Neomatix Posté 27 août 2015 Signaler Posté 27 août 2015 Le 27/08/2015 à 17:57, Johnathan R. Razorback a dit : Bien sûr un contre-argument facile consiste à dire qu'eux et leurs partisans ont mal interprété le christianisme, mais on entre alors dans des querelles de secte pour définir la position orthodoxe. C'est vrai pour la plupart des vieux concepts mais je ne vois pas ce qui peut être sujet à interprétation écolo là-dedans, c'est plutôt explicite : Citation Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.
Loi Posté 28 août 2015 Signaler Posté 28 août 2015 http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/08/28/97002-20150828FILWWW00059-pas-de-remise-en-cause-des-35-heures-valls.php Nouveau "couac" pour le gouvernement, cette fois-ci c'est l'enfant surdoué de la bande qui est corrigé, ce bon Macron Citation Le premier ministre Manuel Valls a affirmé vendredi à Châlons-en-Champagne qu'il n'y aurait pas de "remise en cause du temps légal de travail et des 35 heures", ajoutant que les "petites phrases" font "mal à la vie publique", au lendemain d'une déclaration critique d'Emmanuel Macron sur ce sujet."Les Français n'ont rien à faire avec les polémiques qui tirent vers le passé. Il n'y aura pas de remise en cause du temps de travail et des 35 heures. (...) Les vrais sujets sont l'emploi et la croissance. Les petites phrases font mal à la vie publique", a déclaré Valls lors d'une visite d'un centre d'apprentis à Châlons-en-Champagne. Et la réponse de l’intéressé en mode baissage de froc : Citation Emmanuel Macron a assuré, dans une déclaration transmise vendredi à l'AFP, qu'il ne "parlai(t) pas des 35 heures" lorsqu'il a évoqué les "fausses idées" de la gauche jeudi devant l'Université d'été du Medef, affirmant que le travail est "le plus beau combat de la gauche"."Je ne parlais pas des 35 heures mais du rapport au travail. Il en faut plus, pas moins. C'est le plus beau combat de la gauche, car le travail, c'est le moteur de l'émancipation individuelle", a déclaré M. Macron, alors que son discours devant le Medef a suscité des critiques au sein du PS réuni en université d'été à La Rochelle et une mise au point très ferme de Manuel Valls. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/08/28/97002-20150828FILWWW00064-macron-ne-parlait-pas-des-35-heures.php
DirtyHayek Posté 28 août 2015 Signaler Posté 28 août 2015 Le 28/08/2015 à 08:12, Cugieran a dit : Jean Vincent Placé se barre aussi. Hihi. Il se sent bridé par les orientations des camarades. 1
Cugieran Posté 28 août 2015 Signaler Posté 28 août 2015 Le 28/08/2015 à 09:16, DirtyHayek a dit : Il se sent bridé par les orientations des camarades. Toi tu me plais toi
Cugieran Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Donc il n'y a vraiment pas de marge de manœuvre budgétaire comme prévu. C'est confirmé par la volonté de Hollande de baisser les impôts sur le revenu de 2 milliards (après les avoir montés de je sais pas combien). Pour être réélu, s'il avait pu faire mieux, il l'aurait fait. Il a les couilles dans un étau. Evidemment, ce sera financé par des économies savamment réparties dans les fonctions régaliennes qui gueulent jamais et/ou qui votent de toute façon pas pour lui et pas dans les commissions merdiques et dépenses farfelues et inefficaces. La campagne a commencé.
Neuron Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Il peut essayer de surfer sur la toute petite croissance escomptée. Il baisse les taux un tout petit peu et la croissance augmente un peu plus les rentrées. De la sorte, il peut continuer à ne pas baisser les dépenses de fonctionnement tout en affirmant baisser les impôts.
