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L'inutilité De L'aide Financière


Mr. Bonheur

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Salut à tous,

je dois rédiger un essai sur l'aide financière et ses effets. (destinée aux pays pauvres surtout)

J'aimerais bien écrire un truc libéral afin d'agacer un peu mon prof. J'ai déjà quelques idées et des textes en anglais et allemand, mais mon prof veut absolument avoir des sources françaises.

Merci d'avance!

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Salut à tous,

je dois rédiger un essai sur l'aide financière et ses effets. (destinée aux pays pauvres surtout)

J'aimerais bien écrire un truc libéral afin d'agacer un peu mon prof. J'ai déjà quelques idées et des textes en anglais et allemand, mais mon prof veut absolument avoir des sources françaises.

Merci d'avance!

Ben tiens, pas bête le prof ! Sources françaises ou sources francophones ?

Mais je trouve le titre déjà très limitatif. Les aides sont contre productives. Pas "seulement" inutiles…

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Si tu es objectif et impartial, il n'y a pas de raison.

Et puis, qui peut contester l'aide financière pour la construction d'un hopital à Kaboul?

Et puis il y a aide privée et aide publique.

Et puis il y a aide avec ou sans contrepartie (à la manière d'un programme "pétrole contre nourriture" :icon_up: )

Et puis une entreprise ne nait pas de subventions.

Et puis une phrase comme celle de Wapiti: "Si on taxe la richesse et qu'on subventionne la pauvreté, il ne faut pas s'étonner de voir la seconde s'étendre au détriment de la première !", ca pourrait avoir de la gueule dans un devoir.

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….

Et puis une phrase comme celle de Wapiti: "Si on taxe la richesse et qu'on subventionne la pauvreté, il ne faut pas s'étonner de voir la seconde s'étendre au détriment de la première !", ca pourrait avoir de la gueule dans un devoir.

Cela me rappelle une déclaration de Lincoln au congrès en 1860 :

"Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l'épargne.

Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort.

Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l'employeur.

Vous ne pouvez pas favoriser la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes.

Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.

Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez.

Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l'initiative et l'indépendance.

Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu'ils pourraient faire eux-mêmes."

Abraham Lincoln (1860): Déclaration au Congrès.

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Pourquoi ne pas chercher l'information auprès de ceux qui sont le plus concernés, dans des sites Web africains?

J'ai fait une recherche sur "entrepreneurs africains aides inutiles" et je suis tombé sur:

http://assoc.wanadoo.fr/senegal.bourbonnais/edito.htm

La notion de Tiers Monde, empruntée à Alfred Sauvy, désigne les pays où la survie de l’Homme reste un problème fondamental. Aujourd’hui, on utilise d'autres qualificatifs : pays sous-développés, pays en voie de développement, pays du Sud, pays pauvres… Tous ces pays ainsi qualifiés, dont la grande majorité se trouve dans le vieux continent africain, ont un dénominateur commun : la pauvreté.

Les gouvernements de ces pays reçoivent des aides émanant des États du Nord dans le cadre de la coopération internationale.

On peut dès lors se poser deux principales questions quant à l’efficacité de cette aide.

1 / Les populations pauvres en bénéficient-elles réellement ?

2 / Les actions dites charitables peuvent-elles vraiment aider l’Afrique à sortir du sous-développement ?

La corruption, souvent liée au sous-développement qui existe dans les pays du Sud, explique que les populations défavorisées ne bénéficient pas toujours de l’aide internationale versée aux États.

On parle tous les jours de détournement de fonds dans ces pays. Au Sénégal, l’actualité a été dominée ces derniers jours par l’affaire Idrissa Seck, ancien premier ministre impliqué dans le dépassement du budget consacré aux chantiers de la ville de Thiès. Il lui est reproché d’avoir détourné une dizaine de milliards de francs CFA.

