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Vilfredo

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Tout ce qui a été posté par Vilfredo

  1. Donc on en est là, on regarde 2h de vidéo de bolloré? Liborg I guess
  2. Quelqu'un a vu les Halloween de David Gordon Green?
  3. On peut faire une de Paris à Lyon, et une autre de Lyon à Paris
  4. Oui, merci beaucoup, je vais y réfléchir. In other news: Kevin Spacey, non-coupable. C'est la fête. J'ai littéralement bu du champagne. Il sera dans un film qui sort en décembre. https://www.hollywoodreporter.com/movies/movie-news/kevin-spacey-film-control-cinema-release-1235547782/
  5. ça c'est vrai mais gpt ne peut pas écrire des one-liners drôle. l'humour est la limite haute de l'IA. Louis CK artificiel? good luck with that
  6. à partir d'aujourd'hui je fais voeu de concision et de non-majusculisation decusienne
  7. Bon mais pourquoi tout le monde n'écrit pas des reviews comme ça dans les journaux: https://letterboxd.com/elementarii/films/reviews/by/added/page/3/ edit j'ai regardé ce qu'elle disait de Martyrs: évidemment j'adore la concision de cette femme sur conjuring: sur bttf2
  8. Oui, pardon, j'avais pas vu la page suivante. Je vais peut-être le regarder mais je deviens plus sensible maintenant que quand j'avais 16/18 ans!
  9. J'aime beaucoup Orange mécanique. J'ai l'impression que la complaisance est l'effet de l'humour du film, qu'on ne souligne pas assez (à cause de la shock value historique, mais les horizons d'attente se sont beaucoup déplacés depuis 1971): je pense à la scène de sexe en accéléré avec les prostituées. Mais le burlesque a son revers: le film s'appuie sur un humour burlesque parce que c'est vraiment ce qui capture le mieux le corps violenté, hystérisé ( = presque transformé en viande), que ce soit quand Alex découpe la robe de la femme du couple qu'il cambriole, ou lors de la fouille intégrale en prison (sans parler des attouchements du commissaire chez lui). Il y a une libido délirante dans ce film, dont la violence, même si elle est prédominante, n'est qu'une des "formes": la musique, le montage des Christs en marche, le serpent, l'argo... et cette scène en accéléré. Si je devais critiquer le film, ça ne serait pas la représentation de la violence effrénée, mais la lourdeur de la vision politique, de surcroît toujours la même chez Kubrick. Et moi aussi, je préfère ses films qui s'en démarquent (mais pas The Shining: plutôt Eyes Wide Shut en effet, et Lolita) ou qui font ça, mais plus finement (Barry Lyndon, Full Metal Jacket, qui, en plus, sont techniquement plus impressionnants pour moi).
  10. Celui-ci est vraiment LE film qui m'a chamboulé. J'ai pas vu (mais je connais de réputation). C'est bien? J'avais fait une review du dernier OSS 117 dans CP à l'époque, mais j'ai pas toujours des trucs à dire sur tout, et spécialement pas sur ce qui sort, donc c'était pas un bon papier. Par exemple Oppenheimer, ma review ça serait: Sucks balls. Don't go. Un peu comme la page "tableau" de Mad Movies où chaque rédacteur avait une colonne, les lignes c'étaient les films qui sortaient, et dans chaque case il y avait la place pour un one-liner. Il faudrait pouvoir faire des reviews de quatre à 1900 mots. Parfois, j'ai davantage envie de parler d'un plan, et le reste du film je m'en fous un peu. Je pense même que certains films ne marchent avec moi que parce que j'aime certains plans comme des souvenirs: My Own Private Idaho est le cri du coeur. Hier soir, j'ai vu Europa de von Trier, et à un moment j'ai été frappé par la beauté, non pas du film (qui est sublime, et très intelligent sur la guerre et l'extermination), mais étonnamment de la salle: l'image du public éclairé par le noir et blanc devant cet écran (j'étais au dernier rang) m'a frappé. Si je devais parler de mon expérience d'hier, aller voir Europa, je serais obligé de parler de ça, ce qui a un sens, parce que le film intègre de façons différentes, pas forcément "mise en abyme", du film dans son film: 1° le passage à la couleur donne souvent le sentiment d'un passage du monde de Tarkovski et de l'apocalypse des bombardements et de la famine à un film de Douglas Sirk en technicolor, reflétant la perspective du personnage américain de Jean-Marc Barr, "le spectateur", probablement; voyez le