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Tout ce qui a été posté par F. mas
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L'origine Du Libéralisme Et De L'individualisme
F. mas a répondu à un sujet de Gio dans Philosophie, éthique et histoire
Le terme "conservateur" a décidément autant de sens que la France comporte de fromages. J'en relève au moins ici deux, à savoir la catégorie de personnes qui se méfie des idées qui n'ont jamais été expérimentées, et la critique épistémologique de Villey portant sur la subjectivation moderne du droit (qui le fait glisser subrepticement vers la morale). Bien entendu, rien n'indique que Villey soit conservateur au premier sens du terme, et que le premier sens posé embrasse la position de Villey. Plutôt que conservatrice, la critique de Villey, tout comme celle d'un Strauss, est antimoderne. Son propos n'est pas de renâcler devant une science politique moderne qui s'est de toute façon imposée depuis plus de cinq siècles, mais de souligner qu'elle ne permet pas de comprendre ce qu'est le droit, et que sur bien des points elle est inconsistante. Pour juger de cette inconsistance, il faut un point de comparaison, que Strauss comme Villey retrouvent chez Aristote (+ Platon pour Strauss, + St Thomas pour Villey). Pour Strauss, que je connais mieux que Villey, le retour à l'épistémologie classique est un bon moyen de mettre en perspective ce qu'il y a de commun à toute la science politique moderne, de Machiavel à celle d'aujourd'hui, et de la juger comme un échec global, ou une suite de théorisations et d'échecs jusqu'à la quasi disparition contemporaine de la discipline. Villey était catholique, antimoderne et thomasien, Strauss "libéral ancien" et acceptait du bout des lèvres le libéralisme lockien comme participant de l'esprit du constitutionnalisme américain, qu'il a plusieurs fois défendu. Villey rejette totalement la modernité en politique, Strauss l'accepte en pratique. On pourrait ajouter à Villey et Strauss la critique de McIntyre, qui voit dans l'esprit des Lumières l'échec d'un projet, celui de construire une morale rationnelle déliée des autorités politiques et religieuses traditionnelles. Mais McIntyre n'est pas réellement conservateur, c'est même un ex marxiste. Maintenant, il existe des "conservateurs" ou étiquetés comme tels qui acceptent la Modernité, c'est à dire ne rejettent pas la science politique qui s'est construite après Machiavel et Hobbes. J'en vois au moins deux : Schmitt et Oakeshott, qui partagent le même attachement pour la philosophie politique de Thomas Hobbes. L'un est un antilibéral de choc, l'autre un quasi-libertarien. Parmi tous les auteurs que j'ai cité, il est le seul à se qualifier lui-même de conservateur. En règle générale, les autres sont qualifiés de "conservateurs" par les commentateurs et les adversaires. On manque de critère qui fasse autorité pour juger de ce qui a en commun à tous ces conservateurs. Pour faire plus court, et après cet aparté, il serait bon je pense de laisser tomber le terme "conservateur" histoire d'aller plus rapidement au coeur du sujet Ou alors de ne pas trop lui accorder d'importance. Il me semble difficile de séparer radicalement la théorisation politique de son expérience, c'est à dire des conditions sociales, historiques et lexicales qui ont permis sa formation. Il y a comme un aller-retour permanent entre pratique et théorique, et se demander si l'un est premier par rapport à l'autre est comparable à la question portant sur l'antériorité de la poule ou de l'oeuf. Le contexte forme l'humus du discours commun, et du discours commun naît la théorie (la réflexion critique sur le discours) qui elle-même tend à s'autonomiser pour peser sur le contexte (la réflexion "pour elle-même" en gros). Sans doute est-ce lié au caractère de l'activité politique elle-même, qui cherche à mettre des mots sur une situation contingente pour tenter d'en maîtriser la destinée (ou d'en limiter le caractère aléatoire). Dire donc de l'individualisme qu'il apparaît avec la modernité suppose donc d'apporter quelques précisions. S'il se définit en s'opposant au "holisme" de la période précédente, alors il faut bien préciser que ce qu'il y a de nouveau dans cet "individualisme" en politique et en science politique. On parle d'individualisme parce que les conditions sociales et politiques ont changé, et que le changement a ouvert