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Shower thoughts


Vilfredo

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J’entends un groupe de jeunes dire pendant une discussion “oui je sais: toujours tout remettre en question, tout remettre en question…” et je me dis que, meme si dans un sens superficiel, Hayek a vu plutôt juste sur les désastres du cartésianisme politique. Le nouveau doute radical: suis-je sur que cet homme est un homme.

 

Maintenant on en est à “fuck la domination, fuck les bourgeois (plus fort) en même temps!”

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il y a 2 minutes, Vilfredo a dit :

toujours tout remettre en question, tout remettre en question…

... sauf l'injonction de tout remettre en question, évidemment. Ainsi que les derniers mots d'ordre politiques si ils émanent du bon côté. 

  • Yea 1
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il y a une heure, Vilfredo a dit :

Maintenant on en est à “fuck la domination, fuck les bourgeois (plus fort) en même temps!”

Où peut-on voir de tels spécimens ? À l'ENS? 

:popcorn:

il y a une heure, Vilfredo a dit :

oui je sais: toujours tout remettre en question, tout remettre en question

Ceux qui disposent d'un esprit critique n'ont pas besoin de ce genre de "rappels"/"trucs et astuces" 

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Quote

We cannot begin with complete doubt. We must begin with all the prejudices which we actually have when we enter upon the study of philosophy. These prejudices are not to be dispelled by a maxim, for they are things which it does not occur to us can be questioned. Hence this initial skepticism will be a mere self-deception, and not real doubt; and no one who follows the Cartesian method will ever be satisfied until he has formally recovered all those beliefs which in form he has given up. It is, therefore, as useless a preliminary as going to the North Pole would be in order to get to Constantinople by coming down regularly upon a meridian. A person may, it is true, in the course of his studies, find reason to doubt what he began by believing; but in that case he doubts because he has a positive reason for it, and not on account of the Cartesian maxim. Let us not pretend to doubt in philosophy what we do not doubt in our hearts.

 

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il y a 36 minutes, Lancelot a dit :

 

Quand tu poses ce genre de citations (qui sont pertinentes), ce serait chouette d'y adjoindre la source. Pas forcément une longue référence razorbaquesque, mais au moins le nom de l'auteur, peut-être le titre de l'essai aussi. Steuplé. :)

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C'est ma révolte contre Razorback en effet :lol:

Quand ce sont des trucs connus et facilement retrouvables je me dispense de la source (mais your mileage may vary sur ce qui est "connu" évidemment). En l'occurrence c'est Peirce dans Some Consequences of Four Incapacities.

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Je me pose la question suivante :

Admettons que l'on emprunte une livre à un club de lecture et que l'on promette qu'on va le rendre dans un temps indéfini mais pas trop long (donc il y a un contrat) mais qu'entretemps, pour diverses raisons indépendantes de notre volonté, on ne puisse finalement pas retourner sur place. Si bien, que lorsqu'on revient enfin au club de lecture les autres membres du club sont partis et l'on ne sait pas à qui s'adresser pour rendre le livre. Faisons l'hypothèse qu'il est inutile de contacter les anciens membres: ceux ci sont partis à l'étranger et ne peuvent rien faire pour solutionner le problème (ils ne connaissent pas les nouveaux membres) ou alors sont brouillés avec nous et ne repondent pas à nos messages. 

Que faire dans ce cas? Il n'y a pas boîtes aux lettre ou lieu de dépôt sûr, on ne peut pas non plus glisser le livre sous la porte. Peut-on laisser le livre ici mais ce serait de la négligence ou alors doit on le garder mais cela violerait le contrat?

Imaginons à présent une autre situation, symétrique de la précédente : on a remporté un prix (de piano, de poésie ou de theatre peu importe) mais pour les memes raisons que précédemment l'on ne peut se rendre sur place pendant un moment. La date limite de validité du prix arrive bientôt et paniqué, on propose de venir le chercher sur place mais l'organisateur n'est pas disponible.  Celui-ci propose de l'envoyer par la poste ou de faire un virement mais la date limite arrive et rien ne nous est parvenu.  Doit-on se sentir floué ou alors est ce juste sachant que l'on ne s'est pas rendu sur place immédiatement ou qu'on a attendu trop longtemps avant de réclamer le prix? 

