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L'affreux

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Tout ce qui a été posté par L'affreux

  1. Les traits d'union "est-il", "gère-t-il", "sont-elles"… Si je trouve du temps je proposerai une introduction. Je suis un peu décroissant moi-même, en me creusant la tête je devrais arriver à penser quelque chose. Verge.
  2. Merci du tuyau ! J'essaierai tout prochainement.
  3. J'ai installé mais je ne trouve nulle part de la doc qui me rassurerait. Calibre est un lecteur de e-books. D'après ce que je comprends le système d'Amazon communique directement avec le logiciel "Kindle" installé chez le client, et lui envoie automatiquement le livre payé ?
  4. Le prix me va mais le support (Kindle) je n'ai jamais utilisé et surtout je ne suis pas certain de pouvoir faire fonctionner ça sur mon Linux. Dans quelques années lorsque les bitcoins seront faciles d'accès je vous paierai directement et vous m'enverrez un PDF.
  5. Pour lui son système n'est qu'une abstraction et il n'a probablement jamais imaginé l'armature liberticide qu'elle nécessiterait dans la pratique. Il utilise une vision macro pour fabriquer une construction qu'il juge bonne. Il ne comprend surement pas en quoi des allusions au fascisme seraient pertinentes.
  6. J'ignorais ces pratiques moi aussi. :-s J'aime pas le principe.
  7. Vous ne savez pas de quoi vous parlez. Vous avez probablement adhéré à nos idées sans les connaitre. "Imposer d'avoir le choix" ? Plus la confusion entre comptabilité et économie relevée par xara. Et concernant la solution, j'ai cru comprendre que la monnaie serait une construction basée sur l'impôt. C'est dire à quel point elle serait à la fois illégitime et artificielle. Je crois qu'on a fait le tour du sujet. Je serais intéressé par le parcours personnel de kotaro123 : sa tranche d'âge, dans quel pays vit-il et ce qui l'a amené à passer autant de temps sur des idées neuves aussi déconnectées du passé.
  8. Les ouvriers, ouvriers agricoles, domestiques font je pense partie du prolétariat au sens de Marx. Les artisans, commerçants, agriculteurs exploitants peut-être pas. Les employés et mêmes les cadres sont à mon avis recrutables du côté prolétariat. Ils ont de plus gros salaires mais avec le statut d'assistés. Ils sont des prolétaires de luxe en quelque sorte. Finalement on remarque l'inverse de ce que proposait poney. Au temps de Karl Marx la dictature du prolétariat était une dictature au sens propre, en particulier sur les agriculteurs exploitants. C'est maintenant qu'elle n'en est plus une.
  9. Ben si justement parce que j'en subis, notamment dans les trajets de bus climatisés trop froid. Dix heures dans un frigo, c'est idiot, il faut s'équiper d'un pull et de chaussettes qu'on ne réutilisera qu'au retour. C'est vrai, l'humidité est la vraie clé, pour le froid comme pour le chaud. Et aussi l'obligation de s'habiller comme un pinguin.
  10. Voilà deux paroles de bon sens : au-dessus de 18°C, il ne faut plus chauffer. En dessous de 30°C, il ne faut plus refroidir. D'ailleurs j'ai déjà remarqué que les gros lourds qui ne supportent pas le chaud sont les mêmes qui ne supportent pas le froid surtout quand c'est naturel.
  11. Ha ha ! C'est mon cas aussi : si je dors avec un ventilateur, je me réveille avec une angine ! En plus j'ai horreur du bruit.
  12. La climatisation c'est très nul : on se sent enfermé comme dans un sous-sol, elle est toujours réglée trop froid, elle rend malade et ce n'est pas juste une affaire de courant d'air. Tout à fait.
  13. Franchement à quoi sert de pinailler ? L'État nous étouffe, nous prend à chacun de 50% à 75% de ce qu'on gagne. L'État détourne notre force de travail de la production vers les paperasses, il rend certains métiers impossible d'accès, il détruit la concurrence en s'alliant aux plus gros acteurs du moment pour empêcher les plus petits d'avancer. L'utopie c'est qu'il disparaisse. Mais ensuite, s'il disparaissait, bien sûr que tout basculerait, que tout serait différent, et que la création de richesse serait forcément propulsée d'une manière fulgurante. Un écrivain peut alors écrire ce qu'il imagine qu'il se passerait. Ce roman est de l' "économie-fiction", un cousin de la science-fiction. Que penseriez-vous d'une nuée de scientifiques qui s'abattrait sur le premier roman de science-fiction venu ?
  14. Les trois chapitres sont sympas à lire.
  15. Il faut dire qu'on s'est bien fait avoir sur ce coup. La SIM n'a pas plus de raison d'être reliée à une identité que l'adresse MAC d'une carte réseau. C'est juste qu'on s'est habitué à ce que ce soit ainsi.
  16. S'enfermer à la mode islamo-féminine, très peu pour moi. J'aime trop le soleil le vent et la pluie.
  17. Non je dis des bêtises en fait. tant qu'une sim est reliée à une identité, on est refait aussi. Peut-être alors en louant des sims comme on loue des voitures ? Il faut dire que le besoin de se protéger de ce côté n'est pas encore concret. On n'a encore vu personne se faire prendre par son téléphone, non ?
  18. Deux autres technologies permettent de nous tracer : les téléphones cellulaires et les caméras + reconnaissance faciale. Pour les cellulaires si ça devient gênant on pourrait imager des solutions techniques (voip + tor par exemple) mais pour les caméras on sera refait.
  19. Il faudrait tester avec un lecteur mais je pense que si. Si tu suis le lien donné dans mon premier message ils disent : EDIT: Une recherche sur des étuis blindés anti-RFID donne des résultats. EDIT2: En fait il y en a même un paquet sur Amazon.
  20. C'est pas faux. C'est même juste. Même s'il est moral que la propriété du fruit de son travail aille au travailleur, la bonne définition du capitalisme est celle de Marx et plusieurs abstractions l'éloignent trop de la naissance de la propriété. Donc tu as raison en fait.
  21. Pour moi le capitalisme est l'idée que l'on peut accumuler des propriétés, et la propriété vient de ce qu'on est propriétaire des fruits de son travail. Selon cette définition le capitalisme est moral.
  22. Quelle est la définition du capitalisme ? Il s'agissait d'individus qui n'obtenaient jamais de propriété sur le fruit de leur travail. Alors si l'on pouvait parler de capitalisme du moins n'était-il pas cohérent avec la notion de propriété.
  23. Moi non plus mais j'ai connu des salariés endettés qui n'osent pas lâcher un job devenu pourri et qui se forcent à continuer des années même si ça ressemble à de l'auto-destruction. La dette ajoute une pression. Franchement le chemin classique salariat-endettement est beaucoup trop choisi comme naturel et par défaut, alors qu'il n'est précisément pas naturel. Et pour certains tempéraments dont le mien l'argument du gain à s'endetter plutôt que d'épargner ne fait pas le poids face à l'augmentation du stress / la perte de liberté.
  24. Et moi j'ai dit moral. Il est moral que le fruit de ton travail t'appartienne.
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