Aller au contenu

RaHaN

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    7 278
  • Inscription

  • Jours gagnés

    12

Messages postés par RaHaN

  1. Il y a 11 heures, ttoinou a dit :

    j'ai rien dit c'est moi qui suis mauvais

     Ca aurait pu, j'ai vraiment pas fait de relecture.. ;)

     

    Je prends note des autres remarques.

    Je m'interroge toujours sur une traduction, de savoir si je retranscris tel quel, ou bien si je me permets quelques "libertés" par rapport au texte principal. Sur les textes courts, pour lesquels je comprends la globalité (comme le texte précédent sur la psychologie morale), je me l'autorise. Par contre sur les textes plus longs, pour lesquels je n'ai pas ou peu de regard critique sur le sujet (comme ici), je m'abstiens de faire des changements. Du coup, là j'ai préféré retranscrire tel quel, et je voulais, une fois que tout avait été fait, repasser dessus pour fluidifier l'ensemble en essayant de garder l'esprit principal du texte traduit. Et là, dans celui-ci il répète beaucoup de fois les mêmes choses, et c'est limite si y a pas "migrate" dans chaque phrase. Je veux bien que ça soit le sujet, mais quand même. 

     

     

  2. Il y a 3 heures, Citronne a dit :

    Ça m'étonne ton histoire, une de mes clientes a encore un compte anonyme mais elle peut l'utiliser sans problème.

    J'ai eu le même souci que Tipiak, mais contrairement à lui, ça m'a gonflé d'attendre une réponse de twitter.

    Ca doit être une demande systématique car j'ai testé à 3 reprises avec 3 adresses différentes, et à chaque fois on me l'a demandé. 

    On peut par la suite supprimer le numéro, mais toujours est-il que pour l'utiliser, on doit dans un premier temps fournir un numéro. Je vais voir si la suppression du numéro change quelque chose par la suite.

  3. il y a 25 minutes, Citronne a dit :

    Quand on y réfléchit, c'est bien mieux accepté de se targuer d'être communiste que d'être nazi.

    Dans le premier cas, au pire, t'es considéré comme un raté, dans l'autre cas, au mieux, t'es considéré comme un connard. 

     

     

    Citation

    Ca prouve quand même un deux poids deux mesures dans notre façon d'appréhender les problèmes. 

     

    Ca rejoint d'une certaine façon ce que disait Rayracer cet après-midi, à savoir :

    C'est la différence entre détester quelqu'un pour ce qu'il est devenuparce qu'il est né

     

    Leur point commun, c'est que si l'un ou l'autre des groupes arrivait à théoriquement réussi à mettre en place leur idéologie, il y aurait toujours une bataille interne au sein même du groupe en finalité. Malheureusement pour nous, ils ne voudront jamais commencer par la fin.

     

  4. Mais euh sinon, tu ne veux pas venir travailler avec moi auprès des enfants ?

     

    Le 13/08/2017 à 07:16, G7H+ a dit :

    Bref, je doute (mais je me trompe peut-être et ça m'intéresse d'en lire plus sur le sujet) que la philosophie politique libérale soit pertinente dans un bac à sable à cet âge. Mais mon expérience unique, bancale et sûrement biaisée, me fait penser qu'une attitude générale de laisser-passer détendu, de prévention du risque physique s'il est réel et d'explication/séduction pour les petits tracas semble avoir plus de résultats positifs que négatifs.

     

    Je vais partir de cette phrase pour extraire ensuite différents points que j'ai pu relever dans les paragraphes précédents. Peut-être te trompes-tu, ou peut-être est-ce moi qui n'ai pas une vision juste de la philosophie libérale et qui tente par ce que j'en comprends d'un faire un système général de mon approche auprès des enfants. Ou disons plutôt que de part mes expériences auprès d'eux, il y a un certain nombre de pratiques qui ont émergé, qui sont devenues consistantes du fait de leur efficacité, et que j'essaie de lier entre elles. Pourtant je suis le premier à dire qu'il n'y a pas de recette toute faite avec les enfants, et qu'une rencontre avec un enfant est à chaque fois unique, que chaque moment est un nouveau moment, et que chaque situation qu'il vit doit être l'objet d'une mise en réflexion portant à la fois sur ce qu'il vit intérieurement et de ce qu'il se déroule extérieurement (aussi bien moralement, sur un plan sécuritaire, etc...). Le projet en tant que tel doit permettre avant tout une harmonisation des pratiques entre pros, et surtout éviter qu'agir auprès d'un enfant devienne une série d'actions "réflexes" ("Il se passe ça, donc je fais ça"), mais plutôt doit permettre d'acquérir des "outils" sur lesquels s'appuyer pour analyser chaque situation. 