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2 hours ago, Pelerin Dumont said:

Je me pose la question suivante :

Admettons que l'on emprunte une livre à un club de lecture et que l'on promette qu'on va le rendre dans un temps indéfini mais pas trop long (donc il y a un contrat) mais qu'entretemps, pour diverses raisons indépendantes de notre volonté, on ne puisse finalement pas retourner sur place. Si bien, que lorsqu'on revient enfin au club de lecture les autres membres du club sont partis et l'on ne sait pas à qui s'adresser pour rendre le livre. Faisons l'hypothèse qu'il est inutile de contacter les anciens membres: ceux ci sont partis à l'étranger et ne peuvent rien faire pour solutionner le problème (ils ne connaissent pas les nouveaux membres) ou alors sont brouillés avec nous et ne repondent pas à nos messages. 

Que faire dans ce cas? Il n'y a pas boîtes aux lettre ou lieu de dépôt sûr, on ne peut pas non plus glisser le livre sous la porte. Peut-on laisser le livre ici mais ce serait de la négligence ou alors doit on le garder mais cela violerait le contrat?

Imaginons à présent une autre situation, symétrique de la précédente : on a remporté un prix (de piano, de poésie ou de theatre peu importe) mais pour les memes raisons que précédemment l'on ne peut se rendre sur place pendant un moment. La date limite de validité du prix arrive bientôt et paniqué, on propose de venir le chercher sur place mais l'organisateur n'est pas disponible.  Celui-ci propose de l'envoyer par la poste ou de faire un virement mais la date limite arrive et rien ne nous est parvenu.  Doit-on se sentir floué ou alors est ce juste sachant que l'on ne s'est pas rendu sur place immédiatement ou qu'on a attendu trop longtemps avant de réclamer le prix? 

 

Ce que tu décris est un phénomène proche de la rouille, de l'usure naturelle des objets (en l'occurrence du fonds d'une bibliothèque) et devrait être vu, sous réserve que le phénomène reste marginal, comme faisant partie de la vie normale d'un club de lecture.

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  • 2 weeks later...

Bonsoir, je me permets de carjacker ce fil afin d'exposer mes jérémiades/geigneries sur les barèmes d'EPS différenciés selon le sexe (sujet complétement orthogonal au libéralisme) .

L'idée était de compenser l'inégalité physique naturelle entre garçons et filles

Or plusieurs objections s'offrent à nous :

  • Les barèmes différenciés sont mis en place dès la 6ème, Or du fait d'une puberté plus précoce en moyenne chez les filles, l'avantage moyen supposé des garçons est en fait très atténué, voire inversé (au moins de la 6ème à la 4ème)
  • La barème avantage systématiquement les filles (dans le sens où à performance égale, une fille aura une meilleure note), même dans les sports où l'avantage physique moyen est moins évident : tennis de table, cirque, step ou peut être 'dilué' : constitution d'équipes mixtes dans les sports collectifs
  • Si bien que la 'compensation' est totalement discontinue d'un sport à l'autre : les barèmes dans certains sports sont à peu près équitables : gymnastique, natation. Pour d'autres, en revanche, la différence de traitement est complètement disproportionnée : football (le différentiel moyen selon le sexe est trop élevé) , cirque (le niveau moyen des filles est supérieur aux garçons, avantage renforcé par le barème), course de fond (j'en ai vu certaines avoir la moyenne en marchant, chose impensable dans le cas contraire)
  • Certains sports sont séparés : lutte gréco-romaine, boxe (où l'on redécouvre subitement les vertus de la non mixité) ... d'autres non , pourquoi ne pas appliquer la logique jusqu'au bout?
  • Les variations entre individus de même sexe sont bien plus élevées que les variations entre les deux sexes : l'individu Bêta, de 1m65, 60 kg éprouvera quelques menues difficultés contre l'individu Chad 1m95 et 90 kg que ce soit en volley, en boxe ou en basket, pourtant, étant deux hommes, ils seront évalués pareillement.
  • La durée d'un cours de sport étant très limitée (un trimestre), je n'ai pas l'impression que es élèves aient le temps de progresser jusqu'au point où les écarts physiques  moyen jouent leur rôle . Autrement dit, l'écart entre un débutant garçon et une débutante fille est moins élevée qu'entre un expert olympique homme et une experte olympique femme (mais je peux me tromper).
  • On peut trouver "juste" de vouloir compenser une inégalité naturelle, mais pourquoi ne pas appliquer ce principe aux autre matières : certains élèves sont intelligents, d'autres plus lents d'esprits, pourquoi ne pas faire de barèmes adaptés dans ce cas là? Pourquoi se limiter aux seules inégalités physiques ?

