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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/09/2025 dans Messages
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Un bel exemple d'usine à gaz bureaucratique poussée par la technocratie, trouvée sur LinkedIn. Il s'agit du "schéma français de gouvernance de l'IA". Le plus cynique dans cette affaire est de présenter ce système de flicage bureaucratique comme un dispositif public "décentralisé", "efficient" et... "favorable à l'innovation".1 point
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Je vous avais promis que j'aurais des choses à dire sur The Dictator's Handbook. En voici un résumé plus quelques remarques. L'ambition du bouquin est de réduire toutes les questions politiques, ou au moins une grande partie, à la proportion de différents groupes dans la société considérée. Ces groupes sont: Le "nominal selectorate", ou les "interchangeables", qui regroupe la population générale qui n'a pas d'influence politique particulière (l'électeur lambda dans une démocratie). Le "real selectorate", ou les "influentials", est la sous-partie du nominal selectorate composée de gens qui ont une réelle influence politique, par exemple les membres du parti dans un régime communiste ou le chef d'un village qui décide pour qui tout le monde va voter dans son patelin, ou en France les maires dont les signatures sont nécessaires pour se présenter à la présidentielle. La "winning coalition", ou les "essentials", est la sous-partie du real selectorate qui regroupe les personnes dont le soutient est nécessaire au dirigeant pour continuer à être dirigeant. Dans une démocratie ça sera la majorité. Le dirigeant Cette classification a pour ambition de pouvoir décrire n'importe quel régime politique de manière plus fine que la simple dichotomie entre démocratie et dictature. Pour situer les choses l'idéal-type d'un régime qualifié de dictature aura typiquement seulement une poignée d'essentials et peu d'influencials, tandis que celui d'un régime qualifié de démocratie aura typiquement un très grand nombre d'essentials et d'influentials. Chaque personne a pour but de survivre, d'amasser de la richesse, de conserver son pouvoir si elle en a et éventuellement d'en obtenir plus, mais la manière d'y arriver dépend du groupe où elle se trouve. Pour le dirigeant les règles à suivre sont (1) avoir aussi peu d'essentials que possible pour mieux les surveiller et ne pas trop ruiner les coffres en les gavant de pognon, (2) avoir autant d'interchangeables que possible qu'il pourra sortir de son chapeau pour remplacer les influentials et essentials déloyaux, (3) contrôler la richesse, la situation idéale étant que tout le monde soit aussi misérable que possible (ça leur évite de se faire des idées) sauf les essentials, (4) ne pas trop payer les essentials pour ne pas qu'ils deviennent trop gourmands, (5) payer les essentials assez pour maintenir leur loyauté, en particulier ne pas leur enlever de l'argent des poches pour l'utiliser à améliorer le sort du peuple ou autre lubie. Ces règles marchent tout aussi bien en démocratie, et les auteurs donnent un exemple de chacune dans le cadre des États-Unis : le gerrymandering pour la règle (1), l'immigration et le vote pour les migrants pour la règle (2), les batailles autour du code des impôts pour la règle (3), la défense du système social par les démocrates pour la règle (4), la défense des baisses d'impôts et le combat contre le système social par les républicains pour la règle (5). Partant de là les auteurs continuent avec plusieurs chapitres thématiques que je résume très brièvement : Comment arriver au pouvoir. En dictature il faut attendre un moment de faiblesse, typiquement quand le gars précédent va mourrir ou n'a plus assez d'argent pour arroser ses essentials, aller le plus vite possible pour ne pas qu'un rival puisse réagir, mettre la main sur le trésor et se débarasser de ceux qui ne sont pas d'accord. En démocratie arriver au pouvoir est moins violent physiquement mais implique de se battre pour trouver la combinaison gagnante de l'électorat à coup de postures populaires. Dans les deux cas le processus peut être adoucit quand le dirigeant actuel a un successeur officiel. Comment rester au pouvoir. Le plus important est de maintenir le contrôle sur les essentials en les remplaçant sans hésitation dès que leur loyauté est en doute, si c'est impossible en augmentant leur nombre pour diluer l'opposition, en divisant pour mieux régner chez les opposants, en corrompant les influentials etc. L'économie. Le dirigeant doit trouver de l'argent à tous prix pour arroser sa coalition. Il peut le faire en taxant les interchangeables, et personne ne s'en prive, mais quand on taxe trop les gens ils finissent par fuir ou mourir ce qui