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C'est Quoi Le Libéralisme ?


Invité Moi

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Tiens après tout ce barouf sur JOL et compagnie, je me suis dit, vu mon inculture assez immense en politique, que vous étiez les mieux placés pour en parler.

Alors ma question : C'est quoi le libéralisme ?

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Je peux mettre en place cette FAQ en quelques minutes. Donnez-moi le texte et les liens.

Tu pourrais repiquer http://fr.wikipedia.org/wiki/Liberalisme (fait par Faré puis par moi, donc pas de pb de copyright), uniquement les premiers paragraphes (1.1 Les concepts de base, 1.2 Les droits naturels, 1.3 L'éthique libérale, 2 La tradition et ses évolutions 3 Le libéralisme politique).

Supprimer seulement dans les "droits naturels" la phrase suivante qui n'a rien à y faire : "Les libéralismes social et moral sont aussi des conséquences, même si on les sépare du libéralisme économique car tout le monde n'adhére pas forcément simultanément aux trois (Cf infra, diagramme de Nolan)."

A compléter avec un petit coup de PNA pour présenter la variante libertarienne ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Murray_Rothbard ).

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Tu pourrais repiquer http://fr.wikipedia.org/wiki/Liberalisme (fait par Faré puis par moi, donc pas de pb de copyright), uniquement les premiers paragraphes (1.1 Les concepts de base, 1.2 Les droits naturels, 1.3 L'éthique libérale, 2 La tradition et ses évolutions 3 Le libéralisme politique).

Supprimer seulement dans les "droits naturels" la phrase suivante qui n'a rien à y faire : "Les libéralismes social et moral sont aussi des conséquences, même si on les sépare du libéralisme économique car tout le monde n'adhére pas forcément simultanément aux trois (Cf infra, diagramme de Nolan)."

A compléter avec un petit coup de PNA pour présenter la variante libertarienne  ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Murray_Rothbard ).

OK mais je préférerais mettre des liens.

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Proposition de FAQ

Définition

Le libéralisme est un courant de pensée, ou un ensemble de courants de pensée visant à faire reconnaître des droits individuels et à circonscrire les limites du pouvoir politique.

Le libéralisme se dit anti-politique, en ce qu'il s'oppose au pouvoir politique lui-même. Il ne cherche pas à déterminer qui doit détenir le pouvoir : il fixe des limites à l'autorité politique, les moyens qu'elle peut ou ne peut pas utiliser. Il s'oppose en cela à l'étatisme, qui donne des attributions très larges aux détenteurs du pouvoir politique.

Le libéralisme politique est consécutivement la doctrine politique visant à limiter les pouvoirs de l'État pour ramener celui-ci à la protection des droits et libertés individuelles, en s'opposant à l'État-providence.

De même, le libéralisme économique est la doctrine concernant l'économie selon laquelle l'État ne doit pas, par son intervention, perturber le libre jeu de la concurrence. Il s'oppose aux subventions, lutte contre les barrières au commerce et donne une grande place au principe de propriété.

Les concepts de base

Les valeurs libérales sont la liberté individuelle, la créativité individuelle, la responsabilité individuelle, l'indépendance personnelle, le respect des droits individuels, etc. On définit souvent le libéralisme par ses trois « piliers », que l'on retrouve dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen :

* la liberté individuelle ;

* la propriété privée ;

* la responsabilité.

La liberté individuelle est définie de manière négative comme l'absence de contrainte exercée par les autres individus, ou de façon positive comme le droit d'agir sans contrainte dans la limite des droits légitimes des autres.

La propriété est le droit pour l'individu de jouir du fruit de son activité, des richesses qu'il crée, et d'en disposer à sa guise, y compris en excluant autrui de leur usage. La propriété commence d'abord par le droit à la vie et la propriété de son corps. Les droits de sûreté et de résistance à l'oppression sont des conséquences du principe de propriété.

La responsabilité, inséparable de la liberté et de la propriété, rend l'individu responsable à l'égard des autres des conséquences de ses actions, bonnes ou mauvaises (quand elles lèsent autrui dans ses droits). C'est une composante de la sûreté d'autrui.