En plus, l'aide internationale se fait dans de nombreux cas sous forme d'emprunts que les pays pauvres n’arrivent pas à rembourser. De ce fait, ils sont de plus en plus dépendants de leurs créanciers et les faibles économies réalisées sur le budget de ces pays servent à payer des intérêts au détriment de l’amélioration des conditions de vie des populations défavorisées.

Par ailleurs, la coopération entre États se limite souvent à des actions au niveau macroéconomique pour conforter les indicateurs économiques. La réalité du terrain est souvent différente !

L’autre volet de cette coopération se matérialise par une série de dons plus ou moins réguliers. Certaines populations en sont même devenues dépendantes et ne croient plus à leurs efforts personnels pour faire face à leurs multiples besoins. D’aucuns soutiennent que l’objectif des grandes puissances est d’accroître la dépendance des pays pauvres vis-à-vis d’elles pour éviter toute concurrence ! Cela est-il vrai ?

Comme en Chine, on dit au Sénégal qu'au lieu de donner du poisson tous les jours, mieux vaut apprendre à pêcher !

Je manque un peu de temps pour chercher plus. Mais je pense que les Africains eux-mêmes, notamment les entrepreneurs, en ont marre d'être aidés et voudraient bien se débrouiller tout seuls.

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Invité jabial

Ils n'en ont pas marre d'être aidés, ils en ont marre qu'on leur mette des bâtons dans les roues. Or aider l'Etat, c'est mettre des bâtons dans les roues de toute la société civile.

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Mais je pense que les Africains eux-mêmes, notamment les entrepreneurs, en ont marre d'être aidés et voudraient bien se débrouiller tout seuls.

Les entrepreneurs africains aidés par l'Etat?? :icon_up:

Mouhahahahaha!

Excuse moi SCM, j'imagine que c'est un lapsus de ta part mais il est à mourir de rire! :doigt:

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Les entrepreneurs africains aidés par l'Etat?? :icon_up:

Mouhahahahaha!

Excuse moi SCM, j'imagine que c'est un lapsus de ta part mais il est à mourir de rire! :doigt:

Ce n'était pas un lapsus (indice: toutes les aides ne passent pas par l'état et tous les Africains ne sont pas entrepreneurs) mais comme je n'ai guère de temps pour les arguties, si vous n'avez pas de contribution significative dans ce fil, envoyez-les dans /dev/null. Merci d'avance.

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Ce n'était pas un lapsus (indice: toutes les aides ne passent pas par l'état et tous les Africains ne sont pas entrepreneurs)

Je n'avais pas compris l'ironie de ton intervention. Cependant je ne cherchais nullement à te vexer, j'ai réellement éclaté de rire.

Toutes mes excuses donc.

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Je n'avais pas compris l'ironie de ton intervention. Cependant je ne cherchais nullement à te vexer, j'ai réellement éclaté de rire.

Toutes mes excuses donc.

Ma phrase n'était nullement ironique mais très maladroite car consistant en une généralisation abusive. Nulle excuse de ta part n'est nécessaire, mon cher Rocou. Je suis heureux de t'avoir fait rire.

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Cela me rappelle une déclaration de Lincoln au congrès en 1860 :

(…)

Abraham Lincoln (1860): Déclaration au Congrès.

Cela sonne étrangement pour Lincoln. D'après le site de l'Etat de l'Illinois, il s'agit de paroles apocryphes prêtées à Lincoln mais en réalité dues au Reverend William John Henry Boetcker (1873-1962) :

6. The "Ten Points" appear every February 12 in newspaper ads honoring Abraham Lincoln. In fact, these aphorisms are from the pen of Reverend William John Henry Boetcker (1873-1962).

* You cannot bring about prosperity by discouraging thrift.

* You cannot strengthen the weak by weakening the strong.

* You cannot help small men by tearing down big men.

* You cannot help the poor by destroying the rich.

* You cannot lift the wage-earner by pulling down the wage-payer.

* You cannot keep out of trouble by spending more than your income.

* You cannot further the brotherhood of man by inciting class hatred.

