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aludosan

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À propos de aludosan

  • Date de naissance 16/08/1965

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    Pertes du Rhone
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    tellement nombreux... !

Idées

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    Libéral classique
  • Ma référence
    Bastiat, Salin, Gave
  1. aludosan

    Turquie

    Si les arméniens (d'Arménie) se réjouissent… c'est qu'ils ne voient pas très loin. Au lieu de ressasser le passé lointain, ils feraient mieux de reflechir à la mésaventure récente de la Georgie avec le grand "frère" Poutine; également au peu d'empressement des "occidentaux" pour aller défendre les révoltés syriens (à la différence de la Lybie). Reflechir par conséquent à leur position géographique et à ses conséquences. Que cela nous plaise ou pas, le territoire turc est Le Passage (en majuscule) entre l'Europe et l'Asie. S'aliéner la Turquie ( pour des raisons futiles qui plus est!) relève d'une stupidité difficilement imaginable, aussi bien pour la France que pour l'Arménie.
  2. aludosan

    Turquie

    Possible. Remarque… je ne sais plus qui disait qu'il n'est pas nécessaire d'aller chercher des explications complexes là ou des explications simples suffisent (une sorte de "variation" sur le thème du "rasoir d'Ockham"). Si ça se trouve, c'est la bonne piste .
  3. aludosan

