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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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Festival interdit aux hommes à cause de viols passés...
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Actualités
L'absence de libre-arbitre n'implique ni l'absence de volonté, ni qu'on soit esclave de ses pulsions primaires (ce qui serait une réduction du déterminisme multifactoriel qui s'applique aux humains à un déterminisme biologique valable pour les animaux). -
On constate que le "côté patriotique" de Mélenchon est perçu par la demoiselle comme un tare. C'est donc bel et bien une trotskyste en puissance. On notera au passage le choix méprisant des termes du journaliste (on ne peut qu' "ingurgiter" une œuvre intellectuelle complexe, évidemment pas y trouver du plaisir ou de la fierté ; "intello de service", etc), qui en dit long sur son complexe d'infériorité face aux autres types de professions intellectuelles.
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Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Ce qu'il pourrait y avoir de réel dans la notion devrait être nommé de l'incivisme, de l'irrespect, de la vulgarité ou encore un déficit d'éducation (ce qui nous éviterait les termes anglo-saxons non traduits, au passage), et ça n'a rien de spécifiquement masculin. Mais on voit assez vite que ça sert à un certain féminisme misandrique (cf: https://fr.wikipedia.org/wiki/Misandrie ) pour réprimer toute manifestation de virilité, immédiatement qualifiée de harcèlement, voire d'agression sexuelle. -
Festival interdit aux hommes à cause de viols passés...
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Actualités
C'est la phase 2 du processus de sécession intérieure. D'abord on persuade les membres du groupe qu'ils sont persécutés, ensuite on les propose des espaces "sécurisés" (c.a.d vidés des pas-comme-nous). Séparés mais égaux, en attentat de proclamer le califat matriarcat. -
Articles d'hiver intéressants
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mister Polark dans La Taverne
Qu'est-ce qu'une nation ? est en effet un texte remarquable et mémorable (j'ignorais que Mises l'admirait, mais c'est tout à fait cohérent). Je n'en dirais pas autant de ce qu'a été son auteur. -
J'allais écrire que le chapeau de l'article était grotesque, mais visiblement la formule "Macron, prophète du libéralisme" vient de Koenig lui-même. Du coup Libération parvient à produire un article correct, ce qui est en soi un événement.
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École & éducation : Le temps des secrets
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Politique, droit et questions de société
Soit. Mais comme ce n'est pas un paramètre sur lequel il soit juste d'intervenir, on peut réfléchir sur les autres causes de la difficulté à trouver des candidats (a fortiori des candidats doués). -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Il y a de ça. Il faut bien voir que nous sommes dans l'ensemble libérés de trois préoccupations qui occupaient beaucoup nos ancêtres: la survie alimentaire et économique, la guerre et la religion. Le problème du temps libre, c'est qu'il ne donne pas à voir une humanité très admirable si l'éducation et la pensée critique ne suivent pas. -
École & éducation : Le temps des secrets
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Politique, droit et questions de société
