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La mise en cause de la responsabilité limitée non contractuelle


Bastiat

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Absolument pas. Le principe même de "solidarité des débiteurs" implique que le créancier ne soit pas obligé de diviser ses poursuites. Il peut réclamer l'intégralité du paiement à l'associé qu'il choisit, lequel pourra alors se retourner contre les autres débiteurs.

Article 1200

Créé par Loi 1804-02-07 promulguée le 17 février 1804

Il y a solidarité de la part des débiteurs, lorsqu'ils sont obligés à une même chose, de manière que chacun puisse être contraint pour la totalité, et que le paiement fait par un seul libère les autres envers le créancier.

 

Pour la SNC ou la commandite, mais pas pour la société civile, puisque chacun n'y est responsable qu'a la hauteur de ses parts, il faut donc poursuivre chaque associé.

 

Poussons plus loin l’analogie. S’inscrire à un club de boxe, traverser un quartier squatté par des racailles : deux comportements impliquant le risque de prendre des coups. Etablissez-vous néanmoins une différence entre eux ? Si oui, vous contredisez votre raisonnement précédent ; si non, vous niez les principes fondamentaux du libéralisme.

 

Envoyer un coups à quelqu'un est une deli. Si vous vous battez amicalement et que ça tourne mal pour vous par accident, vous pouvez porter plainte, heureusement, et le juge appréciera.

Il faut bien sur faire la différence entre la responsabilité du club et celle de l'autre boxeur.

Le risque du club doit être pris en compte par, des clauses contractuelles, le choix d'une compagnie d’assurance, des règles de sécurité interne, un équipement approprié, etc, c'est valable pour tous les sports à risque et c'est une pratique generalisée. Le fait d'appartenir au club ou même de participer au combat, n'implique nullement que vous acceptiez de prendre des coups grave. Je parle d'autant plus que j'ai eu la clavicule fracturée dans cette situation.

Le risque limité n'est une réponse ni légitime ni efficace à ce type de situation. Les gerants et associés devraient évidement assumer toute dette du club, la quelle ne peut qu'être plus importante s'ils n'ont pas pris les précaution en gras ci-dessus. C'est toute la vertu de la responsabilité illimitée.

 

Le risque limité par contre correspond à prétendre que vous acceptiez de vous faire passer à tabac par des racailles sous prétexte que vous passez dans un quartier réputé dangereux. Prendre le risque n'est pas consentir. Je prend le risque de me faire écraser en traversant la rue, je ne consent pas à l'être.

A n'est pas égal à non-A, toujours pas de reponse retour à l'envoyeur...

http://www.liberaux.org/index.php/topic/48122-la-mise-en-cause-de-la-responsabilite-limitee-non-contractuelle/page-18#entry941872

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 C'est intéressant le droit d'opposition , je vais demander à mon banquier de  décupler le versement des intérêts sur mon compte, et ce sera effectif s'il ne s'y oppose pas dans les 20 jours.!!!

"Qui ne dit mot consent" en droit des contrat ! hahaha, c'est une nouveauté surement  !   (je vous attendais là, désolé...)  :jaifaim:

 

Réponse parfaitement idiote. L’augmentation des intérêts est nécessairement contraire aux intérêts du banquier. Il n’y a donc aucune raison d’instaurer une simple procédure d’opposition. A l’inverse, la réduction du capital peut, dans la plupart des cas, ne pas porter atteinte aux intérêts des créanciers (dès lors que la société est solvable). La règle de l’opposition est donc loin d’être complètement absurde (même si, personnellement, elle ne me satisfait pas). 

 

 C'est une démonstrativement evidente, que le risque limité n'a rien d'un contrat, c'est juste une déclaration unilatérale de ne pas payer ses dettes, passées présentes et futures, c'est à dire, de la merde (ho pardon pour la grossièreté), . ('sans parler du simple fait de changer à la baisse le capital social, acte tout autant unilatéral.)

