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Domi

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Tout ce qui a été posté par Domi

  1. Domi

    Flims du moment

    C'était trés léger, en effet. Pour revenir à un sujet sérieux, je pense que le politiquement correct progressiste a un peu grippé la mécanique qui fonctionnait si bien dans le premier OSS. Le contraste "héros qui combat les méchants" et "brute sans scrupules" y fonctionnait trés bien comme lorqu'il mettait un énorme coup de poing à la OSS 117 girl. De même, les réflexions racistes ou colonialistes du premier OSS donnaient le plus souvent lieu à un silence de leurs victimes, lesquels ont été remplacés par de longues leçons de morales dans le second opus. Un exemple : OSS va au consulat allemand où il pourrait trouver des associations d'anciens nazis. La réponse de l'employé : " tous les allemands ne sont pas des nazis, etc." la question de OSS est très drôle mais la réponse est un peu bof. En voyant cet extrait (sans la réponse dans la bande annonce ), j'avais cru à la mine de l'interlocuteur d'OSS qu'il s'agissait d'un complice d'ancien nazi qui était stupéfait par le caractère direct de la question d'OSS. C'est une situation qui m'aurait fait rire davantage. Cela dit, je me suis quand même bien amusé globalement et certains gags ( le tour de magie de la première scène) ou dialogues ( "je l'appelle la France !") étaient excellents. Je finirai par une note plus Gadrellienne en vous proposant une liste de films sortis ces derniers mois qui m'ont particulièrement plu : De Clint eastwood, deux films : Gran Torino et l'échange. de woody allen "Vicky Christina Barcelona" two lovers. sorti il y a assez longtemps "bon baiser de bruges" m'a ravi. Dernièrement, je peux conseiller "dans la brume électrique" de Bertrand tavernier. français : "pour elle" avec Vincent Lindon est un film d'action et de suspense trés réussi. Welcome, toujours à l'affiche et avec le même acteur était lui aussi trés bien. le premier Mesrine était trés bien fait, la suite étant moins forte. Enfin, sur une plus longue durée, si je devais distinguer trois films ces dernières années, ce serait : Lust caution, There will be blood, Le voile des illusions. Le premier et le dernier se déroulent en chine et sont émouvants et tragiques.
  2. Domi

    Flims du moment

    J'avais adoré " le Caire nid d'espion" mais ai été déçu par "Rio ne répond plus".
  3. Raisonnement trés convaincant.
  4. Neutre ! C'est le mot que je cherchais. Brave Parisien
  5. Déjà c'est pas crédible. Les Français n'ont pas d'accent. Ce sont les étrangers qui en ont ( par exemple les belges).
  6. Oui à partir du site pensée unique. le sujet relatif à Linzden est 2ème ligne, 3ème colonne.
  7. Domi