Les droits naturels

Ces droits, selon les libéraux, ne découlent pas d'une définition législative, ce sont des droits inhérents à la nature humaine et dont la légitimité est supérieure à toute loi. Le libéralisme économique n'en est qu'une conséquence directe, depuis le « laissez faire, laissez passer », mot d'ordre des physiocrates français au XVIIIe siècle en faveur de la libre circulation des biens et des marchandises, jusqu'à l'école autrichienne d'économie au XXe siècle.

La thèse des droits naturels (droit à la vie, à la liberté et à la propriété) est largement développée par John Locke. De cette théorie est issue la conception moderne des droits de l'homme qui a fourni historiquement la justification idéologique de la Révolution américaine et de la Révolution française, sans pour autant préconiser la démocratie, de crainte que la « tyrannie de la majorité » (selon l'expression de Tocqueville) ne vienne limiter les droits individuels.

Plusieurs libéraux contestent la thèse des droits naturels, et affirment que ces droits ne sont que des valeurs politiques (voir libéralisme politique). Les libéraux classiques soutiennent qu'en ce cas la société (via la démocratie) peut très bien limiter ou supprimer complètement la liberté de l'individu de façon tout à fait légale et démocratique (ce qui s'est produit par exemple avec l'accession d'Hitler au pouvoir). Pour les tenants de la thèse des droits naturels (qualifiés également d'imprescriptibles dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen), il est clair que ces droits sont antérieurs et supérieurs à tout droit politique ainsi qu'à la démocratie.

Il subsiste ainsi une différence marquée entre libéraux partisans du jusnaturalisme (la Raison comme source du droit : le droit naturel), et libéraux partisans du droit positif (l'État comme source du droit), les premiers étant parfois accusés de faire de la métaphysique, les derniers étant taxés de relativisme ou de soumission à l'État. Toutefois, tous les libéraux admettent l'insuffisance du seul droit positif : Hayek distingue la loi et la « règle de la loi » ; Bastiat affirme que « Personnalité, Liberté, Propriété (…) sont antérieures et supérieures à toute législation humaine. »

Ces droits ont un caractère universel, applicable à tous les hommes, sans égard au lieu ni à l'époque, ce qui les distingue de « droits » arbitraires fictifs : par exemple un droit au logement ne saurait être un droit naturel, car il est impossible à réaliser sans prendre aux uns pour donner aux autres, ce qui lui ôte tout caractère universel.

Il faut noter que ces droits étaient déjà reconnus sous la Monarchie : « il y a quatre droits naturels que le prince est obligé de conserver à chacun de ses sujets ; ils ne les tiennent que de Dieu et ils sont antérieurs à toute loi politique et civile : la vie, l'honneur, la liberté et la propriété. » (Louis XVI)

L'éthique libérale

L'éthique libérale découle des droits naturels, elle se ramène au principe de non-agression : ne pas voler autrui, ne pas utiliser la coercition ou la violence envers autrui, sauf pour se défendre d'une agression. C'est donc une éthique de tolérance, contraire au relativisme moral du collectivisme (selon lequel la fin justifie les moyens ou l'intérêt général doit prévaloir sur les options individuelles).

La tradition et ses évolutions

La tradition libérale dont se réclament les libéraux remonte jusqu'au taoïsme original en Chine, à Aristote puis aux stoïques en Grèce.

* Au XVIe siècle, l'école de Salamanque, Montaigne, La Boétie et d'autres humanistes.

* Au XVIIe siècle, les levellers de la révolution anglaise, John Locke (qui fonde la philosophie libérale moderne).

* Au XVIIIe siècle, Montesquieu, Voltaire, les physiocrates, Turgot, Adam Smith, David Hume. La révolution américaine est riche d'auteurs libéraux, de Benjamin Franklin à Thomas Paine.

* Durant la Révolution française, les girondins représentent le courant libéral, victimes de la terreur étatique des jacobins, et parmi ceux-là des factions de la Montagne. Quand ils ne sont pas combattus par la révolution ou par Napoléon, les libéraux sont dans l'opposition pacifique : Destutt de Tracy, Benjamin Constant (qui formalise l'essence du libéralisme).

* Au XIXe siècle, Jean-Baptiste Say, Charles Comte, Charles Dunoyer, Alexis de Tocqueville, Frédéric Bastiat (le classique par excellence), Gustave de Molinari; en Angleterre, Richard Cobden, John Stuart Mill, Lord Acton.

