Actualité Covid-19

[Lancelot]

Donc dans les nouveaux enfers orwelliens il y a l'Australie, le Canada, et après qui ?

[fm06]

N’oublions pas la Nouvelle Zélande.

[SilenT BoB]

Tous des pays anglo-saxons…. Bizarre.

[Vilfredo]

  Le 20/02/2022 à 19:52, SilenT BoB a dit :

Tous des pays anglo-saxons…. Bizarre.

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Heu la Chine?

[Bézoukhov]

C'est un enfer confuceen la Chine. Pas orwellien.

[Mégille]

  Le 20/02/2022 à 20:11, Bézoukhov a dit :

C'est un enfer confuceen la Chine. Pas orwellien.

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Un enfer fajia, qui n'a rien à voir avec le rujia. 

[poincaré]

  Le 19/02/2022 à 14:06, Stephdumas a dit :

 

Faudrait peut-être passer le même message à ZeroHedge. ? 

https://www.zerohedge.com/news/2022-02-18/what-are-pfizer-and-moderna-hiding

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Arf, il faut déjà que je commence par lire celui-là : https://www.zerohedge.com/health/man-behind-global-coronavirus-pandemic

[Lexington]

  Le 19/02/2022 à 14:06, Stephdumas a dit :

 

Faudrait peut-être passer le même message à ZeroHedge. ? 

https://www.zerohedge.com/news/2022-02-18/what-are-pfizer-and-moderna-hiding

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Assez comique à lire quand on sait que le fondateur de ZeroHedge a été condamné pour insider trading

[Airgead]

  Le 21/02/2022 à 08:30, Lexington a dit :

 

Assez comique à lire quand on sait que le fondateur de ZeroHedge a été condamné pour insider trading

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C'est bien pour ça qu'ils sont bons pour les exposer.

ZH a un historique long comme le bras de dénonciation de manipulation de marché.

Insiders = tout le monde, c'est juste que seuls certains se font gauler.

 

  Le 20/02/2022 à 15:30, Lancelot a dit :

Donc dans les nouveaux enfers orwelliens il y a l'Australie, le Canada, et après qui ?

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Pour répondre à cette question, il suffit de regarder l’organigramme. Après, faut accepter de voir ce qu'on voit.

 

 

 

 

 

 

[Loi]

Johnson? ah bon?

[Airgead]

Faut juste ouvrir ses yeux et ne pas avoir peur de voir ce que l'on voit : https://www.weforum.org/people/boris-johnson

[Loi]

Non mais Johnson je l'ai trouvé plutôt bon par rapport aux autres politiques présents sur les photos ci dessus!

 

Ca me fait rire de le voir rabaissé à leur niveau.

 

Pour rappel énormément de mesures anti covid ont déjà été levées en Angleterre.

 

Et d'ailleurs aujourd'hui doit être présenté leur plan terminal pour y mettre totalement fin (à ces mesures anti covid), et notamment l'abandon de l'obligation légale pour les malades du Covid de s'isoler et la fin des tests gratuits.

[Airgead]

* temporairement

[Marlenus]

Je voulais mettre ça dans les petites phrases, mais vu que c'est sur le COVID je place cela ici.

 

A propos de la levée des restrictions qui vont arriver.

 

On entend bien la lassitude de la population en bonne santé. Mais, trouvons-nous normal de conduire à l'autoconfinement les plus de 300.000 personnes immunodéprimées en France ainsi que les quelque 600.000 de plus de 80 ans, tous ceux qui s'occupent d'eux ou vivent à leurs côtés, et les quelque 3,3 millions de familles ayant un enfant de moins de 6 ans?

 

http://www.slate.fr/story/223755/levee-mesures-sanitaires-covid-masque-personnes-vulnerables-immunodeprimees-solidarite

 

r

Il y a vraiment des hors sol.