Ceci confirme plusieurs constats de Brighelli dans son ouvrage Tableau noir: "Les élèves français d'aujourd'hui font, dans leur cursus, quelques centaines d'heures de français de moins que leurs homologues des années 1960-1970." (p.13) "Un étudiant actuel a bien des raisons d'hésiter avant d'entrer dans la carrière. Il hésite si bien qu'il ne se présente même pas aux concours de recrutement. Et quand il s'y risque, il n'est pas forcément pris, parce que les plus compétents vont ailleurs: s'il y a carence de candidats en maths, par exemple, si les jurys sont obligés de recruter avec 4 de moyenne, c'est que les meilleurs mathématiciens font de la finance, parfois de la recherche ou des mathématiques appliquées, qu'ils passent des concours scientifiques pour se faire ingénieurs, mais que jamais [...] ils ne pensent à faire de l'enseignement, surtout dans le second degré. Bref, ceux qui tentent les concours de recrutement ne sont pas exactement l'élite des matheux. [...] Je dis les maths, mais c'est la même chose en lettres, en anglais, en sciences, et globalement dans l'ensemble des disciplines. Il n'y a guère qu'en philosophie (peu d'autres débouchés que l'enseignement, peu de postes puisque cela ne s'enseigne qu'en terminale, on a donc encore le choix dans un vivier captif) que les jurys s'offrent encore le luxe de trier: les autres respectent comme ils le peuvent, en gonflant les notes afin de ne pas se déconsidérer totalement, les quotas qu'on leur a attribués. Quoique souvent, à la fin des oraux d'admission, ils renoncent à les combler, tant le niveau des admissibles est affligeant. Cette année (2014), sur les deux sessions du CAPES, il y eu en moyenne entre 30 et 50% de postes non attribués. Si l'enseignement était ce que racontent les habitués du Café du Commerce, un boulot de paresseux rythmé par de longues semaines de vacances et grassement rémunéré, proportionnellement à la sueur dépensée, un tel état de fait serait incompréhensible." (p.43) "De la maternelle à l'université, un enseignant recruté à bac +5 au moins commence à 1500 euros par mois nets. Et finit, dans le meilleur des cas, à 3500. La moitié exactement de ce que gagne son homologue luxembourgeois ou allemand. Seuls les Italiens, en Europe, gagnent un peu moins. Ni primes ni treizième mois. [...] Et en termes de pouvoir d'achat, quand on compare la condition enseignante aujourd'hui et celle des années 1970, divisez par deux. Voilà la réalité." (Jean-Paul Brighelli, Tableau noir, Éditions Hugo Doc, 2014, 230 pages) -
Festival interdit aux hommes à cause de viols passés...
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Actualités
Ce sexisme est révoltant. Le collectivisme c'est magique quand même. Il y a 4 viol dans un rassemblement de milliers ou dizaines de milliers d’anthropopithèques. Mais ce n'est pas un problème de sécurité, non non. Et plutôt que de traîner dans la boue les individus responsables, on va gentiment généraliser à toute une catégorie de gens qui sera ostracisée en punition de sa malveillance innée (car le viol est toujours commis par des hommes contre des femmes, c'est bien connu). Quelle sale race les hommes quand même. -
Les articles que vous voulez faire buzzer
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Aristide Renou critique à son tour la panthéonisation de Simone Veil: http://aristidebis.blogspot.fr/2017/07/a-simone-veil-la-patrie-reconnaissante.html -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Parle pas de malheur. Son écotaxe nous a coûté deux milliards pour rien, hein. La barre reste élevée avant qu'Hulot fasse aussi bien. Ce qu'il faut souhaiter à Ségolène, c'est de croiser un bon gros iceberg non détecté. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Comme l'écris @Wheat, l'écologisme est populaire, Macron veut être populaire*: nous aurons donc droit à l'écologisme. *Et dans la mesure où il n'a pas encore de parti structuré et fidèle comme pouvait l'avoir Mitterrand, il va être particulièrement dépendant à des réclamations "spontanées" de l'opinion publique pour maintenir sa popularité, le côté "relation directe d'un homme et d'un peuple". Ce qui nous promeut d'autres réactions empressées du genre panthéonisation de Veil. -
Les vidéos de l'Ecole de la liberté (Bastiat, Say, Toqueville, Ricardo etc.)