Voilà j'ai fini ma complainte, sans doute est-ce un ramassis de mauvaise foi et que je cherche en vain des excuses à mes notes d'EPS désastreuses mais peut être certains partageront mes réflexions.

  • Yea 2
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il y a 3 minutes, Pelerin Dumont a dit :

un ramassis de mauvaise foi et que je cherche en vain des excuses à mes notes d'EPS désastreuses

Un type comme moi qui n'a réussi à grappiller un 10 en sport au bac que 1- parce qu'il y avait natation et 2- parce que le prof m'avait à la bonne ne peut que s'y reconnaître, avec quelques années de recul. :lol:

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Le problème de base, c'est surtout de vouloir noter l'EPS. Quel intérêt pédagogique?

 

Dans les autres matières, il y a des attentes claires, un intérêt à avoir une mesure (pour faire du soutien/remédiation/etc) et un bénéfice clair à motiver des efforts supplémentaires, puisqu'ils sont clé pour intégrer les connaissances et compétences attendues. Mais en sport? Le but est juste de faire bouger les élèves pour les faire se dépenser, et donner des bases d'échauffement/étirement etc (qui ne sont pas notées). Personne de se préoccupe vraiment du résultat (qui, de fait, n'a pas d'intérêt).

 

Mais

1 hour ago, Pelerin Dumont said:

Voilà j'ai fini ma complainte, sans doute est-ce un ramassis de mauvaise foi et que je cherche en vain des excuses à mes notes d'EPS désastreuses mais peut être certains partageront mes réflexions.

touché

  • Yea 2
  • Nay 1
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Ben dis donc tu en as passé des épreuves pour le bac en EPS toi.

 

Seul endroit où c'est vraiment important le barême.

 

 

En dehors de ça, j'ai eu de tout comme prof et donc comme barême.

De celui qui note la progression, celui qui note l'implication, celui qui note la performance pure, etc.

 

A part sur ceux qui notait la performance pure, en général j'avais plutôt de bonne note.

Le rugby a même été ma meilleure note à la fac.

 

