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Circonstances génétiquement atténuantes


Punu

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Il ne faut pas donner à cette décision une trop grande portée car elle sera sûrement invalidée à un niveau supérieur, mais on peut se demander si elle n'augure pas un changement d'optique, sachant que jusqu'ici la vision judiciaire de l'essence de l'homme était purement culturaliste (raison pour laquelle on se penchait sur l'enfance, sur les passions (amoureuses, notamment), etc., dans la quête de circonstances atténuantes). Sur le fond, je considère que cette excuse ne devrait pas être recevable (au même titre que l'enfance malheureuse) car l'être humain dispose d'une volonté (libre arbitre) qui lui permet de dépasser ses pulsions.

http://www.liberation.fr/monde/0101599819-…gene-du-meurtre

Un juge italien découvre le gène du meurtre

La Cour d'Appel de Trieste a invoqué une «vulnérabilité génétique» prédisposant à la violence pour accorder une réduction de peine d'un an à un meurtrier d'origine algérienne.

Le gène du meurtre existe-t-il ? Une Cour d’Appel italienne vient d’accorder une réduction de peine à un assassin d’origine algérienne, en invoquant une «vulnérabilité génétique» qui le prédisposerait à un comportement agressif. Une première en Italie.

Condamné à 9 ans et deux mois de prison pour avoir poignardé un Colombien de 32 ans, à Udine, en mars 2007, Abdelmalek Bayout a vu sa peine réduite d’un an après s’être soumis à une analyse ADN «innovante». «On a découvert chez le sujet une série de gènes qui le prédisposeraient à faire preuve d’agressivité s’il venait à être provoqué ou à être exclu socialement», résume le site Internet du quotidien Il Giorgnale.

Une prédisposition sociale et génétique au meurtre

L’héritage social, mais surtout, pour la première fois en Italie, le patrimoine génétique ont été reconnus par Cour d’Appel de Trieste comme des circonstances atténuantes. Le soir du meurtre, la victime a agressé son meurtrier, le traitant notamment de «pédé». Des insultes qui, pour les juges, expliquent en partie la réaction disproportionnée de cet homme d’origine algérienne et musulman pratiquant. Se référant à une étude britannique du Nuffield Council on Bioethics, «Génétique et comportement humain: le contexte étique» (2002), la Cour a considéré qu’Abdelmalek Bayout présentait une prédisposition, à la fois sociale et mais également génétique, au meurtre.

Selon une application totalement inédite de l’article 62 du code pénal italien, qui définit les circonstances atténuantes, les juges ont considéré que la réaction violente de l’accusé a été «déclenchée par le déracinement causé par la nécessité de concilier le respect de la propre foi islamique intégriste avec le mode de vie occidental». Mais, surtout, elle a été exacerbée par des éléments de son patrimoine génétique «qui, selon de nombreuses recherches internationales, augmentent de manière significative le risque de développer un comportement agressif impulsif», écrit, le juge Pier Valerio Reinotti dans ses conclusions. Un héritage «socio-biologique» qui justifie alors, pour la Cour, une réduction de peine d’un an.

«Un non-sens scientifique»

«C’est un non-sens scientifique», s’exclame Catherine Vidal, neurologue et directrice de recherche à l’institut Pasteur, réfutant tout consensus dans la communauté scientifique sur l’existence de gènes de la criminalité ou de l’agressivité. Selon elle, il existe effectivement des études qui montrent des corrélations entre certains gènes et des comportements, mais sans pour autant prouver une véritable relation de cause à effet. «De toute façon, ces études sont réalisées sur des grands échantillons, sur des bases statistiques. Elles ne peuvent en aucun cas prédire un comportement violent chez un individu particulier qui comparait devant un tribunal», prévient-elle.

Co-auteur de Nos enfant sous haute surveillance (Albin-Michel 2009), elle s’inquiète d’une «dangereuse dérive» qui tend à vouloir invoquer les sciences dans des domaines où elles n’ont pas vocation à l’être. De son côté, Eve Mongin, avocate française en Italie, n’est pas surprise de cette prise de position de la Cour d’Appel de Trieste. «L’Italie pays d’immigration récente, il y a encore peu d’intégration des maghrébins qui sont souvent stigmatisés», explique-t-elle. Dans une Italie du Nord gouvernée par le parti «raciste et scissionniste» de la Ligue du Nord, elle accueille ce jugement avec scepticisme: «Vu les motivations hasardeuses des juges, il y a peu de chance qu’il fasse jurisprudence».