* You cannot establish sound security on borrowed money.

* You cannot build character and courage by taking away a man's initiative and independence.

* You cannot help men permanently by doing for them what they could and should do for themselves.

source : http://www.illinoishistory.gov/facsimiles.htm

extrait d'un livre contemporain sur le sujet, Why Lincoln Matters: Today More Than Ever :

Lincoln as Political Scripture

the year was 1992. The scene was the Republican National Convention in Houston, Texas. Republicans were about to renominate President George Bush for a second term and then return home to try convincing American voters that the nation's economic recession had little to do with the Republican Party, its philosophy, or its standard-bearer. The task must have seemed daunting. In the end it proved impossible, but for one brief moment the goal seemed within their grasp. That was when the much-loved former president, Ronald Reagan, arrived at the speaker's rostrum to rouse the faithful to a renewed dedication to modern Republican ideals.

He did so by invoking the name of Lincoln. Exhuming a credo that President Reagan told us had been "so eloquently stated" by Lincoln generations earlier, the fortieth president quoted what he described as four of Lincoln's most appealing maxims. Here was a hallowed set of principles, Reagan declared, that had stood the test of time and deserved to be recalled and repeated again and again to fortify America against a resurgent liberalism. To some people listening to Reagan that night, the phrases must have seemed crafted to rebut with uncanny specificity the rise of Governor William Jefferson Clinton of Arkansas. As the newly anointed Democratic challenger to twelve consecutive years of Republican White House rule and leading in all the public-opinion polls, Clinton posed a formidable threat to Reagan's conservative revolution. Now Reagan summoned all of his rhetorical gifts to remind the hundreds of delegates packing the convention hall and the tens of millions more watching on television that another Republican, Abraham Lincoln, had once wisely offered the following timeless truths:

You cannot strengthen the weak by weakening the strong.

You cannot help the wage earner by pulling down the wage payer.

You cannot help the poor man by destroying the rich.

You cannot help men permanently by doing for them what they could and should do for themselves.

The convention floor erupted in waves of applause. TV cameras captured the faces of emotional delegates whose nods of assent evidenced the deep understanding and gratitude one feels upon hearing a revered pastor deliver a grand sermon. Reagan had resurrected a tablet of political commandments more prescient and eloquent than any arid Republican Party platform or windy acceptance speech. No one had ever said it better than the Great Emancipator as revivified by the Great Communicator. It was a magical combination. As politics and performance, even liberal Democrats admitted that it was good.

As it turned out, it was indeed too good to be true.6 In fact, Lincoln had never uttered a word of it. The lines turned out to be the work of an obscure German-born, Brooklyn-ordained minister named William John Henry Boetcker, and they dated back to only 1916-fifty-one years after Lincoln's death. That year, Boetcker published a tract entitled Lincoln on Private Property. The pamphlet featured a unique format: the true words of Lincoln on one page followed by interpretive quotations from Boetcker on the next. The ideas quickly found an appreciative audience among conservatives. Republican clubs clamored for copies, and the booklet went into new editions in 1917, 1938, and 1945. Unfortunately, in each subsequent incarnation Boetcker progressively receded into the background until Lincoln was receiving sole and undeserved credit for aphorisms he had never uttered. One later edition boasted that the words were Lincoln's exclusively and were published at the "inspiration of William J. H. Boetcker." By the time Ronald Reagan got around to quoting these lines, the true source of the inspiration had faded into the shadows. When the truth finally surfaced, a Reagan spokesman, scrambling for an explanation, said that the former president had done all his own research. As the sole author of the speech he had found the "Lincoln" quotations in a book called The Toastmaster's Treasure Chest by one Herbert V. Prochnow. It was passed off as an understandable mistake, but it is an indelible one.7

Few of the millions who heard Reagan that summer night ever read the explanations or the corrections published in newspapers during the days following his remarks. Nor did they learn that with a brilliant editorial stroke, Reagan had craftily omitted two of those spurious Boetcker-authored quotes-two that did not seem to fit his call for fealty to Republican principles 1992-style. After all, how could the chief executive who had presided over the accumulation of the most massive federal deficit and debt in the nation's entire history possibly say:

You cannot keep out of trouble by spending more than your income.

