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Tout ce qui a été posté par RaHaN
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Ah ok. Donc les immigrés africains sont musulmans ?
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Réchauffement climatique
RaHaN a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Pourtant elles ne sont pas apparues sur la même période au Nord et au Sud ? Alors peut-être n'est-ce qu'une coïncidence, ou bien que d'autres facteurs entrent en ligne de compte ? Bref, tout ça pour dire que tu ne peux rien conclure d'un tel graphique. Ca peut te poser question, te faire dire qu'il y a PEUT ETRE un lien entre tel et tel chose, mais en aucun cas tu ne peux dire que ce graphique est la preuve que X. -
Réchauffement climatique
RaHaN a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Ben si. Tu peux faire l'hypothèse à partir de ce graphique que l'arrivée de l'Homme a un lien avec la relative montée du Co2 (relative par rapport à la moyenne du taux global du graphique), mais en aucun cas tu ne peux te servir de ce graphique comme preuve. -
Animes, japoniaiseries & confiture de bibaces
RaHaN a répondu à un sujet de Mathieu_D dans Sports et loisirs
Entre ça et Death Note, y a de quoi s'étrangler certainement.. -
Je savais pas que les immigrés étaient musulmans, ça m'en bouche un coin.
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Réchauffement climatique
RaHaN a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Le graphique montre l'évolution de la concentration de Co2 depuis X Millions d'années. C'est toi qui en fait cette conclusion. -
Réchauffement climatique
RaHaN a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Merci ahah, revenons-en à la base du topic -
j'entrevois du bénéfice. C'est Happy hour, 1 cornet acheté, 1 boisson offerte. Et Bienvenue RedKnight
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Réchauffement climatique
RaHaN a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Rien de sarcastique là dedans, sois en rassuré ! J'ai pas étudié ses idées en profondeur, mais c'est ce qu'il préconisait dans l'une de ses vidéos. En revanche, concernant les chinois, ça l'était. Mais rien de personnel là dedans. Je faisais écho au dernier article que j'ai traduit pour CP. -
Réchauffement climatique
RaHaN a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Hans Rosling serait d'accord. Sinon, une pierre deux coups, comme les Chinois, une politique de l'enfant unique un peu partout où ça copule un peu trop. hop hop hop. En plus d'une transition, on évite dans le même temps l'émission de quelques tonnes de CO2 pour chaque bébé en moins naissant. voilà. Solved. Next. -
Réchauffement climatique
RaHaN a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
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Je fais tourner une étude passée par l'équipe de la Tronche en Biais (encore eux), sur le gluten-free Long term gluten consumption in adults without celiac disease and risk of coronary heart disease: prospective cohort study
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Arrêtez de vous plaindre, ça va être géniallissime comme événement ! C'est les jeux olympiques quoi ! Avec un peu de chances, Paris, et la France dans son ensemble, va organiser des jeux olympiques ÉCOLOGIQUES ! Un village olympique boisé, des yourtes traditionnelles comme logement, un parc éolien fournisseur global d'énergie, de la bouffe bio et locale, pas d'hélico ni de voitures pour les retransmissions TV, que des drones et scooters électriques, des sportifs mieux surveillés ( interdiction de courir le 100m sous les 9.90 sinon émission de CO2 trop importante, etc...). Non ça va être génial, Budget maîtrisé, transition énergétique assurée.