* Au XXe siècle, l'école autrichienne culmine avec Ludwig von Mises et Friedrich A. Hayek, l'objectiviste Ayn Rand cristallise les valeurs libérales, Murray Rothbard popularise le libertarianisme; on citera aussi Henry Hazlitt, Leonard Read, David Friedman, Antony de Jasay, etc.; en France, Jacques Rueff, Raymond Aron, Jean-François Revel, Pascal Salin, Henri Lepage, etc.

Il n'y a pas une école unique du libéralisme, d'autorité ni de fondateur. Il y a par exemple de grandes différences entre Hayek et Aristote, Frédéric Bastiat et Thomas Paine ou John Stuart Mill.

Certains libéraux, les utilitaristes (par exemple Maurice Allais), sans prendre parti sur les prémisses philosophiques du libéralisme, justifient le libéralisme parce qu'il engendre les organisations sociales les plus efficaces d'un point de vue économique.

Le libéralisme politique

Le libéralisme politique, expression qui est pour certains libéraux un oxymore, désigne aujourd'hui dans les pays anglo-saxons une tradition politique militant pour la démocratie et le régime constitutionnel, favorable en général aux libertés civiles et à l'économie de marché, mais souvent aussi interventionniste, et qui s'oppose à celle des conservateurs ou des socialistes ; dans ce sens le terme anglais liberal équivaut à centre-gauche, réformiste, démocrate ou social-démocrate (Jean-François Revel emploie le terme de progressiste), ce qui a peu de choses à voir avec le sens premier.

Originellement, le libéralisme politique est le courant de pensée qui, depuis Locke, Hobbes et Montesquieu, est attaché à circonscrire l'action du pouvoir et de l'État, et à définir les rapports de la sphère politique avec l'individu (séparation des pouvoirs, « contre-pouvoirs », etc.). En général est préconisée la démocratie libérale, que l'on connaît depuis le XIXe siècle dans la plupart des états occidentaux.

Les libéraux les plus radicaux, les anarcho-capitalistes, affirment que la sphère des attributions légitimes du pouvoir politique est vide. Les libéraux plus modérés, les minarchistes, pensent qu'il existe des fonctions légitimes de l'État, qu'ils identifient souvent aux fonctions régaliennes: sécurité, police, justice, défense du territoire.

La plupart des libéraux ne se posent pas ces questions de principes; leur opinion est que le pouvoir politique est bien trop étendu, et s'étend sans cesse. Ils cherchent donc les moyens de restreindre et d'inverser cette expansion de l'État, la question de savoir où on s'arrêtera étant prématurée.

En France, les organisations libérales contemporaines sont l'ALEPS et l'ADEL. Il y a aussi des instituts comme l'iFRAP (http://www.ifrap.org), Contribuables Associés (http://www.contribuables.net) ou Liberté Cherie (http://www.liberte-cherie.com). Au Québec, on trouvera l'IEDM (http://www.iedm.org) ou le Québécois Libre.

Le libertarisme

Ce qui suit est une introduction rapide à la pensée libertarienne (extrait de « For a new liberty: the libertarian manifesto » http://www.mises.org/rothbard/foranewlb.pdf)

Le Credo libertarien repose sur un axiome central : aucun individu ni groupe d’individus n’a le droit d’agresser quelqu’un en portant atteinte à sa personne ou à sa propriété. On peut appeler cela « axiome de non-agression », « agression » étant défini comme prendre l’initiative d’utiliser la violence physique (ou de menacer de l’utiliser) à l’encontre d’une autre personne ou de sa propriété. Agression est donc synonyme d’invasion, d’intrusion.

Si personne n’a le droit d’agresser quelqu’un d’autre, en bref, si chacun a le droit absolu d’être « libre » de toute agression, il s’ensuit immédiatement que le libertarien approuve pleinement ce qu’on appelle généralement les « libertés civiles » : liberté d’expression, de publication, d’association, liberté de « commettre » des délits sans victimes tels que la pornographie, les « déviations » sexuelles, la prostitution, [la drogue], toutes choses que le libertarien ne considère pas du tout comme des délits, puisqu’il ne s’agit pas d’agression à l’encontre d’une autre personne ou de sa propriété. En outre, il considère la conscription comme un esclavage à grande échelle. Et puisque la guerre, et plus particulièrement la guerre moderne, entraîne l’exécution massive de civils, le libertarien considère de tels conflits comme du meurtre de masse, et donc comme quelque chose d’absolument illégitime.