    Turquie

    A voir la réaction des officiels turcs, ainsi que du premier-ministre arménien (sans parler des différents porte-parole - officiels ou auto-proclamés - de la communauté arménienne en France) il semblerait qu'on a affaire à des retardés mentaux de tous les côtés. Ils ont tous l'air de prendre tout ça au sérieux !!! Si donc tous ces débiles se prennent au jeu, reste à évaluer l'impact prévisible. Avantages: - on a le vote de ???? arméniens en France (nombre à préciser) Inconvénients: - on perd quelques contrats juteux avec la Turquie - on se voit refuser quelques acces militaires depuis la Turquie L'Elysée vaut bien une messe, me direz-vous. (les contrats étant une forme moderne de messe). Soit. A condition que ladite messe vous rapproche significativement de l'Elysée. Est-ce sûr ? N'a-t-on pas oublié, dans le décompte, les…. turcs en France ? Ni les autres musulmans qui, dans l'affaire, se sentiront peut-être plus d'affinités avec les turcs? (Nombre aussi à préciser….) Au total donc, le bénéfice (électoraliste) est soit inexistant, soit tellement mince qu'on se demande si les gens ayant provoqué ce "buzz" médiatique ont quelque cose dans leur cervelle. Je parle sur le plan purement "tactique", "politicard". (Vous observerez que je refuse de discuter du fond, tellement ça me parait absurde de légiférer sur de tels sujets. Je ne fais donc pas à nos politiciens l'insulte de croire qu'ils se prennent au sérieux sur le fond. Ou alors on a des débiles profonds en guise de députés).
  4. Entendu ce matin à la Radio : en rapport avec les performances de Dexia, on reprend le refrain de la "re-capitalisation" des banques européennes. Cette fois, il s'agirait d'un plan coordonné, au niveau europeen, plan qui serait en cours d'élaboration… J'avoue que je ne comprends toujours pas une eventuelle "re-capitalisation" de ce type. Les banques n'ont plus assez de fonds propres. OK. D'ou peuvent venir alors de "fonds" supplémentaires ? De la Banque Centrale, me direz-vous. OK, mais cette Banque Centrale a ces "fonds" d'ou ? Sous quelle forme ? "Garantis" par quoi ? Personnellement, je n'y vois qu'une procédure très élaborée destinée à fabriquer… de l'inflation !! Inflation qui sert, bien entendu, en premier lieu, à: - ceux qui introduisent sur le marché les nouvelles "liquidités" (fausse monnaie, diraient certains) - ceux dont les dettes étaient "normallement" insolvables (ce qui, dans le cas de Dexia, signifie les organismes publics, collectivités territoriales, etc) Autrement dit, les pyrhomanes d'hier (institutions "étatiques" diverses et variées) s'apprêtent à jouer les pompiers d'aujourd'hui. En fait, de faux "pompiers": ce faisant, ils sauvent - provisoirement - la face d'un système profondemment pourri ( je parle du système actuel, ou l'acteur majeur de l'économie est "l'Etat"). Si les investissements des institutions "étatiques" avaient été, - en moyenne - judicieux, il n'y aurait aucune raison à ce que ces institutions se trouvent aujourd'hui en difficulté, et Dexia serait une banque florissante. On va donc fabriquer de l'inflation… juste pour sauver les positions sociales (privilégiées et enviables) de tous ceux qui jouent impunemment avec l'argent des autres (ceci concerne autant les décideurs au niveau national que la plus humble mairie de province). La crise actuelle - à mon avis - est surtout la faillite d'un système qui ne diffère du feu URSS que par des éléments quantitatifs (il existe encore une économie privée, en Europe: trop affaiblie dorénavant pour supporter les frasques du "public"). Mais la partie "publique" est structurellement identique à une économie soviétique. Evidemment, ceux qui gueulent contre "le Marché" qui est en train de mettre à mal nos merveilleuses institutions publiques - nombreuses, variées et oh combien "sociales"! - ces gens-là ressemblent à ceux qui voudraient lapider l'enfant ayant osé dire que le Roi est nu ! La vie était tellement plus paisible quand nous admirions tous les beaux habits du Roi, n'est-ce pas ? A la même radio, ce matin j'ai entendu dire que Mr Bartolone aurait fait un proces à Dexia pour avoir manqué à son devoir de conseil à l'égard de non-initié !!! Evidemment, le fait que, incidemment, il avoue ainsi son statut de non-initié (en clair, incompétent) ne géne personne. Le fait donc que nous vivons dans un système qui nous oblige à laisser plus de la moitié de nos richesses entre les mains de gens s'avouant eux-mêmes incompétents… ne semble géner personne. Et aprés ça, on s'étonne que l'on va droit vers la catastrophe.
  5. Bel exercice que celui que tu me proposes. Je vais essayer d'y reflechir ( la difficulté sera de trouver un exemple relativement simple et… de pouvoir avancer des chiffres fiables). Je ne sais pas quand j'aurai le temps…. Aïe… Malgré mes reflexions sur ces sujets, j'ai été nul pour ce qui était de prédire la "révolution" roumaine de 1989: j'avais espèré une révolte deux ans plus tôt, pour des raisons conjoncturelles. Egalement pour des raisons conjoncturelles, j'avais estimé, début 1989, que mes compatriotes sont trop cons et trop lâches, qu'ils vont de nouveau s'assoupir dans la léthargie arrangeante des compromis… Bref, à l'été 1989 je me suis barré. Quatre mois plus tard j'assistais, à la télé, depuis la France, aux événements que tout le monde connait. Je ne gagne jamais au Loto ( certes, je n'y joue que rarement….) Et avec tout cela, tu m'invites à faire des prédictions ? Allez, je me hasarde: on finira, tôt ou tard, dans une sorte de "guerre civile". Peut-être pas violente (juste quelques acces, par endroits et par moments…). Avec, dérrière, une longue periode (qques années) de remous incessants (instabilité politique, législative, etc.) Quand cela va-t-il commencer ? Je n'en sais rien. Je ne crois pas qu'on va atteindre 2020 dans la configuration actuelle. Ce qui est difficile à prédire, c'est le moment précis de l'explosion. Mais, à mon humble avis, on a largement dépassé, en France, une sorte de "point de non-retour": le moment ou on aurait pu encore "corriger le tir" tout en evitant un "clash". L'autre hypothèse étant une longue et lente "agonie" de la "splendeur" des Etats-Providence, sans véritable "clash". Je n'y crois pas trop…
