J'allais dire que tu étais en train de t'emmerder dru au boulot, mais tu fournis une autre explication plausible.
(En passant, la dernière, sur les Einsatzgruppen, je la savais.)
Plonge dedans, c'est vraiment intéressant. Je veux dire, c'est un mec qui a visiblement lu Michel Villey et Leo Strauss (en plus de Michel Foucault). Et qui les a compris.
Comme NoName, je voterai sans doute Nous Citoyens par souci de décaler la fenêtre d'Overton dans la bonne direction. Mais putain, qu'on en est encore loin !
Ben oui, adulte. Les plaisirs changent, mais le bonheur reste accessible. Pour tes perversions, elles peuvent rester, elles aussi.
Ceci dit, c'est curable, mais les solutions sont pires que le "mal".
La première moitié du moyen-âge, seulement.
Ca, c'est le vrai-argument-qui-a-raison. "La démocratie c'est trop horrible", c'est l'argument que soutient réellement HHH (et F.Mas).
La "matrice d'utopies" de Nozick, c'est plus fort que toi.
Hayekien, va. Ceci étant, je reconnais l'importance critique du subjectivisme (et de la prise de conscience de sa non-omniscience) dans mon mûrissement libéral. C'est typiquement quelque chose qui échappe encore à mon père.