Aller au contenu

Scandale Du Siecle Or Troll ?


Messages recommandés

Ben oui ma chérie, mais justement, l'accès à l'emploi est lié à la couleur de la peau dans notre beau pays. Essaye de faire des liens logiques quant tu réflechis ma puce, ca va venir.

Sinon, pour le troupeau de moutons orwelliens qui continue d'aboyer que je suis un socialiste sans comprendre pourquoi - quand un mouton se précipite dans un précipice tout le troupeau suit , c'est vrai  :icon_up:  -  : si vous essayiez de me dire en quoi ce que je dis est faux aulieu d'utiliser sans arrèt la même dialectique en face de laquelle un militant lycéen FIDL parait un intellectuel pétri d'arguments.

Bon, je sais, le patrimoine culturel que vous tenter de faire passer pour libéral est minuscule et binaire, mais quant même rien qu'une fois, ce serait rigolo que vous tentiez d'aligner une suite de raisonnement.

Ce pauvre forum pourrait peut-être s'élever au-dessus de l'aphorisme de une ligne et demi d ustyle " ah ouais, le che y pu du cul" , " ouais jean-claude, terrible ton blog libérâle avec 2 visites par ans".

Vous, moi, vous, moi, vous, moi, vous, moi.

Moi, c'est comme vous, mais en mieux. Et moi, vous me comprenez pas, vous vous comprenez que vous.

Moi moi, moi, moi, moi. Vous, mais pas moi, et moi mais pas vous.

Voilà, vous et moi c'est pas pareil.

Lien vers le commentaire
J'ai d'abord cru que Chitah nous faisait un remake du tube "Confidences pour confidences", Jean Schulteiss (1981) ! :icon_up:

Ah mais quelle culture, j'avoue que je n'y avais pas pensé! :doigt:

Quand au reste, ce que j'ai écrit c'est tout simplement ce que mon cerveau lit à chaque fois que notre ami Dovobo écrit quelquechose.

Lien vers le commentaire
Ben oui ma chérie, mais justement, l'accès à l'emploi est lié à la couleur de la peau dans notre beau pays.

Ah oui ?! Et t'expliques comment que mon mari NOIR et analphabète a du travail en France ?!

Et t'expliques comment les situations de Chitah et Malik, qui, à moins qu'ils ne m'aient trompé, ne sont pas ce que j'appelle blanc ?

La connerie est multicolore mon gars, et ta blancheur ne t'exonères pas du défaut.

Essaye de faire des liens logiques quant tu réflechis ma puce, ca va venir.

Il te manque un bout de raisonnement, c pour ça que tu comprends pas.

Le fait que la majorité des jeunes qui ont eu "la chance" de la carte scolaire ne savent ni lire ni ecrire correctement le français.

C un frein à l'emploi bien plus pertinent que la couleur.

Sinon, pour le troupeau de moutons orwelliens qui continue d'aboyer que je suis un socialiste sans comprendre pourquoi - quand un mouton se précipite dans un précipice tout le troupeau suit , c'est vrai  :icon_up:  -  : si vous essayiez de me dire en quoi ce que je dis est faux aulieu d'utiliser sans arrèt la même dialectique en face de laquelle un militant lycéen FIDL parait un intellectuel pétri d'arguments.

Bon, je sais, le patrimoine culturel que vous tenter de faire passer pour libéral est minuscule et binaire, mais quant même rien qu'une fois, ce serait rigolo que vous tentiez d'aligner une suite de raisonnement.

Ce pauvre forum pourrait peut-être s'élever au-dessus de l'aphorisme de une ligne et demi d ustyle " ah ouais, le che y pu du cul" , " ouais jean-claude, terrible ton blog libérâle avec 2 visites par ans".

et toi la science infuse t là pour nous remettre à l'heure ?

:doigt:

Lien vers le commentaire

Vous, moi, vous, moi, vous, moi, vous, moi.

Moi, c'est comme vous, mais en mieux. Et moi, vous me comprenez pas, vous vous comprenez que vous.

Moi moi, moi, moi, moi. Vous, mais pas moi, et moi mais pas vous.

Voilà, vous et moi c'est pas pareil.

Lien vers le commentaire
Ah oui ?! Et t'expliques comment que mon mari NOIR et analphabète a du travail en France ?!

Chais pas, il est dans le porno? MMMhhh coôôquinette.

Et t'expliques comment les situations de Chitah et Malik, qui, à moins qu'ils ne m'aient trompé, ne sont pas ce que j'appelle blanc ?