la voie à de nouvelles représentations de l'activité de gouvernement et même du gouvernement de soi. Locke ou Rousseau n'auraient pas pu écrire au Xe siècle, et si d'aventure il existait des théoriciens comparables, ils n'auraient eu aucun écho (enfin sur le moment). Oakeshott, qui n'est pas seulement philosophe mais aussi historien, estime que l'individuation de la politique (la constitution des conditions sociales et morales nécessaires à la constitution des discours individualistes) apparaît vers le 15ème siècle. Cela correspond en gros à l'émergence des Etats, et donc en science politique à la dissociation entre Etat et société : d'un côté la soumission à une autorité politique, de l'autre l'émergence d'une sphère dans laquelle les individus sont libres de commercer au sens large, c'est-à-dire d'échanger et d'interagir sans le deux ex machina politique. D'un côté subordination et hiérarchie, de l'autre relative liberté et relative égalité (formelle) entre les individus. C'est à ce moment que la dynamique capitaliste se met en place d'après Baechler, comme l'a rappelé très opportunément un forumeur. L'apparition des villes, des cités commerciales musclent un peu les sociétés civiles et les relations de commerce, ce qui augmente la plausibilité des discours naturalisant son existence et les dispositions individuelles nécessaires à son bon fonctionnement (plausibilité aux sein des élites essentiellement). La queue de comète de cette prise de conscience des modes de fonctionnement de la société civile, c'est la naissance de la sociologie et de l'économie comme disciplines autonomes à côté de la philosophie et de la science politique. Apparaissent aussi au même moment ce que Oakeshott appelle les "morales de l'individualité", ces idiomes éthiques qui font du Sujet autonome son acteur principal (par opposition aux idéologies collectivistes de l'"individu manqué"). L'enrichissement des villes, l'émergence de la bourgeoisie et de son éthique, le quadrillage progressif de l'offre politique par les Etats nations (et donc l'autonomisation de la société) sont à mon avis les grandes lignes qui expliquent l'émergence d'une expérience de l'individualisme, puis sa théorisation première au 18eme à travers les différents écrits des libéraux et protolibéraux. Nous ne sommes pas passés de la guerre au commerce, les deux continuent de coexister, hélas. Les guerres modernes n'ont rien à envier à celles antérieures. Maintenant, les sociétés modernes sont-elles supérieures à celles prémodernes ? Ca dépend sur quel plan, je ne pense pas qu'on puisse faire de réponse univoque : n'étant pas progressiste (quel avenir radieux tout tracé ?), ni conservateur (conserver quoi exactement ?), je ne crois pas que ce qui précède le monde moderne soit de l'ordre de l'enfance de l'humanité, et qu'il soit possible de mesurer objectivement ce que nous avons gagné et perdu en nous détachant du "monde traditionnel" (si monde traditionnel ou "holiste" il y a : rassembler sous cette étiquette la vie des chasseurs cueilleurs, l'antiquité le moyen âge peut être utile pour souligner les traits caractéristiques de la Modernité, il ne faut quand même pas lui donner une consistance trop solide). Il y a amélioration des conditions matérielles de l'homme ordinaire européen, mais aussi extension de sa domination politique et de son contrôle social (mais c'est plus récent que la Modernité). Il est mieux soigné, mieux éduqué, moins policé, mais aujourd'hui le niveau chute, il est infantilisé, materné jusqu'à l'état larvaire. En d'autres termes, l'essor du capitalisme en Europe a sans doute été une bonne chose, mais a eu comme contrecoup un certain nombre d'effets indésirables qu'il est difficile de positiver à mort : le collectivisme (l'individualisme manqué), les régimes totalitaires, la possibilité de l'anomie sociale, l'Etat de surveillance, etc. Curieusement, au cœur de tous ces problèmes, il y a l'Etat et son évolution. Je remarque au passage que Michéa fait du libéralisme l'idéologie moderne par excellence, et pas le communisme ou le socialisme, dont les racines et les visées sont pourtant aussi modernes politiquement et moralement. C'est sans doute parce qu'il ne parvient pas à distinguer la science politique moderne de l'"idéologie libérale", la matrice commune à toutes les idées modernes et celles spécifiques au libéralisme. Quitte à lire un gauchiste, autant lire Christian Laval http://www.amazon.fr/Lhomme-%C3%A9conomique-Essai-racines-n%C3%A9olib%C3%A9ralisme/dp/2070783715 -