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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
RaHaN a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Quel rendement ! -
Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
RaHaN a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Pour le climat, pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions Par LORRIE GOLDSTEIN, du Toronto Sun Pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions! Et même cela ne vous sauvera pas du changement climatique lié à l'activité humaine. Si le premier ministre canadien Justin Trudeau souhaite réellement sauver la planète d'un réchauffement dont l'Homme serait responsable, il devrait commencer par dire à tous les canadiens d'arrêter d'avoir des enfants, de ne plus conduire, de ne plus prendre l'avion, et de ne plus manger de viande. Ce sont les quatre facteurs les plus utiles pour réduire les émissions de gaz à effet de serre corrélées au changement climatique sur la scène mondiale. A l'inverse, les solutions appuyées par le gouvernement canadien et autres pédagogues, tels que le recyclage et la transition vers des ampoules à basse consommation, bien qu'elles puissent être "feel good" exercises, sont insignifiantes. Ce point a été souligné par Seth Wynes, doctorant de l'université de la British Columbia et le professeur Kimberly Nicholas de l'université de Lund en Suède, dans leur article « The climate mitigation gap: education and government recommendations miss the most effective individual actions » publié la semaine dernière dans le journal Environmental Research Letters. L'action la plus utile, et de loin, serait de ne plus faire d'enfants, ou alors le moins possible. Chaque futur bébé éviterait en moyenne l'émission de 58,6 tonnes de dioxyde de carbone par an à une famille canadienne, en comparaison en 0,213 tonnes d'émission liées au recyclage. Arrêter de rouler en voiture épargnerait 2,4 tonnes d'émissions, par rapport aux 0,1 tonnes gagnées par le remplacement des ampoules incandescentes par celles à économie d'énergie. Eviter un vol transatlantique par an épargne en moyenne 1,6 tonnes d'émissions, par rapport au 0,247 tonnes obtenues en lavant son linge à l'eau froide. Opter pour un régime alimentaire végétarien ferait nous ferait gagner 0,8 tonnes d'émissions, comparativement aux 0,21 tonnes obtenues en faisant sècher son linge dehors plutôt qu'avec un sèche-linge. Malgré ceci, Wynes et Nicholas rapportent : “Nous nous sommes aperçu que 10 manuels scientifiques destinés à des lycées canadiens (couvrant 7 provinces, avec 80% de la population) négligent en grande partie de mentionner ces actions – Elles comptent pour 4% des actions recommandées – préférant mettre l'accent sur les changements progressifs ayant un potentiel de réduction d'émissions plus faible”. Aussi, “Les ressources gouvernementales pour un changement climatique, que ce soit en Europe, aux États-Unis, au Canada ainsi qu'en Australie, mettent l'accent sur des actions à faible potentiel”. Fort heureusement, les scientifiques ne recommandent pas au gouvernement de forcer les canadiens à avoir des familles moins nombreuses, bien que cela soit une position courante chez les environnementalistes les plus extrêmes, dont l'amour pour l'Humanité est surpassé seulement par leur haine envers les gens, save for themselves of course. Dans ce contexte, considérez la « dictature élémentaire » en Chine (dont Trudeau est admiratif), qui abandonna en 2015 seulement son immonde politique de l'enfant unique, imposée depuis 1979. But that didn’t stop China from taking credit at international meetings on climate change for decades, avançant que sa mesure pour l'enfant unique avait empêché la survenue de 300 millions de naissances, l'équivalent de la population américaine, et préservé ainsi de l'émission de l'équivalent de 1,3 milliard de tonnes de dioxyde de carbone, en se basant sur une moyenne globale de 4,2 tonnes d'émissions par enfant. L'étude rapportée par Wynes & Nicholas est utile dans le sens où elle rend compte des changements fondamentaux dans nos modes de vie en société que nous aurions à effectuer pour atteindre les objectifs de réductions de gaz à effet de serre pour lesquels Trudeau nous a engagé en signant les accords de Paris sur le climat. Paradoxalement, même si nous atteignons ces objectifs et que chaque pays au monde faisait de même, tout ce que cela ferait, c'est entraîner le monde vers un réchauffement climatique catastrophique à la fin du siècle, si on se base sur les sciences climatiques. Mais voilà dans quel monde fantastique nous vivons lorsqu'on en vient à vouloir lutter contre le changement. Leurs programmes de tarification du carbone ne sont que du prélèvement d'argent déguisé en programme environnemental, destinés à prendre quelques milliards de dollars de nos poches pour permettre au gouvernement de les utiliser comme ils leur convient de faire. L'étude effectuée par Wynes & Nicholas illustre simplement comment il serait compliqué de faire face au changement climatique, en débit des discours positifs de nos politiciens qui déclarent que ce sera simple. Ce n'est PAS simple. C'est compliqué ! Cela demanderait un programme obligatoire de restrictions d'émissions qu'aucun citoyen Canadien, ou même de n'importe qu'elle autre pays démocratique (espérons-le) ne pourrait accepter. Il existe des mesures concrètes que nous pourrions prendre pour réduire nos émissions, such as 100% revenue neutral, carbon fee and dividend carbon pricing, dont le seul objectif est d'arrêter les émissions, et pas d'augmenter les revenues du gouvernement. Donc évidemment, nos représentants de l’état n'y sont pas intéressés. Nous pourrions nous concentrer sur l'amélioration des énergies vertes et renouvelables que nous disposons, in addition to hydro power, which are nuclear energy and natural gas, the lowest emitting fossil fuel, au lieu de gaspiller notre argent dans l'éolien et l'énergie solaire, lesquels sont à des années d'être en mesure de répondre efficacement à une puissante économie industrielle moderne comme la notre. Ou, on peut prétendre résoudre le problème en élisant des hommes politiques qui prétendent eux-même le résoudre en nettoyant nos fonds de poches. __________________________________________________________ Article d’origine : http://www.torontosun.com/2017/07/15/no-kids-no-cars-no-meat-no-flying publié le 15juillet 2017. -
J'aurai tendance à penser comme L'affreux pour ce qui concerne la ram. Maintenant l'argument du développement des progs en vue des smartphones est intéressante. Soyez pragmatique, prenez en un avec des slots disponibles, d'ici quelques années Bisounours sera devenue experte hardware.