peut devenir contre-productif. La seconde solution est d'exploiter les ressources naturelles quand on en a ce qui est mieux puisque ça nécessite moins de main d'oeuvre et qu'on peut laisser le reste du peuple crever. Ça explique pourquoi les dictatures avec beaucoup de ressources sont pires. La dernière solution est de s'endetter autant que possible, et c'est au final le mieux surtout quand les dettes sont facilement annulées après quelques promesses en l'air. Les dépenses publiques. Les dictatures procurent uniquement ce qui est essentiel pour que les gens travaillent sans se révolter, par exemple une éducation basique et un système de santé pour les gens productifs mais pas trop de routes qui permettraient de fuir ou de réseaux de communication qui permettraient de s'organiser. En démocratie par contre on retrouve typiquement des biens publics pour tous qui vont de la liberté à plein de "droits à", parce que ces services sont considérés comme essentiels par la majorité des électeurs ce qui implique qu'il est nécessaire de les promettre pour être élu et de continuer à les procurer pour être réélu. La corruption. Faire des lois contre la corruption là où elle est endémique est contre productif puisque tout le monde est nécessairement corrompu, donc ça ne fait que donner des armes au dirigeant qui décidera qui peut l'être impunément (la coalition) ou pas (l'opposition). Il vaut donc mieux changer le système pour qu'il y ait moins d'incitation à être corrompu ce qui peut être fait d'après les auteurs en augmentant autant que possible le nombre d'essentials qui auront chacun moins de pouvoir, donc moins de tentation, et se surveilleront entre eux. L'aide au développement. Les aides sont un miroir aux alouettes, elles sont toujours détournées par le gouvernement local qui décide exactement ce qui va où, et généralement très peu va à l'objectif initialement visé. Les agences sont impuissantes à contrôler ça et d'ailleurs se gavent aussi au passage. Les gouvernements des pays riches utilisent les aides comme des moyens de pression pour faire adopter telle ou telle politique qu'ils estiment préférables comme "combattre le communisme" ou "fournir du pétrole pas cher", avec en démocratie la bénédiction des électeurs. Le dirigeant local de son côté n'est pas con et fait jouer les enchères par exemple entre les États-Unis et l'URSS pour avoir toujours plus de pognon. La guerre. Pour les dictatures la guerre se passe comme décrit par Sun Tzu, il faut privilégier des campagnes courtes où on pille tant qu'on peut et la défaite n'est pas très grave tant que ça ne touche pas les essentials. Pour les démocraties c'est différent, perdre une guerre a des conséquences catastrophiques pour le dirigeant. Les démocraties ont donc tendance à investir beaucoup plus de ressources dans les guerres et à se battre jusqu'au bout, ce qui explique qu'elles ont un bon track-record de victoire contre les dictatures. Les démocraties vont également ne vouloir entrer en guerre que quand elles sont raisonnablement certaines de gagner, donc contre des pays petits et/ou pauvres et/ou des dictatures, ce qui explique le mythe de l'absence de guerre entre démocraties. Au final la guerre est bien la continuation de la politique par d'autres moyens, le moyen précédent pour les démocraties étant d'offrir des aides contre des concessions politiques comme on l'a vu au dessus. En particulier ça ne pose absolument aucun problème de remplacer un dirigeant plus démocrate par le pire des dictateurs à condition que le dictateur soit plus conciliant. L'important est avant tout d'être réélu. Le reste du livre est dédié à des conseils pour améliorer la situation d'un pays en prenant en compte les règles décrites précédemment. Le principal moyen d'agir suggéré est un système qui conditionnerait l'annulation de dettes et les aides à des contreparties. Concrètement une somme d'argent serait bloquée sur un compte pour être reversée au dirigeant uniquement après qu'il aura mis en place les réformes voulues. Les dirigeants qui ne sont pas prêts à s'engager de cette manière ne devraient pas être sauvés du risque de faire faillite qui les incitera à enclencher eux-mêmes des réformes libérales pour enrichir le pays et sauver leur peau, ou finira par déclencher des révoltes et les renverser. Ensuite il faut s'attaquer aux causes du problèmes et pas aux conséquences. On a vu que la corruption est une conséquence et que s'y attaquer ne fait que servir le dirigeant en place, de même pour la pauvreté (les dictatures avec le plus de ressources sont les pires) ou l'absence d'élection (en forçant des élections on ne fait qu'obtenir des résultats à la soviétique). Quelles sont alors les vraies causes ? C'est résumé par les toutes dernières phrases du livre : Une chose qui m'a