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A chaque fois que quelqu'un commence un énoncé en "Je suis...", il énonce toujours ensuite une identité partielle: je suis ça, parmi d'autres choses (sauf s'il donne son nom; j'aime l'allemand qui n'emploie pas l'auxiliaire être (sein) dans ce cas mais un autre verbe, heißen). On ne peut jamais lire ce "suis" comme une identité. C'est seulement dans le cas des fous que le verbe prend un sens restrictif (d'identité). Quand un fou dit "Je suis une tomate", ce n'est pas "Je suis une tomate entre autres choses", d'un certain point de vue parce que (et c'est compréhensible pour nous, ce qui est en soi bizarre) être une tomate occupe entièrement leur esprit et donc, pratiquement, les empêche d'être quoi que ce soit d'autre (i.e. d'assumer leurs fonctions sociales normales qui rendraient vrais des énoncés comme: "Je suis un mari, un père, un ingénieur"), ce qui les caractérise comme fous, et d'un autre point de vue pourtant (et c'est incompréhensible pour nous, ce qui n'est pas étonnant, pourvu que nous ne soyons pas fous), ce n'est pas exact, car être une tomate n'est pas si exclusif qu'il entre vraiment en contradiction avec le reste des choses qu'ils sont: par exemple, ils parlent, mais ils sont une tomate; très bien, ils seront donc une tomate qui parle (classical psychosis). C'est donc bien un "être" d'identité dans "Je suis une tomate", mais évidemment une identité impossible parce qu'une identité entre deux termes (le principe d'identité, ce n'est pas A = B, c'est A = A). Logiquement, un homme qui serait devenu une tomate ne devrait être que ça, mais ce qui manque, à ce qu'il me semble, dans les témoignages des psychotiques, est le changement: quand sont-ils devenus une tomate? Peut-être que la thérapie a précisément pour but d'historiciser le trouble dans ce but précis. On ne peut donc même pas comparer, comme on pourrait être tenté de le faire, "Je suis une tomate" à "Je suis un homme", parce que "Je suis un homme" n'implique pas que je sois identique à quoi que ce soit d'autre justement: il n'y a aucune entité que je pourrais pointer du doigt et dire: "Je suis cette chose". Si on me demande de me montrer du doigt, je montrerais plus volontiers une photo de moi plutôt que de montrer mon voisin et dire "Je suis une de ces choses/un de ces êtres-là". Je me demande si un fou à qui on montre une tomate dirait: "Je suis une de ces choses-là" ou s'il répondrait "Mais non voyons, pas une tomate comme ça!" C'est ce qui me fait penser que le psychotique est un solipsiste.

 

Réflexion en lisant Louis Sass.

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18 minutes ago, Vilfredo said:

Quand un fou dit "Je suis une tomate", ce n'est pas "Je suis une tomate entre autres choses"

[...]

Je me demande si un fou à qui on montre une tomate dirait: "Je suis une de ces choses-là" ou s'il répondrait "Mais non voyons, pas une tomate comme ça!"

Ben du coup la question c'est quel genre de tomate ?

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à l’instant, Lancelot a dit :

Ben du coup la question c'est quel genre de tomate ?

Ça pourrait leur sembler aussi bizarre que si je te pose la question: quel genre d'homme? Il y a deux réponses possibles: soit "mon" genre d'homme, quelle question!, ou alors un homme gentil, travailleur, qui a de l'humour. Je ne sais pas ce qu'un fou dirait. Parfois on a l'impression qu'ils sont exactement comme tout le monde, à cette toute petite différence près qu'ils sont une tomate, et parfois on a l'impression qu'être une tomate est tout ce qu'ils sont. Peut-être que la deuxième façon de se présenter est celle qui leur vient d'abord quand on demande, et qu'ils passent à la deuxième "stratégie" devant des objections, ce qui fait dire aux psychanalystes qu'essayer de raisonner un psychotique, c'est renforcer ses stratégies de défense.

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Pour le dire autrement, ce qui leur est inaccessible c'est le "rien que": ils ne peuvent pas être rien que ce qu'ils sont, parce qu'ils ne peuvent pas être rien qu'une tomate. Ils doivent aussi être une tomate qui parle, qui marche etc. donc tu as raison, un genre précis de tomate. Tandis que les gens normaux peuvent être "rien que": rien qu'un homme parmi d'autres par exemple, ce qui n'exclut pas du tout d'être un homme qui parle, qui marche etc. C'est plus clair ainsi. Et ils ne peuvent pas non plus, donc, être "une" tomate.

 

Dans l’Abrégé de psychanalyse, Freud va reconnaître que même dans la psychose, le moi ne se détache jamais complètement de la réalité (comme si au fond d’eux-mêmes, "quelqu’un" (une personne normale) savait qu’ils déliraient). Sass remarque dans son livre que le psychotique se caractérise toujours par une certaine ironie sur leur délire. Ce n’est pas une critique rationnelle du délire (qui témoignerait d’une réflexivité dont ils manquent) mais une mise à distance : e.g. ils vont dire que la nourriture est empoisonnée et la manger quand même, dire qu'ils sont une tomate, mais une tomate qui parle, j'ai presque envie de dire: une tomate comme vous et moi.