    Crise et analyses libérales

    Voici qui devrait faire votre affaire : http://www.objectifliberte.fr/
  8. Dans ce cas, je pourrais trouver des réponses équivalentes dans "idéologie" et "contrats et financements" (et encore, voir le post de Lucilio). Pour le reste, les facteurs les plus forts pèsent en faveur de l'alarmisme. C'est trés simple, on voit mal les climatologues voter pour se faire virer ! Le but n'est pas de dénoncer ou de juger mais de donner une explication à une possible erreur massive des scientifiques dans un débat où je n'ai pas d'avis définitif, même si je penche pour le scepticisme.
  9. Une autre question peu abordée : pourquoi les scientifiques ne diraient pas la vérité ? Il y a une série de raisons relevant d'initiatives du monde scientifique, alors que d'autres relèvent d'initiatives externes. Raisons relevant d'une initiative des scientifiques. Les scientifiques peuvent soutenir une thèse par intérêt ou par idéologie. Intérêt. Trois séries de motivations humaines me paraissent essentielles dans l'affaire du RC : recherche d'argent, recherche d'influence et de pouvoir, recherche de reconnaissance. Pour les deux premières catégories, en assurant la promotion du réchauffement climatique, les climatologues attirent de l'argent vers leur secteur d'activité et lui donne également plus d'influence et de pouvoir sur l'évolution des sociétés. Il est vrai cependant que ce regain d'argent et d'influence peut correspondre à l'entrée d'un plus grand nombre de personnes dans le domaine de la climatologie, si bien que l'argent et l'influence accrue étant divisée en un plus grand nombre de membres, il y ait finalement peu de profit à titre individuel. Néanmoins, on peut raisonnablement penser que les personnes qui auront su soutenir précocément une théorie en vogue auront d'autant plus d'influence dans le monde de la climatologie ( et les revenus correspondants). Enfin, la reconnaissance de l'utilité du travail des climatologues par le public dépend de la croyance de celui-ci en leur capacité à prévoir des catastrophes et à donner les directives nécessaires pour les empêcher. Ces trois raisons sont trés fortes pour soutenir au départ l'hypothèse d'un réchauffement climatique d'origine humaine. Elles sont encore plus fortes pour défendre cette idée lorsque nombre d'emplois récents en dépend. Il n'est pas nécessaire de supposer que les scientifiques qui soutiennent l'origine humaine du réchauffement sont des menteurs. Il est plausible qu'ils sont conduits à préférer entre deux hypothèses, celle qui correspond à leurs intérêts comme il en est probablement ainsi de nombreuses catégories socio-professionnelles. Idéologie Les scientifiques peuvent intégrer le monde de la climatologie en espérant y recevoir la confirmation de leurs options politiques et notamment l'écologie selon laquelle l'activité industrielle est globalement nuisible. Raisons relevant d'initiatives extérieures au monde scientifique. Les contrats et financements. Des organisations privées ou publiques peuvent désirer commander des travaux allant plutôt dans le sens de tels ou tels résultats. Cela aura une influence sur les scientifiques malhonnêtes ou peu scrupuleux qui soutiendrons une thèse fausse pour arrondir leurs revenus. Il y a plus radical que la "carotte" décrite ci-dessus, c'est le "bâton" qui consiste à couper tout crédit de recherche à un scientifique qui ne soutient pas une thèse donnée. Cette menace qui peut avoir de l'influence même sur un scientifique relativement honnête est plutôt à l'initiative des gouvernements. Les médias et l'opinion. Eux aussi procédent selon le mécanisme de la carotte et du bâton. Ils assurent la gloire de ceux qui vont dans le sens de la mode, alors que les contestataires seront ostracisés. Ce mecanisme est proche de la recherche de reconnaissance décrite plus haut à la différence près que les scientifiques tiennent compte d'un biais dans les médias et l'opinion au lieu de l'introduire.
  10. En ce qui concerne les données montrant une relation entre température terrestre et activité solaire, je n'ai pas l'impression qu'elles montrent une relation de la température avec le minimum et le maximum de chaque cycle, mais avec la tendance globale du cycle. Par ailleurs existe une théorie selon laquelle la température suivrait des cycles de 64 ans ( 32 ans de montée et 32 ans de descente ). Cela correspondrait à la période actuelle : - 1911 - 1943 : montée des températures, - 1943 - 1975 : descente, - 1975 - 2007 : montée, - 2007 - 2039 : descente ???
