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Bonne nouvelle: l'Etat dépense nos sous avec parcimonie en sélectionnant un hébergeur "low-cost". Mauvaise nouvelle: l'Etat ne met pas les moyens sur le service open data.

La bande son est atroce. Ils ont perdu tous leurs micros dans l'incendie sans doute?

J’ai participé récemment à des webinaires sur zoom. Les participants ne peuvent pas parler ni montrer leur vidéo. Par contre ils peuvent poser des questions ou réagir au clavier.

OVH a plein de data centers un peu partout y compris en Amérique du nord.

Le champagne c’est pas nouveau (le sel encore moins...) mais techniquement c’est à la portée de tout vigneron correctement formé et équipé. On sait faire des vins mousseux dans le monde entier. Crémant d’Alsace, clairette de Die, Cava en Espagne, Asti en Italie (« metodo champenoise ») etc. La différence entre toutes ces appellations et le champagne est une pure question d’image.

Oui. Il y a des coopératives qui fonctionnent très bien, qui ont réussi à créer une marque et qui savent la faire vivre et défendre les marges de leurs adhérents. J'aime bien citer deux exemples: Le sel de Guérande. Une réussite extraordinaire lorsqu'on réalise à quel point le sel est un produit basique. Tout est dans la marque, l'image du terroir, l'animation du réseau de paludiers, les visites de salines, les emballages, l'image "nature"... Le champagne. Alors que dans les autres vins les producteurs font face à la concurrence en ordre dispersé, les producteurs de champagne ont réussi à imposer modialement non seulement une marque, mais encore des prix avec une régulation de la production pour lisser les fluctuations causées par les variations de récolte en quantité et en qualité. Le jour où les producteurs français de fraises auront compris ça et qu'ils auront réussi à le mettre en place, ils pourront peut-être cesser de subir et de réclamer l'intervention de l'Etat. C'est pas gagné.

Quelle suprise... Plus de détails chez Nice-Matin

C'est toute la question. Etre propriétaire de quoi que ce soit implique la possibilité de le perdre suivant divers scénarios: perte, vol, confiscation, fraude, escroquerie, taxation, mauvais placement, consommation, destruction par catastrophe (naturelle ou pas...) A chacun d'évaluer les scénarios auxquels il pense être exposé et de décider des moyens à mettre en face (ou pas, si on est prêt à subir la perte). C'est de la gestion de risque classique. Une des pratiques courantes consiste à ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. On peut donc panacher avec des comptes en banque (dans plusieurs banques...) des comptes crypto chez des intermédiaires, des portefeuilles crypto, du cash (dans plusieurs monnaies et dans plusieurs coffres), des bijoux, de l'immobilier...

On est sur des chiffres relativement bas: environ 250 par jour. A ce stade la baisse ne peut se faire que lentement. De plus il suffit de peu de chose pour inverser la pente. La tendance dans les pays occidentaux est à la décrue. La France ne fait pas exception. Attention à l'effet "rebond". Comme la situation est moins critique les services de réa sont moins chargés (sauf très localement dans quelques régions), donc les admissions en réa se font plus facilement.

C'est marrant ces discussions interminables sur le sexe des anges genre des mots. En Français, le masculin tient lieu de neutre, pourquoi chercher plus loin? Nos amis les académiciens auraient-ils perdu leur compréhension légendaire de notre langue? Perso, je m'en moque complètement. Qu'on dise le ou la covid, tout le monde comprend de quoi on parle et c'est la seule chose qui compte.

En fouinant sur le ouaibe je trouve ceci: Donc ça dépend des départements. Pour les eaux usées c'est un peu plus clair: Donc pas de fosse septique s'il y a un réseau d’égout à proximité.

Pour ceux qui s'intéressent à l'eau, je signale l'existence du blog "l'observatoire de la continuité écologique et des usages de l'eau" qui publie régulièrement des articles sur ce thème. La "continuité écologique" est une doctrine plus ou moins gravée dans la loi française, selon laquelle un cours d'eau ne doit pas être obstrué en aucune manière. En vertu de cette doctrine l'administration française saisit toutes les occasions pour obliger des propriétaires à détruire des ouvrages (moulins, étangs, etc.) J'aime bien ce blog car il est très factuel. Il souligne aussi certaines absurdités, par exemple concernant les fossés (qui ne sont pas des cours d'eaux selon les termes de la loi, mais qui sont tout de même considérés comme tels par l'administration...)

