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L'ile Des Naufragé De Louis Even


Eric

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J’ai mieux, émettons des chiffres pour la boucherie humaine!

http://www.michaeljournal.org/images/001-%20Le%20Fouet.gif

Plus tu écris petit, mieux c'est. Continue. Bientôt, tu feras des petites crottes de mouches, puis, enfin, plus rien du tout. Perdu dans les abîmes d'internet, tout le monde t'oubliera. Ce sera chouette. Créé du néant comme une particule éphémère à l'énergie empruntée sur celle du vide, tu retourneras au vide qui t'a vu naître, restituant à l'Univers créditeur ta petite énergie d'agitation.

Pfuyt.

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C'est le dessin le plus con que j'ai pu voir depuis la dernière fois que j'ai du ouvrir Charlie hebdo.

Qu'il rajoute une étoile de David au banquier et un costume d'Oncle Sam au cocher, et il le fera passer dans Kayhan, Al-Gomhouriyya, Akhbar Al-Yawm ou Al-Watan.

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Qu'il rajoute une étoile de David au banquier…

De quoi tu parles?

Va te faire soigner, il n'est nullement question de ce genre d'idiotie. Je parle de la formule monétaire à changer ti-père.

Faut être idiot de penser qu'un peuple possède le monopole bancaire. C'est comme si j'accuserais les Libertariens de la même chose.

Bordel, vous argumentez comme des gauchistes les p'tits comiques.

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Le Crédit Social, qui est essentiellement la conception d'un ordre favorisant l'épanouissement de la personne, cherche cet ordre, non pas dans l'accession à un pouvoir (politique ou économique) qui domine les personnes, mais dans une augmentation du pouvoir chez les personnes elles-mêmes. D'un pouvoir individuel qui permette à la personne d'exercer librement son initiative et d'assumer ses responsabilités dans la, poursuite de ses propres fins légitimes.

Contrairement, donc, aux accusations de fascisme, lancées contre le Crédit Social par des ignorants ou des mal intentionnés, le Crédit Social authentique est l'idéologie la plus démocratique de toutes celles qui aujourd'hui cherchent l'adhésion des esprits. Le Crédit Social conçoit la démocratie comme une limitation des pouvoirs du gouvernement et un accroissement des pouvoirs des individus.

Cette description de la démocratie ne devrait rencontrer aucune contradiction. Est-ce que la démocratie n'est pas présentée comme le contraire de la dictature ? Or, la dictature ne consiste-t-elle pas dans le pouvoir absolu exercé par un chef ou par un parti sur toute la population, ne laissant aucun choix aux individus ? C'est donc bien en diminuant le pouvoir des gouvernements, pour augmenter le pouvoir des personnes, que l'on brise la tendance à la dictature et que l'on fait progresser vers une démocratie authentique (demos, peuple; kratos, puissance), vers la puissance du peuple. Le peuple n'est pas une abstraction, il est composé de personnes; c'est la puissance des personnes qui fait la puissance du peuple.

"Mais il y a le facteur temps, dont l'adversaire essaie de tirer profit. Ceux qui visent à la domination mondiale voudraient rendre leur position imprenable, comme en Russie. Pour le moment, ils comptent sur une confusion soigneusement entretenue dans l'opinion publique; et dès que cette opinion publique s'éveille un peu à la situation réelle, ils s'empressent de canaliser son action vers des voies sans danger pour leur pouvoir."

Cette dernière phrase nous paraît s'appliquer parfaitement aux futiles recherches d'améliorations dans des renversements de gouvernements, que ce soit par des partis anciens ou en poussant des partis nouveaux, ce qui ne réussit en définitive qu'à leurrer la population tant qu'elle borne là son action.

Louis Even

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Va te faire soigner, il n'est nullement question de ce genre d'idiotie.

Oui ne mélangeons pas les idioties.

Faut être idiot de penser qu'un peuple possède le monopole bancaire. C'est comme si j'accuserais les Libertariens de la même chose.

Et puis la chasse aux Juifs c'est démodé, maintenant on a les les capitalistes !

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De quoi tu parles?

Va te faire soigner, il n'est nullement question de ce genre d'idiotie. Je parle de la formule monétaire à changer ti-père.

Faut être idiot de penser qu'un peuple possède le monopole bancaire. C'est comme si j'accuserais les Libertariens de la même chose.

Bordel, vous argumentez comme des gauchistes les p'tits comiques.

Je parlions bien mieux la france que twa et je temerd. Et c'est comme si que je diserai que tu écries que des conneries. Vilain.

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Et puis la chasse aux Juifs c'est démodé, maintenant on a les les capitalistes !

?!?!

Le Crédit social est pro-capitaliste. L'idée est de l'améliorer en le démocratisant, faisant de nous tous des capitalistes et en consolidant la propriété privée, sans en oublier son aspect social, car la production doit répondre à des besoins.