contraste entre et et 2° les plans où, couleurs et n&b se mélangeant, on dirait que les personnages du film tirent sur un écran (une représentation? une image?), comme ça: Je pense donc que ces effets de champ dans le film ont provoqué chez moi ce recul qui m'a fait voir (alors que je n'y fais pas attention d'habitude) la salle comme une image de film. C'était vraiment une expérience incroyable. Et c'est un film fantastique. Je pourrais en parler longtemps. Je ne pourrais pas parler longtemps de films récents, à part peut-être The Eternal Daughter que j'ai vu cette année. Mais, à cause du genre de film que c'est, et du type de plaisir que j'ai eu à le regarder, ça serait à moitié un essai "littéraire", à moitié une review, et je devrais passer très longtemps à le préparer pour que ça soit suffisamment court. Mon problème, c'est que je n'arrive pas à parler de ce qui ne m'intéresse pas. De même, je ne peux pas parler deux minutes à quelqu'un dont je pense que c'est un imbécile sans lui faire sentir qu'il est un imbécile (sans que ce soit du tout une question d'assurance, parce que je n'en ai pas: c'est juste "les choses sont comme ça"). C'est un gros problème, qui me fermera toutes les portes (dixit Zola dans la préface de Thérèse Raquin). Mais cette transparence pathologique rassure mes amis sur l'estime que je leur porte.
  11. Sur le sadisme: je ne sais pas si c'est sadique. C'est assurément de la violence gratuite, mais sadique? Est-ce qu'on aime voir les personnages souffrir (et ces personnages sont-ils suffisamment réalistes?), ou est-ce un plaisir purement esthétique pris à la perfection des formes, des mouvements, du montage (la beauté géométrique des combats de Kill Bill vol 1, l'ingéniosité de la scène du pistolet dans les céréales par exemple) etc.? Je penche pour l'esthétisme (qu'on lui a aussi reproché, j'y viens), parce que quand on me dit cruauté, je pense par exemple à Haneke, chez qui la cruauté se traduit dans une violence froide, crue, sans aucune esthétisation, et a une visée didactique (dégoûter de la violence réelle, et de sa représentation hollywoodienne déréalisante, l'idée étant que le cinéma nous arme plus ou moins à affronter l'horreur de la vie; là où la critique de Haneke ne fonctionne pas (et pourtant j'adore beaucoup de ses films), c'est qu'il y a des cinéastes parfaitement adeptes de la violence esthétisée, montrée en grand, qui sont aussi des cinéastes profondément moraux: je pense à Scorsese, qu'il faudrait là-dessus opposer à Tarantino, mais dans le "clan" des "esthètes"). Je pense aussi, et ici les choses se compliquent, à un mec comme von Trier, qui, lui, prend un plaisir visible à repousser les limites du supportable, du gênant, avec (The House that Jack Built, si on veut) ou sans (à peu près le reste de sa filmographie, surtout Idioterne et Nymphomaniac) perspective morale (quand la critique de la moralité et de son "hypocrisie" n'est pas elle-même directement thématisée, comme dans Dogville, et ce même s'il y a, dans Dogville, ultimement, une satire, donc une moralité négative, dont témoigne à mon avis... la façon dont est fait le générique de fin). Ici, le sadisme est donc indiscutable (plaisir pris à la souffrance du spectateur, qui donne sa matière au film + aucune absolution cathartique ou didactique qui donne à cette souffrance une quelconque signification: elle reste ainsi pure souffrance, et les films de von Trier se finissent souvent... dans le noir (Melancholia, Nymphomaniac)). Ce qui, pour en revenir à Tarantino, me paraît distinctif, n'est donc pas le sadisme, puisqu'on est très loin de la perversion du genre de cinéma que je viens de décrire, mais, à un premier niveau, une stylisation de la violence qui la rend abstraite (Kill Bill vol 1 est à nouveau un bon exemple, avec l'oscillation entre les divers media: noir et blanc, couleurs et anime): c'est la violence moins quoi que ce soit de violent, le pur phénomène de la violence, sa pure apparence, délestée de l'effet de réel de la violence (la souffrance est tout entière intégrée à la représentation de l'acte violent, de la fusillade, de la bagarre, que sais-je, comme un élément intégrant du phénomène, et non comme quelque chose qui aurait une signification en soi). C'est, si on veut, une violence pure, mais, pour cette raison