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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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Allemagne, Übermensch und Kartoffel
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Adrian dans Europe et international
Le FDP n'en veut pas donc a priori c'est bon. Ce qui est curieux car Wikipédia décrit le parti comme très européiste. Apparemment ce sont des ordolibéraux, et on sait ce que Mises pensait de l'ordo-libéralisme -
Allemagne, Übermensch und Kartoffel
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Adrian dans Europe et international
Sont-ils vraiment libéraux ? -
Le droit de propriété à la francaise
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Rusty dans Politique, droit et questions de société
Rappelons néanmoins qu'officiellement, une partie du territoire français peut accéder à l'indépendance après référendum local. Bon, c'est quand même mieux accepté pour la France ultramarine, c'est sûr. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
? -
Éthique et tac
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
1): Je ne suis pas sûr que nos phénoménologues en soi aussi convaincus que nous, mais @Mégille les connaît sûrement mieux que moi (d'ailleurs de même que je suis curieux de voir comment on peut pencher vers le kantisme sans tentation hégélienne, je suis curieux de savoir comment on peut aimer Husserl et pas ce qui s'ensuit, par exemple Sartre ou Heidegger ou Michel Henry...). Je me suis plus penché sur les idéalistes antérieurs et en ce qui concerne Descartes, on ne retrouve la certitude de l'objectivité que par la médiation de Dieu, ce qui n'est pas concluant ...(un Dieu connu par l'idée innée de sa perfection, par-dessus le marché !). Quant à l'idéalisme de Berkeley, c'est encore pire... 2): on peut acquérir une connaissance de la manière dont, disons, un insecte, appréhende le monde, tout de même. Après ce n'est pas une vraie objection puisque, comme dirait l'autre, on ne saura jamais ce que ça fait d'être une chauve-souris. -
Légalisation du chantage
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Atika dans Philosophie, éthique et histoire
Ah bon ? ça revient à fuir la justice alors... -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
Bien vu. Me semble que dans Les lois, Platon ce communiste interdit d'émigrer de la cité idéale... -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
Comme le libéralisme ne repose pas sur l'imposition du BIEN (une éthique maximaliste comme dirait Ogien) aux individus, il est taxé ad nauseaum de relativisme, de vacuité, d'in-substantialité, de "matérialisme" (au sens vulgaire d'existence humaine réduite au consumérisme, etc). Ce qui est totalement idiot car il admet la vertu, mais dans la vie individuelle, pas comme fondement du lien politique. On peut vivre politiquement même avec des gens qui ne sont pas conformes à notre idée du bien. Initialement le but était d'arrêter les guerres civiles entre catholiques et protestants ; au bout de quelques siècles les athées et autres hérétiques ou minorités ont pu acquérir les mêmes libertés politiques. Bien sûr le pluralisme des sociétés libérales demande de la tolérance, il faut accepter de croiser des êtres bizarres et irritants de temps à autres, notre post-modernité tend d'ailleurs à se peupler de foucaldo-deleuziens nouveautés tératologiques qui nous font parfois nous demander si les guerres civiles contre les hérétiques étaient si terribles que ça -
Éthique et tac
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
Le libéralisme est une philosophie politique ; or c'est de philosophie morale que nous débattons ici -loué soit @Lancelot En revanche tu peux douter de mon kantisme, je confesse mon anti-kantisme scandaleux -
Éthique et tac
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
