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Tout ce qui a été posté par F. mas
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Si la géopolitique correspondait à cette définition, effectivement, ça en serait une, mais ce n'est pas vraiment le cas.
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ça me rappelle un article lu sur takimag “Who better to tell white liberal lefties to fuck off than a black pope?” http://takimag.com/article/praying_for_a_black_pope_nicholas_farrell/print#axzz2NalcRXKa
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Hollande plus socialiste encore que Sarkozy
F. mas a répondu à un sujet de pankkake dans Politique, droit et questions de société
Sans les Français, les Américains non plus -
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Tous les articles de Leon Hadar sont bons à lire.
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Gentleman contemporain - comment s'habiller avec classe
F. mas a répondu à un sujet de Librekom dans Sports et loisirs
Malheureux ! Tu vas réveiller Lucilio. -
J'ai précisé que j'ai aussi le chapeau qui va avec ?
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Merci beaucoup.
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Certains sont vraiment prêts à vendre leur âme pour un plat de lentilles. Heureusement, il n'est pas encore interdit aux musulmans d'avoir la classe absolue, de susciter l'admiration et l'envie de tous ceux qui vivent chaque jour dans l'espoir d'être aussi distingués que les heureux possesseurs de loden.
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'tain réglez ces problèmes de nourriture à mains nues, comme à Sparte, merde.
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Merci Bon ben en passant par Paris ou Lille pour retourner en Belgique, il faudra qu'on se boive des bières. En tout bien tout honneur, je suis un homme marié.
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Mouif, sur Machiavel, mieux vaut lire Strauss, Pocock et Lefort que machine, là. Je me garderais de jauger de la superficialité du personnage au regard de son influence postérieure en théorie comme en pratique politique, tout comme du dialogue qu'il entretient avec Cicéron. Enfin bon, l'un des trucs de Revel, c'était aussi de s'attaquer frontalement aux classiques histoire de réveiller un peu les esprits pour qu'ils philosophent un peu, ce qui n'est sans doute pas une mauvaise chose.
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Sur Hayek, la démocratie et la dictature, il y a plusieurs remarques à faire. D'abord, parler de dictature libérale est tout aussi problématique que de parler de démocratie libérale, parce que les deux régimes sont des compromis entre plusieurs conceptions du bien ou théories de la justice, pas nécessairement compatibles entre elles. Hayek défend (mollement) la démocratie comme système politique parce qu'elle permet de pacifier la compétition politique, même s'il estime qu'elle est plus ou moins un échec dans le dernier tome de DLL. La démocratie est un moyen, et non une fin en soi pour Freddy, qui tend à se dégrader en marchandage mesquin entre politiciens et électeurs, entre groupes d'intérêts et coalitions jusqu'à détruire la propriété établie et le droit privé qui la soutient. Il ne faut pas oublier que Hayek (tout comme Mises) constitue l'une des sources d'inspiration de l'école du Public Choice et de l'école de Virginie, qui abandonnera par la suite la distinction verbale hayékienne entre la "bonne" démocratie idéelle et la "mauvaise" réelle. Il est même possible de dire, après de Jouvenel et de Jasay surtout, que la démocratie "libérale" n'est qu'un stade de développement dans la logique démocratique, qui se dirige nécessairement vers la démocratie sociale et pire encore. En effet, à partir du moment ou la condition de l'élection politique porte sur le rassemblement de coalitions majoritaires, l'incitation à transférer la propriété des relativement plus riches (les moins nombreux) vers les relativement moins riches (les plus nombreux) afin d'acheter les votes s'impose naturellement. Cette incitation n'apparaît qu'à un moment particulier du devenir historique de l'Etat, celui de la professionnalisation de la classe politique et de la disparition des entraves morales et sociales (communautés organiques, décence commune, etc.) qui modèrent les appétits des uns et des autres. Hayek a à mon avis dans le rétroviseur le livre de J Talmon sur la démocratie totalitaire, qui explique qu'à l'origine des institutions politiques, il y a une idéologie égalitaire dont le versant le moins libéral est aussi celui qui a donné les régimes les plus oppressifs du 20e siècle. Donc, quand il explique qu'à titre exceptionnel, une dictature transitoire est moins pénible qu'une démocratie illibérale, non seulement ce n'est pas choquant, mais c'est tout à fait acceptable et modéré me semble-t-il comme propos. Ça choque parce que c'est sortie de son contexte, et aussi parce que la connotation positive attachée au terme démocratie nous aveugle un peu. Maintenant, au regard de ces quelques remarques, il me semble qu'on peut se demander, avec de Jouvenel, de Jasay et Hoppe (éclairs dans le ciel, coups de tonnerre et roulements de tambours) si la conjonction du libre accès aux charges publiques et la création du consentement démocratiques n'ont pas plus participer à l'effacement de la justice et de la propriété que ces dictatures un peu baroques qui après tout ne pouvaient étendre leurs pouvoirs qu'au prix d'une répression qui mettaient constamment en danger leur légitimité et leur autorité. D'un point de vue pragmatique, certains diront cynique, il vaut mieux jouer la carte de la démocratie populaire quand on est dictateur que celle du pronunciamiento anticommuniste pour se remplir les poches. Se faire marcher sur la gueule au nom de "la volonté populaire" ou au nom du "consentement aux institutions" semble beaucoup plus accepté et acceptable qu'au nom de la lutte contre le terrorisme ou le communisme international. En tout cas, ça permet une atteinte aux biens et aux personnes beaucoup plus plus profonde, et offre aux dirigeants un confort inespéré pour perpétrer leurs exactions.
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J'espère qu'il va remettre la tiare.
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Je trouve Craig et Connery plutôt bons dans le genre distingués mais virils, voire un tantinet réacs (ha Bond et les beatles...). Et George Lazenby n'est peut être pas le JB du siècle, mais il se marie avec Diana Rigg, merdalors !
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Ils n'ont qu'à s'occuper de ce qui n'excède pas leurs compétences, ceux-là : constater qu'il y a de la neige sur les routes.
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Nan mais l'aut', hé. Genre la bande de rigolos Brosnan, Dalton et Moore a de la "classe et de la distinction". Et y m'donne des leçons. Ceci étant dit, T. Dalton en vieillissant est devenu un acteur beaucoup plus potable.
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Pfff-reuh. C'est le meilleur depuis bien longtemps. Bien meilleur que ces coiffeurs pour dames qu'étaient Pierce Brosnan, Timothy Dalton et Roger Moore.
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ça doit être une référence à l'empereur Constantin et à Eusèbe de Césarée.
