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+ le contexte d'émergence de ces deux DN (Cités grecques vs. États-Nations en formation dans un cadre de guerres civiles/de religion) et les problématiques/finalités auxquelles ils essayent de répondre (dans chaque contexte propre) amha.

Si peu.

? Non non, ton post est toujours là. Et, oui, GK est (quasi) impeccable (exceptée la faute de goût inclusive, mais, que voulez-vous, faut bien trouver un élément à critiquer).

@POE : https://www.contrepoints.org/2021/09/24/406373-droit-naturel-aux-racines-du-liberalisme (certainement plein de choses à redire, la partie DN Ancien n'étant pas aussi détaillée que celle présentée par Vilfredo par exemple mais bon).

Plutôt plusieurs traditions (grosso-modo deux : l'Ancien et le Moderne, la rupture se situant avec Hobbes, avec des points de départ et des finalités différentes). Y a une tradition libérale du DN (avec Locke), mais tous les jusnaturalistes ne sont pas libéraux. Ah ? Tu ne considères pas le Socrate de Platon comme un des pères du DN ? (Vraie question).

?

"On va y mettre tous les vaccins, ça servira pour le prochain variant/la prochaine crise sanitaire. Cette fois, on est prêts".

Pas... pas vraiment ce que j'avais en tête (huhu), mais ça se tient aussi.

?

(Aparté : on retrouve la même réflexion chez Strauss dans Droit naturel et histoire : la pensée des anciens part d'une Loi Naturelle, les modernes d'un (des) Droit(s) naturel(s), la conservation de soi pour Hobbes et Locke).

Pour le coup, les libéraux non jusnaturalistes, y en a quelques-uns (et pas des plus cons). Comme le dit @Solomos, le jusnaturalisme, c'est, au final, orthogonal au libéralisme, c'est même (d'ailleurs) une bonne chose : il existe plusieurs manières de "justifier" le libéralisme. (Note : il existe des jusnaturalismes non-libéraux au passage, chez les anciens (où la notion de libéralisme entendu comme ici n'a pas de sens en fait) comme chez les modernes). (Edit)

Partie de chasse ? Mais je n'ai pas souvenir d'une telle scène.

Et a déjà été fait en ces lieux il y a 4 ou 5 ans. Liborg already did it.

"L'imagination au pouvoir !", "Soyez réalistes, demandez l'impossible !". J'avoue être déçu, je ne voyais pas la mise en application des slogans de mai 68 prendre cette forme là... Et, pourtant, ça colle. Chapeau les artistes !

Je ne sais pas ce qu'il en est du PCC actuel. Mais, pendant longtemps (après le refroidissement des relations sino-soviétiques), le PCC a défendu Staline (par opposition avec l'URSS en pleine période de déstalinisation). Donc, pour pas mal de maos, la défense du moustachu ET du PCC vont de pair.

Les Physiocrates, c'est le (proto-)libéralisme au service de la raison d'État (aka, comment maximiser les ressources de l'État et de la nation de manière plus efficace et réaliste que les croyances mercantilistes à la Colbert).

Joyeux Noël à tous !

Quel relou...

Idem pour les album studio. Mais là, je découvre que les lives ne sont pas en reste.

Celui des gens qui n'ont pas prétendu être dans la négociation et qui sont un poil vexés d'être accusés du contraire. Oups, mauvais smiley, je veux dire... ?

"Amusant" de voir que ce film reste encore incompris 50 ans après...

Oui : le pass crée vraiment une société à deux vitesses, avec des personnes qui se voient priver de certains droits et/ou accès à des services sans avoir violé la moindre loi. Autre danger lié au pass (déjà souligné par ailleurs) : la délégation du contrôle de la bonne conformité aux normes imposées par l'administration à la société civile, là où le contrôle du respect de l'obligation vaccinale n'impliquait que l'administration (jusqu'à présent du moins). Dit autrement, le pass vaccinal se traduit par un flicage généralisé de la population par la population. Bref, comme un fumet (lointain mais désagréable) de RDA (où 1/3 de la population travaillait pour la Stasi, que ce soit volontairement ou forcée et contrainte par des menaces directes) et de Chine Populaire (et son crédit social). (Disclaimer : pour le coup, comme @Vilfredo, je ne pense pas que nous nous trouvions sur la pente du totalitarisme, mais plutôt d'un despotisme doux et "bienveillant", la comparaison est là pour insister sur le côté bien pourri du pass qui cumule plusieurs dérives anti-libérales). On peut aussi ajouter que le pass attise nos pires comportements (comme : les non vaccinés devenant des boucs émissaires pour certains. Autre exemple : certains supplétifs de l'État sanitaire se prenant au jeu de la délation cf. le gérant de cinéma mentionné dans je ne sais plus quel fil). Pas vraiment cette impression avec l'obligation vaccinale : après tout, nous sommes tous censés être à la même enseigne... Enfin, la petite cerise sur le gâteau : le pass a quand même un caractère sacrément hypocrite : "on ne vous oblige pas mais...". Bref, l'obligation vaccinale (telle que pratiquée jusqu'à présent), c'est de la merde, mais une merde qui respecte certains principes (isonomie) et certaines séparations (contrôle demandé par l'État réalisé par ses agents et non par des membres de la société civile), là où le pass viole tout ça en toute décontraction (ce qui le rend plus détestable) -> l'obligation m'indignerait moins aussi, sans être souhaitable pour autant.

Ça ne m'empêche pas de me le passer en boucle hein. Mais, je persiste, certaines sonorités ont un peu vieillies (le côté kitsch susmentionné reste toujours fugace ceci-dit), chose que je ne me dis pas en écoutant les Miles période électrique. D'ailleurs, en parlant de ça : Je découvre ces lives de 70 et ça poutre. Idem le Pangaea (Gondwana ).