Déjà en se limitant aux immunodéprimés cela serait gros, mais là, le coup des familles qui vont toute s'autoconfiner car le môme n'a put être vaccinée car trop jeune, c'est juste WTF.

 

 

[RaHaN]

Ah ben oui, mais avec des auteurs comme ça aussi..

[Bisounours]

Cette connerie parmi le ramassis d'autres inepties :

 

... le pass permet de protéger les personnes non vaccinées d'être contaminées en étant au contact de personnes vaccinées et positives...

 

https://www.lejdd.fr/Societe/restrictions-anti-covid-le-gouvernement-a-raison-detre-prudent-pour-lepidemiologiste-antoine-flahault-4094834

 

il ne doit pas y avoir un transfert des responsabilités des autorités vers la population. Si la population était en première ligne lors des vagues pandémiques (respect des gestes barrière, vaccination…), avec l’accalmie, ce sera aux pouvoirs publics de prendre le relais et de se préparer pour anticiper les scénarios futurs.

 

c'est vrai qu'ils ont été tellement doués

 

Avec Jérôme Marty, une pointure, aussi :

 

https://atlantico.fr/article/decryptage/tsunami-omicron---l-heure-du-lacher-prise--et-de-la-priere-----est-elle-venue-covid-19-hopitaux-ecoles-variant-antoine-flahault-jerome-marty

 

Danger pour les enfants...

 

... Les enfants sont prioritaires d’abord parce que les moins de 5 ans ne sont pas vaccinés et sont de fait plus à risque de complications que les autres. Les 6-11 ans sont également trop peu vaccinés pour espérer être protégés pour la plupart et doivent aussi être l’objet de toute notre attention.

.... cela signifie des accès prioritaires aux masques FFP2, aux tests, aux vaccins, et aux traitements appropriés.

 

Ah, n'oublions pas Pelouze !

 

https://atlantico.fr/article/decryptage/traitements-anti-covid---derniers-rates-de-la-gestion-de-la-pandemie-espoir-malades-formes-graves-vaccin-crise-sanitaire-pfizer-paxlovid-guy-andre-pelouze

 

.... Car le véritable sujet est là. Les négateurs de la pandémie reconvertis en savants du principe irrationnel “pour moi la liberté” et “pour les personnes à risque les contraintes” sont des propagateurs de fausses nouvelles. L’âge n’est qu’un des facteurs de risque et il est encore très difficile de calculer le risque. Il n’y a pas de marqueur unique spécifique et très sensible du risque Covid, ni clinique ni biologique !

 

Et donc, dans le doute, on prive tout le monde de liberté ?

 

 

 

[RaHaN]

  Le 21/02/2022 à 18:53, Bisounours a dit :

Cette connerie parmi le ramassis d'autres inepties :

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[Airgead]

Une avocate décrit la réalité de ses 560 clients "suspendus" et l'acharnement de l'Etat à leur refuser le RSA, les indemnités, les indemnités d'interruption de travail ou d'arrêt maladie pour les personnes malades, poursuivre ceux qui prennent un autre travail etc.

 

 

[Adrian]

Covid-19 : qui sont les 20 000 morts de la cinquième vague ?

[Mathieu_D]

  Le 27/02/2022 à 10:27, Adrian a dit :

Covid-19 : qui sont les 20 000 morts de la cinquième vague ?

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A mon grand étonnement :

 

Omicron n’est pas moins virulent que la souche originelle du Covid-19. Il est pareil en fait. La seule différence, c’est qu’avant, nous n’avions pas de traitement et pas de vaccin, explique le professeur Djillali Annane

[Bisounours]

Pour rappel, selon l'insee, pour toute l'année 2020.

 

https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347349

 

56 000 décès de plus qu’en 2019 (+ 9 %)

[Lexington]

  Le 27/02/2022 à 10:27, Adrian a dit :

Covid-19 : qui sont les 20 000 morts de la cinquième vague ?