 

Je reviens un instant sur cette histoire de dettes « passées ». Vous avez introduit en contrebande cet argument absurde à au moins deux reprises dans la conversation ; à chaque fois, je vous ai expressément interpellé pour vous demander des explications, et vous n’en avez rien fait. Il a fallu que Snow vous le demande à son tour pour que vous consentiez à répondre ; mais, même alors, vous vous êtes contenté d’une affirmation péremptoire, sans donner aucun lien ni citer la moindre loi ou de jurisprudence qui aurait pu rendre votre méprise excusable.

 

Il est donc démontré que, dans le meilleur des cas, vous n’aviez aucune idée de ce que vous racontiez, alors même que vous êtes censé « travailler » sur cette question, et que vous étiez parfaitement conscient de ne rien avoir pour étayer cette assertion. Par ailleurs, sur ces bases inexistantes, vous vous êtes permis de fanfaronner et de mettre sérieusement en doute ma compétence et celle de Yozz – et vous continuez encore maintenant, alors que votre « erreur » est démontrée par A + B. Que voilà des méthodes intellectuelles intéressantes. Au moins je sais maintenant à quel genre d’individu j’ai à faire.

 

Encore une foi, un contrat n'est pas opposable à des parties non contractantes comme l'est le RL, C'est miné dans tous les sens, vous ne vous en sortirez pas.

 

Je crains que vous ne vous soyez enfermé dans votre champ de mines.

 

 

Il dispose de l'abusus, parce qu'il peut ceder la creance à un autre ou la detruire.

Il dispose de l'usus parce qu'il parce qu'il peut la convertir en monnaie au guichet de la banque.

Et enfin, le fructus est que rapporte, par periode, le fait de detenir la creance, des interets eventuels, par exemple 2%, si on la vend, le fructus se déplace avec.

Il ne peut pas avoir le fructus de l'or deposé puisque l'or ne lui appartient pas. c'est la banque qui a la pleine propriété de cet or.

 

Bon, première difficulté : comprendre ce que Batista essaie de prouver. J’étais en train de lui demander si le client exerçait ou non sur les sommes remises en dépôt toutes les prérogatives du droit de propriété. A cela il me répond en affirmant qu’il dispose des mêmes prérogatives à l’égard de la « créance ».

 

Une première interprétation serait que Batista confirme mon propos, quoique en employant le terme « créance » pour désigner les sommes déposées. Compte tenu de sa mentalité, je ne pense pas que telle était son intention.

 

Deuxième interprétation : il aurait essayé de montrer que le client exerce également les prérogatives du propriétaire à l’égard des créances qu’il détient sur sa banque d’épargne. L’ennui, c’est que mon argument de départ consistait à souligner que, dans un régime de réserves fractionnaires, plusieurs personnes (le(s) récipiendaire(s) du prêt ET le déposant) se retrouvent propriétaires des fonds remis en dépôt. A l’inverse, personne ne soutient que les sommes déposées sur un compte à terme seraient simultanément possédées par plusieurs personnes. Il est donc inutile de « prouver » que l’épargnant serait « propriétaire » de la créance qu’il détient sur la banque.

 

Une troisième interprétation serait que Batista ait noirci des lignes au hasard, sans rien comprendre à ce qu’il écrivait. C’est sans doute l’interprétation la plus vraisemblable.

 

Tout ceci est bien lourd. Néanmoins, la réaction de Batista démontre au moins une chose : il n’avait jusqu’alors jamais entendu parler de l’argument du droit de propriété multiple, pourtant mentionné dans tous les livres autrichiens sur la question, alors qu’il prétend réfléchir sur cette question depuis « 15 ans ». Cela explique aussi qu’il comprenne bien mal la discussion sur la nature « frauduleuse » ou non des réserves fractionnaires.

 

Tant que la banque rembourse en caisse selon les dispositions contractuelles prévues (X€ avant tel delais), elle n'est pas en cessation de paiement.

 

Vous ne savez pas lire ? Le critère de la cessation des paiements est l’impossibilité de faire face à son passif exigible, pas exigé. 

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NON, les CGV ne sont pas un acte unilatéral, elles sont une partie du contrat synallagmatique.