Le Nouveau Programme Du Pld
F. mas a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
Le terme "conservateur" a décidément une plasticité infinie. -
Hollande plus socialiste encore que Sarkozy
F. mas a répondu à un sujet de pankkake dans Politique, droit et questions de société
Dissoudre le sm ne sert pas à grand chose : les juges rouges demeureront en fonction. S'interroger sur les conditions de formation et de recrutement desdits juges seraient moins médiatique mais peut être plus pertinent. -
Il y a pire encore : http://www.slate.fr/culture/71681/ulf-ekberg-ace-of-base-neonazi corruption de la jeunesse !
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Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
et puis "réactionnaire", "conservateur" et progressiste" ne renvoie à aucune définition gravée dans le marbre. Un nostalgique de la république sous l'empire était en quelque sorte un réactionnaire, tandis qu'un aspirant fasciste sous l'empire du parlementarisme libéral déclinant au début des années 1920 était un progressiste^^ -
Le Droit Naturel Existe T-Il ?
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
Je suis content d'assister au big return de NN2K De quel libertarien parle-tu ? Ceux que je connais (Benson, Narveson, de Jasay, Hoppe) ne font pas cette confusion. Et ne posent pas le problème en ces termes d'ailleurs. -
heu, non non, ses pouvoirs sont beaucoup plus étendus http://www.bloomberg.com/news/2012-07-01/liechtenstein-monarch-will-keep-veto-powers-after-referendum.html
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arg ! un alphonsiste !
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Le Droit Naturel Existe T-Il ?
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
Le cas de l'Irak est un cas d'école : la première mesure du gouvernement d'occupation américain -enfin de l'APC- a été la débaasification. Mesure totalement idiote qui a eu pour effet de libérer dans la nature des militaires et des flics loyalistes armées un peu partout dans le pays. Cela a eu un peu le même effet qu'injecter une dose d'anarchie (dans le mauvais sens du terme dans le pays). En d'autres termes, non seulement les américains ont du "supporter le coût" de l'invasion, mais par leur connerie, ils ont considérablement augmenté le coût d'occupation (coût d'occupation qui à mon avis s'est du coup rapproché de celui de l'anarchique chitahland). Leur but premier était d'impliquer le plus de pays possible dans leur coalition pour que ce soit ensuite leurs alliés qui s'occupent de la vaisselle et se prennent la gestion merdique de l'après-guerre. Disons que ça n'a pas marché comme prévu, mais qu'ils sont quand même retombés sur leurs pattes. Enfin tu pourrais me rétorquer : mais tu dévies subtilement, là : on passe des moyens de satelliser le chitahland aux moyens d'assurer le transfert du pognon du pétrole du chitahland vers mes popoches. Le premier cas de figure demande une occupation qui est limitée dans les buts et donc peut être dans le temps et la nécessité de pacifier le pays, le second demande une pacification définitive. Eh bien je ferais comme n'importe quel gros enculé : je monterais un gouvernement fantoche avec des locaux que j'aurais acheté et formé après une invasion qui aura aussi comme but de guerre la création d'un gouvernement. Après tout, tous les Etats sont nés de la conquête, qu'elle soit intérieure (comme en France) ou extérieure (comme en Grande Bretagne). La différence entre chitahland et les Etats limitrophes de la Chine, c'est que ces derniers ont soit une armée, soit se trouve sous le bouclier protecteur d'une puissance qui a tout intérêt à répliquer si la Chine esquissait un geste dans ce sens. Du coup, l'utilisation de l'outil économique devient beaucoup plus rentable et malin. Tiens pour revenir à l'exemple de l'invasion par l'Irak du Koweit, c'est un peu pareil : Saddam s'est dit chouette, ce micropays bourré de thunes n'a pas d'armée, c'est cool, c'est tout bénef pour me refaire. Manque de pot, il a cru que les américains ne bougeraient pas (parce qu'ils étaient d'ailleurs plus ou moins alliés), mais non : les usa écoutent plus attentivement leurs alliés du côté des Saouds que ces crèves-la-fin de baasistes qui servent à rien. -
Le Droit Naturel Existe T-Il ?