1): C'est amusant, on retrouve déjà ce problème du "vol moral" dans l'épicurisme (cf Maximes capitales et Sentences vaticanes). Ce n'est pas une vraie objection parce que tu ne peux pas en tirer que des conséquences positives*. Tu ne peux pas obtenir que des conséquences positives en suivant tes désirs arbitraires (ni en faisant quoi que ce soit d'ailleurs, les conséquences dépendant en partie de ce qui en dehors de nous, et l'omnipotence n'existant pas). Etre moral ou suivre la raison permet seulement de maximiser les conséquences positives et de réduire les négatives. La vie vertueuse est plus plaisante (au sens épicurien). *Tu peux imaginer un scénario fictif où ce serait le cas, mais cela n'arrive pas dans la vraie vie. Raison pour laquelle je me défie grandement des expériences de pensée en matière morale. La réalité a toujours raison. 2): A ses fins peut-être, à des fins bonnes, certainement pas. L'idée socratique sous-jacente étant que le mal est nuisible à celui que le commet. Et que donc le tyran est irrationnel. Je pourrais aussi dire qu'on ne peut pas atteindre des fins bonnes par des moyens mauvais, mais il n'y a pas de différence entre un moyen et une fin intermédiaire me semble-t-il. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
Et c'est ce que fait Platon. Platon attaque la distinction grecque fondamentale entre le foyer (oikos) et la cité (polis). Cf le texte d'Arendt que j'ai mentionné. Tous les conservateurs de l'univers ne feront que retrouver cette idée en désignant le Roi ou le leader suprême comme "le Père de ses sujets / de la patrie." Naturalisation-neutralisation du politique, familialisme. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
Le fondement de tout régime autoritaire (despotisme forcément éclairé -y en eut-il jamais qui se prétendit idiot ?) réside dans la confusion autoritaire*-conservatrice, d'origine platonicienne (ce fichu communiste ) entre la liberté et la vertu. Il y a un texte formidable sur ça: https://hydre-les-cahiers.blogspot.fr/2015/09/harmonie-interieure-non-oppression.html?q=trois+conceptions *Cf bien sûr Arendt, La Crise de la Culture, Qu'est-ce que l'autorité ? Dire que l'ordre politique doit seulement préserver la liberté (ce que j'appelle la morale) ne veut pas dire que la vertu (ce que j'appelle l'éthique) ne soit pas importante. Juste que, ce n'est pas parce que c'est bon que ça devrait être obligatoire. Il n'y a pas de vertu contrainte. (ce que je dis vaut pour la réduction que tu proposes de l'irrationalité à l'enfance. Je parle de philosophie politique et pas d'éducation). -
Légalisation du chantage
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Atika dans Philosophie, éthique et histoire
Le chantage au suicide est une forme extrême de harcèlement qui ne semble guère compatible avec le devoir de l’État de préserver la vie et la sécurité des individus. Et encore, il faudrait que le processus conduise effectivement à des suicides pour que le problème en soit vraiment un. Mais bon, on se bagarre sur des micro-problèmes là. Combien de gens peuvent prétendre être victime d'un chantage du type: "suicide-toi ou sinon je dévoile que..." ? -
Éthique et tac
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
Je veux bien que tu définisses "avoir une véritable valeur normative" alors. En ce qui me concerne, en bon gros matérialiste mal dégrossi, je décrirais moins la morale comme une théorie des normes que comme un genre de manuel, analogue au manuel de montage d'un objet technique, ou comme une carte. Tu veux atteindre X, passe donc par Y, fait donc Z. L'analogie étant fondé sur le fait que pour l'être humain comme pour le voyageur, le chemin est déjà tracé ; que la méthode de montage de l'objet découle de ce qu'il est. La fin ne dépend pas de nous, à la différence de la rationalité de sa poursuite, soit la rationalité des fins intermédiaires. Dans cette optique, être moral n'est ni plus ni moins qu'être efficace. (Autant de propos affreux pour les tenants du dualisme classique nature/culture). Tu te posais aussi la question des critères pour déterminer qu'une fin (non-dernière donc), est bonne ; la première question est: bonne pour qui ? Il faut commencer par discriminer entre les morales basées sur l'agent et les autres. Vient ensuite: bonne à quoi ? Ceux qui nous disent que la morale doit viser à atteindre la perfection ou à faire le bonheur du plus grand nombre doivent d'abord nous convaincre que nous devrions nous soucier de ces choses. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