     

    Citation

    « Vous dites :
    — C’est épuisant de s'occuper des enfants. Vous avez raison.

    Vous ajoutez :
    — Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser.

    Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments.

    De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre.

    Pour ne pas les blesser. »

    Janusz KORCZAK

     

    Clairement je ne suis pas partisan d'un "système", dans le sens où à tel situation on applique tel chose. Ca faciliterait beaucoup de choses, mais je trouverai ça ennuyeux. Exactement comme quand tu dis 

     

    Citation

    mon attitude de laisser-faire, laisser-passer au parc n'est pas consciemment randienne ou libérale, je sens juste et je me trompe peut-être que faire autrement serait triste, ennuyeux, inutile ; je n'ai pas envie de faire autrement.

     

     Pourtant, et on en a parlé ici déjà, mon action induit nécessairement un code auprès de l'enfant, et que continuellement, je m'efforce de réfléchir à tendre à être le plus juste possible. Mais que dans cette recherche du "juste", y a des actions qui, comme je le disais plus haut, sont revenues.

     

    Déjà, le laisser-faire. On a déjà eu plusieurs retours dessus, ça me paraît être la base. C'est pas "fais n'importe quoi", c'est "fais-le, je t'expliquerai ensuite de ce qu'il en ressort en fonction de ton retour".

    Le point que tu rajoutes qui est intéressant c'est le "détendu". C'est un point intéressant car, je parle en tant que professionnel de crèche mais ça peut être généralisable à toute personne pro ou non et côtoyant des enfants, on ne peut être détendu que en ayant nous même fait un travail sur l'environnement, et nous-même cerner de base qu'elles sont les zones "à risque", et agir au mieux ensuite avec lui.

     

     

    Le 13/08/2017 à 07:16, G7H+ a dit :

    Mon 'problème' principal est le fait que les enfants au parc se sentent propriétaires de leurs jouets... mais aussi des jouets des autres et des installations. Au début, j'intervenais quand mon fils piquait un objet des mains d'un autre enfant : incompréhension, larmes. Ensuite, ma femme m'a conseillé de présenter les enfants l'un à l'autre et de leur souffler l'idée de faire quelque chose ensemble ou séparément, bref d'accélérer leur interaction. Ce n'est pas parfait mais ça fonctionne mieux. Maintenant, je suis vigilant mais j'interviens plus rarement et cela reste oral. Je constate qu'un petit conflit matériel d'une minute est lui-même un accélérateur social et conduit souvent à une coopération pacifique et à des rires au bout de quelques minutes.

    Ensuite, sur la propriété. Je ne peux qu'aller dans ce sens là aussi. Le point relevé et qui me semble important, c'est l'intervention restreinte et orale.

    Reprendre des mains un objet qu'il vient de prendre des mains d'un autre en lui disant "non c'est interdit", ça part en conflit direct, soit en pleur soit en colère, et c'est peu constructif aussi bien pour lui que pour nous, et même pour l'autre enfant qui ne sera peut-être pas lui-même intervenu ("il s'est fait prendre un objet, a pleuré, puis s'est fait remettre l'objet dans les mains" = à aucun moment il n'aura été "acteur". Il va se remettre à jouer comme si rien n'était alors qu'en fait si, y a eu quelque chose, sur lequel je pense il convient, si ce n'est d'intervenir, d'au moins rendre compte).

     

    La solution par recherche d'interaction est intéressante, cependant quel âge avait l'enfant à ce moment là ? 