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
Je n'ai pas dit mon dernier mot. -
Le Droit Naturel Existe T-Il ?
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
Si je dis que j'aurais fait comme en Irak, je ne dis pas que la situation est exactement la même qu'en Irak, puisque par hypothèse, chitahland n'a pas d'Etat. Donc mon premier geste ne pourrait pas être exactement le même. Ce qu'il y a de comparable, c'est l'investissement des groupes d'intérêt pour me donner toute l'expertise qu'il me faut pour les aider. Tsss, pourquoi faudrait-il que je passe absolument par l'appareil d'Etat pour avoir toutes ces infos quand je peux utiliser les outils de l'espionnage, et particulièrement de l'espionnage industriel ? Il me semble possible de repérer via satellite les sites qui m'intéressent, de payer grassement des types pour savoir comment ils fonctionnent et hop, de foncer avec mes néopanzer comme à travers les Ardennes vers les sousous. A mon tour de pointer du doigt une faiblesse de ton raisonnement (et la force de celui de Lemieux dans ce cas précis) : s'il n'y a pas d'Etat, tu me dis qu'il est plus difficile de repérer où sont les endroits à pétrole. Je te réponds qu'on peut s'arranger avec ça. Par contre s'il n'y a pas d'Etat, il n'y a pas d'armée, et donc une moindre résistance à l'invasion : le coût éventuel de la recherche des ressources peut être (bon là je parle en gros) compensé par le bénéfice qu'est pour FjLand d'une absence de résistance armée au moment de l'invasion. Donc ce n'est pas si irrationnel que ça aux vues de la finalité de l'entreprise. C'est immoral, vicieux, je dirais même que c'est un raisonnement d'enculé, mais ce n'est pas irrationnel. What do you think ? -
Le Droit Naturel Existe T-Il ?
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
Je sais très concrètement comment m'y prendre : je fais comme les américains en Irak, je détruis tout et apporte mes compagnies et mes installations pétrolières avec moi. Enfin, plus précisément, je me suis arrangé avant l'invasion avec quelques gros pontes qui ont tout intérêt à exploiter le pétrole du chitahland et sont bien contents de voir un Etat leur prêter main forte pour se l'approprier. C'est du win win : eux paient ma prestation et le matos pour s'installer, moi j'arrange l'invasion. ça ne me coûte pas un rond et c'est tout bénef : les coûts seront endurés par la puissance publique, pas par moi et mes potes (mon salaire de président ne varie pas, et les bénéficiaires de l'invasion me rétribueront au centuple quand je quitterai mes fonctions). Moi, si je réussis mon coup, qui est moins risqué dans mon esprit qu'une opa, qui nécessite aussi moins de compétence en matière éco, je serai rémunéré à vie par le pétrole, on me verra comme un libérateur et j'essayerai de décrocher le prix nobel de la paix, comme Yasser Arafat ou Henry Kissinger. Je crois que tu te trompes sur Lemieux. Même si je comprends que c'est suspect que fj le défende -
Le Droit Naturel Existe T-Il ?