C'est ce que soutiennent les "réalistes": certains Thomistes d'une part (par.ex André de Muralt), et Ayn Rand et son école d'autre part. Pour le dernier courant "néo-aristotélicien", je veux dire le marxisme, la rupture et l'origine du post-modernisme intervient avec l' "irrationalisme" de Kierkegaard, Schopenhauer, Nietzsche, etc. (et donc pas du tout à cause de l'hégélianisme...) -c'est la thèse de La Destruction de la Raison de G. Lukács, reprise depuis. J'observe que tu sépares Kant de Hegel tandis que les marxistes (à l'exception des Althussériens, qui ne font rien comme tous le monde), à la suite de Hegel lui-même, les ont toujours rapprochés (voir par exemple Denis Colin qui ressuscite cette vielle lubie de fonder -enfin ?- une morale marxiste à partir de Kant*...). Ce qui était aussi l'approche de l'idéalisme britannique et des hégéliens de la fin du 19ème siècle (à la différence de l'Allemagne où néo-kantiens et survivants de l'âge d'or hégélien dominent le champ de bataille de 1830 à 1920 en gros). *Il y a des syncrétismes qui ne devraient pas exister, quand même... -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
C'est-à-dire que cette sombre histoire de chose-en-soi a laissé semble-t-il des séquelles, chez Schopenhauer et au-delà (ça se devine du reste à la coiffure des intéressés): « Nietzsche reste résolument kantien lorsqu'il affirme que l'en-soi est inconnaissable, et que la phénoménalité dépend des conditions a priori de la sensibilité. Mais chez lui la sensibilité est déjà une puissance active que l'homme tient de l'essence même de la vie, qui est appropriation, assimilation, création: faute de pouvoir connaître cet "x énigmatique" qu'est l'en-soi (à propos duquel, du reste, il conviendrait d'observer un silence éléatique), l'homme traduit. La perception sensible est déjà traduction active d'une sphère à une autre, entre sphères absolument hétérogènes entre elles. L'excitation nerveuse est traduite en image mentale. Et le langage sera traduction sonore de l'image. Le langage est ainsi une traduction de traduction, saut au carré entre sphères hétérogènes, sans aucune certitude quand au texte de départ. » -Dorian Astor, Nietzsche. La détresse du présent, Gallimard, coll. Folio essais, 2014, 654 pages, p.204-205. Autre idée à garder à l'esprit à propos de Kant: "Kant est à l'origine de l'épistémologie de notre période culturelle." -Michel Clouscard, L'Etre et le Code. Le procès de production d'un ensemble précapitaliste, L'Harmattan, Logiques sociales, 2003 (1973 pour sa première édition), 595 pages, p.7. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
De mauvais esprits pourraient d'ailleurs y voir l'aboutissement paradoxal du Kantisme, voire même une revanche posthume de Hume. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
J'espère bien Heidegger j'aurais dû mal à en parler poliment, mieux vaut se borner à cette remarque pleine de précautions oratoires de Nef: « La question reste […] posée de la proximité de la langue heideggérienne tardive et d’une langue de délirant, les analogies étant trop frappantes entre les procédés de formation de mots et l’appauvrissement de la syntaxe dans les deux cas. » -Frédéric Nef, Qu’est-ce que la métaphysique ?, Gallimard, coll. Folio essais, 2004, 1062 pages, note 1 p.204. Le post-modernisme c'est n'importe quoi. J'ai fais deux petits textes pour expliquer la dimension politique de cette bouillie: http://hydre-les-cahiers.blogspot.fr/2017/01/du-marxisme-au-post-modernisme.html?q=marxisme J'ai également fais un petit bilan de mes sympathies philosophiques sur l'un de mes blogs: http://hydre-les-cahiers.blogspot.fr/2017/09/bilan-philosophique-23-ans.html Mais le plus important: "So much of philosophy is just verbal masturbation." -Abe Lucas, in L'Homme irrationnel, de Woody Allen. -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Ce doit être pour ça que tu es nonossé: « Il ne peut se trouver de terrain plus propice qu'une association communiste au développement de cette idée que l'intérêt public est aussi l'intérêt particulier. Toute l'émulation, toute l'activité physique et intellectuelle, qui s'épuisent aujourd'hui à la poursuite d'intérêts personnels et égoïstes, chercheront un autre champ d'action et le trouveront dans leurs efforts en vue du bien-être général de la collectivité. » -John Stuart Mill, Économie politique, cité par August Bebel, in La femme et le socialisme, 1891. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