  11. voici un lien vers un article de Richard Lindzen : http://www.pensee-unique.fr/LindzenVF1.pdf Lindzen est probablement le climatologue sceptique le plus renommé. Il aurait notamment convaincu Claude Allègre. Dans cet article de 34 pages Linzden énonce les problèmes auxquels sont confrontés les sciences climatiques actuellement. Son article se subdivise en 5 parties : 1. Dans la première partie Lindzen montre que le financement des sciences est devenu une question de plus en plus importante. Le financement des sciences est en outre basé davantage sur des peurs que sur un sentiment de gratitude à l'égard des scientifiques. 2. Cette deuxième partie décrit les stratégies d'entrisme de la part de certains "Khmers verts" dans les organismes scientifiques. Lindzen cite de nombreux exemples de personnalités bien placés dans les grandes organisations scientifiques, capables d'influencer leur communication sans que leur poste puisse se justifier par les progrès qu'ils auraient fait accomplir aux sciences climatiques. Lindzen cite : - Anthony soccy principal porte-parole de la société de météorologie américaine et ancien employé d'Al gore, - Firor, directeur administratif du centre national américain de recherche sur l'atmosphère, ancien président de l'association environnemental defense de 75 à 80. - Robert Napier, président du conseil d’administration de l'office météorologique britannique, qui était auparavant le directeur exécutif de la section britannique du WWF - Bill Hare, un avocat et directeur de campagne pour Greenpeace, s’exprime fréquemment en tant que représentant « scientifique » de l’institut Potsdam, le plus important centre de recherche allemand sur le réchauffement climatique - john holdren, lui aussi président d'une association environnementaliste a été le porte-parole de l'admninistration Clinton-Gore sur le réchauffement climatique, - Oppenheimer un autre environnementaliste, a été auteur principal du Giec et professeur à Princeton, malgré une faible contribution aux sciences du climat. Pour dire que ces personnes avaient des compétences limitées en matière climatique, nous n'avons après tout que l'opinion de Lindzen. Après tout ne peut-on être un trés grand scientifique et engagé dans les questions de société ? Le problème est qu'ici les responsabilités dans les mouvements environnementaux précédent aussi régulièrement les postes à la hiérarchie des organisations scientifiques. Un peu comme si des présidents d'association ou de partis libéraux devenaient fréquemment professeurs d'économie dans les meilleures universités. Dans le sens inverse, ce serait moins choquant. Lindzen évoque enfin l'académie de sciences américaines où figurent des activistes écologistes recrutés par une procédure particulière : - Ralph cicérone, président de l'académie des sciences américaines, - susan salomon, James hansen ( sans doute le plus célèbre des alarmistes qui travaille pour la nasa), - John Holdren déjà cité plus haut, - Paul Ehrlich, , stephan schneider, originaires de l'université de Stanford en californie, ( tout comme Kennedy ancien directeur de la revue science) Concernant les deux derniers cités, il est intéressant de noter les prédictions qu'ils faisaient concernant le refroidissement climatique dans les années 70 ainsi que michel oppenheimer que j'ai cité précedemment. Voir ici : http://www.pensee-unique.fr/betisier.html On voit donc que des scientifiques qui ont pu dire absolument n'importe quoi dans le passé comme Ehrlich sont maintenant membres de l'académie des sciences américaines où ils peuvent exercer leur influence. lindzen cite aussi d'autres méthodes utilisées par les médias ou les associations écologistes pour influencer les scientifiques. 3. Troisième partie : la science au service de la politique. Comment les connaissances où les faits doivent évoluer pour soutenir la thèse du réchauffement global : - climat de l'éocène, il y a 50 millions d'année, - climat du dernier maximum glaciaire, il y a 18,000 ans, - climat des 1000 dernières années, ( courbe en forme de crosse de Hockey), - climat des années 40/70 et suppression de l'épisode de refroidissement global ( qui avait fait craindre à certains une nouvelle ère glaciaire.) - signature du réchauffement dans l'atmosphère, ( changement de méthode de mesure pour les températures ) - la mesure du consensus. 4. quatrième partie : elle concerne les pressions exercées contre les scientifiques réfractaires et les méthodes utilisées pour qu'ils ne puissent s'exprimer. 5 cinquième partie : les dangers pour la science et la société. -
  12. Domi

