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Lancelot

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Tout ce qui a été posté par Lancelot

  1. Le socialisme c'est la dédramatisation de l'utilisation de la violence en prenant pour prétexte la recherche d'un bonheur fantasmé. Tant la violence que les organisations utopiques "parfaites" peuvent exercer un attrait (esthétique) certain.
  2. Vivement que cette mascarade tombe d'elle même en désuétude.
  3. Il faut bien avouer que les films Harry Potter sont des daubes immondes. Je suis allé voir le premier confiant, on m'a trainé aux second et quatrième, on ne m'y reprendra pas. Jamais.
  4. Encore des enfants utilisés pour de la propagande…
  5. Lancelot

    Samouraï vs. chevalier

    Katana contre rapière c'est encore un autre débat. L'expert indiqué plus haut par Jesrad en parle aussi.
  6. Lancelot

    Jeux vidéo

    Que des non pour le coup.
  7. Lancelot

    Jeux vidéo

    Ils ont l'excuse d'être en beta, mais tout de même… Tiens, juste pour rigoler, imaginons que mes parents soient tombés sur ce site quand j'avais dans les 12 ans : Comment repérer l'excès ? Comme beaucoup de parents, vous vous demandez si le comportement de votre enfant face aux jeux vidéo est « normal ». Sept questions clefs élaborées par le psychologue américain Mark Griffith peuvent vous servir de repères pour évaluer la situation : 1. Votre enfant joue-t-il presque tous les jours? Oui. 2. Votre enfant joue-t-il longtemps sans s'arrêter (3 à 4h de suite)? Oui. 3. Votre enfant joue-t-il pour «l'excitation»? Je ne sais pas, ça veut dire quoi ? Disons non. 4. Votre enfant est-il agité et irritable quand il ne peut pas jouer? Si on l'empêche de faire ce qu'il veut sans raison valable, oui il est irritable. 5. Votre enfant a-t-il abandonné ses relations sociales ou ses activités sportives au profit des jeux vidéo? Si ça veut dire qu'il reste à la maison pour jouer au lieu de sortir, oui. 6. Votre enfant joue-t-il au lieu de faire ses devoirs? Oui (les devoirs au collège étant ce qu'ils sont…). 7. Votre enfant essaye-t-il d'arrêter de jouer sans y parvenir? Certainement pas. Quatre réponses positives doivent attirer votre attention.
  8. Lancelot

