizaines de dizaines.

En tout, oui, mais ils agissent par petits groupes. Et dans une cité de 3000 habitants, je doute vraiment que 10% de la population soit impliquée…

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Sarkozy avait, pour une fois, parfaitement raison.

Si "on" le lui fait payer par une démission, ça prouvera à la racaille qu'elle peut avoir la peau de n'importe qui avec l'aide des médias et de l'intelligentsia gauchiste.

Au risque de me répéter, ce ne sont pas les bourgeois des quarties chics qui sont les victimes de ces crapules - il n'y a pas de raison d'ailleurs - ce sont les habitants des ghettos de HLM qui voient partir en flammes leur bagnole, leur poste de travail, leurs lieux de détente et l'école de leurs moutards. Voilà les vraies victimes du discours iréniste et démago-racailliste de la gauche bien-pensante, qui ne songe qu'à une chose, instrumentaliser leurs problèmes pour faire tomber le gouvernement.

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Admettons qu'il y en ait 500 dans une cité de taille moyenne. Ca fait 500 types sur combien d'habitants ?

En tout, oui, mais ils agissent par petits groupes. Et dans une cité de 3000 habitants, je doute vraiment que 10% de la population soit impliquée…

Je ne sais pas, je n'ai pas de chiffres exacts, mais je suis sûr qu'on est plus près du 10 % que du 1 %. Les jeunes sont très nombreux dans ces cités, les familles en dessous de 3 enfants sont très rares, ils n'ont pas beaucoup d'autres occupations que d'errer dans les rues une fois l'école terminée, lorsqu'ils y vont (encore).

Les forces de l'ordre sont débordées, la consigne officielle des CRS - en France en 2005 à l'heure où je vous parle - est d'éviter les contacts violents.

Non assurément ils sont bien plus nombreux que certains médias et surtout certains hommes politiques veulent nous le faire croire.

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