  6. Si j'ai un peu de temps, cet am, je vais chercher des exemples concrets. Oui, j'en suis bien conscient. Je considere le cas de la Roumanie ( ou celui de tout pays communiste) comme une caricature ( par rapport au phénomène dont on parle). Néanmoins, je considere que, au-delà d'un certain seuil ( à définir… je ne suis pas économiste) un "espace économique" peut prêter le flanc à une telle comparaison: le secteur "libre" devient trop petit, trop faible pour pouvoir corriger les distorsions de valeur induites par le secteur "étatisé". Qui plus est, ce secteur "libre" est lui-même "parasité" et distorsionné par les signaux envoyés par le secteur étatisé. Donc… je maintiens mon raisonnement.
  7. Au début des années '90, la Roumanie a connu une inflation monstrueuse (parfois les prix doublaient en quelques mois). Certes, il s'agissait d'un pilotage chaotique des autorités en place, tout de suite aprés la mort de Ceausescu. Mais… je me demande, à postériori, si un "bon" pilotage aurait pu faire différamment. Les choses se sont passées comme tu le decris: les prix, ainsi que les revenus, ont évolué de manière fort inégale. Pourquoi donc ces évolutions si discordantes ? Tout simplement parce qu'un demi-siècle d'économie étatisée avait fini par distorsionner tous les prix. En clair, les rapports de valeur entre différents biens étaient devenus complétement farfelus. Je pars du postulat selon lequel la seule Vraie Mesure (le Golden Standard) de la "valeur" d'un bien est la valeur établie par un marché libre, ou offre et demande s'expriment sans entrave. Qu'il s'agisse d'un marché "fermé" ou "ouvert", cela ne change pas grande chose à cet aspect. Question: ce "re-équilibrage" aurait-il pu se passer SANS inflation ? Je pense, actuellement, que non. Autrement dit: 1. Injecter des "liquidités", quelle que soit l'origine de ces liquidités (j'ai bien mesuré toutes les origines évoquées sur ce fil), me parait être le primum movens d'une inflation. Je peux, à la limite, m'en accomoder, à une condition - capitale ! : 2. Que cette inflation soit le mal nécessaire accompagnant la démarche principale, à savoir éradiquer le Mal qui a conduit l'ensemble de l'Economie dans cette situation. Or, le cas actuel de l'Europe me parait être analogue à celui de la Roumanie du début des années '90: une distorsion de plus en plus plus grande dans les rapports de valeur et une inadéquation progressivement croissante de l'Offre par rapport à la Demande ( ce qui explique la molesse de l'activité économique GLOBALE). Autrement dit, l'injection de liquidités associée à une libéralisation massive de l'Economie … on pourrait le comprendre. (D'ailleurs, me semble-t-il, Keynes ecrivait à une époque ou la présence de l'Etat dans l'économie était infiniment moindre…) Mais injecter des liquidités tout en continuant à perpétuer les mécanismes économiques à l'oeuvre, cela s'apparente, à mes yeux, à une folle fuite en avant. La chûte finale n'en sera que plus dramatique!
  8. Hmmm… Moi, être comme H16: age mental=10 ans ( au mieux de ma forme!) Donc: les banques ne font plus tellement confiance, ni à leurs homologues, ni aux "particuliers " (personnes physiques, entreprises, etc.). Qu'elles soient méfiantes à l'égard de leurs homologues ( peut-être à tort?)… je peux le comprendre. Mais la méfiance à l'égard des autres emprunteurs signifie tout simplement que les banquiers ne croient pas tellement à la capacité FUTURE de remboursement de ces demandeurs de crédit. Admettons que cette incrédulité soit un peu exagérée, mais pas complétement infondée. Que fait donc la Banque Centrale ? En tant qu'intermédiaire elle met une "rustine" sur cette confiance dans le futur. Mais… ce faisant, la solvabilité FUTURE des emprunteurs finaux devient-elle meilleure ? Juste du fait que la Banque Centrale decrète qu'il faut y croire ? Autrement dit: que ça soit par le biais de "l'injection de liquidités" ou bien en se portant garante, la Banque Centrale n'alimente-t-elle pas une sorte de fuite en avant, alors même que les fondements économiques n'ont en rien changé ? Même si, à cet instant, il n'y a pas création de monnaie ex-nihilo, la Banque Centrale ne crée-t-elle pas les prémices d'une marche joyeuse (et aveugle) vers encore plus de crédit… qu'aucune base économique réelle ne justifie ? Et, in fine, sur quoi une Banque Centrale "garantit-elle" les eventuels futurs défauts ? Elle, toute seule, ne crée aucune richesse ! Alors…sur les prélèvements futurs, présumé mirobolants ? (vision "keynesienne" de caniveau, dont la vulgate serait une sorte de "mange, bois, dépense aveuglement, ceci va faire pousser par miracle des denrées par centuple, à l'avenir"). Il parait évident que, dans de telles conditions, la "solvabilité" future de tout ce beau monde ne peut reposer que sur la création, tôt ou tard, de monnaie "de singe". Bref… je suis stupéfait de ce qui se passe: j'ai clairement l'impression que cette "injection de liquidités" est une sorte d'acharnement thérapéutique. Dont le seul résultat prévisible sera que le clash final sera encore plus violent. Mais, qui sait? Les Trichet et consorts pensent peut-être que, de toute façon, ça viendra bien plus tard. Sufissament tard pour qu'on ne fasse pas de relation de cause à effet entre leur action actuelle et le clash en question.
  9. "Les principales banques centrales de la planète sortent l'artillerie lourde. La BCE (Banque centrale européenne), la Réserve fédérale des Etats-Unis, la Banque d'Angleterre, la Banque du Japon et la Banque nationale suisse ont conjointement annoncé jeudi 15 septembre une action concertée pour élargir l'approvisionnement en dollars et faire redémarrer le marché interbancaire." Merci de m'expliquer d'ou viennent ces "liquidités". S'agit-il, en fait, d'une inflation ?
  10. Ca a l'air presque "libertarien"… Mais… pas un nom, pas une adresse physique… ??? Le web-designer (sis à Lyon) affirme avoir crée le site en mars 2009.
  11. Le PB Rhone-Alpes, c'est qui ? J'veux m'embrigader, moi ! (mais personne ne veut de moi… )
  12. Ca permet surtout d'avoir du japonais (Nissan), fabriqué en Corée (Samsung), avec un badge Renault: ma Koleos. Moche comme tout mais rapport qualité/prix imbattable.
  13. Faudra trouver une machine assez grande pour que tu puisses y entrer.
  14. Constatons au moins qu'elles se tapent souvent le porc entier, juste pour un bout de boudin. Les pauvres!
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