aussi, plus proche du cartoon, et donc d'une forme d'innocence (une violence toute possible, toute potentielle, à la fois inhumaine et irréelle dans ses dimensions) que d'un quelconque sadisme. Je ne prends pas plaisir à voir des personnages souffrir dans Tarantino. Je prends plaisir parce que je suis stimulé, comme un rat, par un ensemble de mouvements des corps et de la caméra qui fit ensemble, et qui me procurent un sentiment de satisfaction, de closure, comme un cercle parfait ou des livres bien alignés (I have OCD). Pourtant, à un deuxième niveau, ce qui frappe dans le cinéma de Tarantino, c'est souvent son ambition morale (dans Inglorious Basterds et surtout dans Django). Django est un cas intéressant, parce que certaines scènes de violences, pour reprendre une phrase de Kitano, "font vraiment mal": le combat d'esclaves. Django comme Inglorious sont des défis parce que Tarantino doit intégrer son style plus qu'anhistorique (j'ai même dit irréel) précisément à un cadre réel, humain, historique etc. D'un côté, ça aboutit, dans Inglorious, à une réflexion que je trouve fascinante sur la représentation même de la WW2 dans le cinéma (c'est le début du tournant méta de QT, annoncé dans Kill Bill, abouti dans OUTIH), une célébration nettement moins subtile des pouvoirs de la fiction (tuer Hitler, dans un cinéma), mais qui est liée à la première chose (dès 1941, Lang mettait Hitler dans la lunette d'un sniper dans Man Hunt), et d'un autre côté, à une symétrique déréalisation de l'histoire (on est en 1940, mais le début présente clairement le film comme un conte (once upon a time), Landa a la pipe de Sherlock Holmes, l'influence du western est partout dans la scène de la taverne, dont The Hateful Eight est d'ailleurs une (slightly too) extended version) et réalisation (au sens d'un devenir-réel) de la violence, une "réalisation" en ce sens qui n'est possible que dans une histoire ainsi fictionnalisée (c'est le paradoxe): ainsi, personne n'ira me dire que le massacre de la famille des Dreyfus qui ouvre le film est jouissif ou cathartique comme l'est, pour prendre un exemple paradigmatique, le final de OUTIH ou le massacre des Crazy 88 dans Kill Bill. Ce que j'entends par ce "paradoxe", c'est que QT n'utilise pas le passif de l'histoire dont il traite (ici, l'occupation, le nazisme) pour conférer, à titre de contenu de la représentation, une gravité et un sérieux à la violence représentée, ce qui est en fait assez facile (mettez-moi un décor de camp, un petit enfant juif: boom, everyone is getting emotional, quelle que soit la façon dont on le filme: c'est de l'émotion conceptuelle: je suis ému parce que le film me fait penser à quelque chose de terrible, mais je ne suis pas ému par le film) : au contraire, il commence par déréaliser ce passif (avec le once upon a time entre autres), pour intégrer ensuite, par l'intrigue, par l'écriture, par le suspense (donc, dans l'économie de sa "démonstration": avec les moyens du cinéma seulement, sans aide de la référence extra-fictionnelle de <ce qui s'est vraiment passé en 1940>), la violence "réelle". Ça, je trouve ça génial. Pour prendre un exemple plus choquant, je trouve (call me a psycho) très plaisante à regarder la scène de torture du flic dans Reservoir Dogs. C'est drôle, c'est insensé, Madsen danse comme un démon, c'est de la cruauté pure. Le personnage de Madsen est indéniablement sadique. Il n'y a pas de personnage plus sadique dans l'histoire du cinéma; c'est la seule dimension de son personnage! Maintenant, est-ce que le film est sadique? Précisément parce que la scène est tellement bien faite, par exemple avec ce champ contre-champ totalement décalé quand Stuck in the Middle With You commence, et que la caméra fait un lent travelling latéral sur le visage amoché et baîllonné du flic qui ne sait pas ce qui est en train de lui arriver (pas du tout le genre de plan auquel on s'attendrait dans une scène de torture: on est presque cognitivement préparé à un clip show), le sadisme représenté est vidé de la représentation du sadisme. C'est d'ailleurs précisément cet évidement qu'un cinéaste comme Haneke trouvera immoral (et le sadisme filmique, a contrario, moral: aussi le pratique-t-il abondamment). Ce qui met les gens mal à l'aise dans cette scène, ce n'est pas le sadisme de la