Mais comme vous ne voulez pas toucher à la formule, on se retrouve avec une incapacité financière générale. Cela donne donc l'occasion au gouvernement d'intervenir, de taxer, de réintervenir…

Ça donne aussi l'occasion de chiâler contre les profits et d'avoir le type de syndicalisation actuel.

Bref, c'est aussi la faute des "libéraux", car ils ne veulent rien proposer de sérieux. Ben beau parler de liberté, mais ceux dans le besoin en ont rien à foutre, surtout que cette liberté est perdue depuis un bye.

Votre problème n'est pas d'être en désaccord, mais plus le fait que vous semblez pas piger ce que je dis.

Il faut donc subordonner la finance à la capacité de production et non le contraire.

Vous la constatez bien, vous aussi, cette incapacité financière. Mais que proposez-vous pour y remédier ? Quelle solution présentez-vous, autre que vos discours, dans lesquels vous êtes trop souvent prompts à attribuer la cause de cette insuffisance financière à ceux qui en souffrent ?

Qu'avez-vous à présenter ? Rien ? Rien, et alors vous n'arrêterez ni les nationalisations, ni les plans d'État, ni les collectivisations, ni les technocrates, ni les bureaucrates, ni les spoliations, ni l'enrégimentation, ni l'État-tout, ni le communisme déclaré ou déguisé sous un autre terme.

Mais qu'avez-vous à présenter pour empêcher les taxes et les dettes de ruiner les cultivateurs ? Rien ? Rien. Alors, ne soyez pas surpris s'ils décident d'abandonner une terre qui doit nourrir l'État et les financiers avant de nourrir leur famille.

Puis, ne vous étonnez pas, après cela, de voir le gouvernement intervenir, planifier son aménagement rural, prendre deux ou trois fermes pour en agrandir une autre en l'endettant, mettre en friche ou en forêt ici, en pâturages communautaires ailleurs, collectiviser, placer ses favoris, et vous taxer pour payer les frais et les gâchis de cette expérience d'un gouvernement fermier.

Tout va au collectif. A la famille, rien.

Le foyer restera le coin pauvre et rebuté, où l'on ne rentre que pour dormir — et pas toujours de bonne heure.

LE

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Le Crédit social est pro-capitaliste. L'idée est de l'améliorer en le démocratisant, faisant de nous tous des capitalistes et en consolidant la propriété privée, sans en oublier son aspect social, car la production doit répondre à des besoins.

Le crédit est normalement une action privée : une banque privée prête de l'argent à un particulier ou une entreprise privée. Pourquoi "démocratiser" un acte privé ?

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?!?!

Le Crédit social est pro-capitaliste. L'idée est de l'améliorer en le démocratisant, faisant de nous tous des capitalistes et en consolidant la propriété privée, sans en oublier son aspect social, car la production doit répondre à des besoins.

Mais comme vous ne voulez pas toucher à la formule, on se retrouve avec une incapacité financière générale. Cela donne donc l'occasion au gouvernement d'intervenir, de taxer, de réintervenir…

Ça donne aussi l'occasion de chiâler contre les profits et d'avoir le type de syndicalisation actuel.

Bref, c'est aussi la faute des "libéraux", car ils ne veulent rien proposer de sérieux. Ben beau parler de liberté, mais ceux dans le besoin en ont rien à foutre, surtout que cette liberté est perdue depuis un bye.

Votre problème n'est pas d'être en désaccord, mais plus le fait que vous semblez pas piger ce que je dis.

Il faut donc subordonner la finance à la capacité de production et non le contraire.

Tu sors d'où au fait ?

La production doit répondre à un besoin. En effet, sinon personne ne gagnerait sa vie. Or il me semble que ce qu'on recherche dans la méchante finance, c'est d'investir dans quelque chose qui rapporte (je peux me tromper, arrête moi si besoin est). Donc la méchante finance à tout intérêt à investir dans une production (gentille bien sûr) qui répond à un besoin.

Mais la finance est méchante et ne comprend pas ça alors juste pour emmerder les pauvres citoyens elle va investir dans ce qui ne répond à aucun besoin (et donc ne rapporte rien accessoirement). Ai-je compris ta "pensée" ?

Moi je ne vois qu'un investissement qui est rétribué au dessus de son rendement : le bon du trésor. S'il y a un problème dans "la finance" c'est celui-ci : que la dette d'Etat n'accapare trop de ressources.

Si il existe aujourd'hui une "incapacité financière générale", bien qu'elle ne soit pas aussi pregnante que cela, c'est plutôt dû aux banques centrales qui font joujou avec leurs taux d'intérêt qu'autre chose, comme la supposée folie de "la finance".

J'avoue que ta dernière phrase m'a fait frémir. Subordonner des personnes les unes aux autres…

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Invité jabial
Bref, c'est aussi la faute des "libéraux", car ils ne veulent rien proposer de sérieux. Ben beau parler de liberté, mais ceux dans le besoin en ont rien à foutre, surtout que cette liberté est perdue depuis un bye.

Depuis un bail, bonhomme, et la maison ne fait pas crédit.

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Le crédit est normalement une action privée : une banque privée prête de l'argent à un particulier ou une entreprise privée.