Intéressante ta dialectique, comme s'il y avait une subjèctivité de la blancheur. C'est un peu le même type de réflexion lorsque les "casseurs" font une distinction entre les bons et les mauvais blancs : ceux qui ont le crâne rasé et un survet comme eux et, les autres.

Ce genre de raisonnement met bien en lumière notre acceptation de l'autre en société : sectaire. Ainsi, ta question à propos de tes deux collègues veut m'interpeller sur le fait qu'ils portent probablement un costard - et artifices du même acabit- et sont assimilés à la norme admise de l'homo economicus franchouillardus.

Contrairement à ce que tu crois cocotte, je ne m'amuse pas à dire pour rien qu'il s'agit de racisme et pas d'autre chose, je ne m'amuse pas non plus à dire que c'est une simple haine de couleur, je ne m'amuse pas à voir que c'est une distinction ethnique, sociale, ethique, modale qui va bien au-delà de l'attitude de quelques écervellés banlieusard et caractèrise une dichotomie imposée depuis des temps illustres.

Pour beaucoup vous y prenez part sans même le savoir, avec vos réflexes idéologies g®avés profond dans la cervelle, rien ne semble pouvoir attènuer votre ferveur de la manifestation d'une identité manichéenne.

Le fait que la majorité des jeunes qui ont eu "la chance" de la carte scolaire ne savent ni lire ni ecrire correctement le français.

L'orthographe, invention aristocratique, prolongement du piège ubique qu'est le langage; mais, tout n'est pas perdu pour toi chérie, tu pourrais, par exemple, rendre à la phrase ci-dessus, gallimatia foireux, l'honneur d'avoir un sens et une syntaxe.

et toi la science infuse t là pour nous remettre à l'heure ?

Mon chemin de croix est à peine entamé. :doigt::icon_up:

Lien vers le commentaire

Personellement je pense que oui, la non-dialectique (et la dialectique) de l'ubique désir du libéral de nuire à la portée sémiologique du contenu social de cette petite planète bleu me paraît de nature à…… merde je sais plus ce que je voulais dire.

Mais bon, in fine, vous devez comprendre un truc les libéraux: moi c'est pas vous, et vous c'est pas moi.

Et ainsi, les vaches seront….euh oui…. voilà, vous le savez, comme moi, la vie est dure.

Lien vers le commentaire

Mon syncrétisme aristotélo-phénicien fait des merveilles, je vais peut-être aller m'acheter des chips en l'honneur de ce être sublime.

Et tiens, les libéraux, que pensez-vous de la relation homme/chaussure en Ouzbékistan? C'est bien la preuve que non, n'est-ce pas?

Tiens, j'allais oublier: j'écris un livre en ce moment avec Primavera, ça s'appele "Ethologie du sur-moi en situation de cascade extrême type Colt Silvers".

Lien vers le commentaire
ta question à propos de tes deux collègues veut m'interpeller sur le fait qu'ils portent probablement un costard - et artifices du même acabit-  et sont assimilés à la norme admise de l'homo economicus franchouillardus.

Je suis bien d'accord, je trouve que les taux d'intérêts de la Banque de Chine ne devrait pas être un nombre premier. Sinon, ça va relancer le tsunami, c'est presque sûr d'après la conjonction planètaire des dauphins du Bengale.

Lien vers le commentaire
:doigt: Mmmm, parlez-moi de votre représentation du père, Chitah, que symbolise pour-vous le paradigme oedipo-doltien vis-a-vis de vos discutions politiques?  :icon_up:

Je ne joue que les nombres impairs, désolé mais je refuse votre propagande.

Et quand au parapluie que vous mentionnez, je ne vois pas le rapport avec les discussions politiques.

Je pense donc que vous etes quelqu'un de malintentionné, et peut-être même de couleur verte.

Lien vers le commentaire
Décomposition nette des phrases en deux, intéressant, ce bi-polarisme est plein d'enseignements.

Tiens, une petite ref pour toi vieux macaque, Ronald D. Laing " La politique de l'expérience". Tu n'en deviendrais pas adulte, mais peut-être adolescent.

Je suis bien d'accord, le statut d'adulescent que je recherche dans ces vertes prairies est bien lié à ce médiatique tri-polarisme que je cherche à supposer.

Lien vers le commentaire

Dovobo tu n'as toujours pas répondu à ceci :

Tu négliges un phénomène inéluctable et une réalité bien plus heureuse que la grisaille banlieusarde qu'on nous sert à la soupe du JT quotidien et dans les meetings socialistes : depuis près de deux générations de plus en plus de gens issus de l'immigration, maghrébine et africaine notamment, se font une place professionnelle que leurs parents ou grands-parents n'auraient pas osé imaginer.