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
En tout cas, je sais comment je ferais : j'alarmerais la communauté internationale sur le caractère sanguinaire du chitahland, en montrant par exemple qu'un tel système anarchique opprime une minorité de personnes (par exemple les porteurs de loden). Je payerais des journalistes et des universitaires pour se répandre dans la presse nationale et internationale pour dénoncer le scandale, et s'il n'existe pas de cas de persécutions réelles de porteurs de loden au chitahland, eh bien j'en créerais de toute pièce en finançant quelques connards pour dynamiter magasins et appartements. Comme ce qui m'intéresse, c'est le pétrole du chitahland, et que ces cons n'ont pris aucune mesure commune pour le défendre, je m'arrange avec d'autres pays limitrophes pour se redistribuer la manne une fois le pays conquis. Comme ça, je me fais des alliés prêts à relayer mes conneries, à les défendre éventuellement à l'onu, et surtout à ne pas intervenir. Je finis par envahir le chitahland pour la gloire des porteurs de loden, la démocratie, la liberté et le salut du monde, j'exproprie les propriétaires des compagnies pétrolières (et les refilent à des potes et à mes complices). Chitahland n'existe plus, ou est devenu un satellite de Freejazzland et tout le monde n'y a vu que du feu. J'ai gagné du pétrole, une rente à vie pour mes enfants qui iront à Harvard et Princeton, et c'est ces cons de citoyens du fjland qui paieront la note. Champagne ! -
Le Droit Naturel Existe T-Il ?
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
Troll trop gros ! -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
Disons qu'il est l'élément indispensable pour constituer et faire vivre le marchandage politique entre politiques, clientèles et groupes d'intérêt. -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
Je pointe ici du doigt un principe d'origine démocratique qui consiste à voir dans l'universalisation du droit de vote un bien en soi. Comment justifier la soumission ? Je suis sûr qu'on peut trouver un autre principe, ça s'invente après tout. Mmmh, non, de nos jours ce n'est plus possible. Je t'arrête tout de suite, spèce de piposophe. Relis mon post. -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
Ah ben le voilà le problème^^ -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
C'est mon opinion. Et c'est aussi pour ça que ce qui me gêne, ce n'est pas que Mamadou (woua le stéréotype raciste) ne puisse pas voter, mais que Julien le préposé des postes, Kévin l'étudiant professionnel, Djo le prof furibard soixante huitard, momo le syndiqué cinglé, Jean Vincent le haut fonctionnaire neurasthénique, Will le freerider amoral et tous leurs zamis puissent avoir un rôle actif dans la fabrication des lois communes et de la redistribution des biens dans ce pays. -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
Si c'est pour avoir des lodenophobes comme toi, non merci. -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
Le plus simple serait de commencer par retirer le droit de vote aux fonctionnaires, ce qui marchait très bien il y a un siècle. Je suis sûr que les débats portant la place de l'Etat dans la vie économique prendrait un tour différent. -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
Chitah : voilà, par exemple. ça serait un bon début. -
Le vote des "zétrangers"
F. mas a répondu à un sujet de Snarol dans Politique, droit et questions de société
Et si on se demandait plutôt à qui devrions-nous retirer le droit de vote ?^^ Une question libérale que personne ne pose jamais (et pour cause, je doute qu'elle ne soit accueilli avec beaucoup de popularité) -
Hollande plus socialiste encore que Sarkozy
F. mas a répondu à un sujet de pankkake dans Politique, droit et questions de société
La westboro Baptist Church : des champions toute catégorie -
Je ne savais pas que Michel Onfray et Caroline Fourest étaient ensemble...je croyais qu'elle était...hum...ahem. Enfin vous savez.
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Les ploucs. De qui on parle ?