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Turgot dans Lectures et culture
Méfiance néanmoins avec les sources antiques, qui ont davantage de raisons que les scientifiques (historiens) contemporains de présenter partiellement leur objet (en particulier lorsque un auteur chrétien parle d'un païen ou réciproquement). -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Tout à fait. Un petit coup d'étatiste social-lépeniste pour tourner la page d'un ultralibéralisme qui a aggravé le chômage... -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Et Macron, non seulement ne proposes pas de le supprimer, mais veut "renforcer ses moyens". Alors que c'est une instance complètement inutile, qui sert uniquement à offrir des vacances dorées à une clientèle politique ou à des "amis". Pour le coup MLP a eu le mérite de dire qu'il fallait le supprimer. -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Ce qui en dit long sur eux: « C’est à la langue que s’apprécie la qualité du maintien, en quelque domaine que ce soit, et pas seulement, comme on le croit volontiers, pour qui fait profession d’écriture. » -Walter Benjamin, Théories du fascisme allemand. A propos de l’ouvrage collectif Guerre et Guerriers, publié sous la direction d’Ernst Jünger, 1930, in Œuvres, Tome II, Gallimard, coll. Folio essais, 2000, 459 pages, p.208. -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Je pense qu'une part du côté psycho-rigide de Rand vient du traumatisme de la révolution bolchevik (bien décrite dans la biographie). Elle continuait à voir dans la lutte politique des alternatives de vie ou de mort à court terme. Ce genre de choses ne peut qu'inciter à devenir cassant et agressif. Mais bon, il y a la personnalité d'un côté, et la philosophie de l'autre. Personne ne peut sérieusement prétendre réfuter la doctrine de Marx en pointant du doigt qu'il a fait un gosse à sa bonne. -
Oui, enfin, ça présuppose, outre la coercition exacerbée, de réduire la méritocratie au mandarinat. Alors qu'elle existe dans la compétition sportive, économique, dans le don*, etc. Parler de méritocratie pure n'a donc guère de sens. *Si je donne dix euros à Contrepoints parce qu'il produit un contenu de meilleure qualité que ses concurrents, je m'inscris bien dans une logique méritocratique. Et dans une société libérale, j'aurais vraisemblablement plus d'argent à utiliser pour orienter l'évolution du marché. Le fonctionnement complet du marché n'est peut-être pas méritocratique, mais il laisse plus de place à la méritocratie que la situation actuelle.
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Je ne voulais évidemment pas dire que tous les phénomènes qui aurait lieu dans une société libérale relèveraient d'une logique méritocratique. Plutôt que la méritocratie y jouerait un plus grand rôle que dans une société basée sur le clientélisme et les prébendes étatiques.
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Ce que tu dis est intéressant, mais je suis sûr qu'on pourrait trouver bien d'autres personnalités avec un parcours comparables (ou supérieur). Pourquoi elle plutôt qu'un autre ? Je pense aussi qu'on sera d'accord pour dire que des faits des résistance pendant la seconde guerre mondiale sont (par exemple) plus dignes d'éloges que "d'avoir été une ministre compétente faisant passer la loi décidée par VGE". Pourtant l'immense majorité des résistants ne seront pas panthéonisés. A ce rythme là Taubira sera bientôt panthéonisée pour "avoir courageusement porté la loi sur l'ouverture du mariage aux couples homosexuels". Et en plus elle est noire ET femme, on va pouvoir remplir les quotas plus vite... Macron aurait dû au minimum laisser passer quelques semaines/mois, pour ne pas donner l'impression de tout céder à l'émotion populaire (à supposer qu'elle soit si vive que cela).
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Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Un sage a dit un jour: "Il n'y a rien de plus potentiellement déstructurant que le succès". Peikoff a tout l'air d'être un fanatique et un esprit borné, c'est d'ailleurs comme ça que Heller le dépeint dans le livre. David Kelley a l'air beaucoup plus sympathique et ouvert, il a d'ailleurs écris un bouquin, The Contested Legacy of Ayn Rand: Truth and Toleration in Objectivism (cf: https://atlassociety.org/sites/default/files/The_Contested_Legacy_of_Ayn_Rand.pdf ), qui répond sûrement à certaines questions sur la réception de Rand aujourd'hui. Il y a encore d'autres auteurs ou groupes qui s'inspirent de Rand, comme The Objective Standard: https://www.theobjectivestandard.com/ -
Tu dis ça parce que tu es prisonnier de l'idéologie de l'Homo œconomicus qui ramène tout à l'argent. Je pense aux distinctions honorifiques. Un élève qui reçoit les "félicitations" du conseil de classe. Un employé promu "meilleur employé du mois". Etc. Les distinctions militaires m'ont l'air tout aussi liberhalal. Les dons peuvent aussi être des récompenses.
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Le libéralisme, comme le républicanisme, sont des méritocratismes. On peut récompenser et louer les gens pour ce qu'ils font, pas pour ce qu'ils sont. Etre une femme n'est donc pas un critère acceptable. Et puis à côté de personnalités du niveau de Germaine Tillion ou Marie Curie, ça fait désordre.
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Les Républicains
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de PABerryer dans Politique, droit et questions de société
De centre-droit. Et quelle que soit le positionnement politique qu'on occupe, il est facile de jouer le conflit politique pour masquer des querelles d'ego ou des luttes d'influences.