You cannot establish security on borrowed money.

Ronald Reagan deleted those phrases from his recitation. But he had said enough to lay powerful, if spurious, claim to Lincoln's political blessings. Three full years after scholars had discredited Reagan's Houston Lincoln reference, one of the most widely read newspaper columnists in the nation blithely published the Boetcker quotes once again. To Ann Landers, the words Reagan had quoted still seemed irresistibly Lincolnian.8

Claiming the mantle of Lincoln started long before President Reagan's faux pas. It has been part of the fabric of political discourse practically from the moment Lincoln was assassinated on Good Friday, 1865-barely a week after restoring peace to a country torn by the long, blood-soaked Civil War. In eulogies delivered at churches throughout the north that Easter Sunday, Lincoln was confirmed as a secular saint. That was a nearly miraculous elevation for one who was among the most severely criticized of all of our presidents: Lincoln had been mocked, scorned, and ridiculed by much of the nation until he was lifted above the clamor by his martyrdom. Gone was the hateful derision. To many, he had suddenly become a second Moses, proclaiming liberty throughout the country but perishing before he could enjoy the promised land; to others, he was an American savior dying for the sins of his bitterly divided people.9

source : http://www.wnyc.org/books/32220

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Cela sonne étrangement pour Lincoln. D'après le site de l'Etat de l'Illinois, il s'agit de paroles apocryphes prêtées à Lincoln mais en réalité dues au Reverend William John Henry Boetcker (1873-1962) :

source : http://www.illinoishistory.gov/facsimiles.htm

extrait d'un livre contemporain sur le sujet, Why Lincoln Matters: Today More Than Ever :

source : http://www.wnyc.org/books/32220

Merci pour l'info, je ne connaissais pas ce fait. Je n'ai plus qu'à retenir Boetcker… Mais personne ne le connais… Bon ben je citerai Reagan ! :icon_up:

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Merci pour l'info, je ne connaissais pas ce fait. Je n'ai plus qu'à retenir Boetcker… Mais personne ne le connais… Bon ben je citerai Reagan ! :doigt:

Cela impressionnera plus tes interlocuteurs que Lincoln ("Qui ça" ?). :warez:

Un exemple de la rhétorique d'Abe, la citation provient du poignant Lincoln Portrait d'Aaron Copland pour orchestre et récitant (1942) :icon_up: :

"Fellow citizens, we cannot escape history."

That is what he said. That is what Abraham Lincoln said.

"Fellow citizens, we cannot escape history. We of this congress and this administration will be remembered in spite of ourselves. No personal significance or insignificance can spare one or another of us. The fiery trial through which we pass will light us down in honor or dishonor to the latest generation. We, even we here, hold the power and bear the responsibility." [Annual Message to Congress, December 1, 1862]

He was born in Kentucky, raised in Indiana, and lived in Illinois. And this is what he said. This is what Abe Lincoln said.

"The dogmas of the quiet past are inadequate to the stormy present. The occasion is piled high with difficulty and we must rise with the occasion. As our case is new, so we must think anew and act anew. We must disenthrall ourselves and then we will save our country." [Annual Message to Congress, December 1, 1862]

When standing erect he was six feet four inches tall, and this is what he said.

He said: "It is the eternal struggle between two principles, right and wrong, throughout the world. It is the same spirit that says 'you toil and work and earn bread, and I'll eat it.' No matter in what shape it comes, whether from the mouth of a king who seeks to bestride the people of his own nation, and live by the fruit of their labor, or from one race of men as an apology for enslaving another race, it is the same tyrannical principle." [Lincoln-Douglas debates, 15 October 1858]

Lincoln was a quiet man. Abe Lincoln was a quiet and a melancholy man. But when he spoke of democracy, this is what he said.