Contestes-tu preuves à l'appui cette réalité ?

Lien vers le commentaire
Invité jabial

Moi ce qui me fait rigoler c'est l'asimiliation du costard-cravatte aux blancs. C'est vraiment se foutre de la gueule du monde. Le costard-cravatte est le symbole de l'appartenance au monde professionnel, point. Le jeune blanc ne grandit pas en costard cravatte, il doit s'y adapter - et c'est pareil pour le jeune pas blanc. Et les mecs qui ne veulent pas s'y adapter et qui vont ensuite se plaindre du "racisme" des recruteurs me font rigoler.

Le costard-cravatte veut dire "je suis un membre du monde du travail". Je suis sérieux, ou du moins, je me présente comme tel.

Le survet crâne rasé veut dire "je hais le monde du travail, j'en ai rien à foutre de vos sales gueules de bourgeois, et j'ai de la sympathie pour les mecs qui rackettent les connards en costard comme toi" - au plus bas niveau, comme au plus haut niveau.

Les vêtements, comme toute apparence humaine, sont un mode d'expression. Parce qu'ils sont choisis, ils ont un langage qu'on ne peut ignorer. Et au prix d'une chemise et d'un costard basique comparé à celui d'un survet de marque, raconter qu'exiger le costard est une discrimination contre les pauvres s'est se foutre du monde encore plus.

Je ne fais pas de différences entre membres de mon peuple et non-membres, entre personnes de ma couleur de peau et personnes qui ne l'ont pas. Je ne distingue que deux catégories de personnes : celles qui sont prêtes à travailler avec moi (ce qui peut inclure le fait que je travaille "pour" eux ou qu'ils travaillent "pour" moi) d'une part, et celles qui sont simplement prêtes à se laisser voler par moi si je suis plus fort et à me voler si je suis moins fort d'autre part.

Les premières gens sont des gens civilisés ; ils ont un honneur, une morale humanistes et sont une élite de l'humanité, même s'ils sont pauvres et analphabètes. Les secondes sont des barbares qui sont un poison pour l'humanité, surtout s'ils sont riches, intelligents et cultivés - ils n'en feront que plus de mal.

Aujourd'hui mon combat est de libérer l'humanité de la morale des bandits fiers de l'être et des victimes autoproclamées ; aujourd'hui mon combat est de libérer ceux des hommes qui sont prêts à faire le choix d'un chemin difficile mais droit, quelques soient leurs erreurs passées, et à combattre ceux qui font leur malheur.

Ce n'est pas l'affaire d'une révolution mais d'une lutte soutenue et de longue haleine, à laquelle il faudra toutes sortes d'avocats, d'insurgés et de sympathisants ; si le courage me manque un autre prendra ma suite. Tous les mots des absurdistes ne pourront nous arrêter car nous représentons la vérité et la justice dans un monde de mensonges et de trahisons où chacun vit dans l'espoir que son prochain tombe pour pouvoir dominer la foule, juché sur son cadavre.

Lien vers le commentaire
Moi ce qui me fait rigoler c'est l'asimiliation du costard-cravatte aux blancs. C'est vraiment se foutre de la gueule du monde. Le costard-cravatte est le symbole de l'appartenance au monde professionnel, point. Le jeune blanc ne grandit pas en costard cravatte, il doit s'y adapter - et c'est pareil pour le jeune pas blanc. Et les mecs qui ne veulent pas s'y adapter et qui vont ensuite se plaindre du "racisme" des recruteurs me font rigoler.

Le costard-cravatte veut dire "je suis un membre du monde du travail". Je suis sérieux, ou du moins, je me présente comme tel.

Le survet crâne rasé veut dire "je hais le monde du travail, j'en ai rien à foutre de vos sales gueules de bourgeois, et j'ai de la sympathie pour les mecs qui rackettent les connards en costard comme toi" - au plus bas niveau, comme au plus haut niveau.

Les vêtements, comme toute apparence humaine, sont un mode d'expression. Parce qu'ils sont choisis, ils ont un langage qu'on ne peut ignorer. Et au prix d'une chemise et d'un costard basique comparé à celui d'un survet de marque, raconter qu'exiger le costard est une discrimination contre les pauvres s'est se foutre du monde encore plus.