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Très intéressant. Je note ceci, dont je n'avais pas conscience, et qui souligne bien l'inanité de la politique actuelle

 

  Citation

avec 87% de personnes ayant reçu un premier cycle de vaccination complet, les plus de 80 ans sont la tranche d'âge la moins vaccinée parmi les adultes.

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[Prouic]

Et c'est pétri de débilités:

"Les parcours d'enfants semblables aux adultes, avec un décès lié seulement au Covid-19, sont extrêmement rares, voire presque inexistants."  : oui Donc , ca veut dire 1 enfant, ou ZERO enfan47t ?  tu peux pas écrire le fucking nombre au lieu de partir dans l'allégorie ?

 

Le graph qui tue:

 

Donc le manque de vaccin c'est 47/142°  = 66% (marrant) de chances en plus de mourir, pour un total de 0.142% de chance de mourir ...au dessus de 60 ans ( qui pourrait être ecrit au dessus de 70, mais ça on le sait pas car : pourquoi donc faire un graph par tranche d'âge quand t'as en as produit 20 inutiles,n'est ce pas) ce qui englobe donc toutes les morts de vieux, vu qu'ils avaient tous le covid cette année.

 

Ca vaut le coup de couper le pays en deux, 2 chances sur 3 de plus pour 1 millième de chance de crever à 80 piges....

[Mathieu_D]

Non c'est 142/37 et 142/10 les odds ratio, pas l'inverse.

Et 142/100 000 ce n'est pas non plus la chance de mourir.

 

Enfin sur le fond je n'aurais pas non plus rendu la vaccination obligatoire notez bien, et certainement pas sur toutes les tranches d'âge.

[Adrian]

La pandémie de Covid-19 a entraîné un bond de 25% des cas d'anxiété et de dépression dans le monde en 2020, selon l'OMS

[Bisounours]

La pandémie, ou les mesures gouvernementales covidémentes ?

[Lexington]

  Le 02/03/2022 à 16:41, Adrian a dit :

La pandémie de Covid-19 a entraîné un bond de 25% des cas d'anxiété et de dépression dans le monde en 2020, selon l'OMS

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L'étude complète https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Sci_Brief-Mental_health-2022.1

 

Ca parle pudiquement d'impact de la pandémie mais quand tu regardes les études citées, c'est largement plus les mesures prises pour faire face à la pandémie. Espérons que ça ouvrira quelques yeux...

[Vilfredo]

Tiens c'est le moment de ressortir de mes fichiers mon point sur la dépression et le covid que j'avais promis et oublié de publier ici. C'est en anglais désolé parce que les papiers étaient en anglais. Je peux le traduire pour CP si c'est CPisable

 

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Depression and the covid19 pandemic

 

 

                No “eye of the hurricane” paradox

 

 

One reads conflicting accounts of the covid19 pandemic’s impact on mental health. While some may think it obvious that its effects have been and continue to be detrimental, many contrarians hold on to the idea of a paradoxical decrease in depression-related symptoms. So while a wealth of articles call attention to a significant increase in suicides and depression reports (such as this one and this other one), according to a recent study entitled “The Unexpected Decline in Feelings of Depression among Adults Ages 50 and Older in 11 European Countries amid the COVID-19 Pandemic,”

 

 

“The plethora of research results has shown that the impact of the COVID-19 pandemic on subjective well-being is more complex than originally expected.”