scène, c'est le fait que le sadisme soit représenté de façon aussi légère. C'est l'humour noir. Est-ce que l'humour noir est sadique? Dans Django (que je trouve un film moins réussi pour des raisons dans le détail desquelles je ne vais pas entrer dans ce post, étonnamment long (la mauvaise influence de la lecture de Montaigne toute l'après-midi sans doute)), beaucoup des éléments "déréalisants" (comme le fait que le film est une sorte d'hommage à Wagner) qui fonctionnaient dans Inglorious reviennent, mais j'avoue que je ne comprends pas très bien ce qui rend la représentation de l'esclavage particulièrement insupportable. Certes, l'esclave livré aux chiens, la scène où Django est à deux doigts d'être castré, sont violentes et terrifiantes, mais simplement parce que le contenu représenté est plus extrême que, par exemple, le sort réservé aux "méchants". J'opposerai par exemple ça à 12 Years a Slave, où la scène la plus insupportable, pour moi, est celle où Chiwetel Ejiofor est pendu à l'arbre, et ce alors qu'on voit des trucs beaucoup plus gores (du point de vue du contenu: des scènes de châtiment corporel qui retournent l'estomac contre la jeune fille, fouettée par Fassbender pour je ne sais plus quelle raison) à d'autres moments. Django est donc pour moi le film où Tarantino a raté le double-mouvement (déréalisation/"moralisation" fictionnelles) qu'il avait parfaitement maîtrisé dans Inglorious. Là, ce que je vais dire est plus banal, mais les scènes qui m'ont marqué dans ce film (que je n'ai vu que deux fois, et il y a assez longtemps), c'est dû à Dicaprio, qui joue parfaitement bien. Pas à la mise en scène de Tarantino. Un cas qui est intéressant, pour finir, sur le sadisme au cinéma: la scène d'agression du violeur des services sociaux dans The Girl With the Dragon Tatoo. Spoilers ahead. Fincher veut, à l'évidence, nous faire souffrir par empathie pour le violeur (je trouve la scène de revanche plus angoissante que la scène du viol, et je pense que that's the point), à rebours 1° de la violence cathartique des revenge rapes comme I Spit on Your Grave (ici, la violence est justement hautement non-cathartique (et "c'est étonnant", pour un spectateur de cinéma hollywoodien lambda)) 2° inverser la morale (aux yeux de Fincher, visiblement douteuse) de traitements du viol seulement fondés sur l'empathie pour la victime (réduisant la femme à une victime, surestimant la possibilité d'empathir, surestimant la valeur morale qu'une telle empathie, si elle existe vraiment, pourrait de toute façon avoir) 3° dégoûter de la violence en général, en prenant comme exemple non pas, comme dans Haneke (qui a pourtant, on l'a vu, la même "intention" artistico-morale), de la violence exercée par des êtres inhumainements cruels sur des êtres normaux et identifiables (Funny Games), mais, more challenging, de la violence exercée par un protagoniste qu'on a toutes les raisons du monde de soutenir, une victime qui plus est, sur un personnage entièrement détestable. Mais tout ceci est intégré à la logique du film: qui est tout un long build up à la révélation d'un personnage de sadique pur (Stellan Skarsgard), et le grand principe du film (c'est mon interprétation) est non seulement de renoncer à la coutume hollywoodienne suggérant même le début d'une possibilité de comprendre ou de se mettre à la place, ou de s'identifier au monstre (c'est ici le tueur qui maintient que le Verstehen est possible: cf la réplique sur "more towels"), mais aussi d'inverser la logique masochiste qui fait le plaisir du sadique: se projeter dans la souffrance de la victime comme causée par lui, en rendant la projection possible, mais insoutenable, et l'identification, dès lors, impossible (parce que, elle, sadique par définition). Fincher fait donc une sorte de critique de l'identification comme sadique (le fait que je puisse facilement m'identifier au violeur dans la scène où le personnage de Rooney Mara se venge ne fait que confirmer ce point), et, à cet égard, on ne peut justement pas accuser Tarantino de sadisme, parce que rien, dans son cinéma, ne rend l'identification possible (sauf dans des cas justement "moraux" que j'ai essayé de distinguer, comme Inglorious et Django). C'est la raison pour laquelle j'ai voulu conclure sur Millenium. Maintenant, je vais dîner.