    Qui a dit ?

    C'était juste un clin d'oeil à Gadrel et à ses idées anarcaps …
  13. Domi

    Qui a dit ?

    Est-ce qu'avant d'utiliser ton clavier pour avancer une telle affirmation tu as réflechi qu'elle risquait de saper les fondements mêmes de nos sociétés démocratiques ?
  14. Pour éviter toute confusion : vos liens concernent l'hémisphère sud et nord et non les pôles spécifiquement. Concernant sky fall : on ne peut attribuer une conclusion à l'article dont le titre se contente de poser une question ( même si la réponse peut sembler implicite). C Concernant les blogueurs, leur réponse est clairement non. Et je suis de leur avis : le réchauffement actuel n'est pas plus rapide que celui des années 20 ou 30. En revanche, il est vrai que l'arctique n'a jamais été aussi chaud depuis qu'on en mesure la température. Ca dépend donc de ce qu'on entend par réchauffement sans précédent.
  15. Il y a eu plusieurs articles parus dans Science et Nature qui ont remis en cause récemment l'idée que le réchauffement des régions polaires pouvait être attribué à l'émission de GES : http://www.pensee-unique.fr/oceans.html ( voir l'ajout du 4 octobre 2008). C'est peut-être une forme de réponse à ces articles. Ensuite, le réchauffement de l'antarctique ne me parait pas évident ( tout dépend probablement de la période de référence). On montre souvent l'évolution des volumes de glace, mais plus rarement celle des températures en arctique. Voici un lien vers skyfal à ce sujet concernant l'arctique : ( le lien montre en effet une hausse. L'arctique se réchauffait lentement quand la terre se réchauffait vite. Il a accéléré son réchauffement alors que la terre ne se réchauffe plus. Le réchauffement des trente dernière années est comprable à celui de 1915 - 1945) http://skyfal.free.fr/?p=275 Enfin, sur la dernière décennie, la planète dans son ensemble ne s'est pas réchauffée. Ce résultat global contredis partiellement l'idée que les GES puissent réchauffer le climat et leur rôle dans les régions polaire en particulier.
  16. Domi

    Armageddon économique ?

    Je vous informe que à compter de ce soir à 22 : 05, vous êtes autenthifié libéral
  17. Domi

    Armageddon économique ?

    Apparemment, il y a eu une baisse des transactions en volume dans l'immobilier, ce qui précède toujours une baisse des prix. Source xavdr, lors d'une conversation Impromptue ( mais je ne sais plus si cela concernait la région parisienne ou l'ensemble de la France).
  18. Domi

    Armageddon économique ?

    En premier lieu, il faut remettre ce que j'ai dit dans le cadre d'un réponse à Vincponcet qui affirmait que les financiers étaient les grands gagnants de l'étatisme. Je suis par ailleurs d'accord avec ce que tu dis. Je reste favorable à un état minimal avec éventuellement une forme de redistribution minimale en matière de santé. Les gens peuvent recevoir une somme d'argent en fonction de leurs revenus et de leurs risques pour être en mesure de s'assurer. Ils peuvent ne pas le faire. Dans le cas contraire et s'ils sont malades l'état intervient pour qu'ils soient soignés mais leur demande de rembourser ensuite. A ton troisième paragraphe : je ne crois pas que l'idée de redistribution puisse répondre à la notion d'utilité d'un individu pour la société, notion qui impliquerait, si on la poussait jusqu'au bout de laisser mourir de faim ceux qui ne sont pas aptes au travail : les jeunes enfants, les vieillards, certains handicapés. Je ne parle pas seulement ici de redistribution par l'état.
  19. Domi

    Armageddon économique ?