Tous ces points de vue sont considérés comme "de gauche" sur l’échelle idéologique contemporaine. D’autre part, le libertarien s’opposant à l’agression contre le droit de propriété privée, il s’oppose tout aussi vigoureusement à l’intrusion du gouvernement dans les droits de propriété et dans l’économie de marché au travers de contrôles, réglementations, subventions ou interdictions. Car si chaque individu a le droit de posséder et de ne pas être agressé et volé, alors il a aussi le droit de se défaire de sa propriété (par la transmission ou l’héritage) et de l’échanger contre la propriété d’autres personnes (liberté de contrat et économie de marché libre) sans subir d’intrusion. Le libertarien est donc en faveur d’un droit de propriété sans restriction et du libre échange, c’est-à-dire d’un système capitalistique de laissez-faire.

Le libertarien ne voit aucune incohérence à être « de gauche » dans certains domaines et « de droite » dans d’autres. Au contraire, il considère que sa position est virtuellement la seule qui soit cohérente du point de vue de la liberté individuelle.

S’opposant à toute agression individuelle ou en groupe contre les droits de la personne et les droits de propriété, le libertarien constate que, tout au long de l’histoire et aujourd’hui encore, il y a un agresseur central, dominant et prépondérant qui bafoue tous ces droits : l’État. Contrairement aux autres penseurs de gauche, de droite ou du centre, le libertarien refuse d’accorder à l’État le droit moral de commettre des actions que quiconque jugerait immorales, illégitimes et criminelles si elles étaient commises par une seule personne ou un groupe de personnes. Il insiste pour appliquer la règle morale générale à tous, et à ne faire aucune exception.

Si nous regardons l’État « tout nu », nous nous apercevons qu’il est autorisé (voire encouragé) à commettre toutes sortes d’actes que même les non libertariens s’accorderaient à juger comme des crimes ou délits répréhensibles. L’État est un habitué du meurtre de masse, qu’il appelle « guerre », parfois « répression de la rébellion ». Il fait de l’esclavage par la « conscription » dans ses forces militaires. Il vit et tire son existence de la pratique du vol sous la contrainte, qu’il appelle « fiscalité ». Le libertarien souligne que le fait que de telles pratiques soient approuvées ou non par une majorité de la population ne change rien à leur nature : sanctionnées ou non par le peuple, la guerre c’est bien le Meurtre de masse, la conscription, l’Esclavage, et la fiscalité, le Vol. Bref, le libertarien, comme l’enfant de la fable, s’obstine à répéter que « le roi est nu ».

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ben l'aide, en haut à droite.

Oulà c'est pas évident du tout je trouve.. :/

Tu peux pas faire un autre lien style "Aide", "Recherche", "Membres", "Calendrier", mais avec "FAQ sur le libéralisme" ou un truc comme ca?

Pour moi "Aide", ca suggère une aide technique sur l'utilisation du forum..

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Invité Albert Li

Je suggère que la fin de ce fil soit mis dans "Action" avec le titre "création d'une FAQ"

Sinon, je pense moi que les principes fondateurs du libéralisme sont ceux ci :

http://perso.club-internet.fr/cvincent/tex…declaration.htm

Et que le programme qui en découle est celui ci :

http://perso.club-internet.fr/cvincent/tex…ammeliberal.htm

Et cela en toute modestie bien sur :icon_up:

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Je suggère que la fin de ce fil soit mis dans "Action" avec le titre "création d'une FAQ"

Sinon, je pense moi que les principes fondateurs du libéralisme sont ceux ci :

http://perso.club-internet.fr/cvincent/tex…declaration.htm

Et que le programme qui en découle est celui ci :

http://perso.club-internet.fr/cvincent/tex…ammeliberal.htm

Et cela en toute modestie bien sur  :icon_up:

Tu as oublié l'auteur de référence : Albert Li, et son fabuleux dico.

