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Carl Barks

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Tout ce qui a été posté par Carl Barks

  1. A priori, sans vérifier, je dirais que ce sont des partis frères des Démocrates mais techniquement séparés (je crois qu'il y a le Democratic Labor dans le Minnesota)
  2. Il n'est pas mal parti en Géorgie, non plus (derrière dans le décompte mais avec une situation a priori très favorable dans ce qui reste). Mais si on parle de marges de ce type, c'est parti pour des semaines de contestation à côté desquelles Bush/Gore 2000 aura l'air d'une partie de plaisir. Franchement, je trouve ça distrayant de l'autre côté de l'Atlantique mais je plains les Américains (des deux bords) qui passent déjà des mois à se ronger les ongles.
  3. Oui, je viens de voir en refaisant l'historique des scores du parti. J'avais oublié à quel point ça tourne habituellement à moins d'un pour cent et combien M. Aleppo avait finalement réalisé une belle performance en 2016. Ca m'a rappelé la première fois que j'ai vu le mot "libertarien", en 2004. C'était un article sur les petits candidats et en lisant les idées de Badnarik, je m'étais dit "eh, pourquoi pas ?" (J'avais 17 ans, le temps passe).
  4. Mais trois fois moins que Johnson en 2016 ?
  5. Désolé de citer encore du Nate Silver, mais oui, un tel retournement est largement possible: https://fivethirtyeight.com/features/why-pennsylvanias-vote-count-could-change-after-election-night/?cid=taboola_rcc_r D'ailleurs, Trump le sait très bien. C'est la base de sa stratégie de se déclarer vainqueur tout de suite et d'agiter le spectre de fraudes électorales.
  6. Biden a obtenu une partie des grands électeurs du Nevada, qui ne les donne pas en un bloc uni. La Géorgie, ce sont des coins très démocrates qui restent à dépouiller (comme le Wisconsin). Et la Pennsylvanie, c'est là qu'il y a énormément de votes par correspondance d'électeurs inscrits comme Démocrates... Bref, c'est du 50 50 même si je ne m'attendais pas un résultat aussi serré.
  7. Heure par heure, ce que l'on peut attendre (pour mémoire, il faut ajouter 6 heures pour nous : 19h = 1 heure du matin) https://fivethirtyeight.com/features/both-candidates-might-fall-short-of-270-electoral-votes-on-election-night-but-how-close-might-they-get/ Mais difficile de te répondre car il y a de grandes chances que ce soit effectivement serré dans de nombreux États clé avec des votes par correspondance qui mettront peut-être des jours à être dépouillés. Personnellement, je surveillerais surtout la Floride. Ils comptent vite et, si vers deux heures du matin, on sait que Biden l'a remportée, il sera quasiment sûr de gagner, vu ses sondages ailleurs. A l'inverse, une victoire de Trump là bas le boostera mais ne lui donnera pas le morceau. Après, si la Floride nous refait une Bush Gore 2000,on sera bien avancé...
  8. Ouh, je crois que voici un champion: Vers la pleine santé par l’Etat social-écologique
  9. Du coup, il faut penser quoi des républiques islamiques ? :-/
  10. La Française en question, ça fait un an qu'elle est partie diriger la BCE ? Mais tant qu'à pointer l'influence néfaste du socialisme gaulois, c'est surtout Oliver Blanchard (ex-économiste en chef) qui a bien poussé la communication du FMI vers le keynésianisme qui tache.
  11. Bah, c'est très bien, la déflation. Ca plaira à tous les Autrichiens du forum ?
  12. Il est largement associé au bon score des Verts aux municipales de 2019. Mais comme le dit @Adrian, le maire de Grenoble a aussi les dents longues. C'est sûrement pour ça que Jadot tente d'occuper le terrain.
  13. Alors, 1) Un Sénat républicain serait un contrepoids très conséquent. Et que même dans le camp démocrate, on aura des sénateurs pas franchement enclins à laisser passer les pires délires gauchisants. 2) C'est beaucoup plus de la futurologie au doigt mouillé mais je suis convaincu qu'une présidence Biden (ou Harris si tu veux) va vite provoquer des désillusions. S'il est élu, ce sera essentiellement par vote anti-Trump et c'est le type de soutien qui se désagrège vite (l'effet François Hollande, quoi). D'autant qu'il aura encore une crise du virus à gérer pendant un bon moment et que la plupart des dirigeants mondiaux y laissent des plumes. Donc c'est la porte ouverte à un Républicain à la Maison Blanche en 2024, alors que quatre nouvelles années de Trump vont radicaliser le camp démocrate et ouvrir la voie à un héritier de Sanders, type AOC. Mais, malheureusement, tout ça n'est pas très réaliste car on va tout droit vers un grand chelem des Démocrates, Présidence + Sénat + Représentants.
  14. Personnellement, je suis même d'avis que le scénario Biden président-Sénat républicain est le plus souhaitable (la Chambre étant quasiment acquise aux Démocrates ce coup-ci, la question se pose peu).
  15. Carl Barks

    Actualité Covid-19

    Oh, les "speed traps", les petites communes avec une limitation de vitesse super basse pour piéger l'automobiliste de passage, c'était aussi censé être un grand classique aux USA. Après, on lit ça dans les romans des années 60/70. Je ne sais pas à quel point ça existe toujours.
  16. En tout cas, il m'a toujours fait l'effet d'un type sympa avec qui on a envie de prendre un café. C'était ma contribution constructive au débat Raymond Aron, désolé.
  17. Vu comment le FDP galère et n'a pas su capitaliser sur son retour en force en 2017, ça n'est pas forcément de bon augure pour ACT. Je suis heureux de voir leur bon score mais je suis sceptique quant à leur capacité à aller plus loin. J'ai surtout l'impression qu'ils profitent du marasme du grand parti conservateur, complètement à la ramasse face à la popularité exceptionnelle de Jacinda Arden. Or, je soupçonne que celle-ci finira par s'étioler et redonnera de l'air à la droite classique.
  18. "Rudy Guilani" On sent qu'il maîtrise bien son sujet.
  19. On est absolument d'accord. À la rigueur, on peut quand même dire que Sanders a été moins performant qu'en 2016 et avancer que Biden est mieux parti que Clinton pour fédérer son camp
  20. Ce qui, ceci dit, n'est pas non plus très parlant. On imagine bien les Républicains ne pas se déplacer en masse pour une primaire courue d'avance
  21. Disons qu'un électeur de Biden ne me semble pas forcément un électeur de Bloomberg (que j'imagine bien mal avoir autant glané de votes afro-américains). Mais qu'à l'inverse, un électeur de Bloomberg va naturellement voter Biden.
  22. Les grands esprits se rencontrent D'ailleurs, on peut largement considérer qu'en l'absence de Bloomberg, ses voix seraient allées à Biden. Leurs électorats me semblent très proches.
  23. Je ne comprends pas le sens de ces comparaisons. En 2016, Clinton n'avait que Sanders face à elle. En 2020, en Caroline du Nord, Biden avait encore trois adversaires en lice: Sanders, à nouveau, mais aussi Bloomberg et Warren. A l'inverse, les primaires républicaines de 2016 ont été très compétitives et c'était encore le cas au moment du scrutin dans cet état. Trump faisait face à Cruz, Kasich et Rubio. Cette année, c'est le président sortant sans réel adversaire, évidemment qu'il gagne des voix !
  24. Je propose de nous appeler la "vraie gauche".
  25. On peut dire que Coffin est en train de clouer son propre cercueil, quoi.
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