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Quels termes tu pourrais me proposer pour éviter cet abus, et par la même occasion se défaire du lien libre-arbitre/liberté (entendue au sens politique) ? Avoir deux jambes aussi ? Sinon, comme tu as l'air d'aimer les dés, tu as déjà lu l'Homme-dé ?
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Aah ?
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81 messages encore tu écriras, et cette possibilité tu auras. Le monsieur a dit, c'est l'absence de coercition! A la rigueur la liberté rend compte de la recherche de ce qui dépend de ta volonté de ce qui n'y dépend pas, de la maîtrise de soi.
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Je ne peux que valider ça. Dans les crèche, on parle de motricité libre (décidément !), c'est-à-dire qu'on ne va pas mettre l'enfant dans une position qu'il ne saura pas appréhender seul. De la même manière que si un enfant arrive à grimper quelque part et n'arrive pas à y descendre, on ne le portera pas, par contre on va l'encourager à trouver une manière de descendre seul et être rassurant. Les deux ne sont pas incompatibles. Par contre, là où se porte mon obsession, pour rejoindre ce qu'à évoqué @Johnathan R. Razorback, c'est bien sur la recherche de ce qu'est une vie bonne, ou ici, qu'est-ce qu'une bonne éducation. Ca serait que pour moi, à la limite, peu importe, mais ici, l'action se fait envers autrui, donc là se pose la question de la responsabilité. Par exemple, au niveau de la morale, j'essaie d'éviter tout terme du style : c'est bien, c'est mal, c'est gentil c'est méchant. De la même manière, j'évite toute punition ou toute récompense. Pourtant, j'imagine bien que dans mon comportement, ça doit néanmoins transparaître.Ce qui m'importe c'est pas le contenu moral, ou le savoir en tant que tel, c'est plutôt comment il y accède. @Trawash, je risque d'être copain avec l'auteur ! Merci pour le lien Voilà, tout est résumé.
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Et bah pourtant je peux vous dire que sans jamais avoir eu à lever ni la main, ni la voix, sans sanctions ni interdits, c'est pourtant ce qu'il se passe, même à moins de 30 mois. Je prends l'exemple d'un lavabo qu'on utilise pour le lavage des mains. Il était interdit d'y jouer. J'ai questionné sur cet interdit, les réponses c'était "il sera tout mouillé, y aura de l'eau partout, c'est dégueulasse". Bon, j'suis une tête de lard, j'ai laissé faire. Effectivement, y a eu de l'eau partout. Personnellement, j'ai pas trouvé ça dégueulasse, mais plutôt dangereux. Donc le résultat, "t'as le droit de jouer à l'eau, par contre tu essuies par terre quand tu as fini ou bien tu te mets une serviette sous les pieds, je te montre où sont les serviettes, et on va le faire tous les deux." Il suffit d'une fois ou un enfant tombe à cause de l'eau, et là je vais appuyer sur le fait, ou alors je vais moi même faire semblant de tomber. T'inquiète que ça va suivre. Et là, ça te permet de tomber sur une situation où tu vois une gamine de deux ans qui recouvre tout le sol de la salle de change de serviette, là j'ai explosé de rire. qu'est-ce que t'es en train de me faire, je veux jouer à l'eau. Non mais tu veux me faire une piscine là, c'est quoi ton projet :D. J'suis toujours surpris et émerveillé par les capacités d'expériences et d'analyses que peut avoir un gamin, t'en apprends tous les jours ou presque.