He said: "As I would not be a slave, so I would not be a master. This expresses my idea of democracy. Whatever differs from this, to the extent of the difference, is no democracy."

Abraham Lincoln, sixteenth president of these United States, is everlasting in the memory of his countrymen. For on the battleground at Gettysburg, this is what he said:

He said: "That from these honored dead we take increased devotion to that cause for which they gave the last full measure of devotion. That we here highly resolve that these dead shall not have died in vain. That this nation under God shall have a new birth of freedom and that government of the people, by the people, and for the people shall not perish from the earth."

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Cela impressionnera plus tes interlocuteurs que Lincoln ("Qui ça" ?). :doigt:

Un exemple de la rhétorique d'Abe, la citation provient du poignant Lincoln Portrait d'Aaron Copland pour orchestre et récitant (1942) :icon_up: :

Abraham Lincoln est la grande figure mythologique de l'histoire américaine.

Il est l'homme né dans une cabane et devenu président.

Innombrables sont les films américains où apparaît le mémorial de Lincoln avec sa grande statue du président assis comme dans M. Smith au Sénat de Capra (y compris avec sa parodie dans La Planète des singes de Tim Burton). John Ford cite sans cesse Lincoln et a consacré à film au Lincoln pauvre avocat dans Young Mister Lincoln (Vers sa destinée) avec l'inoubliable Henry Fonda.

C'est autre chose que Reagan.

Mais bon…

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Abraham Lincoln est la grande figure mythologique de l'histoire américaine.

Il est l'homme né dans une cabane et devenu président.

Innombrables sont les films américains où apparaît le mémorial de Lincoln avec sa grande statue du président assis comme dans M. Smith au Sénat de Capra (y compris avec sa parodie dans La Planète des singes de Tim Burton). John Ford cite sans cesse Lincoln et a consacré à film au Lincoln pauvre avocat dans Young Mister Lincoln (Vers sa destinée) avec l'inoubliable Henry Fonda.

C'est autre chose que Reagan.

Mais bon…

En effet, il faut avoir vu Henry Fonda, parfaitement dégingandé, le visage émacié, prendre la route de la politique avec son livre sous le bras et ce juché sur l'âne de la légende. L'avocat autodidacte devenu grand citoyen et porte-parole des idéaux démocratiques us.

Ford a également consacré un film passionnant à la figure du Président assassiné, The Prisoner of Shark Island, où un suspect est injustement accusé d'avoir aidé l'assassin de Lincoln.

La carrière de Reagan est moindre, mais peu de prétendument mauvais acteurs ont pu jouer sous la direction de Michael Curtiz ou de Raoul Walsh aux côtés d'Errol Flynn. :icon_up:

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La carrière de Reagan est moindre, mais peu de prétendument mauvais acteurs ont pu jouer sous la direction de Michael Curtiz ou de Raoul Walsh aux côtés d'Errol Flynn. :icon_up:

Ronald Reagan n'était pas un mauvais acteur et seuls ceux qui n'ont jamais vu aucun de ces films l'affirment mais disons qu'il manquait de charisme : aux côtés d'Errol Flynn, il fait un peu pâle figure.

On comprend qu'il ait préféré briller dans une autre carrière.

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Ronald Reagan n'était pas un mauvais acteur et seuls ceux qui n'ont jamais vu aucun de ces films l'affirment mais disons qu'il manquait de charisme : aux côtés d'Errol Flynn, il fait un peu pâle figure.

On comprend qu'il ait préféré briller dans une autre carrière.

D'autant que son plus grand succès à Hollywood reste l'immortel père de famille confronté à l'adoption du chimpanzé Bonzo (Bedtime for Bonzo, 1951), d'où s'en sont suivies d'inénarrables sarcasmes sur le Bonzo-Governor quand il présenta sa candidature en Californie :icon_up:.

bonzo.jpg

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