Oui, mais le crédit nouveau n’appartient pas à la banque.

que la dette d'Etat n'accapare trop de ressources.

Ou dettes privées ça change rien.

c'est plutôt dû aux banques centrales qui font joujou avec leurs taux d'intérêt qu'autre chose

Ben oui, l’intérêt central est mauvais, mais pas celui des banques.

En passant, je n’ai pas parlé de la méchante finance. Les personnes qui polissent la machine font leur travail, comme je le ferais à leur place.

Je désapprouve juste la convention qui occasionne une concentration tant économique que politique. La population n’est pas mieux.

Alors je ne suis pas un enragé.

Ah oui, je viens du Québec dans le grand Canada.

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que la dette d'Etat n'accapare trop de ressources.

Ou dettes privées ça change rien.

Mettre sur le même plan dette publique et dette privée reviens à considérer que la dépense publique est au moins aussi efficace que la dépense privée.

Ceci est une grave dérive sociale démocrates voire communiste.

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Ou dettes privées ça change rien.

Une dette privée, si elle ne peut pas être remboursée, cause une perte au préteur (et une perte de rating a l'emprunteur). Il y a un rapport classique bénéfice/risque.

Une dette publique peut toujours être remboursée, par l'impot ou par l'inflation, autrement dit le risque est mutualisé sur toute la population, voire sur tous les possesseurs de monnaie.

Ce n'est pas comparable du tout, autant dire qu'un crédit structuré a le même profil de risque qu'une obligation "classique" sous prétexte que la termsheet a la même gueule.

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Le crédit est normalement une action privée : une banque privée prête de l'argent à un particulier ou une entreprise privée. Pourquoi "démocratiser" un acte privé ?
Oui, mais le crédit nouveau n’appartient pas à la banque.

Aucun rapport entre ta réponse et ma question. Allo, MacFly ???

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Mhm. Emprunts russes ? Argentine ?

Ca c'est les exceptions, a mon avis salutaires d'ailleurs, ça ferait du bien a tout le monde si les états n'étaient pas considérés comme incapables de faire faillite (j'ai une dent contre les agences de notation, ça se vois ?)

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Ca c'est les exceptions, a mon avis salutaires d'ailleurs, ça ferait du bien a tout le monde si les états n'étaient pas considérés comme incapables de faire faillite (j'ai une dent contre les agences de notation, ça se vois ?)

Exceptions ? Attendons un peu, mais la France est sur les "bons" rails.

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Mettre sur le même plan dette publique et dette privée reviens à considérer que la dépense publique est au moins aussi efficace que la dépense privée.

Du tout, car pas libre marché et monopole non naturel. Le rôle de l'État doit être à son minimum dans les affaires. Pour ce qui le concerne, ça ne doit pas bloquer la capacité de libération de crédit ailleurs en fonction des besoins de la population, grâce à un pouvoir d'achat adéquat.

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Aucun rapport entre ta réponse et ma question. Allo, MacFly ???

Oui Biff, je parle du chiffrage sur le crédit réel. Y greffer de l'intérêt dessus revient à en donner la possession au comptable et de le tenter à en "imprimer" plus, sans tenir compte des besoins de base des individus.

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  • 3 weeks later...

De l’intérêt sur l’argent nouveau?

Nous ne sommes pas en marché libre et je doute que nous aimons ça en payer. La banque centrale n’aide pas non plus.

Voilà le multiplicateur personnel du lecteur, bien plus puissant que le multiplicateur d'investissement. Pour augmenter le revenu de la société, et donc guérir dépression et chômage, il suffit pour le gouvernement d'imprimer un certain nombre de dollars et de les donner au lecteur de ces lignes.

Rothbard

Ça ressemble au dividende social :icon_up:

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Ah oui, même en acceptant notre système bancaire d'apparatchiks, comment est-ce qu'une compagnie fiable peut rencontrer ses obligations et aussi faire des profits, si le taux préférentiel (4%) est supérieur à la croissance du PIB (2-3%)?

:icon_up:

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Ah oui, même en acceptant notre système bancaire d'apparatchiks, comment est-ce qu'une compagnie fiable peut rencontrer ses obligations et aussi faire des profits, si le taux préférentiel (4%) est supérieur à la croissance du PIB (2-3%)?

:icon_up:

Tu compares des pommes et des bananes, ton propos perd donc son sens.

La meilleur chose a faire serait de recommencer ton education économique depuis le debut, ou plus simple et moins contraignant, de regarder comment des entreprises parviennent a repayer leurs emprunts meme quand le taux d'interet est superieur aux PIB (il l'est presque tout le temps, a vrai dire).

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  • 2 weeks later...

Ce n'est pas parce que des compagnies font des profits que le système est logique.

Il y a aussi des faillites à la tonne. Demander collectivement un plus grand retour de permis que d'émission est du vol. Pas pour rien qu'ensuite on demande de l'aide à la banque centrale.

L'argent nouveau doit donc appartenir au peuple.

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