moyennement convaincu est la comparaison récurrente au cours du texte entre un gouvernement et la direction d'une entreprise privée, qui est sans doute valable dans certains cas mais je ne suis pas certain de l'équivalence morale qui aboutirait logiquement à défendre une sorte de modèle d'entreprise démocratique. Plus profondément, j'ai l'impression en lisant des passages comme le dernier paragraphe cité qu'ils passent à côté de beaucoup de nuance sur les phénomènes autoritaires qui peuvent avoir lieu en démocratie. Est-ce qu'on doit par exemple considérer que les confinements pour le covid sont une bonne chose dès lors qu'ils ont eu lieu dans des démocraties et que la majorité des gens les ont trouvé acceptables ? Doit-on défendre un régime de référendum permanent ? Il me semble qu'il y a là une sorte de démocratisme naïf. Je peux imaginer les auteurs me répondre que je pleure la bouche pleine et que, dans leur grille de lecture qui inclut la Corée du Nord, la différence entre la France et mon utopie est négligeable. Je comprends bien mais c'est une différence importante pour moi et je préfèrerais avoir des outils d'analyse qui me permettent de la prendre en compte.1 point
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Après une semaine dans les geôles de l'ICE, ça se comprend.0 point
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Absolument. Charlie Kirk poppait souvent dans ma timeline, sans que je ne trouve spécialement de grand intérêt à ce qu'il dise (j'ai dû l'écouter deux fois dans ma vie) : il fait partie de ces gens qui œuvrent à contrer la gauche auprès des publics non encore politiquement formés (souvent les étudiants, mais son organisation s'adressait aussi souvent à tout autre groupe "grassroots" de la population américaine), et donc le faisait dans une optique très néo-reaganienne d'union des droites aux USA : libéral quand le libéralisme est à la mode, neocon quand la néoconnerie est à la mode, nat-popu quand le trumpisme est à la mode. Rien de plus, rien de moins, simplement le genre de gars qui serait le premier à se rallier à la liberté si elle revenait à la mode (ce qui est notre boulot). Que certains s'agitent parce que leur neurone "orange man bad" a fait prout par hasard quand ils ont appris la nouvelle de la mort de Charlie Kirk, ça me semble au strict minimum malappris, et surtout ça montre l'ampleur de leur obsession pathologique pour Trump.0 point
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Les députés semblent avoir compris quelque chose et choisissent de protéger a priori le secret de échanges. https://www.frandroid.com/culture-tech/politique/2792183_les-deputes-adoptent-une-loi-pour-renforcer-le-chiffrement https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/textes/l17b1112_projet-loi#D_Article_16_bis0 point
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Et en même temps a-t-il entièrement tort ? Comme d'habitude, c'est quelqu'un qui aurait pu être au juste milieu mais qui a choisi d'exagerer tout et d'attiser la flamme, exactement ce qu'il devait reprocher aux démocrates.0 point
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Il est grand temps d'aller lire Thomas Sowell. D'ailleurs certaines familles blanches pauvres ont éclaté dans des proportions similaires, notamment celles issues des immigrés irlandais et écossais installés originellement dans les Appalaches, originellement marqués par la culture de l'honneur plutôt que par les valeurs bourgeoises. Tu devrais lire un peu Albion's Seed, ou à défaut Hillbilly Elegy (i.e. le témoignage de quelqu'un qui l'a réellement vécu et s'en est sorti).0 point
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La poule, originaire d'Asie du sud-est, n'était pas encore introduite en Europe... On ne l'importe que quelques siècles plus tard.0 point
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Perso je l'interprète comme un départ. Pas forcément un suicide. Mais cela se discute.0 point
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Par contre visiblement, les alliés arabes de Trump viennent de se rendre compte que même en payant les USA, ils ne sont absolument pas protégé. Personne ne pensant une seconde qu'Israël n'ait fait ça sans l'accord au moins tacite des USA. Le manque de réponse à l'attaque étant une réponse en soi. Le Qatar qui se voyait comme un sanctuaire où on pouvait négocier avec la bénédiction US, il l'avait fait avec les talibans par exemple, se pose des questions. Cette attaque a clairement affaiblie la position US dans le coin.0 point
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Sur fb, je vois les gauchistes américains se réjouir d'avoir passé un excellent "9/11 eve" grâce à Kirk. (ça plus beaucoup de memes faciles "pro life... dies anyway") C'est un peu drôle parce qu'excessif. Mais tout de même, il y a quelque chose de bien pourri dans leur culture politique et morale.0 point