 

Vous ne comprenez vraiment rien. Il n’y a pas d’opposition nécessaire entre acte unilatéral et contrat synallagmatique. Une offre est un acte unilatéral, et néanmoins, si le contrat se conclut, elle s’y trouve intégrée. La publication de CGV constitue un acte unilatéral, mais celles-ci entrent dans le champ contractuel si elles ne sont pas expressément rejetées. Il en serait de même si elles contenaient une clause de limitation du droit de gage aux apports des associés. 

 

NON, (j'insiste sur la partie que vous avez sucrée)

 

Le déplacement du risque est une activité économique quand il releve du contrat, par exemple une assurance. Il est anti économique quand il relève du privilège de risque limité.

Ou bien de tout contrat conclu avec une société à RL.

 

 

Oui, tout à fait, la phrase que vous avez mise en gras n’était pas du tout insignifiante ; au contraire, elle était absolument redoutable et inédite, c’est bien pour ça que je l’ai « sucrée » ! J'aurais été incapable d'y répondre ! J'étais littéralement KO ! 

 

Toute pratique légale, identifiable comme contraire au droit naturel est un privilège, comme le droit de vivre de l'argent volé aux autres, peut importe que la loi ne le punisse pas ou pire le cautionne pour tous.

 

De l’argent « volé » à des gens qui ont accepté de conclure un contrat avec vous en toute connaissance de cause… (Soupirs).

 

Privilège = privata lex = loi privée => Ce qui peut être obtenu par tous n’est pas un "privilège". 

 

 

Hum ça sent le Jesus Huerta de Soto (gars qui se pretend anarcap et fait une defense "Autrichienne" de l'Euro  :blink: )

Je vous laisse développer :-)

 

 

En fait, je vais vous laisser chercher. Votre mauvaise foi m'a déjà fait perdre assez de temps comme ça. 

 

Le RL n'est pas contractuel, Un contrat responsabilise, l’appréciation du risque n'est pas là même chez les irresponsables.

 

Un contrat d’assurance déresponsabilise l’assuré. Ca s’appelle l’aléa moral. Je vous renvoie à ce que j'ai écrit plus haut.

 

Bon je crois qu'on tourne en rond là, ça commence à me lasser, vous répétez sans cesse les mêmes erreurs avec des arguments que j'ais réfuté maintes fois dans ce fil avant vous, il va falloir que vous trouviez des trucs qui tiennent la route pour continuer.

 

Franchement, vous auriez dû vous abstenir de fanfaronnades de ce genre. J’aurais été très indulgent avec vous si vous étiez resté correct, mais votre comportement d’adolescent attardé et mythomane me force à faire preuve de sévérité. 

 

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Ci-dessous, "Mensonge à Cuba", pièce en huit actes écrite par Batista et inspirée de la vie réelle de l'auteur.

 

 

Acte I : Snow demande à Batista si la transformation d'une SNC (société à responsabilité illimitée) en SARL (société à responsabilité limitée) a un effet rétroactif. (J'avais déjà posé la même question à plusieurs reprises).

 

D'où la question décisive (et je n'ai pas la réponse, mais vous l'avez sans doute) : est-ce que le changement de statut vaut pour les contrats antérieurs ?

 

Concrètement, imaginons qu'une SCN devienne SARL. Est-ce les créanciers avec qui le contrat a été passé avant le changement conserveront tout de même la capacité de saisir l'actif des associés en cas de déconfiture de la société ?

 

Acte II : Batista ne lui ayant pas répondu clairement, Snow le relance.

 

Je ne comprend pas pourquoi vous ne répondez pas simplement à la question posée.

 

Acte III :

 

Scène I : Batista consent enfin à répondre, quoique sans apporter le moindre élément de preuve. Une réponse péremptoire devra suffire.

 

Scène II : Batista édite son commentaire pour tenir compte d'une réponse postée par Raoul. entre temps (v. acte suivant pour comprendre). Il y affirme que sa réponse  est correcte depuis 2005.