  12. C'est très bien Tarantino, et Inglorious Basterds est un remake génial de To Be or Not to Be. Les premiers sont géniaux aussi. Et OUTIH retrouve le rythme décousu de Jackie Brown, c'est très agréable. J'aime les cinéastes qui rythment leurs films différemments (Lars von Trier est un bon exemple de ça aussi, à un autre niveau bien sûr). Bon, et le bitching anti-Tarantino est devenu officiellement snob depuis lgtps.
  13. J'aime bien Inception, et son sous-cotage est (socialement) surcoté.
  14. Ah je ne suis pas le seul à avoir fait ça donc
  15. Il y a quand même une citation de Proudhon que Cillian Murphy présente comme du Marx. Ça, ensuite le sanscrit sex, les jump cuts débiles sur des explosions (le début je me disais: bon, c'est juste le début, mais en fait c'est en permanence!), le rythme général de scènes de < 1 minute, la science présentée comme de la magie (notamment la scène où ils découvrent la fission nucléaire et que Murphy commence direct à couvrir son tableau d'équations non mais à un moment Sheldon est plus réaliste), tout y est franchement. J'ai laissé tomber je sais plus quand, à un moment c'est juste devenu pénible. L'unanimité sur ce film est hallucinante. Le seul truc que le Guardian trouve à redire c'est que la représentation des femmes est pas tiptop. Fuck you, c'est pas ça le problème! Et merdre je m'étais trouvé un coin tranquille pour lire Husserl en prenant mon petit dej et il y a une tablée de treize ados (deux mecs, onze filles) qui débarque. Il y a un mec qui demande aux filles: "So, <prénom>, what was the highlight of your month, what are you bringing back to your place?" (Accent américain infernal) Ça doit être un business génial, colonie de vacances shopping de luxe à Paris, women only, et toi tu es un mec. Les Américains peuvent vraiment dire beaucoup de mots sans rien dire de signifiant ("So yeah, hummm, I mean, it was, yeah, I guess it was really, I mean, something, you know?") En fait c'est peut-être une group therapy pour enfants américains dépressifs très riches parce que leur réponse c'est "I liked making friends" et ils sont tous genre "awwww" wtfits. Ça y est, 70% sont sur leurs tels, ils vont bientôt tous entrer en hibernation (un peu comme dans The Good Place, quand tu es emotional devant le juge et qu'il entre dans son cocon), on va pouvoir avoir la paix Edmund et moi. Anyway, en flims, j'ai décidé de voir tous les Woody Allen que j'avais pas vus (Husbands and Wives, Interiors, Another Woman, Deconstructing Harry, Everyone Says I Love You, Sleeper, Broadway Danny Rose, Blue Jasmine).
  16. Oppenheimer sucks balls, and don't let anyone tell you any different. Je suis sorti au bout d'une heure.
  17. Fromage blanc au miel au petit déjeuner. The thing I didn’t know I needed
  18. Vilfredo

    The password game

    Un pays qui a une forêt et des côtes. Well that’s gonna narrow things down!
  19. Parce que pour toi, la privatisation, c’est l’apocalypse? Je doute de ton libéralisme
  20. …pour voir si c’est cuit ok ok j’arrête edit putain de nouvelle page, mon comic timing en ruines
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