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La question possible est aussi: Pourquoi se faire traiter de pédé, déclenche chez quelqun une pulsion violente si excessive? :icon_up:

Tiens, il y a de quoi creuser… C'est vrai qu'une lesbienne ne se fait à ma connaissance jamais rosser par d'autres femmes sous prétexte qu'elle menacerait leur féminité.

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Tiens, il y a de quoi creuser… C'est vrai qu'une lesbienne ne se fait à ma connaissance jamais rosser par d'autres femmes sous prétexte qu'elle menacerait leur féminité.

Quand j'y réfléchis, il est rare que les femmes s'insultent à travers une homosexualité présumée ou réelle.

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C'est vrai qu'une lesbienne ne se fait à ma connaissance jamais rosser par d'autres femmes sous prétexte qu'elle menacerait leur féminité.

Le plus grand danger pour la féminité, ce ne sont à mon avis pas les lesbiennes, mais les socialo-féministes en tout genre. Comme par exemple celles qui s'auto-proclament "chiennes" et qui osent prétendre défendre les intérêts des femmes => www.chiennesdegarde.com :icon_up:

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D'après certaines recherches, il existerait un gène de " l'alcoolisme" ( recettes des cocktails aidant ) mais en realité cela est une conséquence indirecte: le gène déficient ne commande pas la production d'un enzyme contribuant à l'elimination de l'alcool et créeant ainsi une dépendance rapidement.

Il me semble, sans être généticien, que, combiné à d' autres gènes mal assurant la production des substances comme dopamine où excèss de adrenaline, cela peut encore augmenter les risques d' alcoolisme. En ce sens, toute affirmation du genre "gène du…" est plutôt "un risque de…", parfois probabilisable.

Célébration Chute du Mur:

L' exemple des soviets vient à point nommé: la forte valorisation de l'ingurgitation des grandes quantités de vodka, dans un régime illibéral et donc quasi-invivable, a d'abord touché ceux sans enzymes compatibles.

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Le plus grand danger pour la féminité, ce ne sont à mon avis pas les lesbiennes, mais les socialo-féministes en tout genre. Comme par exemple celles qui s'auto-proclament "chiennes" et qui osent prétendre défendre les intérêts des femmes => www.chiennesdegarde.com :icon_up:

connais tu Bitch magazine?

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Invité jabial
Si les femmes comprenaient le sens du mot "honneur", ça se saurait !

Selon mon expérience les misogynes sont des dominés :icon_up: Il suffit de voir comment ils se comportent réellement avec les femmes de leur vie. Il n'y a pas plus pussywhipped que les mecs qui dénigrent les femmes en général. Et que je te fais le bricolage et la vaisselle, et évidemment toutes les sorties du couple correspondent aux goûts de son amie. Mais à part ça entre copains c'est les femmes ci, les femmes ça. Ouais ouais 100% crédible quand un simple coup de fil suffit à ramener monsieur à la maison comme s'il avait le feu aux fesses.

D'ailleurs la réciproque est vraie aussi : les femmes qui se plaignent le plus des hommes en général sont les plus soumises à leur mec, quand elles en ont un. J'ai vu un cas proprement hallucinants, où une demoiselle qui se prétendait féministe obéissait de façon quasi réflexe à des ordres d'un mot ou deux au plus ("la fenêtre!"), et changeait d'opinion en 30 secondes chrono quand son "significant other" exprimait la sienne sur des sujets allant de la politique à la littérature.

Il y a une façon très simple de déterminer qui est le réel dominant dans un couple : quand leur opinion diffère sur un sujet, en public, l'un s'exprime et l'autre s'efface. La politique peut être un bon sujet pour tester ça, mais les goûts télévisuels marchent très bien aussi. La télécommande n'est pas un simple substitut phallique, c'est La Culotte :doigt:

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L'équivalent féminin de tapette, c'est camioneuse.

Moui enfin ça ne fonctionne pas sur tous les gabarits, hein. Quelqu'un me traitant de camionneuse, ça va surtout faire rigoler tout le monde.

Il y a une façon très simple de déterminer qui est le réel dominant dans un couple : quand leur opinion diffère sur un sujet, en public, l'un s'exprime et l'autre s'efface. La politique peut être un bon sujet pour tester ça, mais les goûts télévisuels marchent très bien aussi. La télécommande n'est pas un simple substitut phallique, c'est La Culotte :icon_up:

Je ne trouve pas que ce soit infaillible. En fait, se taire en public sur les sujets un peu "tendus" dans le couple peut simplement correspondre à la pudeur de ne pas se disputer en public et d'en discuter ensuite, en privé.

