Adrian Posté 1 janvier 2023 Signaler Posté 1 janvier 2023 Arte propose des représentations de musique classique filmées : https://www.arte.tv/fr/arte-concert/musiques-classiques/ 2
Rincevent Posté 17 février 2023 Signaler Posté 17 février 2023 Peut-être pas le bon fil, mais dans tous les cas, dédicace à @PABerryer : 2
Adrian Posté 1 mars 2023 Signaler Posté 1 mars 2023 Le Chevalier de Saint-George, un musicien noir virtuose à la cour de Marie-Antoinette Avec des extraits de son oeuvre.
Lameador Posté 1 mars 2023 Signaler Posté 1 mars 2023 6 minutes ago, Adrian said: Le Chevalier de Saint-George, un musicien noir virtuose à la cour de Marie-Antoinette Avec des extraits de son oeuvre. Et duelliste hors pair.
Adrian Posté 11 juillet 2023 Signaler Posté 11 juillet 2023 Le rêve des professeurs de musique de collège !
Rincevent Posté 13 août 2023 Signaler Posté 13 août 2023 Depuis quelques mois, un type sur YT (probablement un Italien) poste de la musique de l'ère plus ou moins baroque et de l'aire plus ou moins germanique. Il en poste beaucoup, je veux dire par là vraiment beaucoup, tous les jours, et une quantité telle que la durée cumulée du contenu de sa chaîne dépasse probablement la durée d'existence de sa chaîne (et sans utiliser la fonctionnalité "Live", ce serait évidemment tricher). Je vous laisse écouter ça... https://www.youtube.com/@germanbaroquemusic
Riffraff Posté 15 janvier 2024 Signaler Posté 15 janvier 2024 Le groupe (2 personnes) a déjà au moins une paire d'années mais je viens de le découvrir et je suis sous le choc. Pour moi c'est la découverte de la décennie. Talent, virtuosité, nouveauté... Domy & JD Beck Domi fait souvent la ligne de basse sur le clavier supérieur ou avec un clavier pour les pieds... Le batteur est fou, sa main gauche sortie de nulle part... Ils tournent en ce moment en Asie du sud-est pour ceux qui y sont, pas de date en France pour cette année. Et je profite de l'occasion pour encourager un petit chouchou bien énervé lui aussi : Louis Cole 1
Domi Posté 8 février Signaler Posté 8 février J'aime beaucoup la voix de Paul Derenne (ici chantant des mélodies de Fauré) :
Freezbee Posté 17 février Signaler Posté 17 février Une interprétation des Planètes assez fringante : 1
Adrian Posté 24 février Signaler Posté 24 février Citation Bamboula est une œuvre fascinante composée en 1848 par Louis Moreau Gottschalk, alors qu’il se remettait d’une fièvre typhoïde à Clermont-sur-l’Oise, en France. Cette pièce pour piano, la première de ses quatre « pièces créoles louisianaises », est un mélange vibrant de traditions classiques européennes et d’influences africaines et créoles que Gottschalk a puisées dans son enfance à La Nouvelle-Orléans. Le titre Bamboula fait référence à une danse vigoureuse d’origine africaine, accompagnée de rythmes de tambour, issue des traditions du Congo et importée dans les Amériques par la traite des esclaves, notamment via Haïti. À La Nouvelle-Orléans, où Gottschalk est né en 1829, ces rythmes faisaient partie intégrante du paysage culturel, notamment à Congo Square, où les esclaves se réunissaient pour jouer de la musique et danser. Gottschalk a probablement été exposé à ces sonorités dès son jeune âge, peut-être par sa nourrice afro-américaine Sally, qui lui chantait des chansons créoles haïtiennes, ou simplement par l’atmosphère musicale bouillonnante de la ville. Sur le plan musical, Bamboula repose sur deux mélodies créoles : Musieu Bainjo et Quan’ patate la cuite. Ces airs sont intégrés dans une structure de fantaisie, un format que Gottschalk affectionnait pour ses contrastes dramatiques et son potentiel virtuose. La pièce s’ouvre sur un rythme syncopé saisissant, imitant le motif du tambour bamboula – persistant, presque hypnotique. Ce socle rythmique est enrichi de traits rapides, d’accords audacieux et de variations mélodiques ludiques, révélant le talent de pianiste de Gottschalk et son goût pour le spectaculaire. La syncope et les accents décalés lui confèrent une énergie dansante qui semble annoncer le ragtime et le jazz, encore à venir. Mais Bamboula n’est pas qu’une démonstration technique. C’est aussi un instantané culturel. Gottschalk, créole par sa mère d’ascendance française et haïtienne, utilise cette pièce pour tisser un pont entre deux mondes : les salles de concert européennes et les rues caraïbes. Sous-titrée Danse des nègres, elle fit sensation lors de sa création en 1849 à la Salle Pleyel, à Paris. À une époque où la musique « sérieuse » était dominée par les traditions germaniques austères, l’adoption par Gottschalk de rythmes et mélodies « exotiques » détonnait. Certains y virent une révolution, d’autres une frivolité. Structurellement, Bamboula ne suit pas une forme classique rigide comme le schéma sonate-allegro. Elle se déploie de manière épisodique, alternant passages rythmiques intenses et moments lyriques. La main gauche martèle souvent le rythme bamboula incessant, tandis que la main droite s’élance dans des passages ornés et complexes.
Adrian Posté 6 avril Signaler Posté 6 avril il y a 12 minutes, Domi a dit : C'est moi ou il y a un soucis d'enregistrement à quelques moments ?
Domi Posté 6 avril Signaler Posté 6 avril à l’instant, Adrian a dit : C'est moi ou il y a un soucis d'enregistrement à quelques moments ? Possible. J'ai choisi la vidéo rapidement à partir d'un concert auquel j'ai assisté aujourd'hui concernant les maîtres du Languedoc (début XVIIème) : Bouzignac, Moulinié. Ici De Bertrand. Je vais voir s'il y a une meilleure vidéo
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