    Parce que clairement pour moi, il y a un âge ou c'est faisable, mais en dessous, l'interaction n'existe pas. Deux enfants pourront jouer sur le même jeu, mais ils ne joueront pas "ensemble" (on parle de jeu en parallèle). On aura en gros deux bulles qui sont côte à côte, dont des échanges pourront parfois émerger entre eux, mais ça ne sera pas volontaire, plutôt "par hasard", et c'est à nous d'agir (ou non) sur cette action. "tu vois, tu viens de faire ça, ça a induit ça chez l'autre" et après pourquoi pas aller sur la séduction "X était content quand tu as fait ça, peut-être souhaites-tu le refaire ?", et en aucun cas le juger négativement si il ne le fait pas. (là où j'ai une interrogation personnelle, qui ne rentre pas dans le sujet sur la propriété, c'est est-ce qu'on a à le juger positivement là aussi ? Est-ce qu'on a à l'inciter, le "dresser", pour que le moteur de cette action en particulier soit faire plaisir à l'autre, ou est-ce qu'on a à juste lui montrer que l'une des conséquences de cette action est de faire cela, ou autre..)

     

    Au départ, les jouets étaient les jouets de la crèche, et si un enfant avait par exemple 2 voitures, si un autre en voulait une, il "devait" la prêter car c'était la voiture de la crèche donc pas à lui, donc tu la donnes.

    Je trouvais ça hyper violent, parce que étant donné qu'ils vivent sur l'instant présent, peut-être que sur ce moment là, il avait besoin de ces trois voitures, et qu'en enlever une, c'était comme enlever une partie de lui-même. Pour le coup, ça fait limite psychanalytique ce que je viens de dire et je m'en excuse :D. Ce que je veux dire, c'est que dans l'action "partager un objet qui n'est pas le tien", ce n'est pas tant le "pas le tien" qui pose problème mais le "partager". 

    D'une part c'est uniquement vers 18/24mois qu'ils arrivent à considérer qu'un objet est à eux, qu'un autre objet n'est pas à eux (ils adorent par exemple apporter un objet qui vient de "ma maison", un autre enfant le récupère pendant la journée et c'est la crise assurée, par contre j'ai rarement vu un enfant de 13/15mois apporter un objet et se plaindre qu'un autre enfant avait pris cet objet (bon sauf si il l'a arraché des mains évidemment, mais il suffit qu'il l'ait trouvé par terre, ça posera pas de soucis..)). Quand il y a cette appropriation donc, et du fait du langage, on peut commencer à mettre en place une dynamique d'échange que je cherche à rendre volontaire, parce que, il me semble l'avoir déjà dit, prendre des mains l'objet d'un enfant pour le donner à un autre en lui disant "c'est important de partager", j'appelle pas vraiment cela du partage. Et quand bien même ça viendrait de l'enfant lui même du fait d'une FOOORRRTE pression extérieure (allez, sois gentil, donne, partager c'est bien, je bougerai pas tant que tu l'auras pas fait, etc...), ça ne me semble pas travailler sur "la bonne zone". Certes dans les faits, il donne de lui même un objet à un autre, mais est-ce véritablement du "partage" ? pas à mon sens, intérieurement, il ne doit pas le vivre tel quel. C'est pour ça que quand je sens que je commence à utiliser la contrainte ou l'autorité sur un enfant, je me dis qu'il y a un soucis. J'ai peux-être toutes les bonnes raisons de le faire, mais disons que je me dis qu'avant d'en arriver là, qu'est-ce que j'aurai pu faire en amont.

    Evidemment, avec certaines collègues, ça ne passe pas. Ce qui est juste, c'est que chacun est une voiture.

     

    Ainsi quand il y avait une définition claire de l'appartenance des objets, ça me semble simple. C'est à toi, donc tu en fais ce que tu veux.

    Mais quand ce n'est pas à lui ? Ben, j'aurai tendance à résumer ça à l'inverse, ce n'est pas à toi, tu peux en faire ce que tu veux tant que ça n'implique pas un tiers. Et si cet objet n'appartient ni à l'un ou à l'autre mais qu'il est déjà en possession de cet autre, alors la priorité sera de protéger le jeu déjà en cours. Ceci n'empêchant pas de demander à prêter par exemple.Ou de détourner l'attention comme tu l'as signalé.