    Jeux vidéo

    Où s'arrêteront-ils ?
  9. Si il y a vraiment des gens qui laissent leurs gamins avoir des coupes de cheveux pareilles… l'humanité ne mérite pas d'être sauvée.
  10. C'est un festival… "Tous les enfant sont interchangeables et réagissent pareil, et puis tous les châtiments corporels se valent aussi, d'une tape sur la fesse une fois de temps en temps à une mandale dans la gueule trois fois par jour." "Tous les autres le font et il ne faudrait pas avoir l'air ringard devant les copains." "Je suis une pédiatre alors je suis automatiquement spécialiste de tout ce qui concerne les enfant même si ça n'a rien à voir avec la médecine, je connais donc mieux tes gosses que toi et je sais mieux que toi comment s'en occuper." "Et puis estime-toi heureux parce si je me fâche (tout rouge) je peux faire pire." "On va les rééduquer ces crétins de parents qui ne savent même pas ce qui est bien pour eux. Le bourrage de crâne ils ne comprennent que ça."
  11. Utiliser un enfant pour faire de la propagande
  12. Je suis toujours parti du principe qu'on peut dire tout ce qu'on veut à condition que ça soit bien dit. En y mettant les formes (c'est à dire sans fanatisme ou agressivité) rien n'empêche de citer qui on veut, au contraire ça sera pris pour ce que c'est : du travail supplémentaire personnel.
  13. D'après ce sondage, environ 30% ne lisent pas, il y a 34% de "petits lecteurs" (entre 1 et 5 livres par an), 25% de "lecteurs moyens" (entre 6 et 20 livres) et 10% de "grands lecteurs" (plus de 20 livres), sachant que seulement 3% ont donné la réponse maximale "plus de 50 livres". Au niveau de l'évolution dans le temps, on constate que le taux de non lecteurs reste assez stable et que les petits lecteurs augmentent au détriment des moyens. Par contre rien n'est précisé concernant les BD alors que les "livres scolaires ou universitaires" ne sont pas comptés, ce qui est un scandale.
  14. Les cartes, saycoule.
  15. Je me souviens d'une séquence de reportage animalier qui était passée au zapping il y a un moment et qui montrait justement des chauves souris en situation compromettante.
  16. Dans ces deux cas il y a bien deux fonctions : d'une part l'enseignement du maniement du fusil qui n'est pas connoté puisqu'il reste le même quel que soit l'école et d'autre part l'enseignement moral correspondant (qui est d'ailleurs indépendant du fait de savoir effectivement se servir d'un fusil ou pas). L'usage dépend de ces deux facteurs.
  17. Bon, je crois qu'à ce stade nous sommes d'accord sur l'essentiel (séparation science/éthique dans l'absolu). Pour ce qui est des modalités d'application dans l'enseignement je ne suis pas sûr de moi donc j'en reste là. Indice : dans un cas je fais une observation, dans l'autre j'émets un jugement. Soit, tout dépend de ce qu'on appelle normal j'imagine. Le Droit est une composante de l'éthique, l'adaptation au milieu social en est une autre.
  18. Et rien, je constate. Par exemple refuser d'enseigner des résultats parce qu'ils pourraient être "mal utilisés", ou les enseigner de telle manière que l'étudiant en soit dégoûté par exemple. Attention : je ne dis pas que ça se fait mais que c'est un risque qu'on prend en mélangeant les deux choses. Les implications ça aurait plus sa place dans un cours d'histoire de la science ou d'éthique. En fait je réalise que nous parlons de lycéens et que leur programme ne peut pas être chamboulé comme ça. Dans cette situation peut être vaut-il mieux effectivement que les profs de science s'en occupent.
  19. Si ce monsieur ne cautionne pas ces pratiques je ne viendrai pas le lui reprocher, mais je considère qu'il est assez mal placé pour les enseigner si il n'est pas capable de le faire en épargnant aux élèves des débats qui sont sans doutes essentiels à l'application des principes mais qui ne concernent pas leurs compréhension. Je trouve préférable à titre personnel un cours d'éthique dispensé de manière parallèle. Oui, oui. Pas très élaboré mais scientifique. En mode non scientifique ça donne : pour ne pas saisir instinctivement la signification de l'éthique il faudrait être un handicapé moral. Je veux dire que toute personne normale a cette inhibition et que ceux qui placent la science au dessus de la liberté d'autrui ne l'ont pas. Maintenant, j'ai pris un exemple extrême mais l'éthique ne se confond pas non plus forcément avec le Droit. Tout dépend. Chacun fait ce qu'il veut dans la limite du Droit, et en assume les conséquences.
  20. Chaque personne aborde (et enseigne) la science comme elle l'entend, reste qu'il n'y a qu'une seule méthode scientifique et que le contenu du cours restera donc fondamentalement le même. Les professeurs de science ne sont pas des robots mais ils ne doivent pas non plus se mettre à jouer les moralistes au détriment de leur matière. Il s'agit d'une inhibition qui fait que l'être humain normal répugne à commettre certains actes, pour aborder la question scientifiquement. Par exemple l'étude du cerveau ferait certainement de grands progrès si on prenait des personnes et qu'on leur tripatouillait dans le crâne pour voir ce que ça donne sans leur demander leur avis et sans soucis de les rendre dans le même état qu'on les a récupéré. Pourtant, on ne le fait pas parce que l'éthique a son mot à dire là dessus.
  21. J'admets que la formule a dépassé ma pensée, je voulais simplement dire que les cours scientifiques n'ont normalement pas à être modifiés en fonction de l'orientation éthique de l'école qui les enseigne. Des cours séparés d'éthique rempliraient bien mieux l'objectif visé, qui est de former des vrais scientifiques avec de vrais principes éthiques. C'est d'ailleurs peut être déjà ce qui se passe mais "situer les connaissances sous un angle éthique" m'a paru sujet à caution.
  22. Allons bon, j'ai pourtant pris soin de préciser que l'éthique a légitimement son mot à dire sur la science. Il n'en reste pas moins qu'il s'agit de deux domaines séparés et que les principes de la science restent les mêmes qu'elle soit pratiquée par des personnes qui respectent l'éthique ou pas, et vice versa.
  23. L'éthique peut étudier la science, la science peut étudier l'éthique, mais on ne peut pas faire de la science éthiquement ou de l'éthique scientifiquement.
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