 

 

There is notably an “eye of the hurricane” paradox, the authors argue. Indeed, people apparently tend to compare themselves to those worse-off and therefore claim to be reasonably well. The thing is, though there is some literature about prosocial behavior in the aftermath of a natural disaster, the pandemic poses a quite different threat since it directly impacts the very social interactions through which fear, grief or other negative emotions could be alleviated. When it comes to people with a history of mental health-related disorders, the cessation of face-to-face appointments with psychologists or psychiatrists only makes matters worse, as is clearly mentioned in this study about young people suffering from anorexia in Australia. However, the former study does acknowledge some severe limitations to its own results: the study’s data were collected in the summer of 2020, just after the restrictions had been lifted. Thus, it should not come as a surprise to find a decrease in depression. But there are further limitations very common to studies reporting such “eye of the hurricane” paradoxes: most of them are based on data collected during the early period of the pandemic. As a study recently published in JAMA Pediatrics points out, the prevalence of depressive symptoms also increased as the crisis drew on:

 

 

“As the number of months in the year increased, so too did the prevalence of depressive symptoms (b = 0.26; 95% CI, 0.06-0.46). Prevalence rates were higher as child age increased (b = 0.08; 95% CI, 0.01-0.15), and as the percentage of female individuals (b = 0.03; 95% CI, 0.01-0.05) in samples increased. Sensitivity analyses removing low-quality studies were conducted (ie, scores of 2)32,43 (…). Moderators remained significant, except for age, which became nonsignificant (b = 0.06; 95% CI, −0.02 to 0.13; P = .14).”

 

 

This analysis is confirmed by a CDC report from June, 2021 and according to which:

 

 

“Among adolescents aged 12–17 years, the number of weekly ED visits for suspected suicide attempts decreased during spring 2020 compared with that during 2019 (Figure 1) (Table). ED visits for suspected suicide attempts subsequently increased for both sexes. Among adolescents aged 12–17 years, mean weekly number of ED visits for suspected suicide attempts were 22.3% higher during summer 2020 and 39.1% higher during winter 2021 than during the corresponding periods in 2019, with a more pronounced increase among females. During winter 2021, ED visits for suspected suicide attempts were 50.6% higher among females compared with the same period in 2019; among males, such ED visits increased 3.7%. Among adolescents aged 12–17 years, the rate of ED visits for suspected suicide attempts also increased as the pandemic progressed”.

 

And indeed, when one looks at studies documenting such surprising decrease, most of them do focus on the early pandemic, such as this one (“Associations among state‐level physical distancing measures and suicidal thoughts and behaviors among U.S. adults during the early COVID‐19 pandemic”, my emphasis) and many others: (again, emphasis added)

 

 

“Pirkis et al (2021) found that in high-income and upper-middle-income countries, suicide numbers have remained largely unchanged or declined in the early months of the COVID pandemic. Deisenhammer and Kemmler (2021) found a significant decrease in suicide numbers during the first 6 months of the COVID-19 pandemic compared to the respective periods of the preceding year in Austria.”

 

 

But this is not the only bias on which the myth “eye of the hurricane” paradox relies. More importantly perhaps, one of the first obvious consequences of social distancing and lockdown was to make it more difficult for depressed people to seek help and report anxiety and other depression-related disorders. Finally, as far as its historical roots are concerned, there never was such a paradox during the Spanish flu or the Ebola outbreak. As the John Hopkins Psychiatry Guide reminds us,

 

 

“The U.S. reported an increase in suicides during the Spanish Flu of 1918-19. Hong Kong observed an increase in elderly suicides during the 2003 SARS outbreak. Africa experienced an increase in suicides during the Ebola epidemic.”

 

 

The truth is there probably was a significant increase in depression during the last few years, and it is probably due to the effects of the pandemic and more specifically to the multifarious restrictions that followed. As far as we know, the mental health of young adults (18−34 years old) was the most affected by restrictions, while that of older adults (>55 years old) was less affected. According to Nature, “internet searches for the term ‘mental health hotline’ in Google Trends increased three-fold from February 29, 2020 to March 22, 2020, both globally and in the United States”. It is widely argued children and young adults may have been disproportionately exposed to domestic violence and deprived of the special care some of them require (e.g. autist children, who have a particularly hard time adapting themselves to this new post-covid way of life). Among teens, most studies corroborate the fact that girls are more at risk than boys to report depressive symptoms. When it comes to that, they mostly commit suicide through drug overdose instead of self-harm injury, which goes against the pre-pandemic trend. According to another study published in JAMA Pediatrics:

 

 

“In this meta-analysis of 29 studies including 80 879 youth globally, the pooled prevalence estimates of clinically elevated child and adolescent depression and anxiety were 25.2% and 20.5%, respectively. The prevalence of depression and anxiety symptoms during COVID-19 have doubled, compared with pre-pandemic estimates, and moderator analyses revealed that prevalence rates were higher when collected later in the pandemic, in older adolescents, and in girls.”

 

 

Infection correlates with higher suicide rates and suicide ideation as well. Being an “essential” worker is also a key factor. Eventually, many socioeconomic consequences of lockdowns contributed to this general increase in depressive symptoms throughout the world.

 

 

                The making of a depressive society

 

 

But it is not enough to inquire into statistical studies about individual cases of depression and the trend they exhibit to grasp the full meaning of the relation between depression as a mental illness and post-covid society. Lockdowns compelled everyone to live the life of a clinically depressed individual. Depression usually puts you apart: you move away from your friends, colleagues and family, you isolate yourself and even your perception of reality changes. Not only is impaired visual memory a known symptom of depression, but the depressed individual also finds it simply harder to process happy faces. He chronically focuses more on negative stimuli. Those who would like to know the details may be interested in this 2010 article published in the Journal of Experimental Psychology. But the key point is this: the depressed individual is processing reality differently from the others and he doesn’t do what healthy people do. He doesn’t have a regular physical activity, he doesn’t go out of the house, if even out of the bed, doesn’t talk much and often cries. However, when a whole nation suddenly adopts this secluded way of life, the depressed person no longer feels that different. Nothing in the social world resists his depressive habits, because there is no social world anymore. On the contrary, these habits are encouraged, and thereby reinforced. He becomes just like everybody else.

 

 

What is more, the cause of his feeling of depression is externalized in the virus itself. “There is nothing wrong with me, it’s the whole world that is going wrong.” Not only do the newsfeed of death tolls and gloomy predictions feed the depression, but the depression also colors the way the news is processed: good news turns into bad news, bad news turns into worse news. Whenever the death toll is not terrifying enough, attention shifts to the ever growing number of cases. If the situation gets worse, it certainly means we need to take action, but even if the situation gets better, it is only a sign that it will get worse later, and therefore that something must be done. As authors such as Marian L. Tupy or Matt Ridley have emphasized, while good news is gradual, bad news is sudden. Its psychological impact is therefore incomparably stronger, especially on people whose fragile psychological condition feeds on negative stimuli repeated as nauseam by television channels that turn every significant event into a virtual trauma.

 

 

So even the perception of the environment is biased in a way that confirms one’s depressive thoughts. The media during covid merely turned into an extension of a depressed individual’s sensory apparatus. There may be a correlation between such an apathy and the resurgence of authoritarianism. The impairment of the perception of reality makes extreme measures look justified and the apathy itself kills off any willingness to resist. Externalizing the cause of the disease is a perfect deal for the depressed, for they are in no position to take action against it and neither are they really able to. So they leave it to the government. There is an overflow of information that reinforces the general feeling of uncertainty as much as it makes the need for official interpretation more pressing than ever. Matt Ridley argued, like Hume before him, that nationalism was just love of one’s neighbor extended to a larger scale. I think authoritarianism in its new, apathetic form, hardly comparable to totalitarianism or other violent forms of 20^th century dictatorship, is depression extended to a larger scale as well.

 

[Marlenus]

Fin du pass le 14 mars:

 

https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-emmanuel-macron-fixe-la-fin-du-passe-vaccinal-au-14-mars-20220303

[Lameador]

On est pas obligés d'aimer Poutine, mais il a obtenu en une semaine la suppression du pass vaccinal là où les actions des manifestants français échouaient depuis 12 mois.