 

(On notera la "rupture dramatique" entre la scène I et la scène II)

 

 Vous savez lire ? Vous vous foutez de ma gueule ? il vous faut des couleurs et des smilets ?

 

EDIT: à la nuance pret soulignée plus bas par mon contradicteur pur les sociétés crées avant 2005.
 

 

Acte IV : Raoul. démontre formellement que Batista raconte des inepties.

 

 

100. -   Transformation d'une société à risque illimité - Le fait que la situation des créanciers reste inchangée après la transformation se vérifie si l'on remarque que lorsqu'une société civile, une société en nom collectif ou une société en commandite se transforme en SARL ou en société par actions, les associés restent tenus des dettes nées avant que la société abandonne la forme en nom collectif (CA Paris, 10 mars 1975 : D. 1975, somm. p. 111).

Ainsi, en cas de transformation d'une société en nom collectif en société anonyme, les associés en nom restent tenus indéfiniment et solidairement des dettes contractées par la société avant sa transformation ; ils peuvent être poursuivis en raison d'un cautionnement contracté par la société avant une précédente transformation de SARL en société en nom collectif (CA Paris, 25 mai 1993, préc. n° 99. - V. aussi Rép. min. n° 3523 : JOAN Q 18 oct. 1993, p. 3571 ; RTD com. 1994, p. 724, obs. C. Champaud et D. Danet ; Dr. sociétés 1994, comm. 10, note H. Le Nabasque).

De même, la procédure collective ouverte à l'encontre de la SARL, issue de la transformation de la SNC, peut être étendue aux associés dès lors que la date de la cessation des paiements est antérieure à celle de la transformation (CA Paris, 3e ch. A, 21 nov. 2000 : JurisData n° 2000-157534). Cette solution disparaît avec la loi de sauvegarde du 26 juillet 2005 qui a supprimé cette cause d'ouverture de la procédure collective à l'encontre des associés. [...]

 

 

 

Acte V : Batista soutient, en se fondant sur la phrase mise en gras ci-dessus, que la RL serait rétroactive depuis 2005 (d'où son édit à l'acte III scène II).

 

C'est supprimé, ça ne vaut donc que pour les société créées avant 2005. Plus le temps passe, visiblement, plus l'irresponsabilité institutionnelle progresse
Comme le fil à été commencé apres 2005 j'ai raison (conformément à mes cours).

 

Acte VI : Raoul. fait comprendre à Batista que ce dernier a mal interprété le texte qu'il a lu, i.e., que ce qui a été supprimé en 2005 n'est pas la non rétroactivité de la RL.

 

Ce qui a été supprimé en 2005, c'est la "cause d'ouverture de la procédure collective". Pas la responsabilité des associés. Les créanciers pourront toujours les poursuivre, évidemment, mais pas dans le cadre d'une des procédures collectives prévues par le Code de commerce. 

 

Acte VII : (Le drame) : Batista assure qu'il avait très bien interprété le texte, i.e., qu'il avait bien compris que la non rétroactivité de la RL n'avait jamais été mise en cause (mais il oublie de reconnaître au passage que, selon sa propre analyse, il racontait n'imp depuis le début du fil), et qu'il voulait parler d'un point tout autre (à savoir, le nombre de procès à intenter).

 

Si j'interprete bien.
Il faudra donc les poursuivre tous individuellement, alors que la société à déjà été condamnée. donc 100 associés >> 101 procès alors que leur responsabilité est établie dé le premier, attenté contre la société. GENIAL , cette loi de sauvegarde joue très bien son rôle.

 

Acte VIII : (flashback et dénouement) : Batista oublie qu'il avait donné une interprétation totalement différente dans son "édit" de la scène II de l'acte III, édit que je recite ci-dessous (oui, c'est un flashback, comme annoncé) : 

 

EDIT: à la nuance pret soulignée plus bas par mon contradicteur pur les sociétés crées avant 2005.

 

Rideau.

 

Bon, cette pièce était très confuse, je l'admets, mais c'est normal : c'est du Batista. 