    Je préfère protéger un jeu en cours qui favorise le développement de l'enfant sur le moment (quand il joue, le jeune enfant est en construction), que de chercher à faire "le partage des ressources", c'est en se sens là que j'en appelle peut-être à la philosophie libérale. Sans pour autant dire à l'enfant qui n'a pas de voiture, de se démerder tout seul, mais plutôt en l'accompagnant à trouver comment faire pour avoir lui aussi une ou deux voitures : en cherchant ailleurs, en demandant, ou en patientant. 

     

     

    Le 13/08/2017 à 07:16, G7H+ a dit :

    Sans parler de la santé : eux sont souvent enrhumés, le mien presque jamais.

    Alors ça c'est clair... Et je parle en tant qu'infirmier ahah. Je sais pas si c'est à cause de la clim ou des désinfections pire qu'à l'hosto mais c'est clair qu'ils sont tout le temps en train de tousser.

     

    Le 13/08/2017 à 07:16, G7H+ a dit :

    C'est intellectuellement assez ennuyeux.

    Par contre là, tu te douteras bien que je ne vais pas être d'accord ahah ;). Effectivement, en tant que vecteurs d'échange de connaissances, c'est pas la panacée. Pourtant on peut déjà être surpris par moment de certaines réflexions qui peuvent être faites par ces petites têtes. Plus encore, en ce qui me concerne, c'est l'observation de leurs comportements qui nourrit ma soif de compréhension de leur développement. Voir que le terreau pour l'apparition de l'empathie, de la justice, de la compréhension du monde etc.. est déjà là et que le l'un des rôles de l'adulte est la réflexion de comment favoriser l'émergence de cela.

     

  5. [mention=12981]Restless[/mention] Désolé pour le retard. J'ai complété les paragraphes manquants, il me reste juste une phrase pas facile. J'aimerais repasser sur ton travail, je créé une troisième colonne ou je peux écraser ton texte ? (sachant que du coup tu verras pas la différence)
    Écrase, je t'en prie, fais toi plaisir ;)
    Je pensais faire une relecture globale pour bien remettre en forme et en lien les différents paragraphes mais je sature sur ce texte.. Donc fais comme tu le sens au mieux pour toi :)
  6. @Corned beef toi t'es foutu!

     

    Ca me rappelle aussi en mai dernier quand j'ai déménagé. Je ne savais pas encore les jours de collectes, et avant de partir au taff un bon matin, j'ai voulu sortir les poubelles. Sauf que quand j'ai débarqué dans le local avec mon petit carton de recyclage, y avait pas les fameux containers. Bon, je me suis dis, elles doivent être de sortie. Donc je sors plus loin et je vois toutes les poubelles jaunes de la copro. Je commence à vouloir mettre le BON carton dans la BONNE poubelle, et là y a un mec qui sort de nul part, qui commence à m'engueuler "OOH EHOO T'as pas vu que j'suis là" "Ben nan ducon t'étais accroupi derrière les poubelles -_-" "Oui ben moi je travaille" .

     

    Donc en gros, je passe les détails, mais 6h30 du matin, alors que je m'applique à trier (j'aurai pu laisser le carton en plan ou le mettre dans une autre poubelle (#j'aimelefouet), voire dans sa gueule aussi), le mec m'engueule car lui est responsable  des poubelles, et il était donc en train de les laver, et que j'avais autre chose à faire.

     

    Bref, heureusement la bible de la vie en collectivité est là pour répondre à toutes nos questions.

  7. Dans une société libertarienne, pourquoi vouloir le contrer sur ses opinions ? Déjà qu'ils nous ont collé la religion dans les restrictions, on va pas non plus accélérer la pente avec les professions ou le compte en banque. Je vois bien le coup d'une petite blague vaseuse dans une boulangerie qui se termine en crime d'Etat. "Bonjour, appétissantes vos miches". Déjà que tu n'as même pas le temps de cligner des yeux, tu te colles les féministes, en plus on y ajouterait les professionnistes , pour injure à la profession de boulanger ? (je pourrai même rajouter un raccourci avec la LICRA mais je vais rester sage).