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Non, ça s'appelle la destruction de la cellule familiale (face à laquelle, pour divers facteurs explorés par Thomas Sowell, les Noirs d'Amérique sont particulièrement fragiles).0 point
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Merci à tous de ne pas partir dans les attaques personnelles, ni dans les débats stériles entre mangeurs de moule.0 point
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J'imagine que c'est la seule fois où cette expression a ete employée.0 point
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Tiens, ça faisait longtemps la rhétorique de la manif pour tous : quand on tue des gauchistes, c'est compréhensible, quand on touche des droitards, c'est un horrible abus de pouvoir.0 point
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Oui c'est ça. Pizzeria qui tourne bien = personnel du pentagone qui fait des heures sup = quelque chose d'important est en cours ou se prépare0 point
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Ni l'utilisation du meurtre comme arme politique, ni les conséquences parfaitement évidentes d'un tel acte ne t'émeuvent. Stoïque niveau 99, ou aveugle?0 point
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Et bah on reprendra deux fois des moules, sans oublier les thoughts and prayers0 point
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Maintenant je ne m'emmerde pas avec ces gens. S'il y a discussion je dis simplement qu'on est le pays le plus taxé au monde et si les problèmes (santé sécurité éducation logement etc) n'ont pas été résolu, c'est que les taxes ne servent à rien. J'ai jamais de réponse. Ca devient presque trop facile. Mais bref, on dirait flash mob des années 2000. Vu de chez moi ça a un peu fait pschitt cette affaire de tout bloquer.0 point
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Je suis en partie d'accord avec Hayek's sur certains points. Par contre, il y a une différence de traitement qui s'explique aussi car d'un côté on a un policier qui étouffe un homme qui plaide pour sa vie tandis que de l'autre, on a ce qui ressemble plus à quelque chose d'aléatoire commis par un fou. ll y a des dysfonctionnements aberrants derrière mais ils sont moins "graphiques" qu'un policier en uniforme qui pose son genou sur le cou d'un individu au sol. La partie graphique, c'est le meurtre en lui-même mais on peut aussi se dire "C'est horrible mais c'est juste un fou dans le métro". En soi, des meurtres, il y en a plein tous les jours aux USA.0 point
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OFF-Topic: Au Brésil: corno = cocu Donc Lecornu (c'est presque la même prononciation qui Lecorno) voudrait dire Lecocu et pour éviter ça (j'imagine) les journalistes ne disent pas le prénom, mais seulement "le nouveau premier ministre" 😄0 point
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Je nuancerais un peu en disant que l'utilisation de la population civile comme bouclier humain n'est pas pratiquée de manière similaire par les deux camps en présence.0 point
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Trump demande à ce que les violences conjugales sortent des statistiques des délits et des crimes. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/donald-trump-affirme-que-les-violences-conjugales-sont-des-delits-moins-graves-20250909 C'est intéressant d'ailleurs qu'il dise cela dans un discours sur la liberté de religion. On est vraiment dans du masculinisme décomplexé. Je m'attends à ce qu'il revienne bientôt sur le principe du viol conjugal vu que c'est quelque chose d'assez attaqué.0 point
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Ce n'est guère surprenant. C'est même très humain. Que la personne soit une IA, un brouteur ou juste un(e) ami(e) qui te friendzone, le mécanisme est le même. Tu as de l'attention et une personne dont tu crois qu'elle te comprends, tu es matrixé pour en devenir amoureux. Savoir prendre de la distance avec ça est loin d'être à la portée de tout le monde. Et je ne parle pas de ceux qui tombent amoureux d'une célébrité et qui vont la stalker. . Et sinon, les "mariages" avec des "être virtuels", c'est assez ancien. En 2018, une société japonaise en faisait 3700 par an. https://www.20minutes.fr/insolite/2370767-20181113-japon-homme-35-ans-marie-hologramme-chanteuse-virtuelle Maintenant au moins ils emm.... personne ceux là.0 point
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J'hésite entre le fou rire et le désespoir. En plus, un petit ami dans le cloud ce n'est même pas durable, son comportement changera à la prochaine mise à jour.0 point
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