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vous vous êtes contenté d’une affirmation péremptoire, sans donner aucun lien ni citer la moindre loi ou de jurisprudence qui aurait pu rendre votre méprise excusable.

 

Alors comme j'ai moins d'une année en droit au cnam, que vous aimez faire la leçon et que votre profession semble concernée par le droit au quotidien puisque vous avez un abonnement professionnel aux textes, vous allez commencer par donner l'exemple et mettre une loi ou une jurisprudence à chacune de vos affirmations.

Je note deja qu'il n'y a aucune reponse sur le fond et un nombre particuliérement élevé d'attaque ad hominem.

La reponse ne sera sollicitera donc pas beaucoup mon clavier.

To be continued...

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Alors comme j'ai moins d'une année en droit et que votre profession semble concernée par le droit au quotidient, vous allez commencer par donner l'exemple et mettre une loi ou une jurisprudence à chacune de vos affirmations.

To be continued...

 

C'est ce que j'ai toujours fait jusqu'à présent. Ca me paraissait d'autant plus nécessaire que, bien souvent, je ne connaissais pas la réponse exacte dès le départ - je pouvais simplement en deviner les contours en réfléchissant à la combinaison des principes impliqués.

Modifié par Raoul.
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 que vous aimez faire la leçon 

 

Non, c'est vous qui aimez donner des leçons ici - des leçons ineptes, mais des leçons quand même. C'est pour ça que vous vous exposez à des réponses assez vives de ma part, de celle de Yozz et de bien d'autres intervenants encore. 

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Alors comme j'ai moins d'une année en droit au cnam, que vous aimez faire la leçon et que votre profession semble concernée par le droit au quotidien puisque vous avez un abonnement professionnel aux textes, vous allez commencer par donner l'exemple et mettre une loi ou une jurisprudence à chacune de vos affirmations.

Je note deja qu'il n'y a aucune reponse sur le fond et un nombre particuliérement élevé d'attaque ad hominem.

La reponse ne sera sollicitera donc pas beaucoup mon clavier.

To be continued...

 

Vous êtes prié de le mentionner quand vous pratiquez des "edit" sur des commentaires ayant déjà reçu au moins une réponse. 

 

Au cas où vous ne l'auriez pas encore compris, je suis en train de répondre aux messages auxquels je n'avais pas encore répondu jusqu'à présent, en partant des plus anciens. Le tour du message que vous donnez en lien viendra, ne vous inquiétez pas.

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Vous êtes prié de le mentionner quand vous pratiquez des "edit" sur des commentaires ayant déjà reçu au moins une réponse. 

 

Au cas où vous ne l'auriez pas encore compris, je suis en train de répondre aux messages auxquels je n'avais pas encore répondu jusqu'à présent, en partant des plus anciens. Le tour du message que vous donnez en lien viendra, ne vous inquiétez pas.

No'oubliez pas de rajouter la jurisprudence a ce qui est déjà posté et à ce qui vient. Le seul intérêt que j'ai à discuter avec vous est d’apprendre quelque chose en droit, mais la pêche est assez nulle pour l'instant.

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Le problème de Bastiat - en amplifiant une lubie de Rothbard sur les banques - est de faire une fixette car il pense avoir trouvé la martingale pour mettre fin à la spoliation et aux escroqueries, sans comprendre l'utilité des institutions à responsabilité limitée. Il lui faut pouvoir identifier facilement un coupable, sur les épaules duquel retomberait toute la chaîne des responsabilités, selon un énorme esprit de suite caractérisant l'envie de pénalité. Sans voir que la plupart du temps les gens se laissent duper ou abuser volontairement, en plaçant une confiance excessive dans certains signes ou promesses de remboursement (crédit). Par paresse nominaliste ou par crédulité, ils confondent les signes avec la chose. 

 

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No'oubliez pas de rajouter la jurisprudence a ce qui est déjà posté et à ce qui vient. Le seul intérêt que j'ai à discuter avec vous est d’apprendre quelque chose en droit, mais la pêche est assez nulle pour l'instant.