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Là, je travaille avec des enfants où le principe d'intentionnalité est apparu, c'est à dire qu'ils commencent à faire le lien entre une action et un but à atteindre, et que par conséquent ils sont tout à fait capable de percevoir les conséquences d'une action, aussi bien le but donc, mais aussi les "à-côtés". Pour le moment, j'ai pas encore rencontré un enfant de deux ans qui agissait dans le but de faire mal pour faire mal ; ça viendra peut-être, pour le moment, je laisse cette idée de côté. Pour les à-côtés, le rôle, ça serait de mettre en oeuvre les moyens qui permettent de faire émerger les processus qui amène à la responsabilité. En faisant du lien concret entre les causes et les conséquences, en donnant sens à ce qu'il fait. Et à force de répétitions, de prise en compte des autres et du contexte, l'amener à se responsabiliser. Je pense pas négliger l'âge de responsabilité, comme l'âge de l'autonomie d'ailleurs. Ils ne sont pas responsables, ils ne sont pas autonomes. Et ben il le fera. Par contre personnellement, je trouverai ça sale, donc je lui proposerai de le faire plutôt sur une feuille, même une grande feuille si il veut que je pourrai coller sur un mur, et qu'il pourra après donner à papa ou maman, alors que le mur, ça sera impossible. Là, je le renverrai au principe de propriété, il est tout à fait en droit de dessiner, par contre le mur, c'est à la crèche, ça ne lui appartient pas, donc si il veut y dessiner, il peut, par contre après il nettoie. Et je pense que ça lui coupera toute envie de recommencer ultérieurement. Je comprends tout à fait que chez toi, tu retrouves ta gamine qui dessine sur le mur que tu viens de repeindre au marqueur noir, ça t'emmerde grave. Probable que ça m'en fasse autant.
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C'est même plus généralement le terreau du courant de la pédagogie nouvelle (ou active), comme l'institut Pikler par exemple. On pourrait rapprocher ça, sur le travail sur l'inhibition effectué entre autre par Olivier Houdé. Ici, c'est par rapport aux processus cognitifs, mais on pourrait transposer cela sur les pulsions agressives notamment, que socialement on cherche à réprimer. La question que je me pose en fait, c'est est-ce qu'en posant un interdit visible (interdit de mordre), on empêcherait pas la pulsion elle-même de s'exprimer autrement, et qu'un travail plus efficace sur l'origine de la morsure permettrait à l'enfant d'exprimer cette pulsion de manière socialement acceptable. Faudrait qu je cherche ça. C'est toi qui le juge ainsi, et si un enfant juge que sur ce moment monter sur une table pour X raison, en quoi ton jugement aurait plus de valeur que le sien ? L'argument de la convention sociale me pose problème, dans le sens où si effectivement il y dessine ou il y mange aussi, en tant qu'adulte on s'en sert aussi pour faire la fête, changer une ampoule ou que sais-je encore. Quel intérêt de poser un interdit sur quelque chose qu'il pourra faire toute sa vie, alors qu'on peut tout à fait relier cet expérience là, au risque, à la sensation de hauteur, ou à la saleté. Après libre à toi en tant que pro, de lui proposer un coin avec des meubles spécifiques pour l'escalade (si tant est que tu en es les moyens), d'associer la grimpette au risque en associant cela avec le tapis par exemple, ou à la salissure auquel cas tu peux lui demander d'essuyer la table une fois qu'il a terminé. Je reviens un peu sur ça, parce qu'en fait tu ne remets pas en cause je crois le fait qu'on puisse se servir des principes libéraux dans une éducation. Si je reprends la phrase de Cugieran l'enfant aurait donc de fait aussi ces déterminismes, par nature. Est-ce qu'on pourrait pas faire l'hypothèse qu'appliquer les principes libéraux dès l'enfance (ou l'introduction à si certains préfèrent), on puisse favoriser cet ordre spontané
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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
RaHaN a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Heureusement que tu me le fais remarquer ><. merci -
Si on prend l'exemple de monter sur la table, lui interdire de le faire en lui disant qu'il pourra le faire quand il sera grand, c'est pour moi déplacer le problème. Ce qui se joue ici, c'est généralement la peur de l'adulte (légitime, je reviens pas sur ça) qu'il tombe de cette table, opposé à son besoin ou d'être en hauteur, ou de sauter de cette hauteur. Donc parce qu'on a éventuellement peur du risque de chute, on le frustre d'un besoin qui n'est en rien négatif, et je doute de la pertinence de cette frustration à l'aider à se sécuriser. Parce que pour le coup, je remets pas en cause la nécessité de la frustration. Mais si ici, on identifie le besoin, à nous de mettre en place les conditions pour que ce besoin soit réalisé (avec derrière toutes les éventuelles explications nécessaires). Là, je parle vraiment dans le contexte d'une crèche ou d'un lieu d'accueil, qui pour moi, est fait pour l'enfant.