Tout ce que je n'aimes pas^^ Le bon côté de la chose c'est que ça te servira bien pour passer les concours. -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Mises ou Salin écrit quelque part que Allais était contre la propriété privée foncière... Ce "libéral" nobélisé soutenait en outre que: « Le domaine de la creation monétaire doit relever de l’Etat et de l’Etat seul. Il convient donc de donner à la Banque centrale une maîtrise totale de la masse monétaire. » -Maurice Allais, « Les conditions monétaires d’une économie de marché », in Revue d’économie politique, mai-juin 1993, p.338. Sinon, là où tu constates une baisse de l'intelligentsia française, et du foutage de gueule de la part de intellectuels contemporains, tout particulièrement de ceux qui se disent "libéral-socialiste", c'est que le Lalande 1926 définit parfaitement le terme, alors que l'élaboration de ce dictionnaire remonte au début du 20ème siècle, qu'il est constamment réédité depuis et très connu... : "Libéralisme. A. Doctrine politique suivant laquelle il convient d'augmenter autant que possible l'indépendance du pouvoir législatif et du pouvoir judiciaire par rapport au pouvoir exécutif, et de donner aux citoyens le plus de garanties possible contre l'arbitraire du gouvernement. Les liberales (premier emploi du terme) sont le parti espagnol qui, vers 1810, veut introduire en Espagne le parlementarisme de type anglais. - S'oppose à autoritarisme. B. Doctrine politico-philosophique d'après laquelle l'unanimité religieuse n'est pas une condition nécessaire d'une bonne organisation sociale, et qui réclame pour tous les citoyens la "liberté de pensée". C. Doctrine économique suivant laquelle l'Etat ne doit exercer ni fonctions industrielles, ni fonctions commerciales, et ne doit pas intervenir dans les relations économiques qui existent entre les individus, les classes ou les nations. On dit souvent, en ce sens, Libéralisme économique. - S'oppose à Étatisme, ou même plus généralement à Socialisme. D. Respect de l'indépendance d'autrui ; tolérance ; confiance dans les heureux effets de la liberté." -André Lalande, Vocabulaire technique et critique de la philosophie, PUF, 2016 (1926 pour la première édition), 1376 pages, p.557-558. -
Présentation de Mégille
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Mégille dans Forum des nouveaux
Bienvenue Quelles sont tes philosophes préférés et pourquoi ? Mises c'est très bien, même lorsqu'on débute en économie. L'Action humaine est effectivement très intéressant. En ce qui me concerne je suis INTJ et pas anarcap, donc il n'y a pas de fatalité ^^ -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
En quatre mots: "tiré par les cheveux". Le Figogol aime bien se faire peur et se repasser ses souvenirs de la Guerre Froide, ce n'est pas nouveau. Une comparaison de Mélenchon avec son vrai mentor, Mitterrand, serait beaucoup plus éclairante. -
Le féminisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Que la langue de la République est le Français (article 2 de la Constitution). Voir aussi si l'Académie française n'a pas pondu un texte contre cette idiotie. On n'a sans doute pas encore de recul pour l'établir scientifiquement, mais intuitivement j'incline à penser que ces tournures de phrases à rallonges (moches, mais moches !) ne facilitent pas la mémorisation et l'apprentissage de l'écriture. -
Légalisation du chantage
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Atika dans Philosophie, éthique et histoire
Si cet argument veut dire: "Il y a des causes qui expliquent ce que font les gens", c'est une vérité, mais triviale. Mais s'il sous-entend plutôt qu'il doit y avoir une rationalité implicite dans les pratiques qui perdurent durablement, je ferais remarquer que c'est jouer sur les sens de rationalité (ou de ce que c'est qu'une "raison"). On peut employer la notion de rationalité pour dire "fonctionnalité", soit l'idée que la pratique n'est pas incompatible avec les autres aspects de la société considérée. Ou alors on parle de rationalité pour parler de ce qu'il est légitime, bon, juste, de faire. Le fonctionnalisme consiste précisément à rabattre la rationalité au sens 2 sur la rationalité au sens 1. Une pratique est bonne et acceptable si elle s'intègre dans un ensemble social, si elle "fonctionne", perdure, etc. Je soutiens qu'une telle thèse est fausse et vulgairement positiviste. C'est tout simplement du fétichisme du fait accompli: ça existe, donc c'est bon. Si ceux qui soutiennent que le chantage devrait être illégal (ce qui peut parfaitement se défendre) veulent nous convaincre, il faut nous donner des raisons valables de le penser, pas juste faire remarquer que "pendant longtemps les hommes ont pensé que". Ils ont souvent pensés des énormités pendant très longtemps. "L'évolution spontanée" a parfois amené d'immenses régression intellectuelle ou technique, vous savez.