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Invité jabial
Je ne trouve pas que ce soit infaillible. En fait, se taire en public sur les sujets un peu "tendus" dans le couple peut simplement correspondre à la pudeur de ne pas se disputer en public et d'en discuter ensuite, en privé.

Sauf si c'est la toute première fois que ça arrive, ça ne fait que démontrer ce que je dis : la "discussion privée" n'a aucun effet et l'un(e) n'hésite pas à fâcher l'autre, l'autre pas -> rapport de domination évident. Je ne parle pas des gens qui vont jusqu'à critiquer leur conjoint(e)s en public et en sa présence, à ce niveau àmha on est déjà dans le domaine de l'abus voire de l'agression et plus de l'asymétrie normale des rapports de couple.

Dans mon expérience, le dominant du couple n'est pas toujours l'homme (même s'il ne faut pas se voiler la face, c'est quand même la majorité des cas), mais les couples symétriques ne fonctionnent carrément jamais : une paire de dominants donne des disputes permanentes, et une paire de soumis donne des rapports insincères sur le mode passif/agressif. Mais dans un couple normal (asymétrique) le rapport de domination est d'autant plus réel qu'il s'exprime non pas dans l'autoritarisme du dominant, signe de la faiblesse évident, mais bien dans la soumission du dominé.

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La télécommande n'est pas un simple substitut phallique, c'est La Culotte :icon_up:

Dans le passé cela fût vrai, aujourd'hui il suffit d'avoir chacun sa télé.

Pour réussir une vie à deux, il faut deux chambres, deux salles de bain, deux télévisions, surtout s'adresser la parole le moins possible, et pis c'est tout.

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Invité jabial
Pour réussir une vie à deux, il faut deux chambres, deux salles de bain, deux télévisions, surtout s'adresser la parole le moins possible, et pis c'est tout.

Ca c'est typique de la cohabitation de deux dominants : au bout d'un certain laps de temps, le couple se désagrège sous la pression du conflit des volontés. En général ça finit par un divorce.

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connais tu Bitch magazine?

Fichtre, mais c'est contagieux! Pourquoi tiennent-elles absolument à s'auto-proclamer "chiennes" et/ou "s*lopes"?

Remarque, c'est bien, elles ont conscience de ce à quoi renvoie leur attitude; c'est déjà ça… :icon_up:

Bon allez, JE SORS.

C'est la femme en jean, exception tolérée quand elle monte à cheval.

Vous êtes juif dans l'âme!

Autre exception recevable: le ski. (pas trop au Texas, plus en Alaska).

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Autre exception recevable: le ski. (pas trop au Texas, plus en Alaska).

Non même pas, j'ai fait une fois du ski en jean au Val d'Azun dans mes Pyrénées, et bien ça m'a suffit pour comprendre que rien ne vaut un bon vieux pantalon en velours pour skier.

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Non même pas, j'ai fait une fois du ski en jean au Val d'Azun dans mes Pyrénées, et bien ça m'a suffit pour comprendre que rien ne vaut un bon vieux pantalon en velours pour skier.

Faire du ski… Quel manque de classe.

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Faire du ski… Quel manque de classe.

Vous, vous ne connaissez pas les Pyrénées, ni même le plaisir que l'on peut prendre à observer un isard dans son milieux naturel.

Sans oublier qu'après avoir skier une cinquantaine de kilomètres, vous avez le corps fatigué mais l'esprit reposé.

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Vous, vous ne connaissez pas les Pyrénées, ni même le plaisir que l'on peut prendre à observer un isard dans son milieux naturel.

Sans oublier qu'après avoir skier une cinquantaine de kilomètres, vous avez le corps fatigué mais l'esprit reposé.

C'est ça, exactement. Aucune classe.

Pendant ce temps, ceux qui ont la classe sirotent un petit whisky en lisant un bon bouquin et en regardant les bûches flamber dans l'âtre, pendant que des ouistitis colorés en pantalons de velours se caillent les miches sur des pentes gelées.

Chacun son truc.

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C'est ça, exactement. Aucune classe.

Pendant ce temps, ceux qui ont la classe sirotent un petit whisky en lisant un bon bouquin et en regardant les bûches flamber dans l'âtre, pendant que des ouistitis colorés en pantalons de velours se caillent les miches sur des pentes gelées.

Chacun son truc.

Vous croyez que je manque à ce point de classe que je fais du ski alpin et que je supporte le flot d'abrutis qui se déversent sur les pentes et qui viennent saloper mes Pyrénées?

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