 

Vous parlez vraiment dans le vide. J'ai cité les articles relatifs au contrat de dépôt, à l'opposition des créanciers, à la solidarité des débiteurs et à la poursuite des associés d'une SCI. J'ai cité un extrait LexisNexis rassemblant plein de jurisprudences sur la RL.

 

Par ailleurs, je vous rappelle que l'idée que la RL serait rétroactive était a priori absurde, et qu'il fallait donc avoir à un minimum de preuve pour l'avancer ; je vous rappelle également que vous aviez été interrogé à ce sujet au moins quatre fois par Snow et par moi  ; je vous rappelle enfin que vous n'avez cessé d'insulter vos contradicteurs sur ce fil. Autant de circonstances qui rendaient indispensable d'étayer un minimum votre assertion absurde. 

 

(Je vous rappelle encore que vous n'avez toujours pas cessé de fanfaronner)

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Le problème de Bastiat - en amplifiant une lubie de Rothbard sur les banques - est de faire une fixette car il pense avoir trouvé la martingale pour mettre fin à la spoliation et aux escroqueries, sans comprendre l'utilité des institutions à responsabilité limitée. Il lui faut pouvoir identifier facilement un coupable, sur les épaules duquel retomberait toute la chaîne des responsabilités, selon un énorme esprit de suite caractérisant l'envie de pénalité. Sans voir que la plupart du temps les gens se laissent duper ou abuser volontairement, en plaçant une confiance excessive dans certains signes ou promesses de remboursement (crédit). Par paresse nominaliste ou par crédulité, ils confondent les signes avec la chose. 

 

Son problème est aussi de ne pas lésiner sur les moyens pour faire passer sa thèse - et d'insulter copieusement ses interlocuteurs au passage. Mauvais mélange.

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Le problème de Bastiat - en amplifiant une lubie de Rothbard sur les banques - est de faire une fixette car il pense avoir trouvé la martingale pour mettre fin à la spoliation et aux escroqueries, sans comprendre l'utilité des institutions à responsabilité limitée. Il lui faut pouvoir identifier facilement un coupable, sur les épaules duquel retomberait toute la chaîne des responsabilités, selon un énorme esprit de suite caractérisant l'envie de pénalité. Sans voir que la plupart du temps les gens se laissent duper ou abuser volontairement, en plaçant une confiance excessive dans certains signes ou promesses de remboursement. Par paresse nominaliste ou par crédulité, ils confondent les signes avec la chose. 

 

ça c'est le problème de la jurisprudence, moi je souhaite simplement que les transfert de responsabilités soient dans le contrat et donc interprétées au regard des autres closes du même contrat. du 16e scecle à la mi 19e, jusqu'a ce que le législateur le generalise, Le risque limité à été absent de la jurisprudence alors que les rois la distribuait à tire la rigot comme en témoignent les nombreux exemples que donne Adam Smith.

Je comprend parfaitement l'utilité de la responsabilité limitée pour rappel, j'ai publié sur le sujet un article qui a fait la couverture de l'agefi, un autre dans le supplement economique du Monde, et deux autres qui ont été for aprecie dans "Turgot" et "Un monde libre", repris dans contrepoints.

Si j'en vois le qualité j'en vois aussi les énormes defaut, elles concentrent certainement plus de risques non geres qu'elles n'apportent de capitaux pour y faire face. Ce que beaucoup de monde ne semble pas voir...

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Je comprend parfaitement l'utilité de la responsabilité limitée pour rappel, j'ai publié sur le sujet un article qui a fait la couverture de l'agefi, un autre dans le supplement economique du Monde, et deux autres qui ont été for aprecie dans "Turgot" et "Un monde libre", repris dans contrepoints.

 

Faut pas s'étonner après que les libéraux passent pour des andouilles dans les média.

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 interrogé à ce sujet au moins quatre fois par Snow et par moi  ; je vous rappelle enfin que vous n'avez cessé d'insulter vos contradicteurs sur ce fil

 

Je pense que Snow n'a pas besoion de vous pour ce defendre, ni pour interpreter ses besoins.

