L’UDC appelle les Genevois à la désobéissance fiscale

[Tea-Party France]

Oui enfin l'empoisonement est tout aussi sûre et plus façile.

[RedGhost]

Oui enfin l'empoisonement est tout aussi sûre et plus façile.

Bof. Plus facile quand on a une arme sous la main, ça se discute. Et beaucoup de gens qui se suicident par empoisonnement le font aux médocs, et se ratent (mauvais dosage, pas l'effet escompté, vomissements, etc…). C'est possible de se rater avec une arme à feu mais il faut soit utiliser du petit calibre et viser mal, soit vraiment le faire exprès…

[Tea-Party France]

Mais je pense que cetaines personnes n'oserait pas tirer, alors que le poison passe facilement.

[le dernier dino]

Mais je pense que cetaines personnes n'oserait pas tirer, alors que le poison passe facilement.

Vous êtes un tueur en série ?

[JackieV]

Voici les statistiques 1999 pour la France

http://www.cepidc.inserm.fr/inserm/html/pdf/FeuFin.pdf

Où l'on s'aperçoit que le taux de suicide par armes à feu et le taux d'homicide par armes à feu en France est plus élevé que chez les Suisses.

Autre lien intéressant, où l'on voit que le taux d'homicides suisse est plus faible que le français, qui est lui même plus faible que le taux d'homicide britannique (le RU étant pourtant l'un des pays les plus régulés au monde de ce point de vu là) :

http://www.nationmaster.com/red/graph/cri_…pita∫=-1

[Lancelot]

Oui enfin l'empoisonnement est tout aussi sûr et plus facile.

Les deux sont à éviter quand on ne sait pas ce qu'on fait ; sauf si on ne trouve pas gênante la perspective d'une mort beaucoup plus lente et douloureuse que prévu ou de séquelles graves à vie.

Edit : en fait, à la réflexion, ça s'applique à la plupart des méthodes.

[Tremendo]

Est-ce que ceux qui ont la possibilité de suicider par arme à feu choisirait une méthode tout aussi efficace pour en finir si elles étaient interdite reste une vraie question, et si quelqu'un à la réponse ça m'intéresse.

Se jeter d'un pont, se jeter sous un train, c'est radical. J'ai essayé ça marche bien.

[eclipse]

Voici les statistiques 1999 pour la France

http://www.cepidc.inserm.fr/inserm/html/pdf/FeuFin.pdf

Où l'on s'aperçoit que le taux de suicide par armes à feu et le taux d'homicide par armes à feu en France est plus élevé que chez les Suisses.

Autre lien intéressant, où l'on voit que le taux d'homicides suisse est plus faible que le français, qui est lui même plus faible que le taux d'homicide britannique (le RU étant pourtant l'un des pays les plus régulés au monde de ce point de vu là) :

http://www.nationmaster.com/red/graph/cri_…pita∫=-1

J'aimerais bien connaitre la proportion de flics impliqués dans les suicides par armes à feu en France, m'est avis que ce n'est pas négligeable.

[le dernier dino]

Il y'avait des élections municipales intéressantes apparemment ce weekend. Est ce qu'un de nos amis suisses en sait plus ?

Si j'ai bien compris c'est de bonne augure pour l'UDC aux élections fédérales au mois d'octobre prochain, c'est bien ça ?

Poussée populiste

C'est un mouvement général. En France, Marine Le Pen affole les sondages, tandis que l'UDC devrait progresser lors des élections fédérales d'octobre. Au niveau municipal, les élections d'hier dans les cantons de Genève et de Vaud ont déjà marqué dans les urnes la progression du vote protestataire. Le Mouvement citoyen genevois –MCG: ni de gauche ni de droite, selon lui, mais placé à juste titre à l'extrême droite de l'hémicycle dans le parlement cantonal– s'impose dans 13 communes contre trois jusque-là. En Ville de Genève, le parti fait une entrée fracassante, d'autant plus remarquable que l'UDC reste bien présente. Le populisme avance ses pions aussi dans le canton de Vaud, où le parti agrarien fait fort dans les législatifs de plusieurs villes, en particulier Lausanne.

Mendiants, frontaliers, étrangers, dealers et autres boucs émissaires ont bien joué le rôle qu'on leur a donné, en détournant sur eux les frustrations et colères d'une partie de la population qui ne croit plus dans les partis installés.

