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Esperluette

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Tout ce qui a été posté par Esperluette

  1. J'en ai après le journaleux qui balance des inepties. Sinon, je confirme. On ne balance pas l'ultra-contemporain vitriolesque et abscons devant des collégiens débarqués la bouche en coeur ; on réserve ce genre de prestations à une audience d'amateurs avertis qui, en achetant leur billet, se doutent de ce qui les attend.
  2. Cherche pas, Lancelot, c'est de l'ÂÂÂrt. Un type quelconque se radine à poil dans un collège, on l'invite au commissariat. Mais quand c'est un âââârtiste en spectacle, alors il s'agit de pointer du doigt les travers de la société de consommation, lever des tabous, dénoncer le racisme, tancer la désinformation…
  3. J'adore ce genre d'inepties : Avec ce spectacle, la compagnie entendait pointer du doigt les travers de la société de consommation, lever des tabous, dénoncer le racisme, tancer la désinformation… Je propose aussi de "renverser les préjugés, transgresser les normes établies, secouer les consciences et réveiller les masses bien-pensantes", ce sera encore plus original et inédit.
  4. C'est un alter-indicateur du même tonneau que le Bonheur National Brut ? Les grabataires font bien ce qu'ils veulent et personne n'a à décider pour eux qu'il est temps de mettre un terme à leur vie.
  5. Il faut aussi interdire les sacs à main. Tous ces vols à la tire…
  6. Je ne sais pas si j'y crois mais je sais que je me marre de bon coeur.
  7. Si fait, moultement. Et puis ce n'est pas comme si je savais faire autre chose. J'aime néanmoins un tas d'autres bricoles. Par exemple, les affaires avec des pâtisseries. Et taper des zombies. Et faire la sieste. Ca prend du temps, tout ça.
  8. Gogogo ! Au passage, s'il y a bien une activité qui me rebute, c'est : exercer mon métier gratos pendant mes heures de loisirs.
  9. Sans déconner. N'oublie pas les cheveux. Tout est là !
  10. Je recommence une partie d'Oblivion. Voilà qui annonce maints agréments dans mes soirées à venir. Miamslurp.
  11. Je ne sais pas. J'ai trouvé cette idée en feuilletant le n° du mois. Comme toujours, le projet ne consiste pas seulement à proposer de chouettes technologies mais aussi à disposer des infrastructures pour les commercialiser un peu partout, sans oublier une population locale désireuse d'employer la méthode en question. Regarde ce qu'il se passe pour les puits. Des assoces acceptent d'en creuser à condition que 1 - Il y ait nomination d'un comité d'hommes et de femmes chargés de la gestion après le forage 2 - A chaque utilisation, les habitants verseront quelques piécettes dans la perspective de réparations ultérieures. Parfois, il y a hésitations. Parce que les gens se disent qu'en parcourant x km par jour, ils ont de l'eau gratos. Il faut parfois un moment pour qu'ils admettent que le plan valait le coup, y compris sur le plan financier. Les idées ne manquent jamais, leur concrétisation en revanche…
  12. Ouaip, tu as oublié les végétariens et affiliés souhaitant diminuer la production de viande, pour divers motifs : la consommation en eau / la quantité de céréales / les conditions d'élevage / les conditions d'abattage / la diététique (qu'ils disent) / autres.
  13. Je pense surtout que comme dans tout choix, il y a avantages et inconvénients. Je suis bien incapable de déterminer la nocivité la plus féroce entre des traces d'insecticides & pesticides d'une part, et des oeufs ou virus transportés par les bestioles sur ma bouffe non traitée d'autre part.
  14. Pas de quoi s'énerver pourtant. Peut-être que le problème ne réside pas tant dans les plats préparés que dans l'accumulation entre les plats préparés et le sel qu'on rajoute dans la cuisine chez soi. Nécessaire, peut-être, sans danger, non. Comprenons-nous : j'aime les nuances. La production industrielle tire des millions / milliards de gens de la faim. Mais il y a des risques, comme la présence, dans la bouffe ou les procédés, de produits nocifs visant à améliorer le rendement ou l'attrait commercial ou que sais-je. C'est un choix. Tout ce que je demande, c'est qu'on laisse chacun libre de bouffer soit bio soit industriel à son gré. J'aime qu'il y ait coexistence et choix. Sans taxer / légiférer les uns ou les autres sous un quelconque prétexte - de santé publique, par exemple.