Vous rajouterez une liste à la fin indiquant les numeros des posts aux quels il faut repondre pour vous satisfaire, sinon vous vous contenterez de mes reponses comme je me contente des votres.

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Faut pas s'étonner après que les libéraux passent pour des andouilles dans les média.

 

Quand vous publierez autre chose que des insultes gratuites, vous pourrez donner des leçons.

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Je pense que Snow n'a pas besoion de vous pour ce defendre, ni pour interpreter ses besoins.

 

Faudrait vraiment que vous appreniez à lire. 

 

Où voyez-vous que je "défendrais" Snow ? En quoi aurais-je interprété ses besoins ? J'ai rappelé qu'il vous avait posé LA question à plusieurs reprises pour montrer que vous n'aviez pas l'excuse de l'impréparation et que vous ne pouviez pas sous-estimer l'importance que cette question revêtait. 

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Mes "insultes" ne sont certainement pas "gratuites". Les vôtres le sont. 

 

En fait c'est vrais, vous leur attribuez plus de valeurs qu'aux arguments, puisque qu'elle les remplace...

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En fait c'est vrais, vous leur attribuez plus de valeurs qu'aux arguments, puisque qu'elle les remplace...

 

Oui, bien entendu, depuis cinq jours, je n'ai littéralement donné aucun argument.

 

J'ose espérer que écrivez sous l'emprise de la drogue.

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Oui, bien entendu, depuis cinq jours, je n'ai littéralement donné aucun argument.

 

J'ose espérer que écrivez sous l'emprise de la drogue.

 

J'attend toujours que vous finissiez vos réponse  sinon je reposerait la liste de question, vous savez maintenant bien ou elle est.

 

EDIT: en fait je prefererais que vous rassembliez l'essentiel en un grand post, parce que je ne songe pas aller pecher exagerement vos réponse ailleurs. Si vous reussissez à ne pas y mettre trop d'insultes ça devrait être assez court.

 

Merci Bisou

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J'attend toujours que vous finissiez vos réponse  sinon je reposerait la liste de question, vous savez maintenant bien ou elle est.

 

Eh bien vous attendrez au moins jusqu'à demain, peut-être davantage. J'ai déjà posté bien trop de commentaires aujourd'hui.

 

Par contre, si vous pouviez préciser à quelle question vous faites référence par vos "A n'est pas égal à non-A", ça m'arrangerait. Quand je clique sur le lien que vous donnez, je tombe sur un autre commentaire avec la même formule, avec pour toute objection le tableau que vous aviez fait à l'époque et que vous n'avez toujours pas corrigé. 

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Eh bien vous attendrez au moins jusqu'à demain, peut-être davantage. J'ai déjà posté bien trop de commentaires aujourd'hui.

 

Par contre, si vous pouviez préciser à quelle question vous faites référence par vos "A n'est pas égal à non-A", ça m'arrangerait. Quand je clique sur le lien que vous donnez, je tombe sur un autre commentaire avec la même formule, avec pour toute objection le tableau que vous aviez fait à l'époque et que vous n'avez toujours pas corrigé. 

 

Au moins un point sur le quel on est d'accord...

 

Oui c'est le commentaire ou j'ai essayé de regroupé l'essentiel dans l'espoir que vous fassiez de même pour plus de clarté... loupé...

 

Le tableau "A n'est pas égal à non-A" regroupe les différences inconciliables entre une clause contractuelle et le risque limité. C'est pour faire opposition à votre affirmation recurente selon la quelle le risque limité serait une clause contractuelle. Erreur TRÈS souvent commise lors des discussions entre libéraux, je l'ais moi même répète des centaines de fois. Et visiblement, en tableau c'est plus clair qu'en texte.

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Vous êtes drogué c'est sur ! mais à quoi ?

 

Voyez vous ne pouvez pas vous en empêcher, mais bon vous avez corrigé c'est déjà ça

 

(la citation est de mémoire)

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