A Genève, les «solutions» à l'emporte-pièce du MCG, qui n'a pourtant rien proposé de concret au Grand Conseil, ont surtout fait perdre des plumes à l'Entente. Au sein de celle-ci, les libéraux-radicaux boivent particulièrement la tasse. Ces derniers étaient sur une pente descendante, que leur fusion a aggravée. Certains électeurs ont manifesté leur mécontentement, probablement plus du côté des radicaux dont la fusion menace les valeurs sociales fondatrices du parti historique de la Genève moderne. Ni les moyens conséquents mis dans la campagne ni leur locomotive Pierre Maudet n'ont pu freiner l'érosion, même si le conseiller administratif sortant a porté le discours sécuritaire de la droite traditionnelle. Sur ce point, la leçon est toujours la même: les électeurs préfèrent le parti qui hurle le plus fort, le MCG en l'occurrence.

La percée des populistes est moins coûteuse pour la gauche, même si celle-ci démontre sa peine à capitaliser sur l'accroissement des difficultés économiques et sociales. Contrairement au canton de Vaud où la gauche se maintient à niveau, en Ville de Genève, elle perd une majorité détenue pendant seize ans ans! La nouvelle, qui était attendue, est d'autant plus historique que c'est le principal contre-pouvoir à la majorité de droite au Grand Conseil qui disparaît.

Le succès de l'extrême gauche –à relativiser puisqu'elle sera présente seulement dans une poignée de communes– est compensé par le recul des Verts, qui perdent des voix également dans le canton de Vaud. L'effet de mode semble avoir fait long feu. En Ville de Genève, une conjonction de facteurs a joué. La formation paie probablement l'évolution au centre droite du parti cantonal, des candidats au Conseil administratif manquant de relief et une certaine concurrence des Verts'libéraux.

Minorisée, l'Alternative devra plus que jamais remiser ses divisions et jouer sur celles de ses adversaires. Il devrait être difficile de compter sur le MCG, car si ce dernier est fidèle à ce qu'il est au Grand Conseil, en Ville il suivra la politique droitière sur la plupart des thèmes. Tout en semant la pagaille pour la galerie.

RACHAD ARMANIOS

LeCourrier.ch

[Invité]

- l'opposition entre villes et campagnes : y-a-t'il un résident suisse qui pourrait nous en dire plus?

Opposition campagne / ville est a mon sens la meme partout.

A la campagne tout le monde se connait, tout le monde est issu d'un "moule" commun et compris par tous. En gros on se fait confiance, le systeme immunitaire social fonctionne plutot bien. Ce systeme immunitaire social est quasi inexistant en ville ou dans les cantons frontaliers (notament Geneve); on finit par ne pas connaitre son voisin, et donc on craint plus la phase petage de plomb. Bref les villes on voulu se premunir contre les agissement de personnes qu'ils ne connaissent pas, alors qu'a la campagne les gens se connaissent et se font confiance en tout cas sur ce point la….

Si j'ai bien compris c'est de bonne augure pour l'UDC aux élections fédérales au mois d'octobre prochain, c'est bien ça ?

Le MCG n'est pas l'UDC…meme si http://www.letemps.ch/Page/Uuid/f5054e8a-1…07-675eb24ed662

pour faire court le MCG n'a que peu de directives liberales, au contraire il est essentiellement raciste, anti-frontalier, et protectioniste.

[Bastiat]

pour faire court le MCG n'a que peu de directives liberales, au contraire il est essentiellement raciste, anti-frontalier, et protectioniste.

Voilà il est beaucoup plus proche du FN Français qui s'est rougis ces derniéres années… Défauts que n'a pas l'UDC.

L'influence de la france sur Genêve sans doutes…

[Tremendo]

http://www.lefigaro.fr/international/2011/…n-populiste.php

L'immigration principale préoccupation des suisses aux élections:

À six mois des élections fédérales, la droite comme les Verts font campagne sur les dangers de l'immigration.

Pour freiner l'immigration illégale en Suisse, Giuliano Bignasca souhaiterait construire un mur «comme il en existe un entre Israël et la Palestine». Le sien s'élèverait dans la ville de Chiasso, à la frontière avec l'Italie.

Le président à vie de la Lega, parti populiste de Suisse italienne qui a remporté les élections cantonales du 10 avril avec 30% des voix, ne recule pas devant les propositions radicales. Il a également menacé de renvoyer «à la maison» 13.000 frontaliers italiens accusés de faire grimper le chômage près de Lugano.