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Invité jabial
Je suggère que la fin de ce fil soit mis dans "Action" avec le titre "création d'une FAQ"

Sinon, je pense moi que les principes fondateurs du libéralisme sont ceux ci :

http://perso.club-internet.fr/cvincent/tex…declaration.htm

Et que le programme qui en découle est celui ci :

http://perso.club-internet.fr/cvincent/tex…ammeliberal.htm

Et cela en toute modestie bien sur  :icon_up:

Je dirais plutôt : Tout homme a le droit de protéger sa personne physique, sa liberté et ses biens, et le devoir de respecter ceux des autres.

Et à l'avenant.

En ce qui concerne le droit de vote, je préfère le retirer à tout le monde que de le donner aux immigrés.

En ce qui concerne la privatisation (qui consiste pour l'Etat à vendre un bien public), je la remplacerais par la libéralisation (qui consiste à distribuer des actions à chaque citoyen).

En plus des numerus clausus, il est nécessaire de supprimer l'obligation de diplome. SI je veux me faire soigner par un sorcier c'est mon droit. Il est clair que par contre indiquer qu'on est diplomé alors qu'on ne l'est pas est constitutif d'escroquerie et les actes pratiqués peuvent le cas échéant l'être d'agression contre les personnes.

Et bien sûr j'ajouterai la suppression progressive des impôts, et la libéralisation de la police et de l'armée publique avec une ouverture progressive à la concurence.

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Invité Albert Li
En plus des numerus clausus, il est nécessaire de supprimer l'obligation de diplome. SI je veux me faire soigner par un sorcier c'est mon droit. Il est clair que par contre indiquer qu'on est diplomé alors qu'on ne l'est pas est constitutif d'escroquerie et les actes pratiqués peuvent le cas échéant l'être d'agression contre les personnes.

Absolument ! Je vais rajouter ça. :icon_up:

Pour le reste…

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D'abord merci beaucoup pour toutes ces références, que je vais essayer de lire, ça m'intéresse.

Ensuite, après avoir lu le texte de Dilibert, je m'aperçois que je suis carrément d'accord avec certains points, mais carrément pas d'accord avec d'autres…

Je vais donc me renseigner un peu plus :icon_up:

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Invité Lafronde
Bonne question, mais libertarianisme est trop long, et si je mets "libéralisme" à la place il y en a qui vont crier…

J'espère qu'il n'y a pas confusion avec les "libertaires".

ça peut la créer aisément, les médias parlent des libertariens (quand ils parlent de libéralisme d'ailleurs..) en les appelant "libertaires". Il vaut mieux s'en tenir à "libertarianisme", c'est plus correct et ça évite le doute.

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D'abord merci beaucoup pour toutes ces références, que je vais essayer de lire, ça m'intéresse.

Ensuite, après avoir lu le texte de Dilibert, je m'aperçois que je suis carrément d'accord avec certains points, mais carrément pas d'accord avec d'autres…

Je vais donc me renseigner un peu plus :icon_up:

C'est pour cela que c tout à ton honneur de te renseigner auprès des bonnes personnes.

La plupart de nos détracteurs sont incapables de dire ce qu'est le libéralisme, leur crédo est "le libéralisme c'est mal" sans expliquer ce que c'est et ce qui est "mal".

Quand par contre un individu tel que toi décide de demander à des libéraux, ça montre qu'il y a une certaine honneteté intellectuelle.

Tu peux ne pas etre d'accord avec tout, mais il faut reconnaitre que nb de nos idées sont partagées par pas mal d'individus, de gauche de droite et apolitiques.

L'essentiel est que les libéraux ne souhaitent pas imposer leur point de vue, tu pourrais tout à fait vivre dan une communauté, du moment où elle est volontaire (aucun membre n'est forcé de s'y joindre).

Nous nous battons surtout pour faire respecter notre droit individuel de ne pas subir la volonté de la majorité, ne pas subir le carcan étatiste tel qu'il est imposé.

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Les numerus clausus sont une abomination, d'autant plus que c'est l'Etat qui les imposent. On se demande pourquoi. Quand vous pensez que les licences pour les chauffeurs de taxi sont délégués par l'Etat. Pas étonnant qu'il y ait si peu de taxis et que les jeunes qui souhaitent devenir chauffeurs à leur tour en soient exclus !

En plus c'est anti-économique, car croyez-moi, si tout le monde ou presque pouvait devenir chauffeur, l'économie repartirait, ou du moins en partie.

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