Je ne fais pas de différences entre membres de mon peuple et non-membres, entre personnes de ma couleur de peau et personnes qui ne l'ont pas. Je ne distingue que deux catégories de personnes : celles qui sont prêtes à travailler avec moi (ce qui peut inclure le fait que je travaille "pour" eux ou qu'ils travaillent "pour" moi) d'une part, et celles qui sont simplement prêtes à se laisser voler par moi si je suis plus fort et à me voler si je suis moins fort d'autre part.

Les premières gens sont des gens civilisés ; ils ont un honneur, une morale humanistes et sont une élite de l'humanité, même s'ils sont pauvres et analphabètes. Les secondes sont des barbares qui sont un poison pour l'humanité, surtout s'ils sont riches, intelligents et cultivés - ils n'en feront que plus de mal.

Aujourd'hui mon combat est de libérer l'humanité de la morale des bandits fiers de l'être et des victimes autoproclamées ; aujourd'hui mon combat est de libérer ceux des hommes qui sont prêts à faire le choix d'un chemin difficile mais droit, quelques soient leurs erreurs passées, et à combattre ceux qui font leur malheur.

Ce n'est pas l'affaire d'une révolution mais d'une lutte soutenue et de longue haleine, à laquelle il faudra toutes sortes d'avocats, d'insurgés et de sympathisants ; si le courage me manque un autre prendra ma suite. Tous les mots des absurdistes ne pourront nous arrêter car nous représentons la vérité et la justice dans un monde de mensonges et de trahisons où chacun vit dans l'espoir que son prochain tombe pour pouvoir dominer la foule, juché sur son cadavre.

Bravo, Jabial !! :icon_up: !!

Lien vers le commentaire
Moi ce qui me fait rigoler c'est l'asimiliation du costard-cravatte aux blancs. C'est vraiment se foutre de la gueule du monde. Le costard-cravatte est le symbole de l'appartenance au monde professionnel, point. Le jeune blanc ne grandit pas en costard cravatte, il doit s'y adapter - et c'est pareil pour le jeune pas blanc. Et les mecs qui ne veulent pas s'y adapter et qui vont ensuite se plaindre du "racisme" des recruteurs me font rigoler.

Le costard-cravatte veut dire "je suis un membre du monde du travail". Je suis sérieux, ou du moins, je me présente comme tel.

Le survet crâne rasé veut dire "je hais le monde du travail, j'en ai rien à foutre de vos sales gueules de bourgeois, et j'ai de la sympathie pour les mecs qui rackettent les connards en costard comme toi" - au plus bas niveau, comme au plus haut niveau.

Les vêtements, comme toute apparence humaine, sont un mode d'expression. Parce qu'ils sont choisis, ils ont un langage qu'on ne peut ignorer. Et au prix d'une chemise et d'un costard basique comparé à celui d'un survet de marque, raconter qu'exiger le costard est une discrimination contre les pauvres s'est se foutre du monde encore plus.

:icon_up:

J'ai le souvenir d'une personne qui préférait louper un bon job plutôt que porter une cravate (un seul T à cravate Jabial :doigt: ).

Heureusement il en assumait complètement la responsabilité au lieu de nous faire comme Dovobo un discours convenu sur le conformisme bourgeois dans la jungle ultralibérale de l'entreprise privée et l'assimilation forcée des pauvres immigrés maghrébins prêts à perdre leur identité culturelle et s'étrangler d'une cravate en soie pour un poste de cadre chez Microsoft.

Lien vers le commentaire
Je signale par ailleurs que le Coran n'interdit pas le port de la cravate, à tout hasard.

C'est tout à fait vrai.

Plusieurs passages du Coran font allusion aux vêtements, et notamment au "voile", de la femme musulmane (Coran sourate XXIV, versets 31 et 60 ainsi que sourate XXXIII, verset 59). Le Coran insiste sur le principe suivant : Il est recommandé principalement aux croyantes de ne pas exposer leurs agréments (parures et atours corporels). Au sujet du vêtement, aucune description précise n'est faite dans le Coran mais seulement dans la Sunnah. Le vêtement ne doit pas être serré ou transparent, ne pas attirer les regards ni ressembler aux vêtements des mécréants.

Du classique, quoi.

Lien vers le commentaire

Aha, encore que ! Si le Coran est muet, la Sounna par contre semble interdire la cravate !

La cravate n'est-elle pas un vêtement de mécréant ("cravate" vient de "croate") et ne pointe-t-elle pas vers le zob de celui qui la porte, la forme phallique du vêtement accentuant d'ailleurs le message ?

ERGO, le non-port de la cravate désigne à la furie du peuple le terroriste islamiste.

Le débat est lancé.

J'attends avec émotion la contribution du Sheikh Del Valle. :icon_mrgreen:

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...