Adrian Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Citation Une dirigeante en poste depuis une semaine face à trente-cinq journalistes… Le déjeuner de Delphine Ernotte en compagnie de l’Association des journalistes médias (AJM), lundi 31 août, pouvait faire figure d’oral piégeux. Pour la présidente de France Télévisions, c’était la première apparition publique depuis sa nomination, fin avril. Alors que certains disaient cette ingénieure de formation assez peu charismatique, elle a surpris son auditoire par son franc-parler. Quitte à ce que ce volontarisme frise parfois la naïveté, dans un secteur toujours assez politique. « En matière de ressources, je demande fromage et dessert », a déclaré Mme Ernotte en milieu de repas : elle espère obtenir à la fois l’extension de la redevance aux ordinateurs et aux smartphones et le retour partiel de la publicité entre 20 heures et 21 heures. La « petite phrase » symbolise son approche assez directe sur deux dossiers sensibles, déjà défendus par son prédécesseur.« Il y des choses qui me dépassent, des crispations politiques »La présidente serait favorable à une « réforme à l’allemande » de la contribution qui finance l’audiovisuel : la déclaration serait, par défaut, précochée pour signaler que le foyer possède un moyen de recevoir la télévision, analogique ou numérique. « On pourrait aller jusqu’à fiscaliser », pour rendre le montant progressif en fonction des revenus, a-t-elle ajouté. Avec toutefois ce bémol : augmenter les taxes ou les contributions n’est pas en vogue dans le gouvernement… « Sur ces sujets, il y des choses qui me dépassent, des crispations politiques. Ce n’est pas à moi d’en débattre… », a-t-elle reconnu. « Je n’ai besoin de l’autorisation de personne pour lancer une chaîne d’information sur le numérique », a aussi déclaré Mme Ernotte, alors qu’on la relançait sur les propos de la ministre de la culture et de la communication, Fleur Pellerin, selon lesquels « la décision de lancer ce projet n’a pas encore été prise ». La phrase presque bravache était paradoxalement une façon de dire qu’obtenir le droit de diffuser cette future chaîne sur un canal de la télévision numérique terrestre (TNT) n’était pas un « préalable ». La nouvelle présidente de France Télévisions s’est posée en femme simple, prenant un langage décontracté : « Netflix, l’exception culturelle française, ils s’en battent la cravate ! » « Mettre des contenus sur YouTube, cela s’appelle danser avec le diable. Mais je ne ferme pas la porte. » « Le modèle des diffuseurs français se casse la gueule. » Parfois décrite comme novice de la télévision car venue d’Orange, Mme Ernotte s’est aussi montrée très sûre d’elle : « Qu’on dise que j’ai un super-réseau, ça me va », a-t-elle répondu à propos des « aides » dont elle aurait bénéficié pour sa nomination – contestée – par le Conseil supérieur de l’audiovisuel. « Je n’ai pas peur. Gérer des contraintes, financières et humaines, c’est mon métier. » Taquinée sur l’idée de faire un second mandat, elle a glissé, en souriant, qu’elle aurait « l’âge pour en faire trois ». http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/08/31/a-france-televisions-delphine-ernotte-veut-fromage-et-dessert_4741780_3236.html#OglevUWTp5ok8lf9.99 Je la déteste déjà.
Philiber Té Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 La télévision publique française : que vous regardiez ou pas, on s'en fout on viendra prendre votre pognon ! 2
Mathieu_D Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Bon en revanche la pub, autant qu'ils veulent.
Rincevent Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Le 31/08/2015 à 19:57, Adrian a dit : Je la déteste déjà.Nan mais cet égo monstrueux, quoi... Elle a quoi comme parcours ?
Loi Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Delphine Ernotte-Cunci, directrice exécutive d'Orange France, ne s'est toujours pas exprimée. Ingénieure de formation (École centrale Paris2 (promotion 19893)), elle a fait toute sa carrière chez l'opérateur français. http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/04/01/33-candidats-a-la-presidence-de-france-televisions_4607380_3236.html#233r9h56Jcc0FPIw.99
Bézoukhov Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Rho, c'est très bien Piston. La carte du bar n'est plus à son apogée mais bon. Au delà des diplômes, il me semble qu'elle est bien introduite dans les milieux bobos via son mari, et très investie dans les réseau de promotion des femmes en entreprise/études techniques.
Rincevent Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Le problème n'est pas le piston (pour travailler dans le public, Centrale Paris est presque un handicap). Le problème, c'est son caractère.
Bézoukhov Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Je sais bien, je sais bien . Et ouais, elle a pas l'air très fun la madame : Citation Delphine Ernotte confirme "une amende de 50 euros pour toute blague sexiste" au comité exécutif d'Orange. #AJM https://twitter.com/AnaelleGrondin/status/638322600276533249
Rincevent Posté 31 août 2015 Signaler Posté 31 août 2015 Narcissique avec des tendances sociopathes ou paranoïaques, voilà qui promet.
Mathieu_D Posté 1 septembre 2015 Signaler Posté 1 septembre 2015 C'est rigolo cette histoire d'amende au comex.
Adrian Posté 1 septembre 2015 Signaler Posté 1 septembre 2015 Citation Prime de présentéisme dans les mairies pour lutter contre l'absentéisme Dans les mairies françaises, le taux d'absentéisme des agents municipaux est de 11,7%. Pour lutter contre l'absentéisme, certaines municipalités donnent des primes de présence. Et les résultats sont spectaculaires. À Florensac (Hérault), le taux d'absence est de 3,8%, à Cran-Gévrier (Haute-Savoie), 8,2 %, bien en dessous de la moyenne nationale. Le maire de Florensac, 5 000 habitants, fait fièrement la revue des effectifs. Aucun absent ce jour-là. Sa méthode : sur la fiche de paie des 48 employés de la commune, une prime de présentéisme de 50 euros par mois versé depuis trois ans en plus du salaire. Un bonus supprimé à la moindre absence dans le mois, même en cas de maladie.Diminuer la pénibilité du travailÀ quelques kilomètres de là, au coeur des Alpes, Cran-Gévrier, 17 000 habitants, est au petit soin pour ses habitants. À la crèche municipale, pour limiter les arrêts maladie, tous les salariés ont suivi une formation : ne plus se baisser pour mettre les enfants à terre, ou fléchir un genou pour atteindre un robinet. Diminuer la pénibilité et remotiver les salariés. Pour cela, ils sont associés aux décisions importantes. Ce vaste programme de consultation des salariés coûte à la mairie 39 000 euros. En faisant baisser l'absentéisme d'un tiers, la mairie économise près de 150 000 euros par an. http://www.francetvinfo.fr/societe/une-prime-de-presenteisme-pour-lutter-contre-l-absenteisme-dans-les-mairies_1064343.html
Bézoukhov Posté 1 septembre 2015 Signaler Posté 1 septembre 2015 C'est légal de faire ça ? oO (nan, parce que c'est injuste vis à vis des salariés malades, et gna et gna).
Marlenus Posté 1 septembre 2015 Signaler Posté 1 septembre 2015 Le 01/09/2015 à 15:01, Bézoukhov a dit : C'est légal de faire ça ? oO (nan, parce que c'est injuste vis à vis des salariés malades, et gna et gna). Cela existe aussi dans nombre d'entreprises privées.
Marlenus Posté 1 septembre 2015 Signaler Posté 1 septembre 2015 Le 01/09/2015 à 15:09, Groucho Marx a dit : jetons de présence...? Prime d'assiduité: http://business.lesechos.fr/entrepreneurs/ressources-humaines/dossier/109015/109912-les-primes-d-assiduite-sont-elles-efficaces-31658.php
PJE Posté 1 septembre 2015 Signaler Posté 1 septembre 2015 Comme il a été jugé bon il a eu son parachute. Citation Rémy Pflimlin nommé au Conseil d'Etat Le président sortant de France Télévisions a été nommé sur proposition de la ministre de la Justice.Rémy Pflimlin, patron sortant du groupe France Télévisions, est nommé "conseiller d'Etat en service extraordinaire" à compter du 1er septembre, selon un décret (document PDF) du ministère de la Justice publié dimanche 2 août au Journal officiel. A 61 ans, le candidat malheureux à un nouveau mandat à la tête de l'entreprise d'audiovisuel public doit être remplacé à la tête de France Télévisions par Delphine Ernotte le 22 août. Nommé pour une période de cinq ansLes "conseillers d'Etat en service extraordinaire" sont nommés en Conseil des ministres pour une période de cinq ans et sont, selon le site de la plus haute juridiction administrative du pays, "choisis parmi les personnalités qualifiées dans les différents domaines de l'activité nationale". Avant de présider France Télévisions, Rémy Pflimlin a dirigé France 3 de 1999 à 2005, ou encore les Nouvelles messageries de la presse parisienne, devenues Presstalis, en 2009. http://www.francetvinfo.fr/economie/medias/france-televisions/remy-pfimlin-nomme-au-conseil-d-etat_1027181.html
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