  15. Moui enfin dans la nourriture industrielle, on trouve des procédés pas toujours très nets non plus ; ça déclenche des allergies (additifs) ou ça contribue à des problèmes de long terme (par ex. la quantité exagérée de sel dans les plats préparés). On se souvient aussi avec émotion des histoires de vache folle. Ce n'est pas parce que le bio extrémiste est moisi que l'industriel est sans reproche.
  16. Sunlight in the Dark In rural East Africa, where nearly 90 percent of households are off the grid and large solar panels are costly, hazardous kerosene lamps are the norm. Enter portable micro-solar systems, which development groups are introducing for $10 to $25. These generate one or two watts—enough to power LED lights and recharge batteries—as well as income for local salespeople. And micro-solar provides another kind of power. Dorica Magomba (left), a Maasai farmer in Tanzania’s Iringa Region, uses it to scare hyenas away from livestock at night. “When you have light,” says photographer Lynn Johnson, who met Magomba while working in the region, “you have courage.” —Amanda Fiegl Micro-solar benefits 1. Cleaner and safer than kerosene lamps and disposable batteries 2. Cost recouped within five months ; users avoid risk of rising fuel prices 3. Creates a new industry and extends work hours, boosting the local economy
  17. Hippo… Ca, c'est un attentat abominable contre la civilisation.
  18. Et pendant qu'ici on pleurniche sur les catalogues de jouets (qu'il suffit de jeter à la poubelle), on trouve dans certains coins riants d'Asie une élimination physique des femmes à un rythme industriel.
  19. On n'avait pas déjà eu une histoire très ressemblante avec un bébé appelé Pop (ou quelque chose dans ce genre) ?
  20. Je démarre Kestinlyo, si ça ne marche pas, je regarderai cette petite chose. Mais il n'y a pas que la rhinite chez les terrains très fortement atopiques.
  21. Quelle saison relou pour les allergies aux pollens. Le premier naturolâtre niais qui s'extasie devant moi sur le foisonnement printanier se prendra mon verre de coca dans la trogne. <–<
  22. Puisque tu en parles, il y a deux sujets qui me reviennent souvent à l'esprit et, si quelqu'un avait des infos, ça m'intéresse d'en savoir davantage. 1 - Pour le volet chimique & juridique : Je ne sais pas si on peut forcer quelqu'un à prendre des substances médicamenteuses et surtout celles qui neutralisent les pulsions sexuelles. Je ne parle bien entendu pas des gens en perte de contrôle manifeste et danger imminent (genre la biture record avec décision de prendre le volant). Donner à des médecins le pouvoir d'injecter des produits à quelqu'un contre le gré du patient, ça concernera aussi des personnes comme toi ou moi quand on refusera le gentil vaccin de Roselyne ou les aimables bonbons relaxants lors d'une hospitalisation, par exemple. 2 Pour le volet psy : Je me demande depuis longtemps, quand une peine est assortie d'une obligation de soins, à quoi peut ressembler une thérapie quand le type vient au RV en traînant des pieds et n'a aucune envie de se livrer au pro désigné par l'Etat. Une thérapie dont on se fout avec un médecin qu'on n'aime pas, c'est peut-être super pour s'alléger la conscience, mais est-ce que ça marche vraiment ?
  23. J'ironie sur ce système de défense fondé sur le manque de réaction forte pour en conclure un consentement. Un type bondit sur moi, je reste tétanisée de stupeur et de trouille, ensuite il me pique mon sac ou me crève les yeux, or comme je ne me suis pas débattue assez vigoureusement lors de l'agression, alors ça vaut consentement implicite a posteriori. C'est magique.
  24. Indépendamment de l'affaire en cours, Ce n'est pas un argument original, du reste. Soit a priori elle a formulé des avances, soit a posteriori elle n'a pas hurlé assez fort. Dans un cas comme dans l'autre : elle l'a bien voulu. Le mécanisme voulant que la terreur tétanise une victime, ça n'existe pas. Face à une agression inattendue dont on ne sait s'il s'agit d'une erreur vite arrangée, d'un meurtre prémédité, d'un sadique déroulant son plan, d'un psychotique en décompensation, d'un enlèvement organisé, d'une séquestration… ou autre joyeusetés à base de torture, on serait tous des héros.
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