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Ça ne me paraît pas si bizarre qu'on me demande quel genre d'homme je suis. Enfin disons que ça dépend du contexte de la conversation mais ce n'est pas un truc incongru auquel je n'ai jamais pensé ou sur lequel je n'ai pas envie de discuter.

Concernant le gars qui dit qu'il est une tomate je serais tenté de lui demander quel genre de tomate dans le sens : verte, rouge, tomate cerise ?

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il y a 2 minutes, Lancelot a dit :

Concernant le gars qui dit qu'il est une tomate je serais tenté de lui demander quel genre de tomate dans le sens : verte, rouge, tomate cerise ?

Well il peut être n'importe quelle sorte de tomate. Tu veux dire que tu penses l'attraper sur un manque de précision dans l'auto-description?

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C'est marrant d'ailleurs (digression) la différence entre ces deux phrases quasiment identiques grammaticalement: "quel est votre genre d'homme?" et "quel genre d'homme êtes-vous?"

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il y a 4 minutes, Marlenus a dit :

Vous parlez sérieusement des xénogenres?

 

il y a 3 minutes, Vilfredo a dit :

Non, des psychotiques.

Quelle différence ?

 

:jesors:

  • Haha 2
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28 minutes ago, Vilfredo said:

Well il peut être n'importe quelle sorte de tomate. Tu veux dire que tu penses l'attraper sur un manque de précision dans l'auto-description?

Je ne veux pas le piéger ou le contrarier ou quoi que ce soit. Je suis juste curieux de son monde intérieur. Par exemple je bosse un peu sur l'imagerie mentale visuelle, le mécanisme qui fait que si tu me demandes de penser à une tomate je suis capable d'en avoir une image dans ma tête et de te la décrire (quelle couleur, quelle taille, combien de feuilles...). Est-ce qu'il se représente lui-même d'une manière similaire ? Est-ce qu'il s'identifie à une idée générique de tomate ou à un type particulier (tomate cerise) ou au  souvenir d'une tomate particulière qu'il a rencontré dans sa vie ?

  • Yea 2
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il y a 23 minutes, Vilfredo a dit :

C'est marrant d'ailleurs (digression) la différence entre ces deux phrases quasiment identiques grammaticalement: "quel est votre genre d'homme?" et "quel genre d'homme êtes-vous?"

Le premier porte sur les critères de recherche d'un partenaire et l'autre c'est pour se décrire dans un certain contexte social (mais ca peut aussi s'appliquer à la premiere situation non? En réponse à la première question : Ah je suis attiré par tel type d'homme et vous, pensez vous repondre à cette description?). Sinon je croyais que les fous se prenaient pour Napoléon, pas pour des tomates. (Quel genre de Napoléon êtes vous? Plutôt Petit Caporal ou Ogre Corse?)

il y a 22 minutes, Marlenus a dit :

Vous parlez sérieusement des xénogenres?

S'identifier à une tomate c'est être un xenogenre? J'ai rate une mise à jour 

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il y a 3 minutes, Pelerin Dumont a dit :

Sinon je croyais que les fous se prenaient pour Napoléon, pas pour des tomates.

C'est bien un indice fort de la petitesse de notre époque. :lol:

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12 minutes ago, Pelerin Dumont said:

 

S'identifier à une tomate c'est être un xenogenre? J'ai rate une mise à jour 

Ils font partie de la galaxie:

 

"Le néologisme xénogenre vient du grec xeno (l'autre). Les xénogenrés (ou xenogenders en anglais) sont donc des individus qui s'identifient à un « autre » genre : animal, végétal, objet inanimé ou même « humeur » , précisent les réalisateurs du documentaire."

 

https://www.ladn.eu/nouveaux-usages/xenogenders-definition-tendance-ego/

 

 

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