Excellente idée. Une première version est dispo ici (le lien est valable 30 jours).

Les écolos aiment souligner que sur la masse d’eau existant sur la planète seule une petite fraction (de mémoire 2%) est potable. D’où l’idée qu’elle rare, etc. En fait c’est une présentation complètement biaisée. Dans nos contrées il y a tellement d’eau potable (ou potabilisable à faible coût) qu’on se permet d’en laisser la plus grande partie couler dans la mer. Alors certes il y a des régions du monde qui en manquent mais l’eau pèse très lourd et il serait ruineux de leur en envoyer. La création de puits, de réservoirs, de réseaux, de stations d’épuration sont des éléments clefs du développement de ces régions. Il y a aussi des périodes avec des sécheresses localisées dans les pays développés. Ce n’est pas une question de pénurie causée par l’être humain qui détruit tout sur son passage, c’est simplement une question de bonne gestion de la ressource. Les écolos qui hurlent à la fin du monde à la moindre sécheresse sont les mêmes qui refusent qu’on crée des lacs de barrage, dont une des fonctions essentielles est de servir à réguler les cours d’eaux. Par exemple, la production abondante de fruits dans les Hautes-Alpes est une conséquence directe de l’existence du barrage de Serre-Ponçon. La construction de ce barrage a causé la disparition de plusieurs villages. Inutile de dire qu’un tel projet serait impossible à faire accepter politiquement aujourd’hui...

Moi non plus... je préfère une ballade dans un espace naturel plus ou moins désert!

Tout dépend de ce qu'on entend par "mieux". L'IDH est un critère intéressant mais il y en a d'autres. Qu'en pensent les Lybiens?

J’essaye de souligner la différence fondamentale entre bitcoin et une monnaie classique. Si l’Etat saisit des billets de banque ou même une somme en euros sur un compte en banque, cet argent est mis hors du circuit économique. Si une autorité décide que c’est de l’argent “sale” il peut être détruit (pour les billets) ou annulé (pour le compte en banque). Si la même chose se produit avec des bitcoins, une autorité peut décider que la somme détenue est “tainted” mais les bitcoins en question ne peuvent pas être détruits. Les transactions qui les ont amenés sur le compte de leur propriétaire font partie de la blockchain. On ne peut pas les effacer sur simple décision judiciaire ou administrative.

“Tainted” est un concept bancal. Si la loi en dispose, un juge peut décider qu’un bitcoin a été mal acquis et le faire saisir (et c’est le cas des bitcoins en cours de vente aux enchères). Le même bitcoin peut être considéré “clean” dans une autre juridiction. La vente aux enchères d’une saisie judiciaire est un procédé de blanchiment légal.

L’Etat ne peut pas s’affranchir des critères de validité des signatures électroniques qui assurent l’intégrité de la blockchain.

100% d'accord avec ça. La force d'une bonne organisation c'est de fonctionner avec des gens "normaux" (pas forcément médiocres, mais moyens) et non pas avec des divas.

Pas encore. J'ai essayé à midi, mais avec mon blouson (et mes muscles rebondis) le bras était trop gros et l'élastique a cassé. Je vais me préparer un masque ad hoc.

Si on regarde les chiffres de mortalité en Suède l'épidémie est pratiquement terminée. Les agitateurs de peur doivent regarder le nombre de nouveaux cas quotidiens, qui remonte, certes... il faudrait le mettre en relation avec le nombre de tests.

La fête de la liberté sous la révolution française c'était en été: https://fr.wikipedia.org/wiki/Fête_de_la_Liberté

@G7H+, je sens une certaine ironie... mais cet animal de Méluche a même choisi la date du 20 mars!

Oups, je viens de trouver ceci sur LinkedIn: