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AI humor


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Posté
Il y a 12 heures, Mégille a dit :

TIL que le RN avait une I.

Oui oui, on connait cette théorie. 🙂

  • 1 month later...
Posté

Un matérialiste chaotique, un matérialiste dialectique et un post-moderniste entrent dans un bar. Ils s’assoient au comptoir, commandent chacun une bière, et, comme il se doit, la discussion philosophique éclate presque instantanément.

 
Révélation

Le matérialiste chaotique, un type désordonné avec une barbe en bataille, lève son verre et lance :
— À la matière, mes amis ! Tout n’est que particules qui s’entrechoquent dans un bordel cosmique sans queue ni tête. Pas de sens, pas de but, juste le chaos. Cheers !
Il avale une gorgée et renverse la moitié sur sa chemise, marmonnant :
— Preuve empirique de mon point, tiens.
 

Le matérialiste dialectique, un gars sérieux avec des lunettes rondes et un carnet rempli de notes, fronce les sourcils :
— Tu simplifies trop, camarade. La matière, oui, mais elle évolue ! Thèse, antithèse, synthèse. Le chaos que tu vénères n’est qu’une étape dans la grande marche de l’Histoire. Regarde cette bière : houblon et malt en contradiction, résolus par la fermentation. Dialectique pure !
Il tape sur la table pour appuyer son point, renversant un sous-verre.
 

Le post-moderniste, affalé sur son tabouret avec un sourire narquois et une veste à motifs improbables, ricane :
— Vous êtes mignons avec vos grands récits. La matière ? L’Histoire ? Tout ça, c’est juste des constructions, des discours. Cette bière n’existe pas en soi, elle n’a de sens que dans le contexte culturel qu’on lui donne. Pour moi, c’est une performance ironique de capitalisme liquide.
Il sirote sa pinte avec un air détaché, ajoutant :
— Et puis, qui dit que c’est vraiment de la bière ? Peut-être que c’est une métaphore.
 

Le matérialiste chaotique éclate de rire :
— Une métaphore ? Écoute-le, le petit malin ! Moi, je dis que c’est un assemblage aléatoire de molécules qui me cogne le crâne si j’en bois trop. Pas besoin de tes fioritures.
Il commande une autre tournée en criant :
— Barman ! Plus de chaos liquide, s’il vous plaît !
 

Le matérialiste dialectique secoue la tête :
— Tu refuses de voir la structure, l’ami. Chaque gorgée est une contradiction résolue entre soif et satisfaction. On ne boit pas au hasard, on progresse vers une conscience plus élevée… ou une gueule de bois, selon le matérialisme historique.
Il griffonne un schéma sur une serviette en papier :
— Regarde, la lutte des classes dans un verre !

Le post-moderniste lève les yeux au ciel :
— Vous êtes tous les deux coincés dans vos méta-récits. Moi, je déconstruis le bar entier. Le comptoir ? Un symbole phallique de pouvoir. Le barman ? Une figure d’autorité qu’on peut subvertir en commandant… disons… un mojito au lieu d’une bière.
Il fait signe au barman avec un clin d’œil :
— Faites-moi un truc qui désoriente leurs paradigmes.
 

Le matérialiste chaotique s’étouffe avec sa bière :
— Un mojito ? T’es sérieux ? Ça, c’est pas le chaos, c’est une abomination !
Le matérialiste dialectique hoche la tête en signe d’accord rare :
— Pour une fois, je suis d’accord. C’est une régression, pas une synthèse.
 

Le post-moderniste hausse les épaules, sirotant son mojito fraîchement servi :
— Vous voyez ? J’ai brisé vos attentes. Ma philosophie gagne par déstabilisation.
Le matérialiste chaotique réplique :
— Non, t’as juste énervé le barman, et maintenant il crache dans nos verres. Victoire du chaos, pas la tienne !

 

Un matérialiste chaotique, un matérialiste dialectique et un post-moderniste se retrouvent coincés dans un ascenseur en panne, quelque part entre le 7e et le 8e étage. Pas de réseau, juste eux trois et leurs idées. La discussion démarre vite, parce qu’évidemment, ils ne peuvent pas s’en empêcher.
 
Révélation

Le matérialiste chaotique, adossé contre la paroi avec un air nonchalant, tape du pied sur le sol :
— Ça, c’est la preuve ultime ! L’univers est un tas de ferraille imprévisible. Cet ascenseur, c’est juste des atomes qui ont décidé de nous faire chier aujourd’hui. Pas de plan, pas de logique, juste un gros "plouf" mécanique.
Il sort une barre de céréales de sa poche, mord dedans et ajoute, la bouche pleine :
— Et dire qu’on appelle ça une "panne". Comme si le hasard avait un nom !
 

Le matérialiste dialectique, les bras croisés et l’air concentré, réplique en ajustant ses lunettes :
— Tu te trompes, camarade. Cette panne n’est pas un accident, c’est une contradiction matérielle ! La tension entre la technologie et son usure, résolue par… eh bien, notre situation actuelle. On est dans une phase transitoire vers un nouvel état – peut-être un ascenseur réparé, peut-être une révolution des usagers coincés.
Il tapote les boutons inutiles comme pour illustrer une lutte :
— Chaque panne est un pas vers le progrès, vous verrez.
 

Le post-moderniste, assis par terre en tailleur avec un sourire énigmatique, secoue la tête :
— Vous êtes épuisants avec vos certitudes. Cet ascenseur n’est pas "en panne", c’est une narration qu’on impose. Pour moi, c’est une performance, une déconstruction de la modernité. Être coincé ici, c’est une subversion du concept de "destination".
Il sort un stylo et commence à dessiner des spirales sur le mur :
— Regardez, je réécris l’espace. Qui a besoin de sortir ?
 

Le matérialiste chaotique ricane en mâchant :
— T’écris sur les murs pendant qu’on étouffe ? Ton "art" va pas faire redémarrer ce tas de boulons. Moi, je dis qu’on est là parce que l’entropie gagne toujours. Fin de l’histoire.
Il donne un coup de pied dans la porte, qui résonne bruyamment :
— Voilà ma contribution au chaos !
 

Le matérialiste dialectique lève un doigt professoral :
— Non, non, c’est une occasion ! La panne révèle les failles du système. Si on organise nos efforts – toi avec tes coups de pied, moi avec ma logique –, on pourrait transformer cette crise en avancée. Dialectique appliquée !
Il commence à murmurer des slogans sur l’union faisant la force, mais s’arrête en voyant le regard vide des autres.
 

Le post-moderniste éclate de rire :
— Transformer ? Organiser ? Vous êtes prisonniers de vos grands récits. Moi, je dis qu’on devrait redéfinir cet ascenseur comme un lieu de vie. Pourquoi "monter" ou "descendre" ? Restons ici, c’est une résistance au binarisme directionnel.
Il trace une flèche qui boucle sur elle-même :
— Voilà, plus de haut ni de bas. Libéré !
 

Le matérialiste chaotique grogne :
— Libéré ? T’es juste perché sans les câbles pour te retenir. Moi, je veux sortir, bouffer un burger et oublier ce piège. Ton charabia change rien au fait qu’on est coincés comme des rats.
Il cogne encore la porte :
— Allez, univers, fais-moi une surprise !
 

Le matérialiste dialectique soupire :
— Toujours dans l’instant, jamais dans le processus. Si on analysait les forces en jeu…
Le post-moderniste l’interrompt :
— Et si on analysait ton besoin d’analyser ?

L’ascenseur tremble soudain, les lumières clignotent, et les trois se taisent une seconde. Puis le matérialiste chaotique hurle :
— Ha ! Le chaos revient !
Le dialectique marmonne :
— Une synthèse approche…
Et le post-moderniste murmure :
— Ou une nouvelle fiction commence.

 

Posté
Il y a 7 heures, Adrian a dit :

Un matérialiste chaotique, un matérialiste dialectique et un post-moderniste entrent dans un bar. Ils s’assoient au comptoir, commandent chacun une bière, et, comme il se doit, la discussion philosophique éclate presque instantanément.

 
  Masquer le contenu

Le matérialiste chaotique, un type désordonné avec une barbe en bataille, lève son verre et lance :
— À la matière, mes amis ! Tout n’est que particules qui s’entrechoquent dans un bordel cosmique sans queue ni tête. Pas de sens, pas de but, juste le chaos. Cheers !
Il avale une gorgée et renverse la moitié sur sa chemise, marmonnant :
— Preuve empirique de mon point, tiens.
 

Le matérialiste dialectique, un gars sérieux avec des lunettes rondes et un carnet rempli de notes, fronce les sourcils :
— Tu simplifies trop, camarade. La matière, oui, mais elle évolue ! Thèse, antithèse, synthèse. Le chaos que tu vénères n’est qu’une étape dans la grande marche de l’Histoire. Regarde cette bière : houblon et malt en contradiction, résolus par la fermentation. Dialectique pure !
Il tape sur la table pour appuyer son point, renversant un sous-verre.
 

Le post-moderniste, affalé sur son tabouret avec un sourire narquois et une veste à motifs improbables, ricane :
— Vous êtes mignons avec vos grands récits. La matière ? L’Histoire ? Tout ça, c’est juste des constructions, des discours. Cette bière n’existe pas en soi, elle n’a de sens que dans le contexte culturel qu’on lui donne. Pour moi, c’est une performance ironique de capitalisme liquide.
Il sirote sa pinte avec un air détaché, ajoutant :
— Et puis, qui dit que c’est vraiment de la bière ? Peut-être que c’est une métaphore.
 

Le matérialiste chaotique éclate de rire :
— Une métaphore ? Écoute-le, le petit malin ! Moi, je dis que c’est un assemblage aléatoire de molécules qui me cogne le crâne si j’en bois trop. Pas besoin de tes fioritures.
Il commande une autre tournée en criant :
— Barman ! Plus de chaos liquide, s’il vous plaît !
 

Le matérialiste dialectique secoue la tête :
— Tu refuses de voir la structure, l’ami. Chaque gorgée est une contradiction résolue entre soif et satisfaction. On ne boit pas au hasard, on progresse vers une conscience plus élevée… ou une gueule de bois, selon le matérialisme historique.
Il griffonne un schéma sur une serviette en papier :
— Regarde, la lutte des classes dans un verre !

Le post-moderniste lève les yeux au ciel :
— Vous êtes tous les deux coincés dans vos méta-récits. Moi, je déconstruis le bar entier. Le comptoir ? Un symbole phallique de pouvoir. Le barman ? Une figure d’autorité qu’on peut subvertir en commandant… disons… un mojito au lieu d’une bière.
Il fait signe au barman avec un clin d’œil :
— Faites-moi un truc qui désoriente leurs paradigmes.
 

Le matérialiste chaotique s’étouffe avec sa bière :
— Un mojito ? T’es sérieux ? Ça, c’est pas le chaos, c’est une abomination !
Le matérialiste dialectique hoche la tête en signe d’accord rare :
— Pour une fois, je suis d’accord. C’est une régression, pas une synthèse.
 

Le post-moderniste hausse les épaules, sirotant son mojito fraîchement servi :
— Vous voyez ? J’ai brisé vos attentes. Ma philosophie gagne par déstabilisation.
Le matérialiste chaotique réplique :
— Non, t’as juste énervé le barman, et maintenant il crache dans nos verres. Victoire du chaos, pas la tienne !

 

 

Un matérialiste chaotique, un matérialiste dialectique et un post-moderniste se retrouvent coincés dans un ascenseur en panne, quelque part entre le 7e et le 8e étage. Pas de réseau, juste eux trois et leurs idées. La discussion démarre vite, parce qu’évidemment, ils ne peuvent pas s’en empêcher.
 
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Le matérialiste chaotique, adossé contre la paroi avec un air nonchalant, tape du pied sur le sol :
— Ça, c’est la preuve ultime ! L’univers est un tas de ferraille imprévisible. Cet ascenseur, c’est juste des atomes qui ont décidé de nous faire chier aujourd’hui. Pas de plan, pas de logique, juste un gros "plouf" mécanique.
Il sort une barre de céréales de sa poche, mord dedans et ajoute, la bouche pleine :
— Et dire qu’on appelle ça une "panne". Comme si le hasard avait un nom !
 

Le matérialiste dialectique, les bras croisés et l’air concentré, réplique en ajustant ses lunettes :
— Tu te trompes, camarade. Cette panne n’est pas un accident, c’est une contradiction matérielle ! La tension entre la technologie et son usure, résolue par… eh bien, notre situation actuelle. On est dans une phase transitoire vers un nouvel état – peut-être un ascenseur réparé, peut-être une révolution des usagers coincés.
Il tapote les boutons inutiles comme pour illustrer une lutte :
— Chaque panne est un pas vers le progrès, vous verrez.
 

Le post-moderniste, assis par terre en tailleur avec un sourire énigmatique, secoue la tête :
— Vous êtes épuisants avec vos certitudes. Cet ascenseur n’est pas "en panne", c’est une narration qu’on impose. Pour moi, c’est une performance, une déconstruction de la modernité. Être coincé ici, c’est une subversion du concept de "destination".
Il sort un stylo et commence à dessiner des spirales sur le mur :
— Regardez, je réécris l’espace. Qui a besoin de sortir ?
 

Le matérialiste chaotique ricane en mâchant :
— T’écris sur les murs pendant qu’on étouffe ? Ton "art" va pas faire redémarrer ce tas de boulons. Moi, je dis qu’on est là parce que l’entropie gagne toujours. Fin de l’histoire.
Il donne un coup de pied dans la porte, qui résonne bruyamment :
— Voilà ma contribution au chaos !
 

Le matérialiste dialectique lève un doigt professoral :
— Non, non, c’est une occasion ! La panne révèle les failles du système. Si on organise nos efforts – toi avec tes coups de pied, moi avec ma logique –, on pourrait transformer cette crise en avancée. Dialectique appliquée !
Il commence à murmurer des slogans sur l’union faisant la force, mais s’arrête en voyant le regard vide des autres.
 

Le post-moderniste éclate de rire :
— Transformer ? Organiser ? Vous êtes prisonniers de vos grands récits. Moi, je dis qu’on devrait redéfinir cet ascenseur comme un lieu de vie. Pourquoi "monter" ou "descendre" ? Restons ici, c’est une résistance au binarisme directionnel.
Il trace une flèche qui boucle sur elle-même :
— Voilà, plus de haut ni de bas. Libéré !
 

Le matérialiste chaotique grogne :
— Libéré ? T’es juste perché sans les câbles pour te retenir. Moi, je veux sortir, bouffer un burger et oublier ce piège. Ton charabia change rien au fait qu’on est coincés comme des rats.
Il cogne encore la porte :
— Allez, univers, fais-moi une surprise !
 

Le matérialiste dialectique soupire :
— Toujours dans l’instant, jamais dans le processus. Si on analysait les forces en jeu…
Le post-moderniste l’interrompt :
— Et si on analysait ton besoin d’analyser ?

L’ascenseur tremble soudain, les lumières clignotent, et les trois se taisent une seconde. Puis le matérialiste chaotique hurle :
— Ha ! Le chaos revient !
Le dialectique marmonne :
— Une synthèse approche…
Et le post-moderniste murmure :
— Ou une nouvelle fiction commence.

 

C'est... poussif dans les "meilleurs" moments, et soporifique le reste du temps.

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