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Voy

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Tout ce qui a été posté par Voy

  1. Les déménageurs de l'extrême qui bougent des maisons entières sur des camions XXL. C'est marrant à voir. (une fois)
  2. Càd, comportement de collabo ?
  3. Une cave est un sous-terrain, et même un sous-bassement. Ce topic va de pire en pire, et moi, dépité, je sous-pire...
  4. La culotte est-elle un sous-vêtement ?
  5. Sept-dessus. J'imagine bien le Taipei-Vancouver par Air New Zealand qui doit désespérément trouver une hôtesse de l'air francophone.
  6. http://en.wikipedia.org/wiki/Unisex_public_toilet http://thepeoplescube.com/peoples-blog/feminist-group-breaks-urinals-as-a-symbol-of-male-chauvinism-t16210.html
  7. Bienvenue Flashy.
  8. C'est un problème de sécurité publique, rien de plus. Le métro parisien n'est clairement pas safe, autant si on est une femme qu'un touriste qu'un chinois etc. Devant un ou deux flics, un agresseur n'osera ni se frotter ni montrer son pénis, et les lourdeaux ne feront pas d'esclandre dans les rames. Il n'y aura plus de sentiment d'insécurité ou d'intimidation et on en parlera plus. That's it.
  9. Ou alors l'utilisation du mot harcèlement est une manière de délimiter un groupe d'individus coupable par essence : les hommes.
  10. Balthazar, Luxor. Blague à part, le problème est dans l'écriture du prénom pas tant dans sa prononciation.
  11. On aurait du activer l'Alerte Prénom en même temps que l'Alerte Enlèvement. Le prénom rare du sujet fait qu'on la reconnaîtra plus tard inévitablement, ce qui peut le ramener à un éventuel traumatisme. Note à moi-même : si j'ai des enfants (malheureusement pour eux), leur donner un nom complètement classique.
  12. Ta première phrase Anton, j'ai sérieusement cru que c'était l'oeuvre d'un enfant de primaire.
  13. Victimisation de la société. La victime décide des termes du débat et des règles du jeu.
  14. Oui, mendiants, police, pluie, égouts, la rue décidément c'est vraiment pas cool, merci aux féministes de nous permettre de s'en rendre compte.
  15. Les mendiants agissent sans trigger warning en plus, les salauds.
  16. Moi ? Dans la rue ? M'interposer dans une tentative de flirt ou un sifflement ? Non, merci, j'ai piscine. Et peut-être que chez ce lourdeau, un parmi ses pairs, elle trouvera l'homme de sa vie, et moi, m'interposer parce qu'il l'a sifflée, et briser a priori un couple heureux, je m'en voudrais toute ma vie. Ce serait navrant. Profondément déchirant.
  17. Oui, c'est ce que je dis dans cette page même, plusieurs individus commettant un même acte répétitif ce n'est pas du harcèlement s'ils n'agissent pas de concert.
  18. Si ça devient vraiment l'objet d'une demande, en anarcapie, un centre commercial ouvrirait avec des vigiles qui ejecteraient les lourdeaux dès la première drague, et basta. Mais dans une société contemporaine on peut pas faire grand chose en effet, car toute répression implique l'État et on est bien d'accord que l'État devrait rester en dehors de tout ça.
  19. Flou complet. Vague mélasse. Drague Subtile ? Gentil ? Bisou ? Méchant ? Un peu trop direct ? On ne sait pas trop. Le harcèlement de rue c'est de la marmelade vendue par millions de pots aujourd'hui. Crime sans coupable, parce qu'on ne sait pas à partir de combien d'individus une série de dragues devient du harcèlement. Un ? Deux ? Dix ? Cinquante ? Cent ? Par jour, semaine ? Le premier dragueur de la journée est-il coupable d'avoir commencé ? Ou celui d'après ? Le trentième est-il responsable des flirts de ceux qui ont tenté leur chance avant lui ? Peut-on faire porter à un homme la culpabilité de trente autres sous prétexte que 30+1 c'est du harcèlement mais pas avant ? La culpabilité est alors collective ? C'est-à-dire que tous les hommes, du premier dragueur au trentième sont responsables ? Et comment pouvaient-ils savoir qu'il y en avait avant et qu'il y en aura après ? Comment peuvent-ils savoir qu'ils ne sont pas le premier dragueur ? On ne sait pas non plus quelle doit être la nature de la drague pour qu'elle soit du harcèlement, de sorte qu'en plus de ne pas savoir qui est le coupable on ne sait pas ce qui le rend coupable. À l'époque des féminazis qui se mettent en position du foetus dans des salles avec des chiots parce qu'elles ont été traumatisées par le discours d'une féministe pas comme elles, l'idée d'"intimidation" me fait doucement rire. Et quand j'en parle avec des femmes, un simple sifflet peut être intimidant, tout dépend si on a la gueule de l'emploi, ou si on est seul, en groupe, etc.
  20. J'ai bien l'impression que la méthode des "PUA" comme vous dites est bien différente de celle du lourdeau de rue basique. Il me semble qu'aucun "PUA" n'a incité ses "élèves" à siffler des femmes dans la rue ou à les héler, "hé t'es bonne salope !". Le mode de sélection est goujat voire un peu agressif (pas dans le sens violent du terme, disons straightforward) mais n'a rien à voir avec le harcèlement de rue. Au fond, cela ne fait que prouver une chose : l'impossibilité complète de définir un crime sans coupable, le harcèlement de rue.
  21. Techniquement non, le saucisson étant une saucisse sèche (il n'y a pas de différence entre les deux produits), donc le saucisson/saucisse sèche est une sous-saucisse, par opposition aux saucisses "molles" (les autres, quoi).
  22. Sa voix manque d'assurance. Son discours me semble assez correct. Après, je ne donne pas vraiment d'importance aux ambassadeurs de l'ONU. Mais soit.
  23. Aux US je crois que tu peux avoir un undergraduate degree avec une majeure philosophie, psycho, socio, feminist studies, jewish studies, etc, et faire ensuite un JD ou un MBA par exemple il me semble.
  24. En France on a "les mouvements socialistes ouvriers allemands au XIX et XX siècles" en terminale
  25. Il faut l'admettre, à peu près personne. Ou alors, une fois, ça va, on a compris. Deux, c'est un peu trop déjà. L'utilité marginale d'Émile Zola est rapidement décroissante.
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