    Tout d'abord, je suis trés réticent à adopter une attitude poujadiste anti-fonctionnaire basée sur l'école du public choice en affirmant que les justifications données à la construction étatique ne sont qu'un leurre. Il existe une réelle demande de la population, mal informée sans doute en vue de l'assistance des tiers. Cela n'empêche pas les humains d'être égoïste et de faire peu de choses pour leurs semblables, mais dans les relations entre les tiers, quand cela ne leur coute rien, ils tiennent à ce qu'ils estiment être juste ( et qui ne l'est pas toujours). Donc l'état providence répond non pas seulement à des lobbyes de fonctionnaires mais aussi à une demande liée à la sensibilité publique. En réalité, les deux effets se conjuguent, plus ou moins fortement selon les cas. Pour ce qui est de l'effet de la redistribution, il faut tenir compte de son impact négatif sur la croissance et donc sur l'évolution du salaire réel et également sur la désincitation à travailler. Si j'annule ces effets, elle fournit mécaniquement un revenu complémentaire à celui qui en bénéficie et il est sans doute important. Cela dit je vais en partie abonder dans ton sens à partir du raisonnement suivant : Pour bien prendre en compte l'ensemble des éléments, il faudrait calculer un ratio d'efficacité redistributive au regard d'une population donnée. On diviserait le solde que fait recevoir ce ratio par la charge fiscale sur l'ensemble de la population. Considérons les 20 % les plus pauvres pour fixer ce ratio. Un impôt qui serait payé uniquement par les 80 % les plus riches et dont le produit irait uniquement dans la poche des 20 % les plus pauvres aurait une efficacité redistributive de 100 %. En revanche, un impôt proportionnel sur le revenu, auquel tout le monde serait soumis et qui donnerait lieu à un versement universel égal pour tous aurait un taux d'éfficacité redistributive bien moindre vis à vis des 20 % les plus pauvres. En france les contributions obligatoires représentent 45 % du PIB. La richesse créée par habitant étant de 30.000 euros si tout cela était redistribué aux 20 % les plus pauvres, ils toucheraient en gros 67.500 euros par pauvre ( = 30.000 x 0,45 x 5) en plus de leurs revenus gagnés sur un marché. On peut en déduire que l'éfficacité redistributive est assez faible en france… En ce qui concerne l'évolution des revenus tirés de la finance/ revenu tiré de l'ensemble dans l'ensemble de la société, il faut se demander dans un premier temps quelle a été l'évolution par individu ( car dans le même temps il y a sans doute beaucoup plus de monde qui travaille dans le secteur financier) et dans un second temps rappeler qu'une telle évolution n'est pas nécessairement libéralement incorrecte ( les revenus des footballeurs suivraient sans doute la même évolution. En quoi est-ce criticable ?) Maintenant pour savoir ce qui compense quoi. Je ne sais pas. le financier va avoir des revenus deux fois plus gros du fait des politiques de crédit facile mais en même temps, ces revenus seront taxés de moitié. Note qd même que le niveau des dépenses publiques même si l'on ne pense pas qu'il favorise les pauvres, ne favorise pas non plus les financiers. Enfin, je pense que pas mal de monde est rebutté par ton approche de l'économie qui ne consiste pas à expliquer les conséquences des différentes options mais à désigner des coupables. Approche binaire qui ne sera jamais totalement comprise et qui ne devrait être qu'un moyen d'explication complémentaire et non le coeur du discours à mon avis.
  20. Domi

    Armageddon économique ?

    En contrepartie, ceux que tu dénonces sont davantage imposés sur leurs revenus et une partie des pauvres reçoit des sommes ainsi redistribuées par l'état.
  21. Domi

    Supa Playlist!

    Rien de nouveau sous le soleil apparemment …
  22. La baisse de la couverture arctique commence un peu en même temps que le réchauffement global, soit. Cependant le lien de causalité n'est pas si simple que cela car les températures de l'arctique, elles, ont commencé à augmenter depuis moins longtemps, quoi qu'à un rythme rapide. Bref, le lien température globale et baisse de l'extension des glaces dans l'arctique n'est pas si simple que cela. De la même manière le réchauffement de l'entre deux guerres n'a visiblement pas eu de conséquences sur l'extension de l'arctique, pourquoi alors que son rythme n'était pas éloigné du réchauffement actuel ?
  23. Domi

    Qui a dit ?

    Ca me fait penser à Victor Hugo, surtout pour les deux formules : "pouvoir gigantesque mis en mouvement par des nains" et "rideau pesant placé entre le bien à faire et celui qui pourrait l'ordonner" Mais bureaucratie était-il employé à son époque ?
  24. Ah, tant mieux, les inégalités de richesses se sont donc réduites depuis un siècle …
  25. Et au total, c'est qui ? Enfin, comment peut-on établir qu'il a eu la plus grosse fortune de tous les temps, la valeur de la monnaie n'étant pas la même entre différentes époques ?
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