Ces idées pourraient paraître fantaisistes, mais le succès électoral de Giuliano Bignasca oblige ses opposants à le prendre au sérieux. D'autant que l'intégration des étrangers en Suisse devient un thème central du débat politique, à six mois des élections législatives au Parlement fédéral.

Selon un rapport officiel paru début avril, la Suisse comptera environ 10 millions d'habitants en 2035 (contre 7,6 millions aujourd'hui). Dans une interview à l'hebdomadaire alémanique Sonntag, le président de l'Union démocratique du centre (UDC), Toni Brunner, y voit un impact sur l'économie et la consommation énergétique du pays: «Si l'immigration se poursuit au même rythme qu'actuellement, nous ne pourrons pas éviter la construction de nouvelles centrales nucléaires.»

Inquiétudes à gauche

Au détour d'un communiqué, l'UDC rappelle que dès le 1er mai, les Polonais ou les Slovaques pourront «s'établir librement en Suisse». Walter Wobmann et Christoffel Brändli, deux députés issus du même parti, ont chacun déposé une motion demandant de plafonner l'immigration à 0,2% de la population, contre environ 1% actuellement. Et, comme le mentionne Le Matin Dimanche, «toute la droite a suivi le mouvement, à quelques exceptions près».

La stigmatisation des étrangers n'est plus l'apanage de la droite. Ainsi, l'association Écologie et Population (Ecopop) est sur le point de lancer une initiative populaire pour limiter l'immigration à 0,2%, afin de réduire l'impact environnemental de la croissance démographique. «Nous ne voulons pas que l'extrême droite soit la seule à s'occuper de la politique migratoire», a déclaré Albert Fritsch, son porte-parole. Tout en refusant de cautionner cette démarche, les Verts planchent sur un moyen de sélectionner les entreprises étrangères qui voudraient s'installer en terre helvète. Andreas Ladner, politologue à l'Institut de hautes études en administration publique (Lausanne), confirme que «l'immigration touche aussi l'électorat de gauche, qui s'inquiète de la montée des loyers ou de la baisse des salaires, due à la concurrence de la main-d'œuvre étrangère».

Lundi, La Tribune de Genève envisageait une «union populiste au Parlement» autour de ces thématiques. La présidente de l'Union des Français en Suisse, Claudine Schmid, refuse de s'en affoler: «La Suisse a signé les accords bilatéraux et ceux de Schengen. Toutes ces propositions, qui ne sont faites que pour frapper les esprits, sont parfaitement inapplicables.»

[Métazét]

Je viens de lire le programme de ce parti, l'UDC. En France, il passerait pour "ultra-libéral". Donc à moins que l'UMP soit carrément bolchévique, je pense qu'on peut dire que l'UDC est quand même assez libéral, surtout sachant que par pédagogie, il vaut mieux introduire les mesures libérales de manière progressive.

[le dernier dino]

Suisse: un groupe d'extrême-gauche kidnappe la mascotte d'un parti de droite

A une semaine des élections législatives suisses, la mascotte du premier parti politique suisse UDC (droite populiste), un bouc surnommé "Zottel" ("Touffe de poils"), est toujours introuvable, tandis qu'un groupe d'extrême-gauche a revendiqué son enlèvement.

Zottel, petit bouc blanc aux cornes noires, a mystérieusement disparu dans la nuit de vendredi à samedi en compagnie de "Mimo", une chèvre de l'étable du conseiller national (député) Ernst Schibli qui habite dans le canton de Zurich (nord). Le propriétaire dit avoir découvert la disparition des deux animaux samedi matin alors qu'il allait les nourrir. Les membres du groupe "Antifaschistische Aktion" ("Action antifasciste") ont revendiqué l'enlèvement sur internet. "Maintenant, nous avons aussi un bouc émissaire", écrivent-ils. "Nous avons rendu visite cette nuit à Zottel et l'avons pris avec nous". Sur internet, leurs défenseurs ont publié des messages pour les remercier, faisant valoir qu'il était contre nature d'exploiter des animaux à des fins politiques. Agé de 10 ans, le célèbre bouc accompagne l'UDC depuis les dernières élections fédérales de 2007. Selon l'UDC, Zottel est "curieux, intéressé, impertinent, coriace, entêté et résistant. Il symbolise ainsi la liberté, l'indépendance et l'intrépidité de la Suisse". Pour sa part, l'UDC a condamné sévèrement le rapt.

rtl.be

h2C9T6dTXlE

[Kara]

C'est con mais ça me fait rire