     

    Quant à, au hasard, interdire d'insulter quelqu'un sur le seul prétexte de la somme de son compte en banque, c'est clairement faire son jeu. Je le vois déjà :

     

    Résultat de recherche d'images pour "mélenchon"

    "En plus de nous imposer leur logique libérale et capitaliste mortifère, ils nous interdisent d'évoquer le fond du problème qui est l'appât du gain et la richesse indigne et indigeste! Pendant que nous, pauvres gens nous souffrons au quotidien, et qu'eux s'en mettent pleins les poches sur notre dos, les voilà les malins qui protègent leurs acquis en nous empêchant de parler et de pointer du doigt la source du mal. Devons-nous alors nous considérer comme des hors la loi ? La Vérité mes amis je vous le dit ne doit pas être cachée, ni enterrée au même titre que la dignité de toutes nos vies! blablabla rébellion, blablabla quinoa, blablabla +5°C etc etc..."

     

     

    • Yea 4
  8. La connaissance va de paire avec la démocratisation des pc certainement, mais ça reste franchement faiblard. Dès que ça "fonctionne pas", c'est une machine de merde.

    Différencier la partie logicielle et la partie matérielle, se questionner sur la fonction de chacun des composants, ça n'a rien de sorcier si tant est qu'on s'y mette. C'est nécessaire si tu cherches à diagnostiquer un éventuel problème, c'est comme ton corps, tu vas pas chez le doc à la moindre sensation particulière. Connaitre le fonctionnement d'un ordi, c'est pareil, ça t'évite de t'affoler au moindre "blocage" ;)

  9. @Nick de Cusa ça me semble plus approprié comme ça.

     

    Y a une autre petite chose qui me questionne mais de moindre importance, c'est la description de la mitochondrie "qui sont de petits organismes dotés de leur propre ADN, qui habitent son cytoplasme.". Le livre comme tu dis demande un effort personnel et c'est sûr que si une personne se sent larguée ici, elle aura certainement du mal à lire plus de trois pages du livre, mais est-ce qu'il n'y aurait pas plutôt intérêt à seulement dire que c'est la centrale énergétique en sein de la cellule, et basta ?

  10. Il y a 17 heures, Nick de Cusa a dit :

    Amis, je veux faire une recension du livre du Dr Laurent Schwartz. Je ne veux (peux) pas faire comliquer, et je ne veux pas non plus y laisser des plumes en crédibilité. J'ai besoin de votre aide ! Quand vous êtes à tête reposée, pas dans un rush, pourriez vous lire ce brouillon et me dire, surtout, ce qui ne passe pas, ce qui ne vous semble pas vrai ou acceptable ? (pardon pour les fautes de frappes ou orthographe à ce stade) 

     

    Avant de partir faire mon premier trail en mode low carb, je me permets une remarque.

     

    Tu décris dans un premier temps que la C-cancéreuse fermente son carburant sans passer par la mito, et plus loin tu dis que la solution passe par "refaire fonctionner les mitochondrie", y a peut-être un lien plus évident à faire entre les deux parce que j'aurai juste envie de dire quel est l'intérêt de refaire fonctionner la mito puisque de toute façon la C-cancéreuse ne passe pas par elle.

    • Yea 1
  11. Il y a 3 heures, Rincevent a dit :

    Juste un détail qu'on apprend à force de traduire des articles dans ce domaine. "Liberals" -> "gens de gauche" et non "libéraux" dans le contexte américain (le mot a été volé) ; et pour des raisons de compréhension du grand public français, "libertarians" -> "libéraux" et non "libertariens" (terme que peu de Français connaissent).

    Tu fais bien de me le redire, j'ai juste oublié à qui était destiné la traduction ;)

     

    Merci pour le retour

  12. Il y a 5 heures, Astha a dit :

     

    J'ai été déçu par les policiers quand j'ai lu ça. Franchement, un mec bourré dans une twingo avec 2 poteaux d'éclairage sur le toit, jamais tu l'arrêtes. Tu le laisses, tu le suis, tu l'observes. Pour un peu que ça ne soit pas pour de la revente, tu as gagné ta semaine :D

×
×
  • Créer...